All language subtitles for Le.Sang.de.la.Vigne.2011.S07E02.Le.Vin.Nouveau.n#Arrivera.Pas.fr

Non, Daisy, c 'est fini.

Game over.

Tu peux pas réfléchir un peu.

C 'est tout réfléchi.

Je décide quelque chose, je change rarement d 'avis.

T 'es vraiment dure.

Tu peux pas faire ça, c 'est trop bien juste.

Ça m 'est complètement égal.

Charles, il faut qu 'on se voit.

Charles, tu m 'entends?

Charles?

Allô Charles?

Mais qu 'est -ce qui se passe?

Charles!

C 'est glade bien, là.

Même d 'eau, ça se voit qu 'il est content.

Bah, pas moi, tu vois.

J 'ai pas envie que mon futur acheteur se tue.

C 'est une belle idée d 'aller voir les parcelles à vélo.

Ouais, ça le maintient en forme.

Et la petite reine, c 'est sa marotte, alors.

Toi, t 'es obligé d 'accepter toutes ses marotes?

Je suis le patron, hein.

Il y a un client pour un fauteuil Louis XVI.

Là, je vais être en retard, à la boutique.

Allez, mon petit tabri, courant.

Lâche pas l 'effort.

Ça monte.

Ça monte?

Allez, allez, allez, allez!

Putain, c 'est déçant.

Putain, putain, putain, putain!

Attention!

Rater.

De peu, mais rater quand même.

Serge Pétard.

Je suppose.

Benjamin Lebel.

Ça va, patron?

Bah oui, quelle question, ça.

Ça, ça, ça...

Ca se voit.

Ça va?

Oui, ça va, ça va, ça va!

Vous avez pris de gros risque pour revendre votre rendez -vous?

Je suis surtout cru avoir un mirage, vu que vous avez une semaine de retard.

Bah pour le temps, t 'as m 'as dit de vous avertir de mon arrivée, non?

J 'ai croyé qu 'à moitié...

J 'ai eu tort.

Bah bon, voilà.

Frère est disposé à répondre à vos questions.

Sauf que là, je suis crevé.

Je me sens pas discuter vignoble à maintenant.

Bah je comprends.

C 'est les brossions.

Bah plus tard, quand voulez -vous qu 'on se voit?

Euh...

Enfin, l 'après -midi, à ma cantine, j 'organise une dégustation.

Matilde, connais l 'endroit.

Ça va?

Ça va, ça va, ça va, ça va!

Je te montre.

Ça va!

J 'étais trouvé admirable de maîtrise et de professe.

Mais moi aussi.

Alors, t 'as vu?

T 'as vu la réponse infantile?

J 'attends lui dont je vous fais attendre.

J 'aurais pu m 'épargner le détour.

Pétard est plus intéressant qu 'il me paraît.

Oui, mais en tout cas, il est mal informé.

Il n 'a aucune raison de m 'attendre.

Depuis une semaine que t 'expertis Saving,

t 'as pas encore compris que t 'étais le seul pilote de son projet d 'achat?

Normalement si, mais...

Eh bah alors...

Pour mettre les points sur lui, hein?

D 'ailleurs, t 'as remporté le contrat, ça, c 'est très bien, c 'est parfait.

Bon, maintenant, faut assumer.

J 'ai bien failli prendre un gadein, moi.

J 'étais pas trop ridicule.

Alors, pas du tout.

Non, non, vous avez drôlement bien maîtrisé, hein.

Ouais.

Fais -le vers un con, quoi.

Et devant le bel, en plus.

C 'est pas gagné avec lui.

J 'ai bien vu qu 'il me prenait de haut.

C 'est pas bon pour la vente de votre château et des vings, ça.

Non, qui rigue?

Quoi?

Vous croyez que le bel peut donner un avis négatif?

Sans ça, moi, j 'espère que non.

Ça ferait trop plaisir à la femme.

T 'es gonflée de me reprocher d 'avoir pris cette affaire.

Je l 'ai fait parce que M.

Benjamin Lebel ne pouvait être dérangé sous aucun prétexte pendant son stage.

Mon stage?

Comme si c 'était mon genre.

C 'était une retraite basée sur les privations sensorielles.

Oh, ça n 'a rien à voir.

C 'est bouleversant.

Ah oui?

Ah oui.

Et on n 'a plus de repères.

Des sens se modifient.

Certains, ça menuise d 'autres sanctifiques.

C 'est bouleversant.

Ah ben, dans ce cas, t 'aurais dû sentir que j 'ai sauvé le coup?

Ben...

J 'ai senti.

Les jeunes ne t 'en fais aucun reproche.

En tant qu 'associé, tu peux parfaitement prendre ce genre d 'initiative.

Enfin, t 'aurais pu aussi attendre mon retour.

Mais non, justement, je ne pouvais pas.

Pour cercher pétard, le boulot devait se faire tout de suite ou jamais.

Oui, ils sachent que quand un client aussi fortuné avant ce genre d 'argument,

il faut toujours choisir jamais.

Sous -titres réalisés par la communauté d 'Amara .org La raison qui vous y

pousse j 'aime pas le bonhomme c 'est tout ça pourra pas coller avec moi Vous

devriez réfléchir morceaux pétard souhaite vous garder On n 'a fait pas ça te

mal au coeur mais je reviendrai pas c 'est à moi caric beau jour et du monde

mais je comprends pas Si vous enlèvez le fermage vous êtes prioritaires c 'est

la loi sauf caric beau jour refuse de vendre le château et l 'ivine séparément

Pour rien faire c 'est ce matubu qui connaît rien ne vingt qui va tout ramasser

Bonsoir Je vous montre que les mafames godlivre pas de panique après non jetis

et on l 'appelle olive Faites vos plaisirs c 'est moi qui régale Je crois que

vous avez déjà fait connaissance ça ne m 'étonne pas ça me souviens non de même

pas trop Comme vous je me trompe là vous allez être déçu mais on n 'a pas du

tout parlé du bout Oui Mon mari n 'a pas l 'habitude de croire le plus bec.

Je suis heureuse que vous soyez là.

D 'ailleurs, j 'aimerais avoir votre avis sur le projet viticole de mon mari.

Parlons -en tranquillement, je vous invite à dîner ce soir.

C 'est très émable, amour.

Mais il voudrait mieux vous adresser à Mathilde,

c 'est elle qui est en charge du dossier.

Je veux être claire.

La maison Lebel a été chargée de l 'estimation à ma seule demande.

Il y a la condition expresse que ce soit vous qui vous en chargez,

pas la maison Mathilde.

Mais je n 'étais pas libre.

Je ne suis toujours pas d 'ailleurs.

Enfin,

si des conditions que vous agrez pas pouvaient parfaitement dénoncer le contrat.

Je te l 'enlève une seconde.

Parlons à faire.

Mon opération de séduction d 'égustation auprès de Marceau n 'a pas l 'air de

marcher.

Pourtant, avec une pointeur comme vous, il aurait dû se sentir flatté.

Bah, je vois que vous perdez pas de temps.

A peine arrivé, je suis mis à la contribution.

Vous comprenez vite.

Tant mieux.

J 'aime autant parler de cache, si ça vous dérange pas.

Ah, mais ça, j 'arrive à le contrôler de cache.

Conditions que ce soit pas de la fausse mollet.

J 'ai besoin d 'un conseil sur un autre dossier.

La maison Grilly, vous connaissez?

Euh, non, c 'est une maison de des gosses, ça, non?

Je viens de la racheter.

J 'ai soufflé l 'affaire à la barbe de l 'Ujani.

Encore quelqu 'un qui doit pas trop vous aimer, par conséquent.

Vous devez le connaître lui aussi.

Je le sens mauvais, perdant.

Il va me chercher les poudres dans la tête.

Vous auriez des tuyaux?

Histoire que j 'ai eu une longueur d 'avance pour le contrée?

Je ne sais rien de ce du Jari, et quand bien même,

j 'enquête jamais sur la concurrence.

Je ferais la même chose si on me demandait des...

des tuyaux sur vous.

Vous me faites marcher.

Vous êtes sûrs que c 'était des sangliers?

En cette saison, les raisins sont à peine mûres.

S 'il vous dit, on pas l 'air d 'être au courant, hein.

Il y a deux jours, chez mon copain Fabien, le fils du Jari.

Ils ont fait un paquet de dégâts.

C 'est vignetouche.

Ils ont bouloté presque toutes les grappes sur une longueur de 100 mètres.

Et on organise une opération commandeau pour s 'en débarrasser.

Bah vous allez pas les tuer tout de même.

En fait, ce soir avec Fabien,

on a décidé d 'organiser un Jordan Buscat pour effrayer les bestioles.

Ça vous dira de venir?

J 'y parlais de vous, n 'aimerais bien vous connaître.

D 'accord, avec plaisir.

Mais vous êtes sûrs que ce ne sera pas un massacre, hein?

Parce que personnellement, je déteste la chasse.

Ouais, on n 'est pas dingue, la chasse est fermée.

On se contentera de tirer en l 'air.

Vous ne connaissez personne en fin de compte.

Dire que vous passez pour un craque du pinard.

Pour les infos sur du jari, je me passerai de vous.

J 'ai une carte dans ma manche.

Ah oui?

Laurent Gillo.

Le type comme ça.

C 'est un ex responsable de la maison du jari.

Ah...

Vous avez un indique de première ordre.

Je l 'ai débauché.

Et il acceptait tout de suite.

Vous savez pourquoi?

Autre charme.

Dessevez le bel.

On se connait maintenant.

Allez -y.

Bah Gillo a compris que vous n 'avez que de fact notions du métier de

négociant.

Il y avait une place de choix à prendre à vos côtés.

L 'homme providentiel.

Exact.

Et qui a fait le bon choix.

Pour récompenser, j 'ai nomné directeur de l 'ex -maison Grilly.

Je sais être connaissant.

Mais j 'en ai jamais douté.

Je suis pas un faisant.

J 'ai le don.

J 'ai toujours su vendre.

Et le vin, c 'est comme le reste.

Ce qui compte, c 'est de satisfaire le client.

Attends, t 'as ta vie, c 'est bien gentil,

mais il faut quand même savoir manier un fusil histoire de pas tirer n 'importe

où quand même.

Je m 'y connais peut -être mieux que vous.

J 'ai fait des compétitions de baltrape.

Bon bah alors venez, faites un effort.

Si ça continue, Fabien va encore promer toute sa récolte.

Il est vraiment besoin qu 'on défendre sa vie.

J 'en suis.

Mais pour le spectacle seulement,

j 'ai juré de ne plus jamais toucher une arme de ma vie.

Et si vous vous demandez pourquoi, bah je vous répondrai pas.

À dos, j 'ai passé toutes mes racons dans la région.

Le vélo avec ses copains, les premiers fleurs.

Souvenir, souvenir.

C 'est pas celle pour moi, c 'est du sentiment.

Tu permets que je te tutoie, mon autre collègue?

Me faites donc.

Enfin je préfère quand vous parlez cash, convoquer les souvenirs d 'enfants,

ça c 'est une perte de temps pour l 'homme comme vous, non?

Ok, je t 'explique.

Je compte acheter un château.

Ou un machin de cet akabie.

J 'en ai besoin.

Mais pour faire briller votre maison de négoce, j 'avais compris,

mais qu 'est -ce que vous attendez de moi?

Une l 'estimation du château.

Ça rassurait ma femme.

Ça a décidé mon jeu de malchance.

L 'immobilier viticole, c 'est pas ma spécialité.

Et ma titre est beaucoup plus compétente dans ce domaine.

Mais c 'est toi que je veux.

Pour Olive, t 'es un pape dans ton domaine.

Ah, c 'est très flatteur.

Mais enfin pourquoi est -ce qu 'il faudrait la rassurer?

Elle aime pas ma reconversion dans le vin.

Et c 'est inquiète, depuis que j 'ai vendu ma chaîne de magasins de bricolage.

Et vous l 'avez trouvé, ce machin de château?

La marçon de Tariani, bien sûr que je l 'ai trouvé.

Il appartient à Eric Beaujeu, le propriot du vignable.

Alors, demain, tu jettes un coup d 'œil à la bâtisse.

Tu dis bravo, ma femme est contente.

Et après, tu peux te barrer.

Arrêtez -moi si je m 'ai tombé.

J 'ai l 'impression que c 'était un ordre.

Il est tarif que ta boîte pratique.

Tu peux quand même faire un effort, non?

Ah non, mais j 'avais pas compris que vous me demandiez de fermer.

Un geste commercial.

Ah ben ça change tout, oui.

On peut absolument l 'envisager.

Demain 10h, au château Volovent.

Et pourquoi Pétard a besoin de faire estimer le château?

Pas pour convaincre sa femme du bien fondé de son acquisition.

L 'impression qu 'il fait rien sans son accord, elle a l 'air plutôt réticente,

madame.

Vous superstitieuse?

Il y a 4 mois,

le propriétaire Charles Dex est mort en tombant dans le cuit du château.

Et c 'est Eric Beaujeu qui a érité.

Comment un accident pareil a pu se produire de nos jours?

Il était pas sécurisé, c 'est -à -dire?

Si, mais la grille de protection était remouvée par la rouille.

Elle a lâché quand il est tombé.

En plus, il paraît que, dès que ça va être au but.

Bon, écoute.

Tu vas t 'occuper de l 'estimation du château, tu rajouteras ça sur la facture.

Un mois de ma matin, je pars à la première heure pour Bordeaux.

Voilà, j 'ai besoin de mettre de l 'ordre dans mes sensations,

parce qu 'après cette retraite, un peu confus, dis -tu, à ce que je veux dire.

Bon, allez t 'en prends soin, hein.

Je sais qu 'ils appartenaient à un pauvre Charles.

Bon, mais ça va.

Je ne veux pas les veuves et pleurs avec moi, s 'il te plaît, hein.

Le château de ce pauvre Charles, son vignoble, sa bagnole,

sa boutique d 'antiquité.

Ça compte un peu, ça, non?

Oui, ben.

Tu fais gaffe quand même, hein.

Ce sont des pièces de collection.

T 'inquiètes pas.

On va aller bichonner tes antiquités.

Tu t 'investis trop.

La châte Saving se justifie pas dans une perspective de prestige.

Le prestige, on s 'en fout, la qualité, avant tout.

Tu n 'as jamais cessé de me le répéter.

Marceau, c 'est du travail pur et dur,

et son beau -jolais se boit avec plaisir.

Je te parle pas des vignes, je te parle du château, qui reviendra même,

d 'ailleurs.

Si Pétard veut briller,

c 'est mieux de se tourner vers quelque chose de plus connu du côté des grands

crus, qui sont dans le nord, il y a des châteaux par là, où c 'est du jardin,

là.

Oui, mais Pétard a besoin que Saving soit à proximité de Lyon,

d 'où le choix du coin.

C 'est sentimental.

Oui, j 'avais pas chaud au courant, oui.

Je l 'aime bien, Pétard.

Oui, j 'aime bien Pétard.

T 'as surtout envie que la première affaire réussisse.

Je m 'en cache pas.

Oui, oui, j 'ai envie que ça marche.

Je connais mes vieux réflexes.

Je retourne en s 'anticiper des désagréments qui pourraient survenir.

C 'est un vieux tic, tu sais bien.

Mais t 'as raison, voilà, t 'as raison.

Oh, mais que me vaut cette petite minute d 'attendrice, moi?

C 'est gentil d 'inquiéter autant pour moi, mais il faut pas.

Je suis à Guérie, maintenant.

Je maîtrise la situation.

Je sais bien.

Pourquoi ce que tu crois?

C 'est demander de devenir mon associé.

T 'as des nouvelles de ton paix, au fait?

Pas depuis six mois.

Mais j 'en ai besoin, jetez -toi.

L 'acte est sur la voiture, hein.

M.Lebel, on m 'a remis ça pour vous.

Ah, merci, merci.

Bon, je dois passer au bar, mais on dîne ensemble après.

Je pourrais rien avaler.

Je me suis en piffrée de charcuterie pendant la dégustation.

Et puis, j 'ai déjà un truc de prévu.

On se retrouve au petit déjeuner.

7h, j 'ai de la route à faire.

Ça marche.

Merci.

Je vous commande le même?

Non, merci.

Je suis en piffrée de charcuterie.

En abstinence gustative, mais je sens d 'ici ce beau gelet.

Robes profondes, isolatéroses, moulaves.

J 'ai bien passé mon examen, madame Pétard.

Appelez -moi Oli,

c 'est le personnel de l 'abricole qui m 'a surnommée comme ça.

Oli va, la femme de Popeye.

Mais ça me boit en pas de justice, mais enfin c 'est amusant.

Vous me confirmez que vous serez bien là pour la visite du château demain

matin.

On m 'arrive l 'assurer, mais je ne l 'ai pas cru.

Bah vous avez eu bien raison, je dois me rendre à Bordeaux demain.

Vous lui avez menti.

Tout à fait.

Bah vous rassurez -vous, ma type de elle sera bien présente.

Bon chère, on va finir par se faire remarquer.

Donnez -moi au moins une chance de vous faire changer d 'avis,

c 'est important.

Je vous promets d 'être brève.

Et après, vous pourrez retrouver votre petite amie.

Mais alors que les choses soient bien claires,

Mathilde n 'est pas ma petite amie, c 'est mon associé.

Et j 'ajoute que depuis des années je la considère comme ma fille,

figurez -vous.

Excusez -moi, j 'avais cru.

Puis ne montez pas sur vos grands chevaux, c 'est plutôt flatteur après tout.

S 'il vous plaît, j 'ai un mauvais pressentiment.

Bah je vous écoute.

Tu peux pas rester tranquille deux minutes?

Tu n 'es pas attendante.

Mon mari a commencé à travailler à l 'âge de ses ans comme manutentionnaire

pour finir à la tête d 'une chaîne de magasins de bricolage.

Moi j 'étais comptable, je l 'ai toujours aidé dans ses affaires.

C 'est une femme de l 'ombre.

Oui mais ça m 'étonne pas.

Derrière toute réussite, il y a souvent une femme.

Vous vous êtes sacrifiés?

Non, j 'aime les chiffres.

Bon allez revenons mon mari, c 'est un type bien vous savez.

Et il sait qu 'il peut compter sur vous.

Mais sa nouvelle reconversion ne vous plaît pas,

j 'ai même l 'impression qu 'elle vous inquiète.

Il fait trop confiance à son directeur, Laurent Gillo.

C 'est lui qui le pousse à acheter du vignoble et ce château.

Vous en pensez quoi?

Alors pour le château, je ne sais pas, mais pour les vignes, je suis désolé,

c 'est l 'affaire de...

de mon associé, en qui j 'ai toute confiance.

D 'accord.

J 'ai compris.

Pardon?

Tu comprends mieux pourquoi vous refusez de m 'aider.

Vous êtes tous de mèche!

Mais non, mais non, vous appréciez mal la situation.

Votre associé est en train de comploter avec Gilo,

pour pousser mon mari à acheter, et je t 'apprête mal.

Mais non, mais qu 'est -ce que vous imaginez?

Mais je connais, c 'est tout, il n 'y a pas de complot là -dedans.

Allez, calmez -vous.

Tenez, asseyez -vous, asseyez -vous.

Et maintenant, on va parler tranquillement si vous voulez bien.

Vous, ne voulez pas qu 'on passe la nuit ensemble?

C 'est d 'uisante proposition.

M 'a fallu filmer un crapaud que je suis,

ne se transformera pas pour autant en prenant ça en monde.

Qu 'est -ce que vous cherchez?

J 'ai un compte à régler, mais ça va.

Oubliez.

Et sachez, M.

Bajama Level, soi -disant, unologue,

que ce n 'est pas un boule d 'un vent que j 'ai vu, mais un chirouc -là!

C 'est amusant.

Une odeur de violette excite mon dame à se défaire,

apportant que c 'est un moulin avant.

Je suis désolée, monsieur,

mais c 'est un chirouble que j 'ai servi à la dame qui vous attendait.

Bon, alors ça va être moi un verre de chirouble, un verre de moulin avant,

et puis tiens, c 'est mon mou jamais de réviser mon gamin.

Ça avait moi aussi les autres crus, ça avait un verre de Juliena,

un verre de Chenace, un verre de Morron.

Allez, tous les autres crus, toute la cavalerie, il est dix.

Ça marche.

Ça va?

Elle est là?

Ah, pardon.

Elle est derrière.

Il arrive trop tôt?

Non, regarde ce qu 'il y a à voir.

Je vais courir, 200 mètres de câble.

Ha, la comité d 'accueil.

Faites des lumières, tout est au point.

Enfin, bien, je te présente Mathilde Dolonnet.

Le sort des parcelles de Volevent est entre les deux.

les mains de cette charmante personne.

– Fais bien du jari.

Tu es un ami de Marseau, vigneron comme moi.

Vous allez lui conseiller quoi à Pétard d 'acheter ou de lâcher l 'affaire?

– Je comprends mieux le sens précis du mot en buscade.

C 'est pour avoir mon avis que vous vouliez me rencontrer.

– En quoi ça vous intéresse, monsieur du jari?

– J 'ai besoin de savoir.

Pour que Marseau arrête d 'espérer qu 'il puisse enfin passer à autre chose,

c 'est -à -dire venir travailler avec moi.

Bon ben maintenant que vous êtes là, dites -nous.

– Je vais conseiller à Pétard d 'acheter les vignes.

Et tant pis si c 'est pas la réponse que vous espériez.

– Et votre patron Lebel, il en pense quoi à lui?

– Monsieur Lebel me laisse la conclusion de l 'expertise.

– Ben on est fixés, t 'as entendu Marseau?

Ça sera pour une autre fois?

– Je suis désolé pour la méthode mais ils avaient besoin de savoir.

– Ah mais j 'ai pas dit que Pétard allait acheter.

C 'est pas signé encore.

– Merci, en tout cas, nous avons informé.

Si vous préférez rentrer, Jilo peut vous ramener.

– Ah, pas question.

On a parlé d 'une ligne de fond pour sauver vos vignes et je suis pas du genre

à me dégonfler.

– Eh ben alors c 'est par là.

– Merci.

-"Bonjour, répondeur de Mathilde.

Absente, message.

Je vous rappelle." -"Je prends la route,

je compte sur toi pour me tenir au courant." -"Après,

t 'as visite au château volovan." -"Comme cette 3e message que je te laisse."

-"Extrême, je t 'ai pas vu ce matin.

J 'espère que ta nuit n 'a pas été trop mouvementée." -"Allez,

je t 'embasse." -"C 'est le grand jurement, Chuchot.

La dossier est nickel.

Il n 'y a plus qu 'à signer la promesse de vente." -"J 'aimerais avoir ton

optimisme.

Comment tu fais?" -"J 'ai peu rien, si la vie est belle." -"Baza malle belle.

On se connaît,

vous étiez dans la voiture suiveuse sur la route d 'Eving." -"Tout à fait,

Eric Beaujeu." -"Dési, Cabane.

Je suis l 'agent immobilier chargé de la vente." -"Merci.

Enchanté." -"Enchanté." -"Vous êtes le patron de Batilde?" -"Son associé.

N 'en est pas encore arrivé." -"Non, justement,

il est pas encore." -"Je vais l 'attendre." -"Un beau domaine,

ça doit être émouvant pour vous de vous en séparer." -"Oh, au contraire, non,

non, je...

Je vois en tout château, cuiviers, vignes...

Trop de mauvais souvenirs,

trop de tristesse." -"Il m 'a parlé de la disparition de M.

Dex." -"Oui,

je suis pressé de me débarrasser de tout ce bazar." L 'écoutez pas,

il est tellement anxieux et bien finir par ferver, c 'est le prix de vente.

Excusez -moi.

Il est charmant.

Il faut que tu te détends d 'un peu, non?

D 'accord.

T 'as vu?

Même pas au regard.

C 'est mauvais signe.

Le château doit pas lui plaire.

Ben, Boliv, comment c 'est pas?

S 'il te plaît.

Soyez les bienvenus, M.

Pétard.

Qu 'est -ce qui se passe?

Bonjour.

Merci.

Enfin, un homme bien élevé.

C 'est quoi le problème avec Lebel?

On ne sait pas.

Il a reçu un appel et il a filé sans rien dire.

Est -ce que même bizarre que Mathilde ne soit pas là?

Et Gilo et Marceau?

Il devait passer au aussi.

Commençons la visite sans eux.

Ça l 'y prévenir.

Je vous accompagne.

Serge!

Je t 'attends là.

Je vois pas pourquoi je visite à un endroit où je n 'ai pas l 'intention d

'habiter.

Parce que tu crois que j 'achète pour y habiter, moi?

C 'est une vitrine, Olivier.

Un placement professionnel, comme l 'Eving, d 'ailleurs.

Allez, viens.

Je préfère attendre que les deux osodonologues que j 'ai engagés redonnent

signes de vie.

Je te rappelle qui y a.

Tu voulais plus entendre parler d 'eux.

Allez, viens.

Allez, viens, viens, viens.

Je peux pas vous laisser parler à mademoiselle de l 'année.

Elle est retenue pour chasse non autorisée en dehors des périodes

administratives.

Oui, mais ça, je comprends bien.

Elle devrait déjà être libérée.

On a un rendez -vous professionnel très important ce matin.

Elle m 'a téléphoné sans me donner aucune explication.

Elle est pas autorisée en données?

Non, euh...

Vous rigolez pas avec le braconnage dans le coin, hein?

Mademoiselle de l 'honnête est également entendue au titre de témoin dans le

décédent des participants à cette chasse illégale.

Bon.

Je crois que là, c 'est le nom de ce malchanceur.

Vous étiez ouvert 4h30 du matin.

S 'il vous plaît.

Merci.

Non, non, non.

Merci.

Bon, allez.

Bon.

On va attendre encore longtemps.

Merci de votre patience.

Vous êtes certainement très occupée.

S 'inquiétez pas.

Avec des clients de votre importance, je prévois toujours la journée.

Bon.

J 'y vais, hein.

Gaudez, s 'il te plaît.

Ah, quand même.

C 'est le pêle.

Oui?

Allô?

Quoi?

Alors, on laisse la santé où tu t 'es échappé.

Oui, c 'est intéressant.

Pas le moment de plaisanter.

Et ben, finons d 'ici, avant que les enquêteurs changent d 'avis.

Arrête.

Bon, ben vas -y, dis ce que t 'as à dire.

Oui, je sais à la dire, moi.

Enfin, puisque tu insistes.

Bon, vas -y.

Qu 'est -ce que t 'as allé faire cette nuit là -bas?

Toi, dans une partie de chasse.

Et il est gale en plus.

Alors, à coups de j 'attends l 'explication sereinement, mais curiosité.

Je suis tombée dans un guet à pan.

Il m 'avait proposé d 'aller effrayer les sangliers.

Il ravageait les vignes du fils du Jari.

Sauf qu 'en fait, la vraie raison,

c 'est que Fabien du Jari voulait connaître ta position quant à la vente du

domaine.

Et pourquoi, il t 'a intéressé lui aussi?

J 'en sais rien.

Franchement, c 'est le dernier de mes soucis.

Pas moi.

Alors, tu vas surmonter ton émotion et tu vas me raconter ta virée nocturne.

En général, la arde est composée d 'une quinzaine de bêtes.

On était à la fuite depuis plusieurs heures.

Dans des postes espacés d 'une vingtaine de mètres chacun et sur une seule

ligne.

Moi, j 'avais décroché depuis longtemps.

Je dormais dans le pick -up de du Jari.

Et les autres, ils étaient où avant que tu t 'endormes?

Sur la gauche, il y avait Fabien du Jari.

Au milieu, il y avait Gillo et son attirail antisanglier.

Et Marceau était au fond à droite.

Gillo s 'était installé à hauteur.

Je peux savoir pourquoi?

pas à Gachinou, il était de la ville.

L 'hépeur se ferait rentrer par les sangliers.

Il s 'était installé à plus de 5 mètres.

Il avait un arnais autour de la poitrine, attaché à une branche.

Et on sort d 'ormans, je pense que son fusil a dû tomber.

J 'ai été réveillée en sursaut par une déflagration.

Le décharge a dû toucher un fil d 'alarme,

parce que la lumière était apparu d 'un goût.

Et puis, ils se sont tous mis à tirer comme des malades.

J 'ai entendu Fabien.

Stop!

Stop!

Arrêtez de tirer, Mandel!

Et on s 'est tous retrouvés sur le chemin.

Tout ce que je sais, c 'est qu 'ils n 'étaient plus que deux.

J 'étais le premier à m 'apercevoir que Gilo n 'était plus là, donc que J...

J'suis allé...

C 'était atroce.

On a retrouvé Gilo.

Pendue à son arnais, la tête arrachée par une décharge.

Son fusil était au sol.

Je m 'arrête, je m 'arrête, je m 'arrête.

Dans quel panade, je me suis foutu, moi.

En 40 ans, dans mon boulot, j 'ai jamais un seul accident grave,

je débarque dans le monde du vin et déjà un mort.

Bah tu voulais faire quelque chose de nouveau, t 'es servi?

Merci de ton aide.

Si ça se trouve, on a tué Gilo pour saboter ma nouvelle entreprise.

Arrête de te l 'amenter, il fait tourner ta boîte.

Mais je fais comment?

J 'y connais rien, je fais signal.

Gilo a bien renseillé les achats.

A -t -il accepté les commandes?

Mais je connais pas ses comptables.

Il faut que tu m 'aides, Oliver.

Trouve une solution.

Tiens.

Ça va mieux?

Oui, merci.

Bon, alors on peut d 'ores et déjà, il ne sentait les sanguilles,

puisqu 'ils n 'ont pas dénié ce montré.

Je trouve pas ça drôle.

Non, mais le reste des hypothèses n 'est pas non plus.

Soit le fusil de Gilo est tombé et le coup est parti à la verticale,

soit quelqu 'un lui a tiré dessus,

ce qu 'il a supposé que l 'un de vous trois l 'aurait tué.

Mais je t 'ai dit que j 'avais pas d 'arme.

Pourquoi tu m 'incuses dans le suspect?

Mais c 'est pas moi qui pense.

Moi, je m 'améliore la tête des gendarmes.

Deux morts en quatre mois, autour du château volovans,

ils vont finir par se poser des questions.

Francis Dujari va me voir la rassurer.

J 'ai eu un instant à un carte -jacking.

On m 'avait dit que vous bossiez pour l 'autre abruti.

J 'ai failli pas le croire.

Le bel au service de Pétard, mais ça valait le déplacement.

Vous l 'aidez une nouvelle de votre fils.

Oui ça je sais
Merci, mais les gendarmes n 'ont rien volumisé.

Je suis sûr que ça avait quelque chose.
Que ce qu'il s'est passé Lebel ?

Apparemment, il s 'agirait d 'un accident de chasse.

Un accident de chasse en cette saison?

Qu 'est -ce qu 'il foutait?

La chasse est fermée, le bel.

Votre fils l 'a réouvert.

Moi, j 'ai eu une urgence.

Je suis à l 'hôtel Grand Cunis, à côté de la tête d 'or.

Si vous voulez vous confessez, vous m 'y trouverez.

Pourquoi?

Allez -vous me demander la 1re minute de cette effection passée?

Réponse?

Parce que je trouve singulier que le fils du principal concurrent de l 'autre

abruti, comme vous dites, est organisé ce pique -nique tragique.

Enfin, on a un mot.

Je trouve ça louche.

Bonne journée.

Je savais pas que tu connaissais du genre hyper connaître et un grand monde s

'est croisé sur différence à l 'onglit icône mais je me souviens de lui je l

'ai connu avant qu 'il soit négociant il faisait quoi contient en vain il avait

une petite boîte il marchait bien c 'est un fin négociateur et un palais

exceptionnel le belge à vous parler qui est à l 'appareil c 'est plus entendre

parler de vous compris le mauvais oeil mais quelle ingratitude pour y au moins

remercier de vous avoir inverti de la mort de gilot quand au mauvais oeil c

'est temporaire un jeu m 'en charger il ne m 'envoyait pas de facture je ne la

réglerai pas avec la maison le bel et compagnie ça n 'est jamais le client qui

décide bonne journée c 'est ça qu 'aussi toujours on tente d 'avoir l 'eau d

'essai de là je me sens mieux bon il arrive quand un homme providentiel

normalement si tout va bien demain matin j 'espère que c 'est un bon tout

repose sur lui maintenant tu fais confiance tu ne fais pas confiance c 'est

déjà mire à qui les plus sébérés tu vas essayer de te rappeler tout ce qui s

'est passé dans la semaine dans le détail hier soir pendant la dégustation j

'ai appris que le fils du jari était un copain de marsot tu les contactes pas

surtout pas si l 'on se radio on fait pas après l 'aurore de cette nuit j 'ai

aucune envie de l 'errevoir et bah tant mieux que les deux enquêteurs m 'ont

donné l 'impression d 'être plutôt coriace on est pas près de s 'en débarrasser

il m 'ont interrogé sur la mort de charledex l 'ancien propriétaire du château

vôle au vent il voulait savoir si j 'étais dans la région à l 'époque j 'ai pas

compris bon je te laisse en bâton T 'as trop posé tant de besoins.

Une au biaiseux, s 'il vous plaît.

Bien, monsieur.

Jean -Dame, relâchez mon fils.

Oui, il enlâchait tout à l 'heure, mais Fabien n 'a rien volumé.

On ne se parle presque plus.

Nous sommes en froid depuis la mort de sa mère, ma première femme.

Et là, vous comptez sur moi pour vous, pour vous réconcilier?

Oui, non, ça doit être autre chose.

Je suis son père, je dois en savoir, c 'est normal, non?

Quand t 'associais ma dîle, elle était bien avec eux l 'autre nuit.

Elle a forcément dû voir quelque chose, je suppose qu 'elle doit te raconter.

Je serais mieux comme une carpe.

Une enquête est en cours,

je ne serais pas étonné que l 'accident se transforme en meurtre.

Qu 'est -ce que vous insinuez?

Que mon fils aurait tué Gilo,

mais vous savez très bien qu 'il n 'y est pour rien.

Lui, peut -être pas, mais vous.

D 'amour de Gilo, ça l 'a bien vous arrangé.

Pétard perd le sol à tout qu 'il avait dans sa manche pour sa nouvelle maison

de négoce.

Ah, parce que c 'est moi que vous s 'obsénez maintenant?

Vous pensez sérieusement que j 'ai buté Gilo?

Mais vous êtes complètement tordus, le bel.

Franchement,

je ne sais pas ce qui me retient de vous foutre mon pain sur la gueule.

Oui, ça vaut mieux que de prendre un coup de fusil au même endroit, hein.

Vous êtes complètement largué.

Pétard a surpayé la maison de Négoz -Gray.

Il a acheté deux ou trois fois son prix.

Vous savez pourquoi?

Parce que votre pétard, c 'est un tocard, il n 'y connaît rien.

Bah justement, il avait gilot pour Sam.

Mais laissez -moi rire.

Laurent était un gentil garçon.

C 'était un bon commercial, il savait vendre du vin, tout au plus.

Il était très limité.

Admettons.

Enfin, tout ça ne me dit rien sur le rapport du trio gilot,

marceau et votre fils.

Et bien ça, je pourrais peut -être vous l 'expliquer.

Je peux savoir pourquoi vous me gardez encore.

Tous les autres ont été libérés.

Si j 'en crois ce croquis,

vous étiez le plus près de la victime et vous n 'avez rien vu.

Ben, j 'ai rien vu, c 'est normal, il vient nuit.

Vous étiez à quinze mètres, vous auriez dû au moins entendre quelque chose.

J 'ai juste entendu une détonation.

J 'en avrochais pas, j 'ai dit ma sopire.

C 'est nouveau ça.

Vous n 'avez rien vu, rien entendu.

Alors?

Vous êtes sourds, aveugles ou amnésiques?

Ce n 'est pas grave, on a tout notre temps.

On va attendre que le mémoire vous revienne.

Alors si j 'ai bien compris gilot du temps où il travaillait chez vous,

la sympathisait avec votre fils qui connaît bien Marceau.

C 'est un peu normal, ce sont des vignes rond tous les deux.

Vous savez, le monde de la vigne approche, ça peut créer des liens,

même des amitiés.

Vous devez connaître le château Volevent et ses vignobles.

Vous n 'avez jamais été intéressé par les parcelles du château.

Volevent est un bout d 'amène, mais j 'en ai pas besoin.

J 'ai deux superbes parcelles, à Morgan, à Fleury, à Julien Nass.

Passer d 'égoutter à l 'occasion.

Pour le reste, j 'avais aucune chance, j 'aurais jamais pu avoir Volevent.

Le proprié ne voulait vendre à personne.

Charles Dex.

Sous -titres réalisés par l 'Amara .org J 'allais venu avec un chèque, hein,

avec Septoleux.

Avec ce que j 'ai posé, il y a de vrais, des roulins.

Je viens de rencontrer le père du Jari, d 'annoyer le poisson, hein.

Alors je vais aller pêcher dans un autre coin.

Allez, à plus tard.

Mais je vous remercie d 'être venue.

J 'aurais pu travailler toute façon.

Je n 'arrive pas à croire que Lolo est mort.

Enfin, je veux dire, Laurent Jelou.

C 'était mon ex -marie et on est restés proches.

Eh ben, tout mes condoléances

J -Jilot travaillait avec vous sur les ventes?

Non.

Enfin, pas directement.

Il a peut -être un pourcent de tâches sur les affaires du Juan.

Oui.

Pourquoi vous me demandez ça?

Mais...

Pour savoir.

Alors, ça m 'intéresse.

Vous savez si les acheteurs ont pris une décision?

J 'ai plus eau que une nouvelle.

Bah, ils sont peut -être en deuil aussi.

Alors, malheureusement, je ne vais pas pouvoir vous être d 'un grand secours,

parce que je suis plus dans la course, les pétards m 'ont viré.

Mais enfin, si je peux vous aider autrement...

Bien sûr.

Bien sûr.

Je me doutais que Popey allait réagir.

Enfin, je veux dire, Monsieur Pétard.

Ah oui?

Ce matin, il était furieux après vous,

et sa femme n 'a rien fait pour vous défendre.

Oui, oh, c 'est de bonne guerre, hein.

Elle ne tient pas...

parce que Popey achète le château et risque d 'obtenir rien de cause.

C 'est pas encore fait.

Elle n 'a pas gagné à la mère Pétard.

Pourquoi ça?

Pas là, vous perturbez autre mesure, hein?

J 'ai l 'intention de me battre.

Surtout pour Éric Beaujeuil, il tient à cette vente.

Oui, oui, bah ça, il n 'a pas caché ce matin, hein.

Je me demande pourquoi il est si février, là.

Je vais vous le dire, mais ne le répétez pas.

Je suis tombé.

Dites pas ça, je vous en prie.

Éric Alcida, une femme très virulente.

Et se considère comme un moron sur si.

Vous en voulez une tasse, M. LeBel?

Sans façon, merci.

Un peu tôt pour moi d 'attaquer au cognac.

Extra lucide.

Hénologue.

Le pif.

Mais je comprends très bien que la perte d 'un ami vous secoue un peu.

Bon, c 'est pas ça qui me déglingue.

Oh, c 'est mon manque de bol.

J 'avrais jamais à me débarrasser de cette banque.

Elle porte la poisse.

Puis moi, j 'ai pas de temps à perdre.

Je vais pas sembler de ne pas comprendre.

Desy m 'a prévenu qu 'elle vous avait mis...

J 'ai mis au courant pour ma maladie.

J 'étais pas dans mon attention, mais...

J 'ai sincèrement désolé pour vous.

J 'ai pas besoin de votre pitié.

Bah, ça tombe bien, parce que je déteste ce sentiment.

Alors, parlons d 'autre chose.

Quand j 'ai demandé à Daisy où elle se trouvait, hier soir, à 4h du matin,

elle m 'a dit qu 'elle était avec un homme.

Ç'est pas vous, par hasard?

Ah, non.

Non, moi, j 'ai dormi au château.

Donc, j 'ai hérité de Charles D 'Ex avec qui j 'étais paxé.

Vous connectez?

Le livre est toujours dans l 'hôtel?

Non, parce que je préfère pas tomber dessus.

La voix libre n 'est pas venue, et j 'ai pas bougé de ma chambre.

Ah bon?

Donc, pas de chèque non plus?

Oh, mais c 'est très grave, ça.

Je sais pas qui c 'est.

Bon, donne -moi 10 minutes, hein.

J 'arrive.

Chambre 27, monsieur.

Merci.

Je vous en prie.

service des tâches ce chacque alors d 'être un conito je prenais un bain de

soleil comment savez -vous que je n 'en ai pas cet hôtel n 'a aucun secret pour

moi il y aurait où contre à moi vous ne soyez pas cruels vous expliquez encore

faudra -t -il être convaincant alors rendez -vous dans 10 minutes sur la

terrasse je pourrai t 'abandonner bien sûr et vous pouvez amener Goldcliffe si

elle le désire un peu que je vais venir j 'ai une proposition à vous faire ce

chère Edgar c 'est pour ça capitaine,

c 'est Karwa le bel est rentré à l 'hôtel Mathilde Lohne n 'est pas sortie et

Fabien Dujari n 'a pas pointé le bout de son nez compris,

vous restez en place ok, bien reçu dans la vie,

il y a des désagréments qu 'on ne peut pas éternellement repousser qui vont

enfin rencontrer notre ami Edgar ah oui,

le fameux Lohen l 'administrateur de bienvenue Ticol en personne,

mais également spécialiste des coups en douche sans allusion,

aucune ah mon chère Edgar,

enfin tu peux le remercier c 'est lui qui t 'a fait engager enchanté amettez

-moi de rectifier les choses de ce genre de passé comme ça j 'essayais de vous

joindre pendant des jours sans aucune réponse mais j 'ai fait des soucis j

'imagine bien tu finis pas à rappeler votre cabinet et c 'est bien m 'a dit que

vous n 'étiez pas joignable très mystérieux d 'ailleurs je n 'ai pas pu en

savoir plus non,

ce serait Sylvain qui aurait délégué Mathib Ne t 'inquiète pas, c 'est normal.

Si le vers s 'est réservé, le bord de l 'est et le grand oeste,

il imagine heureusement l 'essai, le reste du monde.

La guerre de succession a déjà commencé.

Juste une lutte de suprématie entre lui et moi.

Mlle Moselle, cabagne pour vous, monsieur.

Oui, merci.

Ah, j 'en pouvais plus, mon popi, j 'avais besoin de te voir.

Mais t 'es folle.

Si ma femme te trouve ici...

Ça y est, vous vous êtes expliqués?

Comment, comment vous êtes connues, tous les deux?

Euh, par des amis d 'amis, vous savez ce que c 'est.

Je cherchais un expert en vin pour freiner les filles de mon mari et de garber

parler de vous pour me rendre au service.

Mais vous êtes une de ces qualités.

Bon, revenons à la réalité, vous n 'aurez pas échappé à être garé à vous.

Les plus questions de tango hésitation, j 'achète, j 'achète pas.

Il y a eu un mort.

Ce pénible accident a choqué mon mari,

mais il avait continué avec ses problèmes.

Il faut que je vous parle.

Il est là.

T 'as fait une tête?

Qu 'est -ce qui se passe?

Il y va mieux qu 'on soit plus pour le maman.

Je te laisse pas tomber, hein, mais...

Ah bon?

Mais important, c 'est qu 'il ressemble.

Et c 'est pas tout.

J 'ai une mauvaise nouvelle à t 'annoncer.

Pire que celle de notre rupture?

Je t 'écoute.

Mais fais bien l 'attention à ce que tu vas dire.

Si je comprends mieux, il y a deux semaines,

vous recevez une lettre anonyme qui vous informe que votre mari vous tombe.

Décidez -vous, vangez, et vous faites venir l 'Auen.

Non.

J 'ai vraiment besoin d 'un spécialiste.

Mais comme vous m 'avez conduit hier soir, j 'ai jeté mon dévolu sur Edgar.

Pauvre pétard.

Si ça, plaignez -le.

Vous saviez que Dési Caban était sa maîtresse?

Le...

l 'agent est mobilier?

Je me doutais que Popi allait réagir.

Enfin, je veux dire, M.

Pétard.

Vous me déciderez, au même temps que vous me l 'apprenez.

Enfin, tout ça m 'est dit toujours pas qu 'il y a tué Gilo, parce que moi,

je crois pas à la thèse du fusil volant.

Ça n 'est pas un accident.

Alors, maintenant,

je vais vous expliquer comment nous fonctionneront mes associés et moi.

Nous finissons toujours ce que nous avons commencé,

et ça n 'est pas discutable.

Tout est arrangé, Mme Pétard nous a réengagés.

Et tu as accepté en mon nom, je suppose?

Bien ça.

Mme Gilo au rang urgent, un examen des affaires en cours.

Alors, tu vas aller à la maison de des gosses pour faire.

J 'ai déjà bossé dans ce genre de commerce, mais avant,

j 'aimerais qu 'on parle finance.

Mais c 'est prévu.

Comme si il y avait quelque chose de gratuit dans ce monde.

Ah, ma recherche de la vérité l 'est.

Alors, bien sûr, à la fin, ça peut coûter très cher.

C 'est une menace.

Une information.

À tout à l 'heure.

Alors, on en est où?

Lebel et son association ont organisé une réunion avec Madame Pétard et un

individu, décentuel hôtel sous le nom de...

Edgar Lohan.

Franchement, ça sert à quoi, cette surveillance?

On n 'est pas sûrs que le juge mette Mars en examen.

D 'après mes infos, Lebel est un frineur.

Un vrai privé des vignes.

On va voir où il nous mène.

J 'ai pas surpris que son mari la trompe.

Je ne sais pas si c 'est vrai ou non.

C 'est un couple très libre.

Elle -même ne se gêne pas.

Enfin, pas avec n 'importe qui.

Oui, ben je n 'en crois rien.

Votre amour propre d 'utile en souffrir.

En mon avis, elle s 'est vangée, tout simplement.

Toujours le mot pour déplaire.

Enfin, en tout cas, le coup de la lettre anonyme, c 'est classique,

mais c 'est efficace.

Efficace pour quoi?

Bah pour empêcher la vente.

Et les corbeaux possibles sont nombreux.

Du jaillet père, du jaillet fils ou même Marceau.

On faut repartir à zéro et oublier nos certitudes.

Pétard m 'a largué!

Et tu sais quoi?

Il ne veut plus acheter le salaud!

Clézane, tu m 'avais dit que tu te mangeais dans la main.

Sa femme a dû le retourner.

Je crois qu 'elle se doute de quelque chose.

C 'est elle que le tueur aurait dû descendre!

Ah dis pas de bêtises.

J 'espère bien qu 'il n 'y a pas de tueur.

Et que la gendarmerie conclura une maladresse.

Tu le connais?

Ton ex -marie a dû s 'embrouiller avec son fusil et...

C 'est bizarre.

Ce matin, j 'étais triste qu 'ils soient morts.

Et là, je ne ressens plus rien.

Tu crois que je suis pas normale?

Mais non.

Ça veut juste te dire que c 'était bien terminé entre vous.

En fait...

Est -ce qu 'il me contre -arrive vraiment?

C 'est que Pétard me l 'orgue.

Et un peu...

Qui refuse d 'acheter aussi, quand même.

Allez.

Au fond...

On s 'en fout, Pétard.

Ils ne te méritent pas.

Hum.

On se quitte là?

J 'ai plus besoin de vous, allez plutôt visiter Lyon.

Inutile.

Je connais par coeur Chacruch et Tramoul.

Et face à Pétard, nous ne ferons pas trop de doutes.

Bajama a dû vous parler de mon efficacité.

Ah ben justement, il m 'a prévenu.

Vous privilégiez toujours votre propre intérêt.

Ce cher Bajama.

Il ne peut pas s 'empêcher de dire du bien de moi.

On y va.

Je ne comprends pas.

Je t 'ai sûre qu 'il était dingue de moi.

Oublie Bétard.

Je suis là moi.

Toi, c 'est pas pareil.

Ah oui?

Moi, c 'est bon le jour, mais pas la nuit quoi, c 'est ça?

Tu peux être surprenant, tu sais?

Tu bêtes.

Non mais j 'ai pas l 'habitude comme l 'orgue.

Surtout un type qui a le doigt de mon âge, j 'ai l 'air de quoi moi?

Je sais pas.

Une suite en Châtelaine.

Tu m 'épouseras après la vente?

Pour de vrai.

Tu me l 'as promis?

Peut -être même avant.

Ah, j 'ai pas envie que l 'Ita me prenne tout ce que je possède.

Ok, très bien, merci.

Ah, je vous attendais.

En est -ce qu 'il y a un temps, ma carrosserie?

Si c 'est le cas, je vous ferai un constat de complaisance pour les assurances.

Avant, je vais à vous parler.

Oh, bien.

Faut non plus que vous n 'avez pas l 'heure de croire à l 'accident de chasse.

Dans la gendarmerie, on n 'aime pas les coincidences.

Et le nom de Laurent Gilou apparaissait déjà sur une enquête.

Enfin, la face cachée du défunt.

Parlez d 'amour accidentel de Charles Deux.

Oui, tout à fait.

Pourquoi soupçonnez Gilou?

C 'est beau jeu, lui, héritier.

beau jeu et dési cabane de Nice de son reprenant.

Vous trouvez au magasin pour t 'y quitter à 20 km de là.

Tous les deux lui parlaient au téléphone quand l 'accident est survenu.

Allô Charles, mais qu 'est -ce qui se passe?

Desi et beau jeu sont arrivés une demi -heure plus tard.

Le Samu qui était déjà sur place est formel.

Le GPS du véhicule aussi, comme la géologisation de leur portable d 'ailleurs.

Et Gilou, il se trouvait où au moment où Dax est mort?

Je n 'étais sûrement pas le vrai motif de sa visite.

Mes rapports avec les vignerons,

c 'est le travail du courtier et pas celui de Gilou.

Il travaillait sur l 'expo à lui.

Je me suis renseigné sur tout ça.

Et j 'en suis arrivé à la même conclusion.

Maintenant que Gilou est mort,

je me demande si on s 'est pas trompé de suspect.

Alors c 'est pas Gilou qui aurait tué Antiquaire,

mais Marceau qui après sa mort espérait racheter ses vignes qu 'il avait en

fermage.

Et suite logique,

cette nuit Marceau se serait débarrassé de son complice qui lui servait de la

Libye.

Déduction appareable.

A laquelle vous permettrait de ne pas souscrire.

Pas besoin.

version de convient alors comme ça tu es dans la gestion de propriété viticole

intéressant j 'y penserai t 'as bien fait de m 'en parler voilà on se tue toi d

'accord olive aurait dû nous présenter tout de suite j 'aurais gagné du temps

bon c 'est dur de se concentrer avec vous vous pouvez pas les discuter ailleurs

il me fait la gueule on dirait un bon stu n 'a rien contre toi mais elle a pris

des choses en main elle veut nous le montrer toi tu me plaît elle a fait le bon

choix ma femme je suis sûr qu 'on a plein de choses en commun bon ça suffit

maintenant dehors comment ça dehors mais dehors mais viens c 'est mon bureau

quand même c 'est mon travail il faut me parler mais il y a Arrête, paupille!

Qu 'est -ce que ça sert qu 'on se voit, puisque tu veux plus de moi?

Excusez -moi, l 'apport du magasin a été ouvert.

Oui, c 'est ça, on te l 'a dessus.

Après un coup pareil, tu peux toujours te brosser.

Vous devez être content que la vente soit annulée?

C 'est pour ça que la mère Oli vous a fait venir?

Je comprends votre déception, mais je n 'y suis pour rien.

Voilà, excusez -moi, je ne vais pas.

Je dois parler, monsieur Beaujeu.

De quoi?

Une histoire de vigne, de vin et de château.

Tu ne vois pas qui nous provoque?

Je préfère partir.

Ah putain, mon chaclay.

Excusez -moi.

J 'aurais tout vécu, moi.

De faire sortir de ma boîte, dans une simple consultante.

Je n 'aurais pas dû accepter que ta bande revienne.

Visirez -moi.

Tu le crois, ça?

Tu es le premier cigarette?

J 'avoue que je débute.

Fumer, faire des folies, jouer au casino.

Je me t 'ai promis d 'essayer, tout ça.

Et tu l 'en sais dans un métier que tu ne connaissais pas?

Bah, comme négociant, par exemple.

C 'est inventé prongé aussi.

En premier sur la liste?

Pour un mec qui ne peut pas s 'arrêter de bosser comme moi, repartir de Zéro.

C 'est une occasion qui ne se refuse pas.

Mais à mon âge, c 'était bien, non?

Ah, putain, raison.

Le temps devient court, il faut rien laisser passer.

T 'as tout compris, moi.

Allez, je te laisse.

On m 'attend.

Tiens.

D 'après vous, Gilo aurait pu tuer Charles Dex?

Non, pourquoi il aurait fait ça?

Beaucoup de monde s 'intéresse au rachat de votre vignoble,

à commencer par Marceau et Fabien Dujari, qui étaient deux amis de Gilo.

Oui, je sais.

Gilo, et c 'est combien?

Il se sera déméné jusqu 'au bout, pour la toucher, sa commission.

Vous pouvez tout aussi bien s 'arranger avec vous,

si vous deveniez l 'héritier.

Bah, perdu.

Et non, le testament est formel.

Si le château et les vines sont vendus séparément,

je ne suis plus bénéficiaire.

D 'où l 'obligation d 'un acheteur unique.

Vendez tout, ou vous vendez rien.

Bah, tout, la préférence.

Et puis, surtout ces maudits de vignes,

il est utile de vous préciser que Charles est mort à cause d 'elle.

Quand il a fait sa chute, il avait près de deux grains d 'alcool dans le sang.

Comme quoi?

L 'abus d 'alcool est définitivement nuisible à la santé.

c'etait plus for que moi.
On m'a interrogé pendant des heures

Ne me quitte pas,
on a rien pour vous envouler

Qu'est-ce que vous cherchez ?
Mon associé a été melé dans ce chasse tragique.

Si j'avais su ...

Mais bon. Je ne pouvais pas refuser cette service a Gilot.
C'était l'ex-mari de Brigitte.

Ou veut tu que je sois.
Je ne veut plus vous voir.
Comme vous voulez.

J 'ai remis les armes à gilot et puis je suis allé moucher et

puis voilà.

Et vous n 'avez pas eu envie d 'où joindre à eux pour une petite veillée entre

amis?

Euh non, c 'est plus pour moi, l 'ennemi blanche.

Bah pourtant, fin de compte,

c 'est à vous que cette soi -disant battue profitait le plus.

Il y a beaucoup de pression sur ma titlo,

au cas où elle décitera conseiller d 'achat des vignées du château.

Je comprends que vous avez fourni les armes.

Je vous ai dit que je suis pour rien, c 'est gilot.

Il était obsédé par la vente, il tenait à sa commission.

Les résultats, il est mort.

Oh, il est déprimé, il a eu vos histoires.

Ah, je vais me faire bronzer.

T 'es imprenait à droite, s 'il vous plaît.

Sous -titres réalisés par la communauté d 'Amara .org ...

C 'est bien, là.

La lumière du soleil, il y a que ça qui me fait du bien.

Je m 'en profite des ans avant qu 'on me mette à l 'ôme pour les défrutes.

Ah...

T 'entends pas ton téléphone, mon châtelin?

Je parais que t 'es en train de te faire bronzer sur les quais.

Bon, t 'avais raison.

J 'ai fait recraquer popy.

Je l 'attends, là.

Je t 'en printais ta baisse, Rome.

Je vais lui en faire voir de toutes les couleurs.

Un vrai feu d 'artifice?

Ne me rappelle pas, tu l 'as t 'occuper.

Bisous, bisous.

C 'est sûrement celui de Beaujeu.

Pas de code.

Il doit rien avoir à cacher.

T 'entends pas ton téléphone, mon châtelin?

T 'étais pas beau avant qu 'on me mette à l 'hôme.

Surtout sur notre d 'imagination.

Merci d 'être venu, l 'expérience est concluante.

Je ne sais pas encore du arrivé.

Quelqu 'un a très bien pu prendre le même chemin la nuit dernière.

Non, parce que c 'est beaucoup au moins évident en pleine nuit.

On n 'y voit pas à 2 mètres.

Avec des lunettes de vision nocturne, ça doit pas être insurmontable.

Au moins, vous ne me croyez pas coupable?

Non.

Seulement inconscient.

Il n 'y a pas de quoi être fier.

Mais je ne le suis pas.

Seulement, il fallait bien que je trouve une solution pour mes vignes.

Il est...

il est fameux sans guillet.

Je demande à voir son lois d 'ici, Boving.

Non, peine à 100 mètres par là.

Regardez -moi ça.

Il y a trois jours, les cochons sont passés.

Ils m 'ont saccagé les rangs jusque là -bas.

C 'est à l 'auprès de cochons.

Bah c 'est tombé à pique.

Bon,

si vous me donniez les vraies raisons du guitapon que j 'ai tendu avant l 'associé,

je vous rappelle qu 'il y a eu un mort.

C 'était sans méchanceté, mais on voulait vraiment que Pétard achète.

Il n 'y connait rien.

Il aurait fini par se planter et puis revendre.

Au hasard, euh...

à Marceau.

Ou à moi plutôt.

Parce que Marceau, il n 'a pas les moyens financiers.

Faut que moi,

je me serai fait un plaisir d 'aller taper mon vieux randonne -père.

Dès ça.

Le prix de la réconciliation.

Peur la tolan, c 'est Marceau qui perd la facture.

Je le connais mon popi.

Il n 'a rien de remarquable, hein.

Ah ouais, pas pour moi.

Il a appartené à ma mère ses vignes.

S 'il n 'avait pas épousé, mon père ne serait jamais devenu négociant.

Du coup, quand elle est morte, pour respect pour sa mémoire,

en bon gestionnaire,

il s 'est empressé de tout refourguer au premier voisin venu.

Charles Dex, l 'Antiquaire.

Alors, lui, l 'Antiquaire,

au moment où il a voulu vendre et les vignes et le château ensemble.

Et vous n 'aviez pas les moyens d 'acheter le tout.

Alors, la solution, évidemment,

c 'était de pousser l 'Antiquaire au fond du puits.

Qu 'est -ce qu 'a fait le sale boulot?

Gilo ou vous?

Vous êtes malades, vous?

Non, mais vous arrêtez ça tout de suite, parce que moi,

je vous colle mon poing dans la gueule.

Ben, bah, évidemment.

Cette famille...

Lézi?

Où tu es?

Désil!

En plus, ça ne servait rien de tuer Charles D 'ex.

Finalement, il avait décidé de vendre le château.

Et les parcelles séparément, s 'ils l 'occasion se présentaient, disent...

D 'être sûr, parce que là, ça change tout, hein.

Le jour où D 'ex est tombé dans le puits, il avait rencontré Gilo.

Et Gilo, moi, il m 'a appelé pour m 'annoncer la bonne nouvelle.

Pourquoi Gilo n 'a rien dit aux gens d 'armes?

Il a préféré se taire, mais je vais même vous dire un truc.

Entre qu 'à Dieu, il a nié me l 'avoir dit moi.

Ouvre ma puce.

Va -t 'en!

Je te demande pardon.

Non, c 'est trop tard.

Bon, les sas suffient maintenant.

Ouvre, sinon je suis en force, cette porte.

Je vais me faire couler un bas.

Ça dérange pas?

Tu me demandes moins la vie.

Tu peux t 'en aller?

À Dieu.

Merci.

Merci.

C 'est le troisième, on devait peut -être arrêter.

Pourquoi interrompre le plaisir, hein?

Un sainte -amour, cette circumstance.

Continuez.

On sait que c 'est des conneries mais tellement agréables.

On t 'entend.

Allô?

Olive.

Il faut que tu viennes.

Je suis au château.

C 'est atroce.

Viens vite.

J 'ai besoin de toi.

Allô?

La gendarmerie.

C 'est chez Algarre.

Quoi?

Vous avez abandonné Olive?

Elle doit être sur la salette, maintenant que ça arrive à l 'émorte.

Les andames ne sont pas au courant et Olive a fait venir deux as du barreau.

De toute façon, elle a un alibi et elle était avec moi.

Personne n 'a besoin d 'alibi.

La machine infernale qui a tué Daisy a pu être installée par n 'importe qui,

n 'importe quand.

La présence du tueur a été même pas nécessaire.

Eric Beaujeu aurait pu lui aussi en être la victime.

C 'est ce qu 'il dit?

On l 'entendait que lui, dans les couloirs de la gendarmerie,

il criait que cette installation allait être destinée.

Si vous pouvez, vous pouvez arrêter de bouger.

Ça me donne le tournis.

Vous n 'avez pas l 'air bien, vous êtes souffrant?

C 'est très bien ce que j 'ai, c 'est écrit là.

VIH.

Oui, en effet.

En revanche, l 'autopsie de M.

Dex n 'a révélé aucune trace de maladie.

Pourquoi vous auriez contaminé votre conjoint de vous, si vous étiez malade?

Et nous, c 'est pareil.

On n 'avait pas l 'intention de se tuer l 'un l 'autre.

Vous voyez?

On n 'avait pas desséré les dents depuis tout à l 'heure.

C 'est pendant votre retraite chez les moines que vous avez attrapé cet air

introspectif.

Rappelez -moi l 'ordre que j 'allais faire un tour.

Les moines bouddhistes tibétains.

Là où tout est dans la vision intérieure.

D 'accord.

Et pour la vision de tous les jours.

Est -ce que vous pourriez m 'expliquer ce qui se passe?

Il le faut bien.

C 'est ce que vous avez insisté pour m 'accompagner.

Alors, je vais vous résumer l 'affaire.

C 'était un soir de déprime.

J 'ai installé ce fusil à canot sillé dans ma salle de bain.

Pourquoi j 'aurai plus le courage de vivre?

Comment êtes -vous sortis de la pièce après avoir installé ce système?

Par la fenêtre.

Après avoir donné un tour de compte.

Je n 'avais plus qu 'à revenir, ouvrir la porte pour que tout s 'arrête.

Mademoiselle Cabane avait l 'habitude d 'utiliser cette chambre?

Non, depuis la mort de Charles, cette chambre était condamnée.

Personne avait le droit d 'y rentrer.

Même mademoiselle Cabane?

Personne, sauf moi.

C 'est la triste histoire de la femme de Barbe Bleu que vous me racontez.

Mais je ne suis toujours pas convaincu par votre machine à suicide.

Et ça, ça vous convainc, là?

Là, j 'ai déjà fait une tentative, c 'est bon.

Calmez -vous.

Quoi, vous voulez voir?

Non, ça suffit.

Apparemment, vous vous êtes raté.

Lisa pour un bricoleur de machine à fernais, non?

C 'est Daisy qui m 'avait sauvé, encore une fois, juste à temps.

Ah oui, Daisy.

Votre tentative de suicide, c 'était avant ou après la mort de M.

Dex?

Vous auriez dû poser la question autrement.

C 'était juste avant ou après avoir appris d 'être malade?

Je la pose.

Après?

Je suis pas du genre à m 'incruster.

Je déteste la souffrance.

Tenez, mettez sans fouiller les coupes, elle.

Bon, mais euh...

Ah bah vous, vous fouillez, moi je rêverai chier.

J 'accorde sa spécialité.

Ah, je vois.

Et d 'après vos cogitations, on est censé chercher quoi?

Je l 'ignore.

Mais quand j 'ai récupéré Eric Beaujeu, il sortait précisément de ce passage.

Mais sans un cédé, on est pas plus avancés.

Mais c 'est là qu 'intervient ma réflexion.

Si Beaujeu a fui les gendarmes, ma réflexion me dit que...

Il a pu craindre qu 'un comité d 'accueil attend dans la sortie de secours.

Lors je veux vérifier s 'il n 'a pas planqué quelque chose entre sa boutique et

la rue.

Quelque chose qui ne voulait pas que les enquêteurs trouvent.

Voilà.

Et vous savez bien une petite idée de ce que c 'est.

On verra bien quand on l 'aura trouvé.

Voilà, allez mettez vos gants mon pion, on perd du temps.

Allez.

Merci.

Merci.

Juste -tu sincèrement désolée pour vous?

Si je peux faire quelque chose?

Ah non Serge.

Pour une fois tu ne fais rien.

Je ne sais pas comment je vais faire.

Desi était ma seule vraie amie.

Vous pouvez me...

me déposer au château.

Je voudrais rentrer.

C 'est pas raisonnable.

Vous allez prendre un hôtel.

Non, non, non, je veux veiller Desi.

Même si son corps est absent, elle sera présente.

Vous n 'allez pas faire une bêtise quand même.

Sûr, hein.

Allez.

Ça m 'étonne pas qu 'on l 'a rien trouvé.

Mais pourquoi vous soupçonnez beau jeu?

Il a un alibi en béton pour la mort de Charles Dex.

Mais pour Gilo, il en a aucun.

Et il avait un mobile.

Vengez la mort de Dex.

Je rappelle que vous avez toujours prené la théorie du tueur unique.

Oui, exact.

Et ça, j 'en suis sûr.

Donc ça peut pas être beau jeu, voilà.

Je me suis trompé.

Vous êtes contents?

Enfin, vous ne êtes pas perdus, hein.

Mes sensations reviennent.

Je ne confonds plus le chirou mais le moule à un vent.

C 'est déjà quelque chose.

Bon, je vais me coucher.

Je prends le relais.

Cette recherche du meurtrier m 'intrigue.

Je vais rejoindre Mathilde Doburou et réfléchir.

Je pars demain 10 heures, alors si vous trouvez la solution.

Soyez gentils, communiquez -la -moi avant mon départ, je suis preneur.

Qu 'est -ce que vous faites à vous placer chez moi?

Vous pourriez au moins respecter mon chagrin?

Mais c 'est ce que je fais.

Le sort s 'acharne sur vous, Charles Dex, Gilo,

maintenant cette malheureuse désie de la série.

Qu 'en pensez -vous?

Vous avez une idée?

Pas la moindre, non.

Je vais faire du thé, vous en voulez?

Il est du café.

Va pour le café?

Merci.

Après les gendarmes, c 'est Marceau qui aurait tué Charles.

Ce serait angulé au sujet de la vente des vignes.

Le pauvre Gilo qui venait quitter Charles a du tout voir.

T 'es céléversion de gendarmes?

J 'en ai une autre, moi.

Vous avez entendu que Charles Dex s 'apprêtait à tout vendre ses vignes,

le reste.

Comment c 'est le grand ménage?

Vous lui avouez votre maladie au lieu de vous entourer de toute sa tendresse et

si de vous foutre à la porte, les gens riches seront vraiment impitoyables.

Il a de quoi avoir envie de se manger.

Comment aurais -je pu tuer Charles?

Puisque j 'étais chez Daisy.

Votre portable était avec elle.

Vous l 'aviez laissé volontairement dans sa voiture.

Quand à celui de Charlie, il l 'a pris.

a suivi dans sa chute.

Alors la conversation avec Daisy était en cours,

il vous suffisait de parler dedans pour lui annoncer qu 'un horrible accident

venait de se produire.

Charlie, il y avait été tombé dans le puits.

Ah vous lui avez demandé d 'appeler le Samu, et puis de venir vous chercher.

Après vous avez quitté le château,

vous avez rejoint le coin de rendez -vous qui était connu avec Daisy,

au calvaire par exemple, qui est à 300 mètres d 'ici, j 'ai vérifié en venant.

Il suffisait de vous attraper au volet et arriver ensemble au château,

ou si il nous sent l 'un que l 'autre.

Pourquoi aurait -il fait ça?

Ah ben pour Daisy, il était hors de question que son Éric chéri déjà,

tellement éprouvé par sa maladie soit maltraité par les gendarmes.

Alors vous l 'avez supplié de dire que vous étiez ensemble.

J 'ai eu du bol que le portable de Charles ne soit pas tombé avec lui.

Bon, ça y est, trouve autre chose, malin comme vous êtes.

C 'est...

Oh, voilà.

Alors, vous ne fatiguez pas.

Je n 'ai pas de micros, c 'est une conversation privée.

Et flatteuse.

Je commence à apprécier cette nouvelle personnalité d 'Hautelamor que vous m

'attribuez.

Heureusement que tout ça, ce n 'est pas vrai, parce que vous seriez en danger,

M.

Lebel.

Mais maintenant, vous me faites penser.

C 'est vrai.

Enfin, Hautelamor ne s 'agiront rien.

Disons, monstre Cupid qui aime le danger.

La Cupidité n 'était pas du côté que vous croyez.

Mais la vraie, c 'est le prix.

C 'était Charles.

Me virer, après quatre ans de vie commune,

en laissant juste une poignée de billets,

on dirait que la justice divine l 'a punie.

Bah voyons.

Si on parlait d 'hilo...

Vous avez attendu 14h du matin leur critique où tout le monde s 'assoupit en

général.

Vous aviez un masque de vision nocturne.

Vous êtes approchés sans faire de bruit en arrivant par le sentier des vignes,

c 'est tout à fait possible.

Vous avez pris l 'arme de Gilo, pas de problème pour les emprats.

Ce sont des fusils qui vous appartiennent.

Vous lui avez tiré dessus.

Alors, pétarades générales de Marseaux et compagnie.

Ce qui vous permet de filer, et le cas Gilo est réglé.

Et de deux.

Gilo, vous avez vu pousser Charles dans le puits?

Gardu.

Il n 'a rien vu, ce qui n 'était plus là.

Mais il m 'a vu monter dans la voiture de désir.

Et il menaçait de tout raconter au flick.

Il vous les convient?

Tout.

Il est l 'argent de la vente du château, et celui des lignes.

Je ne la sens pas, cette expédition.

Où vous êtes monté le Borition?

Et puis Benjamin m 'a dit qu 'il prenait la route,

pas qu 'il allait au château.

Je le connais mieux que vous, il ne peut pas résister.

Il adore les confrontations.

Bon, on est où là?

Pourquoi vous n 'avez pas mis le GPS?

Parce que ça rend idiot.

Regardez, les indications en réfléchir, j 'aime pas.

Mais résultat, on est paumé!

Oui, écoutez, calmez -vous.

Ok.

Je regarde.

Vous trouvez?

Il m 'a dit que des charcutiers traiteurs...

Euh...

volovans.

Bon, euh...

Il est froid.

Et...

comment vous allez prouver tout ça?

Bon, ça ne sera pas bien difficile.

Bien sûr, j 'ai été fouillé dans le passage à la sortie du quai.

Je vous avais pris en voiture, vous savez, pour...

vous emmener à votre bronzette.

Vous fouillez dans les poubelles?

La Chine a été bonne?

Oui, non.

Non, je n 'ai rien trouvé.

Enfin, maintenant, je sais ce que vous dis sous cette réorgeant d 'arme.

Le masque de vision nocturne l 'avait emmené avec vous dans votre sac de plage.

Le trop fond de la saune à l 'heure qu 'il est.

Ça doit être là.

Bon.

Vous avez bien compris ce que vous devez faire?

Allez, Lowen, du courage!

C 'est un rite de passage chez les Lebelles.

Je n 'y vois pas du tout.

Pour la dernière fois.

Vous ne voulez pas vous servir de cet arbre?

Oh, d 'accord, d 'accord.

Advienne Coppura.

Ça y est, la démonstration est terminée.

Ah non, non, non, le pire arrive.

Vous avez sacrifié d 'hésie.

Votre ami si cher, d 'hésie, avec ses rêves de fortune.

Et vous l 'avez laissé aller à la mort.

Oh,

elle s 'était mise en tête de m 'épouser dès que j 'aurais vendu le château.

C 'était quelque chose que je l 'avais promis, c 'était comme ça, quoi.

C 'était...

c 'était margeux, voilà.

Non.

Non, non,

vous l 'avez fait miroiter ce mariage pour qu 'elle continue à vous servir d

'alibi.

Elle avait changé la vie.

Disons qu 'elle devenait un petit peu insistante avec ce mariage.

C 'était trop dangereux pour moi.

Moi, j 'ai pas envie de finir en tout.

Oui, il me manque un criminel ne veut ça, même les plus monstrueux.

Non, mais moi, c 'est différent, j 'en ai plus pour longtemps.

J 'ai envie de mourir dans le luxe.

C 'est un palace avec des amis partout, partout autour de moi.

Mais vous n 'allez pas mourir du tout.

Non, pas plus mal à tout que moi.

Et si Charles vous avirait, c 'est parce que vous aviez fait votre temps.

Mais qu 'est -ce que vous avez raconté?

J 'ai fouilli dans les salles de bas du château et dans tous les tiroirs de

votre chambre, sans trouver aucun médicament.

Vous êtes con, quoi.

Les gars, ils sont toujours sur moi.

Bon, allez.

M 'avais amusé pendant un moment, mais là, je m 'ennuie.

Et je déteste ça.

Allez -y, entrez chez vous.

Admettons, je me trompe, allez.

Contre -moi une boîte de votre traitement.

La confiance règne, hein.

Ok!

Ça, c 'est pour guérir des tourments de la vie courante.

Vous allez voir, c 'est radical.

L 'espèce d 'ordure.

Je m 'avais endormie, en attendant que les filles arrivent.

Non.

Non, merde!

Mais qu 'est -ce que vous allez foutu?

Pourquoi vous avez tiré?

J 'ai eu un bâtiment.

C 'est une mauvaise récréque, monsieur Trispel!

J 'ai même pas visé!

C 'est pas vrai!

Vous pouvez me sortir de là, en vieux de vous encueuler!

Non!

Je ne crois que tout le monde s 'en fout.

les plongeurs l 'ont retrouvé au fond de la saune à 50 mètres du quai de la

bronzette ça l 'est libéré marceau c 'est en cours fais parle de vous qu 'est

ce qui vous a pris d 'aller vous jeter dans la gueule du loup au lieu de nous

avertir j 'avais pas de preuves juste une intuition je vais le faire avouer

parce que non on n 'en est pas capables bien sûr avec un type comme beau jeu il

fallait d 'approximité d 'approvocation mais non surtout surtout fait des qui

pensent qu 'il était en face d 'un adversaire sans danger pour lui vous pouvez

remercier vos amis sans eux vous seriez au fond d 'un puits mais vous allez

pouvoir clore le dossier charledex ils ont fini par se rejoindre c 'est de là

les affaires reprennent le temps vient de m 'appeler nous convocadiner il est

très fier de nous avoir sauvé la vie il a réveillé le directeur d 'un de ses

anciens magasins l 'abricole pour qu 'il ouvre le rayon amuré lui devait une

fière sandelle ainsi qu 'à matilde qui a compris ce que vous m 'alligeant c

'est hier moi aussi sans nous non sans vous rien du tout sans vous beau jeu m

'aurait voué qu 'il n 'était pas malade c 'est arrivé trop tôt et cette aveugle

manquera toujours un qu 'est ce que vous racontez je n 'ai jamais eu la

sensation d 'être en face d 'un malade avec qui qu 'on voit l 'alcool et

fortement déconseillé dans ce genre de traitement de choc même le soleil dans

certains cas tu l 'as dit aux gens d 'armes non je préfère leur laisser la

surprise à l 'autopie comment t 'as compris que c 'était beau jeu la lettre

anonyme est telle seule qui avait intérêt à annoncer au livre que son mari

avait une liaison lesquelles à l 'intérêt de retarder une vente dont il est lui

-même le bénéficiaire il voulait pas partager son argent pas l 'avancé à l

'iser ni avec gilot ni avec des et ça lui avait demandé trop de sacrifices et

moi je parais qu 'il n 'a jamais aimé charledec jamais il était intéressé

depuis le début cet héritage il pensait qu 'il l 'avait mérité personne devait

lui prendre bon alors maintenant si on parlait de choses sérieuses ou allons

nous dîner ce soir le dîner de pétard bon oublier c 'est d 'abricole