All language subtitles for High tide 1987.french

Vous voulez donc jouer à des jeux.

Il ne se met pas à l'écart.
Il se croit tellement cool.

Salope stupide.

Dégagez le passage.

Nous y voilà.

Mais voilà, il arrive.

J'ai dit
Tu devrais rouler derrière moi.

Oui, nous savons, Lester.
-Comme toujours, Lester.

Nous devons nous dépêcher.

Sortez.

Puis-je avoir une bouchée ?

Allez, viens.

Venez, vite.

Venez maintenant.

Mais il faut demander.
-Elle dit non de toute façon.

Vous pouvez au moins essayer.

A voir.

Bonne chance.

Grand-mère, je peux aller
avec les autres à la discothèque ?

Mais vous avez dit que je pouvais.
-J'ai dit que j'y réfléchirais.

S'il vous plaît.

Ne vous mettez pas en colère.

Y a-t-il un concours de talents ce soir ?

Qu'allez-vous chanter ?

Eh bien, c'est peut-être le cas...

Ceux-ci.
-Pourquoi ne pas...

Venez, nous sommes déjà en retard.
-Nous sommes là. Ne paniquez pas.

Dois-je le porter ?
-Non, ce n'est pas nécessaire.

Tu as demandé ?
-Elle a dit non.

Comme toujours.

Vous venez ?
-Chips ?

Toutes les couleurs de l'arc-en-ciel.
-Comme les Smarties.

Comme les Smarties, oui.
-Et puis il boit probablement aussi.

Je suis heureux que vous vous sentiez mieux. Je dis : toujours voyager
en première classe, et toujours avoir l'air soigné.

Devriez-vous dire.
-Tu devrais t'habiller plus souvent, Lilli.

Certains hommes aiment ce style.
-Du style sordide ?

Il peut recommencer.
-Ce qui est grossier, disons.

Nous gagnerions bien notre vie au Japon.
Qu'en pensez-vous ?

Ils aiment les
les femmes aux longues jambes.

Alors, tu es déjà en train de tomber, Tracey.
Ne frappez pas.

Et le gagnant est le numéro 61.
Le vert 61. Qui a le vert 61 ?

Nous avons ce numéro.
Lilli, tu as gagné.

Mais je n'en veux pas.
-Alors je les prends.

Non, j'ai changé d'avis.
-C'est typique d'une femme.

Qu'est-ce que je suis censé faire avec ça ?
Non, tais-toi. Ne dites rien.

Qui a le numéro 62 ?
-J'ai le 62.

Voulez-vous les poulets ?
-Oui. Pourquoi pas ?

Avez-vous un four ?
-Sûr.

S'il vous plaît.
-Voici mon numéro.

A l'intérieur.

Comment ça va, les filles ?
-Bien.

Un bon public ?
-Oui, très bien.

Lilli, dépêche-toi.

Et le groupe ?
-Ne vous inquiétez pas. Tout ira bien.

Lilli, va te changer.
Ça fait 50 minutes que tu es assise ici. C'est assez long.

OK, calmez-vous.

J'ai l'air vieux.
-Personne ne le voit.

Non, ma perruque.
-Vous n'êtes pas sérieux.

J'ai oublié ma perruque.
-Très bien.

Jésus, tu es sans espoir.
Tu as chaque fois...

Trouvé.

J'ai retrouvé ma perruque.

Dans 10 minutes, nous monterons.

Ne faites pas ça, Lilli.

C'était juste une blague.
-Oui, mais ça n'aide pas vraiment.

Et puis autre chose. Je sais ce que tu fais,
et ce dans quoi tu entraînes Tracey.

Je ne veux pas discuter...
-Quelle histoire ennuyeuse.

Ennuyeux ?
Je pense donc très différemment à ce sujet.

Les choses que je trouve importantes,
vous les trouvez ennuyeuses.

Je veux que nous nous entendions bien,
mais tu me salis tout le temps.

Je suis désolée. Je ne veux pas faire de mal.
Vraiment, je suis désolé.

Vous êtes désolée ?
-Oui, je suis désolé.

Il est un peu trop tard pour cela,
n'est-ce pas ?

Il reste neuf minutes.

Oh, mon Dieu.
Dites-le.

Petite trace.

Il s'agit de vos honoraires, moins votre avance.

Venez.

Désolé, mais je n'ai pas besoin de vous
pour Tassia.

Je suis à nouveau libre.

Ce n'est pas grave.

On se voit au Japon.

Celui-là est pour vous.
C'était la dernière fois que je venais ici.

Vous ne reviendrez plus jamais ?
-Pas cet hiver. Qu'est-ce que tu veux ?

Un peu de glace.

C'est une chanson fantastique.

Une chanson fantastique.

Je ne peux pas rester ici.

Bonjour, les pieds de poisson.

Pieds de poisson, pouvez-vous
m'aider à me redresser ? S'il vous plaît.

J'ai un peu bu,
donc je ne peux pas me lever tout seul.

Me donner un coup de main ?
Merci beaucoup.

Merde, la caravane.

Attendez.
-C'est une femme ivre.

Voulez-vous attendre un peu ?

Pieds de poisson, tenez bon.

Je ne sais pas où se trouve ma caravane.
-Quel est son numéro ?

Ces stupides caravanes se ressemblent toutes
se ressemblent toutes. Comment reconnaître...

Mais pas si vous vivez ici.
-C'est vrai. Je suis désolé.

Vous êtes un type sympa. Vraiment sympa.

C'est votre petite amie ? Et bien ?

Il est timide, n'est-ce pas ?
Il est timide.

Êtes-vous sa petite amie ?
-Un peu.

Vous êtes une bande d'enfants formidables.
Vraiment géniaux.

Ecoutez, ne les laissez jamais vous dire
que tu es trop jeune. D'accord ?

Parce que ce n'est pas le cas. Ces personnes
sont devenues vieilles, laides et jalouses.

Et qui a oublié
ce que c'était. Mais vous allez bien.

Voici votre caravane. Celle-là, ici.
-Magnifique.

Dois-je l'ouvrir ?
-Bien.

Attendez, voyons voir.
Vous avez une très longue ligne de vie.

Et vous ?
-J'ai une courte ligne de vie. Très courte.

Où est ma voiture ?
Où est-elle maintenant ?

Oh, oui. Baiser.
Tiens bon.

J'ai une autre bouteille à l'intérieur.
Voulez-vous boire quelque chose ?

Attention. Ça va ?
-Regardez ces étoiles.

Celui-ci est assommé.

Tenez, prenez cette main.

Je vomis.

Je ne pense pas qu'il y ait quelqu'un à la maison.

Donne-le moi, Fiona.

Votre voiture a-t-elle été réparée ?
-Pardon ?

Votre voiture a-t-elle déjà été réparée ?

Savez-vous lire dans les lignes de la main ?

Mais je pensais que vous pouviez le faire.

Ici, quelle est ma ligne de vie ?
-Jésus.

Cette ligne, je crois.
Oui, c'est vrai ?

Vous habitez ici ?
Oui. Allez-vous vivre ici aussi ?

Je resterai ici
jusqu'à ce que je récupère ma voiture.

Où habitez-vous ?
-C'est une bonne question.

Où est-ce que j'habite ? A Sydney, je crois.
Qu'en pensez-vous ?

Je vis à Sydney s'il le faut.
Sinon, je voyage un peu partout.

Êtes-vous allé en Amérique ?

Et en Grèce ?
-Oui.

Où cela se passe-t-il ?
-En Afrique ?

En Italie ?
-Oui, c'était amusant.

J'apprends l'italien à l'école.
-Vraiment ?

C'est ma machine à laver.

Vous utilisez le mien.
-Il y en a d'autres.

Oui, mais celui-là est à moi.

Est-ce normal ici ?
-Non.

Il est à moi.
Et ça, là-bas, c'est mon séchoir.

Bob a dit que c'était bon.
Je l'ai tagué.

Sortez votre linge, s'il vous plaît.
-Bien, nous le ferons alors.

Où étais-tu assise ?
Ici, grand-mère.

Nous rentrons à la maison. Top chrono.
Dépêchez-vous.

Hup, hup.
-J'arrive déjà.

Emportez votre linge avec vous.

Que faites-vous ici ?

Ma voiture est en panne et en cours de réparation.
-Pourquoi ici ?

Je ne savais pas que vous viviez ici.

Savez-vous qui elle est ?

Je ne veux pas qu'elle le sache.
D'accord ?

Pourquoi vous appelez-vous Lilli ?
Votre propre nom ne vous suffit-il pas ?

Vous êtes ici pour la récupérer.

Bien sûr que non.

Dois-je faire réparer votre voiture ?
-Non, merci.

Vous avez fait suffisamment de dégâts. Si tu lui dis quoi que ce soit, je te tue.
tu lui dis quoi que ce soit, je te tue.

Qui s'en soucie ?
Je m'en fiche.

600 ? Est-ce qu'il y a écrit 600 ?
-Les pièces viennent de Sydney.

Cela allait coûter 300.
-Jock avait fait ce calcul, oui.

Ah oui ? Très bien.
Je n'ai pas 600 dollars.

C'est le double
comme vous l'aviez promis.

Je n'avais pas acheté de vieille voiture à l'époque.
Avez-vous d'autres bons conseils ?

Je suis désolé.
Écoutez ça...

Je n'ai tout simplement pas l'argent nécessaire.

J'ai vraiment besoin de ma voiture maintenant.
Vraiment.

Je ne fais que le réparer.

Et il va vraiment bien maintenant ?

Je comprends que ce soit difficile.

Désolé, vous n'y pouvez rien non plus.

J'ai besoin de sortir d'ici très rapidement.

Écoutez ceci...

pourriez-vous me le donner
de me le donner ?

Que voulez-vous dire par là ?

Eh bien...

Je deviens vraiment fou maintenant.
Désolé, oubliez ça.

Non, Nancy, je ne sais pas jongler.
Tu as autre chose ?

Mais si vous recevez quand même quelque chose,
me contacterez-vous ?

Je suis au Mermaid Caravan Park,
à Eden.

Je réponds par l'affirmative.

Bien sûr, je ne suis pas ivre.

A Wollongong ? À l'époque, je
n'avais pas bu. Puis j'ai été malade.

Il a donc tort.

Merci, Nancy.
D'accord, au revoir.

Je peux dîner chez Michelle ?
Comment rentreras-tu à la maison ?

Son père me ramène à la maison.
-Si seulement il le faisait vraiment.

Bonjour.

Avez-vous reçu les poulets ?

Avez-vous reçu les poulets ?
Ne les avez-vous pas eus ?

La réparation va prendre plus de temps.
-lk demandera à Ted de se ménager.

Non, s'il vous plaît.
-Nous pourrons alors apprendre à nous connaître.

Mais que faites-vous d'autre ,
à part la pêche ? Avez-vous des hobbies ?

Oui, c'est vrai.
-Désolé, la rousse. Je t'ai croisé ?

Puis le frapper à son tour.

Allez vous faire foutre, bande de crétins.

Je dessine et je peins beaucoup maintenant.
Mais je ne suis pas très doué.

Quels abrutis, hein ?

Va te faire foutre.

Je dessine surtout de l'eau et des bateaux, etc.
-Allez, Jason, on y va.

Aujourd'hui, je fais surtout des paysages marins...

mais je préférerais
attirer plus de monde.

J'ai souvent dessiné mon ex,
mais ça n'a jamais marché.

J'ai toujours été mauvais pour les doigts, les
les pieds, et les morceaux de visage.

J'aimerais vous dessiner.

Me dessiner ?
-Oui, ton visage.

C'est le mieux.

Comment c'était avec Michelle ?
-Comme.

Je n'ai pas entendu la voiture de son père.
-Il m'a déposé à la porte.

Mon père et ma mère m'aimaient-ils ?
-Oui, bien sûr.

S'aimaient-ils ?
-Oui.

Ils ont tout de suite été
complètement fous l'un de l'autre.

Je me souviens du retour de John à la maison. Nous vivions alors dans le nord de l'Angleterre.
vivions dans le nord à l'époque.

Il avait une fille avec lui.
Il a dit : "Maman, je te présente Julie.

Et c'est tout.

Les gens pensaient souvent qu'ils étaient frère et sœur.
et sœur. Je ne les voyais pas souvent.

Ils avaient leurs propres lois en la matière.

Je rêve parfois de lui.

Ensuite, il porte un grand manteau.
Puis il flotte au-dessus de mon lit.

J'ai d'abord pensé que c'était effrayant,
parce que ce manteau est très sombre.

Et il n'est pas vraiment dans ce manteau.
Juste son visage.

Il ressemble à la photo, mais en plus vieux.

Eh bien, un chanteur
n'est pas vraiment ce que notre public recherche.

Sauf si vous êtes secrètement une star célèbre.
-Non, désolé.

Nous ne pourrions jamais
ne pourrons jamais payer. Pouvez-vous danser ?

Eh bien... en fait, juste ces danses que tu
tu as vues de moi l'autre jour. Rien de spécial.

C'est un monde étrange, cependant, de travailler dans des clubs
travail. Vous avez déjà fait du strip-tease ?

Il y aura un
un enterrement de vie de garçon. Ensuite, tu pourras travailler.

Et vous pouvez travailler sur une nuit de concert
travailler. Deux nuits, en d'autres termes.

Mais ensuite, il faut se déshabiller.

Je ne suis pas une strip-teaseuse.
-Je peux comprendre que...

mais nous payons bien. Vous avez besoin de l'argent
nécessaire. C'est ainsi que fonctionne le show-business.

Très attractif.

Demandez maintenant.
Demandez-vous.

Merdique.

Mme Roper...
Oui, qu'est-ce que c'est ?

Ally peut-elle venir avec nous à la discothèque demain ?
-Elle a déjà dit non.

Ma mère vient nous chercher.

Pourquoi pas ?
Peut-elle venir ?

Cool.
-Fantastique.

Une fois doit être la première fois.
-Une telle tente n'est rien.

Coupez.
-Elle obtient toujours ce qu'elle veut.

Pas vrai.
-Ne soyez pas si difficile.

C'est très bien. Viens d'abord ici.
Ensuite, nous ferons le ménage ensemble.

Vous commencez.
-lk se dirige vers la boîte jaune.

Ne vous approchez pas d'elle.

Ally ?
-Venez.

Qu'est-ce qui vous possède ?
Pourquoi vous rasez-vous les jambes ?

C'est tout simplement ridicule.
Il n'y a encore rien à raser.

Je ne te comprends plus.
Idiot, juste comme ça. Tu n'iras pas ce soir.

Quoi, pourquoi pas ?
-Parce que je le dis.

Mais je suis prêt.
-Tu viens avec moi au club.

Michelle peut bien.
-Tu n'es pas Michelle.

Si seulement je l'étais.

Combien d'hommes y aura-t-il, à votre avis ?
-Difficile à dire.

10, 20, 50 ?
J'ai moi-même vendu 150 billets.

J'ai "fuck you
sur mes seins.

Pensez-vous que cela l'excitera ?

C'est peut-être le cas.

Ce n'est pas vraiment là, n'est-ce pas ?

Je peux encore le faire.
-Faites un don ici.

Il est.
-Un garçon geek.

Vous avez tout gâché.

Es-tu également invité à cette fête ?
-Je préfère rester ici.

Tu es invitée ?
-Oui, mais je n'y vais pas.

Allez-y maintenant, ce sera amusant. Peut-être que
que je viendrai bientôt toutes les semaines.

Les samedis ici, les mercredis au port,
les vendredis dans les écoles.

Ecoute, si j'avais de l'argent,
je te le donnerais.

Je m'en sortirai.

Bien sûr.

Quel est votre nom ?
-Bet Roper.

Joli nom.
Qu'est-ce que tu as fait de bien ?

Je chante moi-même.
Est-ce vrai ?

Oui, mais je ne suis qu'un
un amateur.

J'aimerais vous entendre chanter.
-Vraiment ?

Qu'en dites-vous ?

Pourquoi pas plus tard dans la soirée ?
-Ça me paraît bien.

A plus tard donc.

Mon Mars, mon v-v-Venus.
-Bien.

C'est bien ?
-C'est bien que tu dises Vénus. Excellent.

Terre.
Mars.

Non, vous l'avez déjà mentionnée.
-Hé, bon sang.

Mars, Vénus...

Vous savez, une autre chose avec un M.
-Mercurius.

Et puis un autre avec un J.
-Jupiter.

Saturne, Uranus, Neptune, Pluton.
Je croyais que Pluton n'était qu'un chien.

Ça a dû être assez merdique.

C'était certainement le cas.

Venez avec nous.

Enlevez votre pull.
-Trop froid.

Eh bien non.
Tu as une très belle peau.

Avez-vous aussi des glaces ?
-Le lait de chèvre arrive.

Votre ours vous tiendra compagnie.
C'est notre petit secret, n'est-ce pas ?

Je suis vraiment désolée, ma chère.

La soirée s'est avérée coûteuse.

Si cela n'en valait pas la peine,
il suffit d'envoyer une facture.

Ally, as-tu vu mon gilet vert ?
vu quelque part ?

Je reviens tout de suite.

Bet, c'est vraiment stupide.
Je pars bientôt. Laisse-moi tranquille.

Arrêtez de me regarder en cachette.
-Je pars de toute façon.

Alors ne vous approchez pas d'elle.

Je vois des traits de lui en elle.

Qu'est-ce que tu lui as dit à mon sujet ?

Que vous êtes mort.

Bien sûr.
-Il fallait qu'elle le fasse.

Vous avez ruiné la vie de mon fils...
-Non, Bet, ça suffit.

Tu es parti tout seul.
Je voulais la protéger.

Pour se protéger. Vous-même.
Parce que vous êtes cupide.

Pourquoi John me blâme-t-il ?
-Je ne t'en veux pas.

Où étiez-vous quand il est mort ?
Pourquoi ne m'avez-vous pas aidé ?

Vous avez probablement reçu de l'aide. Vous aviez une famille.
-Personne ne m'a aidé.

J'ai fait ce que j'ai fait pour elle.
Je ne peux pas te faire confiance.

Tu es tellement imprévisible. Même pour
toi-même. Tu peux l'emmener comme ça.

Qu'est-ce que je suis censé faire avec un enfant ?
-Pour me brutaliser, sur un coup de tête...

Ou pour toute autre raison.
-Partez.

Vous êtes sa mère, bon sang.

Eh bien, nous allons
vivre avec le Col.

Alors vous vivez plus près de l'école.
-Je ne veux pas vivre au Col.

Oh, bien sûr, ce n'est que pour l'hiver.

Il ne m'aime même pas.
-Eh bien. C'est comme ça qu'il agit.

Il ne t'aime plus beaucoup non plus.
-Eh bien...

Pas ce matin, sinon.
-J'en ai parlé.

Il veut que j'emménage avec lui depuis si longtemps.
-Il ne veut pas partir.

Tu n'as pas le choix, chérie.
Si je pars, tu pars aussi.

Il habite trop loin de la plage.
-Il habite juste à côté de la plage de la ville.

Vous n'avez pas de bonnes vagues.
-Je n'y peux rien non plus.

Tu dois faire ça à l'intérieur ? Cette chose est
toujours sur le chemin. Faites-le à l'extérieur.

Il appartenait à votre propre fils.

Qu'il appartenait à votre propre fils.
Qu'entendez-vous par là ?

Vous vous en fichez.
-Oh, non ?

Qu'en savez-vous ?
Vous n'en savez rien.

Donnez ici.
-Tu ne te soucies ni de lui ni de moi.

Je n'ai jamais le droit à quoi que ce soit.
Vous jouez juste le rôle du patron.

Il est à moi.
-Abandonnez.

Il appartient à mon père.
Taisez-vous.

Je te déteste.
-Et je te déteste.

Vous gagnez la cagnotte.
Incroyable.

Est-ce vraiment possible, maman ?
Oui, vas-y.

Je l'avais oublié.
Allez-y maintenant.

Au revoir, grand-mère.

Merci encore, maman.
Sois gentille, et occupe-toi bien de grand-mère.

Dis au revoir à papa.

Sur la route qui mène à la sortie de la ville.
-Oui, en bas de l'hort.

Je n'ai pas fait ça depuis des années.
-Non, je l'ai fait.

C'est toujours génial.
Partir. Partir quelque part.

Quand j'étais mariée...
-Je ne savais pas.

Je ne vous l'ai pas dit ?
Je l'ai été une fois.

Quoi qu'il en soit, nous sommes également sortis, ne sachant pas où aller.
nous sommes sortis, ne sachant pas où aller.

Mais nous étions jeunes. J'étais jeune.
Maintenant, je suis vieux.

Vieille ? Tu n'es vraiment pas vieille, tu sais.
Tu es magnifique.

Où est donc votre mari ?
-Mort. Mort comme un clou de porte. Décédé.

Plus dur.

C'est assez dur comme ça ?
-Sûr.

On y va gentiment.
-Vraiment.

Cette femme n'est plus là.

La femme est partie.
-Oh, je vois.

Connaissez-vous
Cette fille dans le parc de caravanes...

Qui est toujours en train de surfer ? Ally.

Qui travaille aussi dans ce camion de glace ?

C'est ma fille.

Elle ne le sait pas.

Je ne savais pas non plus,
quand je suis arrivé.

Ce n'était que la dernière ville
de notre circuit. Coïncidence.

Je ne l'avais pas reconnue.
Elle pouvait être n'importe qui.

Ce n'est qu'après que j'ai su,
j'ai commencé à voir des choses.

Petites similitudes.

Et à partir de là
je l'ai cherché de plus en plus.

Je ne l'avais pas vue
depuis qu'elle était bébé.

Elle est heureuse et bien installée.
Au moins, vous le savez maintenant.

J'aimais tellement son père.

Quand il est mort,
je l'ai détestée, je crois.

Je me détestais.

Allons, ce n'est pas nécessaire.

J'aurais été une mauvaise mère.
-Vraiment pas.

Elle a l'air heureuse, n'est-ce pas ?
-Oui, elle l'est certainement.

Vous savez, quand ma femme est partie avec
ce type dont je vous ai parlé...

elle a pris notre fils.

Et Fiona me les a laissés.

Des choses comme ça arrivent.
Elles ne peuvent certainement pas être contenues.

Il faut en tirer le meilleur parti.
-Je déteste ça.

Que détestez-vous ?
-C'est tellement obtus.

C'est une mentalité d'esclave.
Si vous pensez ainsi, vous n'arriverez à rien.

Alors, que produit votre façon de penser ?
produit ? En tournée avec un artiste bon marché.

En effet.

Moi aussi.

Non, vous ne l'êtes pas.
-Pourquoi, vous avez raison.

C'est faux.
-Eh bien...

Tu peux tout faire. Tu es beau.
Tu es différent des autres.

Ecoutez, je vais vous dire pourquoi nous
pourquoi nous sommes ici, ce que j'avais en tête.

Demain, nous irons à Coffs
ou à Byron. Une journée tranquille.

Je veux trouver un endroit chaleureux où
nous pourrons créer une entreprise ensemble.

Je pourrais commencer à louer des bateaux de pêche
pourrait commencer à louer des...

et peut-être que je pourrai
éventuellement ouvrir une galerie là-bas aussi.

Nous pourrons alors les faire fonctionner ensemble.

Et puis j'ai laissé Fi venir...

et peut-être pourrons-nous alors
avoir un enfant à nous.

Si je vous donne 300 maintenant,
et dimanche aussi 300...

Je peux donc prendre ma voiture maintenant ?

Comment puis-je savoir
si vous reviendrez dimanche ?

Je travaille le samedi soir au club,
et je suis aussi payé.

Et si vous ne vous présentez pas ?

Vous devez me faire confiance.

Rendez-vous dimanche.

J'ai fait un voyage,
et j'ai ramené ça pour toi.

Pourquoi ?
-Il pensait que ça te plairait.

Puis-je le garder ?

Où est votre grand-mère ?
-Eln Stockton. Son beau-frère est mort.

Avez-vous envie de dîner avec moi ?

Ce n'est pas ton petit ami ?
-Pas plus.

Où voulez-vous vous asseoir ? Ici ?
-Oui, très bien.

Avez-vous faim ?
-Très faim.

Que voulez-vous manger ?

Un hamburger.
-Avec toutes les garnitures ?

Deux ?

Trois ?

Et que voulez-vous boire ?
-Un milkshake.

Un milkshake. Et je prendrai un café.

Va te faire foutre, Michelle.

Qu'est-ce qu'elle fait ?
-Tout simplement stupide.

C'est une de vos amies ?
-Ma soi-disant meilleure amie.

C'est ce qu'on appelle, oui.

Le temps qu'il faut ici, disons.

C'est un bon livre.

Mon père était surfeur.

Grand-mère dit qu'il
serait devenu très bon.

Probablement.

Lyn Boa. Elle est vraiment très douée.
Je veux aussi être comme elle.

Si vous le voulez, cela se produira. Je pense que
que l'on peut devenir ce que l'on veut.

Allez-vous commander ainsi ?

Vous êtes Ally, n'est-ce pas ?

Vous aimez beaucoup le surf, n'est-ce pas ?

Moi aussi, tu sais.

Lilli est de retour, n'est-ce pas ?

Sa voiture a enfin été réparée.

Vous a-t-elle déjà parlé ?
-Nous avons dîné ensemble hier.

Vous a-t-elle dit autre chose ?

Je veux dire...

Elle t'a dit ?
-Quoi ?

Je veux dire,
vous a-t-elle dit qui elle était ?

Je ne comprends pas ce que vous voulez dire.

C'est ta mère.

Qu'est-ce que c'est ?

Êtes-vous...

Êtes-vous ma mère ?

Le seul homme, votre ami,
dit que vous l'êtes.

Ma mère est morte.

Lors d'un tel enterrement, vous pouvez
prendre des nouvelles de toute la famille.

J'aurais bien besoin d'une tasse de thé
une tasse de thé.

J'ai découvert que Lilli est ma mère.

Qui t'a dit ça ?
-L'amie de Lilli.

Pourquoi avez-vous dit qu'elle était morte ?
Parce que c'était la meilleure chose à faire à ce moment-là.

J'aurais pu la chercher.
-Elle n'a pas voulu.

Tu m'as menti.
-Essaie de voir les choses de mon côté.

C'est ma mère.
-Et quelle mère, disons.

Alors où était-elle pendant toutes ces années ?

Elle n'est jamais venue te chercher.
C'était un accident.

Ne vous faites pas d'illusions.
Elle ne se soucie pas de vous.

Ally, s'il vous plaît.

Avais-tu l'intention
de me le dire ?

Je n'ai pas pu.

M'aimes-tu ?

Je t'aime.

Vous ne me connaissez pas.

Mais tu es donc bien ma mère.

M'avez-vous déjà cherché ?

Pourquoi pas ?

Vous ne vouliez pas ?

Après la mort de John...

Je ne voulais plus rien. Rien.

Et puis je m'y suis habitué.

M'aimais-tu avant cela,
avant qu'il ne meure ?

Je t'ai donné.

Ce n'était pas ma faute.
-Bien sûr que non.

Vous prétendez que c'était simple,
mais ça ne l'était pas.

Quand il était mort,
je voulais mourir aussi.

J'étais tellement en colère.

Et je me suis sentie inutile, parce que je
ne pouvais pas le ramener à la vie.

Je ne pouvais pas te gérer.
J'aurais été mauvais pour toi.

C'est ma faute.
Alors ne vous blâmez pas.

Alors tout d'un coup, tu as juste
cessé de m'aimer ?

Non sans raison. Je me suis empêché
de t'aimer.

Je n'aimais plus personne.

Je ne l'ai pas vraiment choisi.
C'est arrivé comme ça.

Je pensais que je te blesserais
si je t'aimais.

J'ai donc dû te laisser partir.

Il devait y avoir une vraie raison.
-Il y en avait une. Vous ne comprenez pas ?

Je suis désolée.

J'ai dit que j'étais désolé.
Tu veux entendre ça, n'est-ce pas ?

Tu n'as pas besoin d'être nerveuse.
Je dois chanter.

Et toutes les connaissances viennent.

Je n'y vais pas.
-Vraiment.

Je n'ai pas à le faire.
Tu viens écouter ta grand-mère.

Col, peu importe.
-Vous avez des choses à vous faire pardonner.

Vous lui devez tout.

Tu n'as rien à envier à ta mère.
Elle ne vaut rien du tout.

Vous ne la connaissez même pas.
-Tu en sais assez sur elle.

Oui, jusqu'à la prochaine fois.

Quand partez-vous ?
-Le matin.

Tu as vraiment
bien étouffé, n'est-ce pas ?

Vous savez...

J'ai toujours pensé...

Que j'avais mené une vie très aventureuse et courageuse,
courageuse.

Mais ce n'est pas le cas.

J'ai été un lâche.

Il est peut-être temps
que vous le réalisiez maintenant.

Hé, interdit aux enfants.
Se perdre.

Elle n'est pas souvent là, n'est-ce pas ?

Peu importe, ma chère.

J'aurais pu vous le dire.

Alors tu es
coincé avec moi.

Qu'allons-nous manger ?

S'il te plaît, saule pleureur, que veux-tu manger ?

Je le sais déjà.
Pourquoi ne pas prendre des frites ?

Elle ne se soucie pas de moi.
Elle ne s'intéresse qu'à elle-même.

Vous, merci.

Qu'est-ce que tu fais ?
-Je pars. Enfin.

Tu sais qu'on t'a appelée Alice ?
-Vraiment ?

Voulez-vous venir avec moi ?
-Je peux ?

Il faut être sûr.
-Je suis sûr.

Je vais avec ma mère.
-Aujourd'hui, Ally.

Pouvons-nous revenir en arrière ?
-Pourquoi ?

Je veux le dire à grand-mère.

S'il vous plaît.

Elle nous tue.

Je ne vais pas lui dire.
-Je le ferai.

J'irai avec ma mère.

En fait, nous étions déjà partis.

Où allez-vous ?
-Au nord. Quelque part là-bas.

Elle dit que nous verrons
où nous irons.

Vous me le ferez savoir, n'est-ce pas ?

Nous viendrons vous voir.

Et je t'écrirai.
Tu m'écriras aussi, grand-mère ?

Et nous nous appellerons les uns les autres, n'est-ce pas ?

Et nous nous voyons aussi.
-Oui, ma chère.

Je t'aime.

Et je t'aime.

S'il vous plaît, ne soyez pas si morose.

Nous ne pouvons pas rester là à pleurer.
Je vais sécher tes larmes.

Attend-elle dehors ?

Dans ce cas, vous devriez y aller.

Je vous appellerai.

Je dois retourner au travail
avant qu'ils ne me licencient.

Nous allons nous écrire très souvent.
-ls sont bons.

Continuez. Continuez.

Vous avez faim ?

Ensuite, nous mangerons quelque chose.

Avez-vous aussi besoin d'aller aux toilettes ?

Voulez-vous commander ?
-Non, j'attends ma mère.

Je vous donnerai alors le menu à l'avance.