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WALK TALL
(Marcher la tête haute)

Prime de 40,00 $ payée pour le scalp
de tout Coyotero.

Gouverneur du territoire

Il n'y a là-bas que des vieux
Indiens et des femmes.

Ce sont aussi des Indiens, non ?

Mon peuple cherche à se venger.

L'homme blanc
ne sait pas garder la paix.

Il a promis au peuple Shoshone,

que la paix durerait pour toujours.

Vous et moi maintenons la paix
depuis longtemps,

il ne faut pas
laisser nos efforts échouer.

Le gouvernement américain poursuivra

le renégat devant le tribunal
et s'assurera qu'il soit puni.

Les Shoshone qui ont perdu leur scalp

ne peuvent pas rejoindre leurs ancêtres.

Tant que l'homme blanc
qui a pris leur scalp n'est pas mort.

Certains de mes braves sont
déjà sur le sentier de la guerre.

Le jeune Buffalo Horn ?

- Combien en plus ?
- Sept avec Buffalo Horn.

Venez, capitaine Trask.

C'est le chef Black Feather.

Tu es un homme qui marche
la tête haute parmi son peuple.

Le chef Black Feather pense
qu'on est en danger

si la paix cesse avec les Shoshone.

Je le sais à cause du massacre.

- Frank Carter et ses hommes.
- Êtes-vous sûr de ça ?

Aucun doute là dessus.
La description des témoins concorde.

C'était Carter.

Nous le connaissons depuis
qu'il a servi dans l'armée.

J'aurais dû envoyer le
lieutenant en prison,

au lieu de l'expulser du régiment.

Une des femmes
qu'il a tué sur la rivière Sakora,

elle était fiancée
au jeune Buffalo Horn.

Le chef Black Feather m'a dit
que la tribu Shoshone

était prête se révolter.

De nombreux indiens seront tués
par des blancs qui voudront se venger

pour les morts commises, chef.

Je veux la paix pour ma nation.

Je dirai à mes guerriers que Carter
sera puni par la loi de l'homme blanc.

Nous attendrons que le champ de
maïs pousse jusqu'au menton,

alors...

Eh bien, cela nous donne deux semaines.

Ed, si Buffalo Horn
attrape Carter avant nous,

Les Shoshone perdront confiance en
notre capacité à punir notre peuple

pour les crimes commis
contre les Indiens.

Il y a encore dans certains territoires
une récompense pour un scalp indien.

Mais ça apporte quoi à un gars
comme Carter chez les Shoshone.

Je ne sais pas, Ed.

Mais il semble que ça empire

J'ai entendu dire que la plupart
des Coyoteros vont au Mexique.

Je pense que tous les scalps
sont les mêmes pour Carter.

Surtout quand il y a
encore une récompense.

Carter doit être ramené vivant.

Ce n'est qu'ainsi
qu'il pourra être condamné et fusillé.

Nous devons prouver aux
Indiens que notre justice...

est aussi efficace que le leur.

D'accord, mais comment l'atteindre ?

Nous avons été informés
que Carter et ses hommes

ont rendez-vous dans une ville
minière abandonnée de Black Hill.

Là, ils récolteront la prime
pour des scalps amérindiens.

Black Hill ?
On ne peut pas y aller, Colonel

C'est en hors de notre territoire.

Je le sais.

Mais un homme peut le faire.

Carter, c'est Trask.

Je vais te ramener.

L'armée veut te poser
quelques questions.

On est hors de votre
territoire, Capitaine ?

Ni vous ni l'armée
n'avez d'autorité ici.

Je fais comme toi
sur la rivière Sakora.

Je ne sais pas
de quoi vous parlez, capitaine.

Je n'ai jamais été à la rivière Sakora.

Tu as laissé de nombreux témoins,
Carter.

Selon Shoshone.

La parole des Indiens
vaut plus que la mienne ?

Oui je crois,

quand le chef Black Feather le dit.

Je ne sais toujours
pas de quoi vous parlez.

Joues-tu toujours au soldat ?

Tu n'as jamais été un bon officier,
Carter.

Je me suis amélioré, capitaine.

Vous seriez surpris de ce que
j'ai appris pour tuer des indiens

Tu auras peut-être une chance
de le prouver au retour.

Si nous rencontrons Buffalo Horn.
Tiens, mets-le.

Qu'est-ce que Buffalo Horn
a à voir avec ?

Il s'avère que tu as tué sa fiancée.

Maintenant, lui et ses
hommes sont après toi.

Si ont les évitent,

Le colonel Stanton
te jugera pour meurtre.

Depuis quand tuer des indiens
est considéré comme un meurtre ?

Depuis que le gouvernement a signé un
traité de paix avec eux il y a 10 mois.

Attends, Carter.

Qu'espérez-vous trouver, des scalps ?

- L'argent comme récompense.
- Pourquoi ?

- Comme preuve ?
- Nous avons les preuves nécessaires.

D'accord, Carter.
Où est l'argent ?

Allons-y.

Tes gars vont revenir
pour la prime au scalp ?

- Si vous le dites, Cpt.
- Quand ?

Peut-être dans 2 jours.

Je pense ce soir,
ou peut-être demain.

Si c'est vrai, tu es en danger.

Je ne le suis pas
parce que nous partons.

Tout de suite.

- Ce soir ? De cet endroit ?
- C'est vrai.

Si on rencontre Buffalo Horn et
ses guerriers, il faut des armes.

On a ce qu'il faut.

J'ai laissé mon six coups.

Oublie-le.

Carter était là.

Je me demande où il est allé.

Regardez, il est parti sans revolver.

Peut-être qu'ils voulaient
lui voler l'argent.

C'est peu probable, ils
ne les lui prendraient pas.

- Et des peaux rouges ?
- Pas des indiens.

- Pourquoi dis-tu ça, Leach ?
- Les balles sont militaires.

L'armée l'a attrapé ?

L'homme semble
avoir emmené Carter.

Pourquoi l'armée a besoin de lui ?

Je ne sais pas,

je suis juste intéressé
par notre argent.

- D'accord ?
- Tu as raison.

Allons-y !

Capitaine, nous sommes
partis depuis hier soir.

Si vous n'avez aucun
respect pour votre prisonnier,

ayez-en pour les chevaux.

Tu es un homme célèbre
pour avoir torturé son cheval,

serais-tu devenu Samaritain.

Très bien, Carter, descendons.

Nous marcherons.

À pied ?

- Quand allons-nous nous reposer ?
- Allez !

Attends, Carter.

Nous camperons ici.

Pas de feu.

- Nous mangerons...
- Pas de feu !

Si penses révéler
notre position, tu oublies.

Le feu pourrait aussi
attirer le Buffalo Horn.

Vous pensez que mes hommes
nous regardent ?

Je pense qu'ils
tiennent beaucoup à toi.

Bien sûr, ils pensent
que tu as l'argent des scalps.

Mais je n'ai pas d'argent, capitaine.

Tu sais, je pense
que tu l'as caché quelque part.

Probablement dans la citée minière.

Et toi seul sais où ça se trouvent.

Eh bien, si vous pensez que mes
gars nous cherches.

Vous savez, capitaine.

Je ne pense pas
que vous ayez dormi depuis 24 h.

Tactiquement,
cela me donne un bon avantage.

Bonne nuit, capitaine.

Bon...

Comment vous sentez-vous maintenant,
tactiquement ?

Tu sais, pour un homme
qui a tant en tête, tu as bien dormi.

Hier soir j'ai eu peur,

mais je n'ai rien à craindre ce matin.

Je ne veux pas te faire peur, Carter,

mais ce pourrait être
Buffalo Horn et ses guerriers.

Prends tes affaires et allons-y.

Pas de petit déjeuner, Capitaine ?

- Est-ce qu'on se rapproche, Leach ?
- Pas comme nous le ferions.

Je ne comprends pas,
on dirait qu'ils marchent.

On devrait peut-être
ménager les chevaux ?

On n'a pas le choix.

Faut les rattraper
avant qu'ils rejoignent l'armée.

Combien de temps qu'on a ?

Environ huit heures.
Je pense qu'ils ont un cheval de bât.

Cela les ralentit un peu.
Vous voyez les traces ?

Cheval de bât.

Allons-y.

Qui que ce soit,
ils sont encore à 32 km.

Bougeons

Attends !

Qu'est-ce qui se passe ?

A-t'on besoin d'une raison
pour ne pas scalper les Indiens ?

C'est l'œuvre du jeune Buffalo Horn.

Ça ne serait pas arrivé si
t'avais pas tué sa fiancée.

S'il n'y avait pas sa fiancée,
il aurait une autre raison.

Vous ne me convaincrez pas
que ces sauvages respectent

le traité de paix.

Il n'y aura de paix que lorsque
tous les Indiens seront morts.

Et des colons innocents avec eux ?

En tant qu'officier,
vous devriez savoir,

qu'il y a des victimes
dans chaque guerre.

Cette guerre particulière
est ta fin, Carter.

Enterrons-le.

Au fait, avez-vous quelque
chose à dire sur sa tombe ?

Creuser.

Je suis votre prisonnier.

Selon le règlement militaire,
je n'ai pas à creuser de tombes.

Commencez à creuser,
vous avez besoin de mouvement.

Allez, debout.

Grand-père.

Grand-père !

Il m'a dit que les Indiens
maintenaient la paix.

Ils l'ont fait, il y a deux semaines.

Nous étions en route pour l'Arizona,
nous voulions chercher de l'or

Mon grand-père en
rêvait depuis des années.

Il a qualifié ça de grande aventure.

Mais les Indiens...

Ces tueurs... Ces sauvages.

Je suis d'accord avec vous, Mlle.
Il n'y a pas de bon Indien.

Partons d'ici.

J'ai consacré ma vie à tuer
les Indiens que je rencontre.

Ferme-la, Carter.

Allez, Mlle.

Nous perdrons notre argent
si on ne le rattrape pas rapidement.

Ils ont une journée d'avance sur nous.

Plus maintenant.

Ils ont perdu du temps
a enterré le corps.

Regarde là,

la trace du cheval de bât.

On sait qu'ils ont un cheval de bât.

Regarde, les traces sont profondes.

Si.

Quelqu'un est assis dessus maintenant.

Ça les retardera.

Jack, tu as trouvé quelque chose ?

Non.

Les Indiens n'y ont laissé
que des vêtements.

J'aimerais rencontrer
la femme qui l'a porté.

Tu auras peut-être une chance.

Je n'ouvrirai pas la tombe
juste pour voir qui est dedans.

Penses-tu que sait l'autre cavalier ?

- Peut-être.
- C'est doux.

Ça sent vraiment bon.

Débarrasse- t'en, Jack.
Allez, partons d'ici.

Capitaine,

Mlle Medford
n'est pas l'un de vos soldats.

Elle a chevauchée assez longtemps
pour une journée.

Comment vous sentez-vous, Sally ?

Je suis fatigué,

mais je peux continuer si on le doit.

Il n'y a pas assez
d'arbres pour nous cacher.

Vous savez, capitaine,
vous me surprenez.

Un cavalier expérimenté comme vous

qui a tant combattu les Shoshones,

devrait savoir
qu'ils attaquent à découvert.

Je ne pense pas aux Shoshones.

Que voulez-vous dire ?

Les hommes de mon prisonnier
sont après nous.

Mademoiselle,

croyez-moi,
vous n'avez pas à avoir peur d'eux.

Qui vous a dit de descendre ?

Je suis désolé, capitaine.

J'ai oublié,
que vous devez agir comme un soldat.

Je sais que j'irai bien
après une tasse de café

Désolé, mais on
ne peut pas allumer un feu.

Ne pouvez-vous être un gentleman
et donner du café à une dame ?

Je pense que l'eau froide suffira.

Mon cheval ne peut pas continuer.

Bon, reposons-nous pendant deux heures.

J'ai peur que ma nourriture
ne soit pas très bonne, Sally.

Je n'ai pas faim.

Il faut manger.

Essayez de manger la viande séchée.

- Allez !
- Merci.

Le prisonnier sera reconnaissant
de ce que le capitaine lui lancera.

Merci.

D'où venez-vous, Sally ?

- De Hagersville, Pennsylvanie.
- C'est une ville magnifique.

J'y étais une fois
pendant la guerre.

Notre ferme était sur
la route de Gettysburg.

Le capitaine a combattu à Gettysburg.

Il était seul
face à une brigade confédérée.

N'est-ce pas

Eh bien, nous essaierons
de vous ramener à la maison.

Je n'ai personne vers qui revenir,

mon grand-père
était le dernier de la famille.

Pourquoi est-il votre prisonnier ?

L'armée veut le juger pour meurtre.

Pouvez-vous imaginer ça?

Ils appellent le meurtre
d'Indiens un meurtre.

Que vont-ils vous faire ?

Il sera mit
devant le peloton d'exécution.

Pour avoir tué des Indiens ?
Ils devraient lui donner une médaille.

- Je suis d'accord avec vous.
- Ferme-la, Carter.

Le détenu a le
droit de se défendre.

Ce n'est pas un tribunal militaire,
Carter.

Vous le commenterez
face à la justice militaire.

Justice ?

Comme celle
qui m'a expulsé de l'armée ?

Pensez-vous qu'il était injuste
de vendre du whisky aux Indiens ?

Les témoins étaient des indiens puants,
c'est tout ce qu'ils avaient.

Et ils ont menti.

Si vous le pouviez, Carter,

vous prendriez tout aux Indiens.

Non, pas tout, capitaine.

Juste leurs cuirs chevelus.

- Assieds-toi et tais-toi.
- Tant que je serai libre,

Je continuerai à tuer les Indiens
qui ont assassiné son grand-père.

Vous !

Capitaine ?

Vous vous comportez de
plus en plus comme un Indien.

Bonne nuit, Sally.

Capitaine ?

- Il a mordu la jambe droite.
- J'ai du whisky dans ma sacoche.

Amenez-la.

- Puis-je boire un coup ?
- Ça ne guérira pas la morsure.

Je sais, mais ça aiderait mes nerfs.

Il n'est pas un animal.

Vous pouvez desserrer ses menottes.

Eh bien, nous devons avancer.

Allons-y.

Je ne peux aller
à cheval avec cette jambe ?

Celui qui est mordu par un serpent
ne doit pas bouger

Nous aurions dû partir à l'aube.

- Mais il risque sa vie.
- Il le faut.

Si ses hommes nous rattrapent,
je ne peux garantir votre survie.

Ils ne seront pas
plus inhumains que vous.

En fait, mademoiselle,
ce sont de vrais gentlemen.

- Un problème ?
- Je ne sais pas.

J'ai un peu le vertige.

Vous voyez bien,
le poison agit déjà sur lui.

Il survivra.
Aidez-moi à pliez l'équipement.

Je ne partirai pas tant que
son état ne s'améliorera pas.

Faites-le, menottez-moi.

Attachez-moi à un arbre.

Je ne crois pas que ce soit nécessaire.

Ils ne peuvent pas être
a plus de 2 h devant nous.

Quelqu'un n'aime
pas les crotales.

Venez ici.

Vous voyez cet indice ?

Qu'est-ce que c'est ?

Je pense que c'était la
femme qui sentait si bon.

Ne perdons pas de temps ici.

Allez.

Vous n'avez pas à le faire.

Je ferai tout ce qu'il faut.

Allons-y, Carter.

Je n'ai jamais vu un tel
désintérêt pour la vie d'autrui.

Je n'ai pas le temps de justifier
mes actes, Mlle Medford.

Pouvez-vous m'aider, s'il vous plaît ?

Allez, Carter.

Allez, Carter.

Il a des crampes.

Vous savez ce qui se passe,
le poison est dans son sang.

Je sais, il faut faire quelque chose.

Je vais faire du feu.

Vous avez peur
qu'on se révèle à ses hommes ?

Capitaine Trask, si
cet homme meurt.

Je vous dénoncerai pour
mauvais traitement.

Fais-le, Medford.

En attendant prenez des couvertures
et enveloppez-le dedans.

Capitaine !

Je pense qu'il est en train de mourir.

Les couvertures, vite.

Ne restez pas là comme une idiote !
Trouvez les clés !

Vous le tuerez.

C'est ce que je ferai si
vous n'ouvrez pas mes menottes.

Ce serpent ne vous a pas mordu.

Il m'a mordu,
mais ça ne m'a pas beaucoup affecté.

J'ai été mordu une fois.

Dans l'armée,
nous appelons cela la divergence.

Ai-je raison, Cpt ?

Nous sommes arrivés à temps.

Vous auriez dû arriver plus tôt.

- Où est la femme parfumée ?
- Oublie-la.

Où est notre argent ?

L'argent est dans la ville.

As-tu entendu ça ?

Doit-on retournez en arrière ?

C'est plus de 4 000 $.

Plus de 1 000 $ chacun.

Qu'est-ce qu'on attend ?
Allez les gars.

Où sont vos chevaux ?

En haut, sur la colline.

Allons-y.

Allons-nous le laisser là ?

C'est un bon endroit pour lui.

Il n'y sera pas là longtemps.

Mais oui, ça ira.

Je m'occupe de lui, chef.
Ok.

Jack, donne-moi le fusil.

Et c'est fait.

Où est la femme ?

Je pense qu'elle est en route pour
le quartier général de la cavalerie.

Avec le cheval de bât.

Mince.

Je mourais d'envie de la rencontrer.

Suivez-la, on a besoin de provisions.

Je vais avec toi, elle pourrait
ressembler à une tigresse sauvage.

- C'est ce que j'aime.
- Allez.

Je vais en ville avec Leach.

Est-elle belle ?

Oui c'est le cas.

Ça changera quand ils en auront fini.

Allez.

C'est inutile, chérie.

Ce n'est pas ainsi
qu'on traite un cheval de cavalerie.

Ne me touchez pas.
N'osez pas me toucher.

Allons, madame.
Nous ne vous toucherons pas.

Seulement si on a votre permission.

Je vous ai vu tuer
le Capitaine Trask de sang-froid.

Allons, madame,
c'est une victime de guerre.

Nous l'avons tué,
sinon il nous aurait tués.

Qu'allons-nous faire d'elle ?

Eh bien...

nous devons y penser.

Jack, lançons une pièce.

Non, il plaisantait, madame.

- C'est vrai, Carlos ?
- Oui.

Je ne voulais pas dire ça señorita.

Eh bien, M. Carter ne tolérerait pas
quelque chose comme ça.

Le tolérerais-tu, Carlos ?

Je ne dois pas tolérer, quoi ?

Pourquoi ne pas monter à cheval

et venir avec nous ?

Où allez-vous ?

Nous retournerons en
ville pour notre argent.

J'aimerais aller au quartier
général de la cavalerie.

Une femme ne devrait pas voyager seule
dans ce territoire ennemi, Mme.

Eh bien, après avoir reçu notre argent,

nous pouvons vous accompagner
auprès du colonel Stanton.

N'est-ce pas, Carlos ?

Où est le cheval de bât ?

Le cheval de bât ?

- Oui, un cheval de bât.
- Il n'était pas avec elle, chef.

On n'a vu de cheval de bât nulle part.

Ils voulaient la femme
plus que le cheval.

Bien sûr.

À partir de maintenant,
éloignez-vous d'elle.

- On peut retourner le chercher.
- Oublie !

Je veux prendre l'argent
et me cacher un moment.

Pourquoi devons-nous nous
cacher dans cette ville, chef ?

Parce que Buffalo Horn a plus d'hommes.

Qu'allons-nous faire d'elle ?

Nous l'emmenons avec nous.

Elle peut nous aider.

Je suis d'accord.

N'est-ce pas, Carlos ?

Peut-être cuisiner, non ?

Doucement, mon gars.

Doucement, mon gars.

Le shérif m'a vu forcer
l'entrée du magasin

et je lui ai dit :

"Shérif, je cherchais juste
de nouvelles chaussures."

Et il a dit : "Jack, si tu
ne fais pas attention,

tu finiras au cimetière. ""

Et je lui ai répondu,

"Shérif, je suis déjà allé au cimetière"

"et je n'ai pas trouvé
de chaussures à ma taille."

Où vas-tu ?

Chercher de l'eau.

- Je vais l'aider.
- Non, Carlos ira.

- Bien sûr, je vais l'aider.
- Carlos !

Juste de l'eau.

Ça va, Sally ?

Je dois te cacher
jusqu'à ce que j'aie Carter.

- On ne peut pas partir d'ici ?
-Je dois le ramener vivant, Sally.

C'en ça,
il y aura une guerre avec les Indiens.

Que puis-je faire ?

Je vais te cacher.
Allons-y.

Sally, si quelque chose ne va pas,
le cheval de bât est à l'arrière.

Merci, capitaine.

- Avez-vous déjà été ici ?
- Non.

Restez caché.

Fermez la porte.

Leach, tu ferais mieux
d'aller chercher cette eau.

Carlos l'amènera tôt ou tard.

Vas-y.

Quels idiots !

Poursuis-le.

Vas-y !

Trouillard !

Vous feriez mieux de sonner le
clairon pour cette vieille 33è, Cpt.

Tout ce que je jouerai, c'est
une marche funèbre quand tu seras mort.

Vous devrez d'abord me ramener.

Comptez-vous me ramener vivant ?

Carter,

si vous n'aviez pas tué ces Indiens,

vous n'auriez à vous soucier de rien.

Oh non, capitaine, pas avec moi.

Vous savez
que je vais perdre de toute façon.

Je sais aussi que me tuer
rendra Buffalo Horn furieux.

Vous connaissez les Shoshone,
ils aiment gérer leur vengeance.

J'aurais pu vous tuer sur cette colline.

Pourquoi ne me donnez-vous pas
la même chance ?

Attention, capitaine.

Lâchez votre arme.

En termes de tactique,
cela fait de moi un gagnant.

Tu sais, Carter,

tu aurais pu être un bon officier.

Oh, je pense,

que je suis un bon officier.

Retournes-toi.

En tant qu'officier supérieur,
vous devez donner des ordres.

Quel est le problème ?

Avez-vous oublié
la procédure militaire ?

Je vais vous rafraîchir la mémoire.

Préparer...

En joue...

Je dirai à Black
Feather que Shoshones

avec un homme qui marche fièrement,

ils ont rendu justice.

Ensemble.

Adaptation J.Y. 13/05/