All language subtitles for The Thing From Another World [Sci-Fi] (1951) DVDRip Oldies Colorized-fr

- Oh, Eddie.
- Oh, Scotty.

Assez froid pour vous ?
- Eh bien, je ne suis que faiblement vivant. Il fait 25 en dessous.

Vous connaissez tout le monde ?
- Nous ne nous sommes pas rencontrés.

-McPherson.
- Oh.

Ned Scott, capitaine Hendry.
Scotty vient d'arriver aujourd'hui.

Salut, tu veux nous rejoindre ?

Attends que je compte mes doigts.
J'en ai peut-être perdu un.

Scotty est un homme du temps chaud. Nous nous sommes rencontrés
à Accra. Tout un endroit. 105 à l'ombre...

...et les femmes portaient à peine
rien du tout. Très intelligent de leur part.

Vous venez de vous allonger là dans un hamac
tandis que trois d'entre eux vous éventent.

Tu te souviens, Scotty ?
- Je me souviens.

Oh mec. Quand je mourrai, j'espère aller à Accra.
- J'étais là.

J'en suis.

Que faites-vous ici, M. Scott ?
- Vous cherchez une histoire.

Scotty est journaliste.

Combien?
- Trois.

Cartes?
- Je vais jouer ceux-ci.

Pris en embuscade.
- Vérifier.

Eh bien, je parierai un dollar.
- Et je vais plier.

Appel.

Paire de reines.
- J'ai pensé ainsi. As.

Tu devrais savoir mieux que d'essayer
tromper notre capitaine. Seules les dames peuvent le faire.

Lieutenant Dykes, je vous promets...
- Glissement de la langue.

Qu'entendez-vous du général?
- Les secrets d'allaitement de Fogarty comme une mariée de juin.

J'ai une idée. Un gars à Seattle
connaît toute une histoire de défense radar...

... aime parler.
général Mc Laren.

Dites au général Fogarty que vous voulez y aller
à Seattle, et Pat et moi vous y emmènerons.

J'ai aussi rencontré le général McLaren.

Il fait chaud à Seattle. Ils ont des filles
là sans pantalon de fourrure.

Qu'en est-il, capitaine ?
- C'est peut-être vrai.

Vous ne pourrez pas tirer sur notre capitaine
vers le sud avec son coeur...

... enroulé autour du pôle Nord.
- Ça fera l'affaire.

Que se passe-t-il là-haut ?
- Des scientifiques organisent une convention.

À la recherche de queues d'ours polaires.
- Avez-vous déjà entendu parler du Dr Carrington ?

Le type qui était à Bikini ?
- Le même.

Ils tiennent environ 2000 milles
au nord d'ici. Tout un tas.

Botanistes, physiciens, électroniciens...
- Y compris une pin-up.

Type très intéressant aussi.
- Très.

Le capitaine Hendry peut vous donner des informations sur elle.

Tu n'aurais probablement pas dû dire ça.
- Eh bien, après avoir lu...

Maintenant regarde !

Un jour j'espère avoir un navigateur et un
copilote au moins sec derrière les oreilles.

Ah, capitaine.
- Vous vendez par correspondance...

Capitaine Hendry, faites votre rapport au général Fogarty
quarts à la fois s'il vous plaît.

8h00 du soir et les cris généraux
pour ses troupes. Sonne comme les vieux jours.

Prends ma main. Allez-vous?
- Ouais.

Capitaine, si cela revient à quelque chose,
amenez-moi dessus. Pourrez vous s'il vous plait?

Bien sûr.

Je dois trouver une histoire quelque part.

Entrez.

Fermer la porte.
- Oui Monsieur.

Bonsoir Monsieur.
- Ça ne t'a pas pris longtemps.

Pas beaucoup d'endroits où se cacher, monsieur.

Je viens de recevoir un étrange message de votre pique-nique
parti dans le nord, du Dr Carrington lui-même.

'Croyez un avion de type inhabituel
s'est écrasé dans notre voisinage.

Veuillez envoyer des installations pour enquêter.
Le plus urgent.'

Que trouverais-tu là-haut
à part une belle fille ?

Je ne sais pas, monsieur. Des navires manquants ?
- Non.

Pas de Canadiens non plus.
- Peut-être des Russes.

Ils sont partout sur le pôle comme des mouches.
- Vous allez.

Emmenez un attelage de chiens ou quoi que ce soit
vous pourriez avoir besoin pour le sauvetage.

Je l'aimerais si tu ne fracassais pas
dans le ski d'atterrissage cette fois.

C'était un accident inévitable.

Eh bien, écoute, je t'attends de retour
demain soir.

Oui Monsieur. Et je fermerai la porte.
- Dis-moi juste ce que tu trouves là-haut.

Personne ne me dit rien ici.

Envie d'un café ?

Hey, merci.
- Vous voila monsieur.

Monsieur Scott. Café.

Sommes-nous là ?
- Non monsieur. Café chaud à l'avant, monsieur.

Lieutenant? Café, monsieur.
- Merci, hôtesse.

Café?
- Oui merci.

À quelle distance sommes-nous du camp ?

Trois heures. Nous avons ralenti.
Un petit vent de face.

Un petit vent de face ?
Près de 40 milles.

Notre capitaine a des idées amusantes
sur le pôle Nord.

Il pense que c'est un jardin.
Venez et amenez les enfants.

Écoutez, ne commencez pas tous les deux.

Tu sais, Perry est allé au Pôle Nord
une fois. Il a pris sa retraite avec un sac plein de médailles.

Salut Pat.

Nous y allons toutes les trois semaines
comme si c'était la voie des amoureux.

M. Scott, certaines personnes
l'air de penser... Attendez une minute.

Bonjour, Air Force 191 de
Polar Expedition 6. Pouvez-vous me lire ?

Air Force 191. Je vous entends bien, Tex.
Poursuivre.

Quelle est votre position?
- Trois heures dehors.

Capitaine, passez à votre compas radio.
Vérifiez-le par rapport à votre cap magnétique.

Qu'as-tu en tête, Tex ?

Nous avons des perturbations ici.
C'est foutre tout en l'air.

D'après vous de quoi ça vient ?
- Je ne sais pas. Nous l'avons remarqué hier soir.

Différence de six à huit degrés.
- Nous sommes un peu loin ici, Tex.

Tu ferais mieux d'être chez moi.
Je laisserai la clé ouverte.

Ou préférez-vous que je chante pour vous ?
- Laissez la clé ouverte.

J'avais peur que tu dises ça.

Hé, les contribuables devraient voir ça.

Bonjour, docteur, professeur.

Toujours le même jeu ?
- Oui.

Salut les gars.

Docteur, professeur. Voici votre courrier.
- Vous arrivez juste à temps pour le déjeuner.

Ken, je parie que tu as oublié mes épingles à cheveux.
- Ne me dites pas que je suis presque au pôle Nord.

Ressemble plus à ma maison du Kentucky.
- M. Scott, Mme Chapman.

Un plaisir, Mme Chapman.
- Salut, content de te voir.

Dr Chapman, M. Scott.
- Dr Chapman.

Scotty est journaliste.
- Vous arrivez au bon moment.

Il se trouve que j'étais à Anchorage lorsque votre
message est venu. J'espère que vous avez une bonne histoire.

Pas plus que vous ne le savez déjà.
- Rien de plus du tout ?

Juste des discussions sur ce que cela pourrait être.
Nous avons tous des idées différentes.

Il y a eu des disputes à ce sujet.
- Oů est le Dr Carrington ?

Dans le laboratoire.
- À plus tard.

Cela signifie-t-il que vous avez vu l'avion ?

Café, capitaine ?
- Non merci.

Notre capitaine semble pressé, Lee.

Où allez-vous tous les deux ?
- Nous sommes avec vous.

Nous voulons lui dire qu'elle t'a mal traité.
- Si tu ne veux pas qu'on y aille...

Je vais me venger de vous deux un jour.
- Nous sommes montés là-dedans.

Entrez.

Salut Pat. Bienvenue dans notre igloo.
Comment était ton...?

Bien...

comment était votre voyage?
- D'accord. A propos d'habitude.

Eh bien, c'est bien.

Je pense que le Dr Carrington veut vous voir.
- Il peut attendre. Je veux te parler.

Qu'en est-il de?
- C'était un sale tour que vous avez joué.

Ne perdez pas votre sang-froid.
- Pourquoi as-tu fait ça? Juste dis moi pourquoi.

Eh bien, vos jambes ne sont pas très jolies.

Vous n'aviez pas à écrire une note
et pose-le sur ma poitrine.

Je suis désolé Pat...

Six personnes l'ont lu avant que je ne me réveille.
Maintenant, toute l'Air Force le sait.

Pas si fort. Ils entendront.
- Ils ont déjà entendu.

Le seul endroit où il n'a pas été
est sur un panneau publicitaire.

Je ne savais pas que tu avais un si mauvais caractère.

Maintenant, Pat, fais juste attention.
Maintenant, allez-y doucement.

Maintenant, attendez une minute.

Nous nous sommes beaucoup amusés quand tu étais ici.

Puis quand tu m'as demandé de descendre
à Anchorage, tu m'as délibérément nourri...

Dis-moi, as-tu vraiment bu
toutes ces boissons?

Vous n'en avez pas jeté ? Pas une?
- Non.

Sacré chat. Je pensais que j'étais bon.

Et autre chose, pourquoi es-tu parti ?

Quand je me suis réveillé le matin
tu étais parti.

Je t'ai dit que je devais prendre
cet avion-cargo ici.

Tu m'as dit?
- Vous ne vous souvenez pas ?

Non.

Juste après le dîner. tu disais
moi tout au sujet d'une nuit à San Francisco...

Je t'ai dit ça ?

Qu'est-ce que j'ai fait d'autre ?

Eh bien, vous avez eu des moments
du genre à faire comme une pieuvre.

Je n'ai jamais vu autant de mains de toute ma vie.
- D'accord. D'accord.

Écoute, ma seule excuse est que tu me plais...

...tout de suite.

J'ai donc mal commencé. Ne pouvons-nous pas recommencer ?
- Comment commenceriez-vous ?

Eh bien, je peux penser à plusieurs...
- Pas grave.

Nous n'avons pas le temps pour ça maintenant de toute façon.

Je sais que le Dr Carrington attend de vous voir.

Qu'en est-il de cette entreprise de recommencer?
- Nous en reparlerons plus tard.

Bonjour, capitaine.
- Salut, professeur.

Le Dr Carrington, le capitaine Hendry est ici.
- Oui je sais.

Comment allez-vous, capitaine ?
- Médecin.

Mlle Nicholson, ajouteriez-vous
un mot aux autres?

Sûrement.

2 novembre, 11h30

La déviation dans le secteur 19 se poursuit
12 degrés, 20 minutes à l'est.

Pas de diminution ou d'hésitation
d'élément perturbateur.

C'est tout.

Capitaine, pouvons-nous commencer maintenant ?
- Pouvez-vous me dire où nous allons ?

48 milles à l'est d'ici.

Votre message disait qu'un avion s'est écrasé.
Est-ce cela que nous recherchons ?

Je ne sais pas, capitaine.

Je pense que tu ferais mieux d'expliquer.
- Je suis désolé.

Mlle Nicholson, voudriez-vous lire
Capt. Hendry mes premières notes ?

Je ne pensais qu'au flou
de mes informations. Je n'aime pas être vague.

'1er novembre...
- Hier.

...18h15 Détecteurs de son et
les sismographes ont enregistré une explosion plein est.

A 6h18, le magnétomètre a révélé une déviation
12 degrés, 20 minutes à l'est.

Cet écart a été constant.
- Nous l'avons rencontré avant d'arriver ici.

"Une telle déviation n'est possible que
si une force perturbatrice équivalente...

...à 20 000 tonnes d'acier ou de minerai de fer...
- 20 000 tonnes ?

...était devenu une partie de la terre
dans un rayon d'environ 50 milles.

Tu me dépasses un peu,
mais ça ressemble à un météore.

Oui beaucoup. Sauf pour une chose.

Will, montrez-le au capitaine Hendry.
- Oui Monsieur.

Nous avons des caméras télescopiques spéciales.

A l'apparition de la radioactivité,
un compteur Geiger déclenche le déclencheur...

...et les caméras fonctionnent.

Ils travaillaient hier soir.
C'est le résultat.

Cette première photo a été prise
trois minutes avant l'explosion...

...ou 6:12.

Vous pouvez voir le petit point
là-bas dans le coin.

Sur la photo suivante, une minute plus tard,
ce point se déplace d'ouest en est...

...assez rapide pour former une traînée.
- Quelle est la vitesse d'obturation ?

1000e de seconde.
- Ça bouge assez vite. N'était-ce pas?

Ici, à 6h14, ça monte.

06h15, il tombe sur la terre et disparaît.

Un météore pourrait se déplacer presque horizontalement
vers la terre mais jamais vers le haut.

Alors ce n'est pas un météore.
- Cela est évident.

Comment as-tu trouvé la distance d'impact ?

Par calcul...
- Dr Carrington ?

Prêt?
- C'est assez simple, capitaine.

Nous avons l'heure d'arrivée
des ondes sonores et des détecteurs.

Et aussi l'heure d'arrivée
des ondes d'impact sur le sismographe.

En calculant la différence, il devient
évident qu'ils ont été causés par l'objet.

La distance d'ici est de 48 milles.
- Je te prendrai au mot.

Une chose, docteur. 20 000 tonnes d'acier
c'est beaucoup de métal pour un avion.

C'est pour le genre d'avion
nous savons, capitaine.

Ouais, on ferait mieux d'y aller.
- Redding vérifiera tous les quarts d'heure.

Voulez-vous de moi, docteur ?
- Ce ne sera pas nécessaire.

Tu viens avec nous, Bill.
- Oui, docteur.

Nous y serons bientôt, Pat.

Bob, fais venir Carrington ici.

Médecin!

Nous sommes à près de 50 milles, docteur.

Avec votre déviation de boussole,
Comment naviguez-vous, capitaine ?

Ce pic devant est pratiquement plein est.

Nous avons eu le vent avant de quitter le camp.

Très bien, capitaine.
- On devrait y être maintenant, Pat.

Dix. Neuf. Huit. Sept. Six.

Ramasser quelque chose
sur le compteur Geiger, monsieur.

Cinq. Quatre. Trois. Deux. Un.

Regardez là.

Pat, la boussole est en vrille.
- Geiger est au top.

Ouais, c'est ça, d'accord.

Vous voyez un endroit où vous asseoir ?
- Semblait lisse environ un demi-mile en arrière.

Nous allons jeter un œil. Bob!
Préparez-les. C'est peut-être dur.

Bien, monsieur.

Attachez vos ceintures, messieurs.
Nous allons atterrir.

Asseyez-vous et tenez-vous là-bas.

Tout est prêt pour l'atterrissage, monsieur.

Demi rabats.

Complètement riche.
- Complètement riche.

Demi rabats.

Nous y sommes.

Sacré chat ! Quelle chose bizarre.

Laisse-moi prendre une photo
avant de suivre tout l'endroit.

Ce compteur Geiger devient fou.

Quelque chose a fait fondre cette croûte de surface.
Il est à nouveau gelé en glace transparente.

La forme de la bouteille a apparemment été causée
par le métier en premier contact...

...avec la terre dehors
au goulot de la bouteille...

...glissant vers nous et formant
cette plus grande zone au moment où elle s'est immobilisée.

Avec les moteurs générant suffisamment de chaleur
pour faire fondre ce chemin à travers la croûte...

... puis s'enfoncer sous la surface.
- Qu'est-ce qui pourrait faire fondre autant de glace ?

Descendons et voyons. Barnes.

Emmenez les chiens de ce côté.

Dr Chapman, un avion pourrait-il
faire fondre autant de glace?

L'un de nos propres jets génère suffisamment de chaleur
pour réchauffer un immeuble de bureaux de 50 étages.

Il fait partie d'un profil aérodynamique. Probablement un stabilisateur.
- C'est un avion, d'accord.

Pouvez-vous dire de quel métal il s'agit ?
- J'ai besoin d'outils.

Barnes, apportez des outils !

Hé, c'est assez profond ici.
Je ne vois rien d'autre qu'une masse sombre.

C'est plus profond ici.

Capitaine, puis-je suggérer que nous nous étendions
et essayez de déterminer la taille et la forme.

Droite. Écartez-vous, tout le monde ! Nous allons
essayez de comprendre la forme de cette chose.

Voici les outils, monsieur.

Sacré chat !

Hé...

C'est presque...

Ouais. Presque parfait...

C'est. C'est rond.

Nous en avons finalement eu un.
- Nous avons trouvé une soucoupe volante !

Quelqu'un peut-il voir quelque chose à travers la glace ?

Seulement un aperçu.
- Rien qu'une forme sombre.

Semble parfaitement lisse.
Pas de portes ni de fenêtres.

Je ne vois aucun moteur.
- Je doute qu'on trouve quoi que ce soit qu'on appelle un moteur.

Dr Carrington, ce n'est pas un métal que je connaisse.

Probablement un nouvel alliage.

Obtenez des dépôts pour analyse.
- Droite.

Capitaine, je ne pense pas que nous ayons une chance
de fendre la glace avec des haches.

Je sais. Nous le pensons aussi.
Nous essaierons de le faire fondre avec des bombes à thermite.

Ah, excellent.
- D'où pensez-vous que ça vient ?

Je ne sais pas, monsieur Scott.

Eh bien, de cette planète ?
- J'en doute.

Eh bien, est-ce que vous...?
- Les réponses seront beaucoup plus faciles...

... après avoir examiné l'intérieur
de l'avion...

...et ses occupants, s'il y en a.
- Occupants ? Pourquoi, je n'ai jamais...

Quelle histoire!
Oů est la radio ? Hé, Barnes !

Le tenir. Pas de messages privés.
- Qu'est-ce que tu veux dire par privé ?

Je l'envoie au monde entier.
- Ce sont des informations de l'Air Force.

Nous devrons attendre l'autorité
pour vous permettre de le déposer.

Vous avez votre autorité dans la Constitution !
C'est ce qu'on appelle la liberté de la presse.

J'envoie une histoire !
- Pas de notre vaisseau.

Où voulez-vous les bombes ?
- Une par le stabilisateur...

... un autre de l'autre côté si nous en avons besoin.

C'est la plus grande histoire depuis la séparation
de la Mer Rouge. Vous ne pouvez pas le cacher !

Pensez à ce que cela signifie pour le monde.
- Je ne travaille pas pour le monde.

Regarder...
- Non, Scott. Je vais prendre cela.

Voici le détonateur.
- Retournez au bateau et appelez le camp.

Avoir Tex radio on a trouvé une soucoupe volante
dans la glace. On va essayer de le sortir.

Et moi?
- Demandez également si Scott peut envoyer son histoire.

C'est tout ce que je peux faire.
- Tu vas devenir un autre Fogarty.

Où est-ce qu'on va toucher ça ?
- Là-bas.

Avez-vous regardé vers l'ouest?
Ce front bouge vite...

... et la température baisse aussi.
- Nous n'avons pas plus d'une heure.

Où les mettez-vous, Bob ?
- Juste en surface.

Parlez à Stone. Voulez-vous, monsieur?
- Droite.

Dis, que va faire cette thermite ?

Ceci est S-O-P, fonctionnement standard
procédure d'élimination de la glace.

Branchez ce fil, voulez-vous, lieutenant ?
Ça le fait juste fondre.

À quelle vitesse fonctionne-t-il ?

Il découvrira toute la soucoupe
en 30 secondes.

Tout est prêt ici !
- Soyez juste avec vous!

Mieux vaut dégager le terrain ! Près du chien
traîneau! Il va faire très chaud ici dans une minute.

Branchez-la. On va essayer le stabilisateur
d'abord. Utilisez l'autre si nous en avons besoin.

Dans quelques minutes
nous avons peut-être la clé des étoiles.

Un million d'années d'histoire
nous attendent dans cette glace.

Dis quand. Je veux une photo.
- Tout est prêt, monsieur.

Prêt ici.
- Laisse-la partir, Bob.

OK, tout est clair.
- Attendez une minute, tout le monde. Reste en arrière.

Il brûle sous la glace.
- Attention, capitaine.

Ce qui se passe?

Dites-moi, docteur.

Mettez-vous à terre, tout le monde !

Tout le monde va bien ?

Cette dernière explosion était le moteur.

Sergent, voulez-vous essayer votre compteur Geiger ?

Seulement une trace.
- C'est juste résiduel.

Tout est parti.

Les secrets qui pourraient avoir
nous a donné une nouvelle science.

Disparu.
- C'est juste génial.

Procédure d'opération standard.

J'aurais dû penser...
- Vous devriez.

La plus grande découverte de l'histoire en flammes.

Transformer une nouvelle civilisation
dans un morceau du 4 juillet.

Capitaine, je reçois quelque chose ici.

Probablement un fragment de la soucoupe.
- Nous pouvons encore sauver quelque chose.

Tenez, tout le monde.
Je reçois une réaction.

Laissez-moi faire une lecture.

Se réchauffer.

Plus chaud maintenant.

Voici d'où ça vient.

Qu'est-ce que c'est?
- Ressemble à un homme.

Il a des jambes et une tête.
Je peux les voir.

Ouais! Il doit mesurer plus de 8 pieds de long.

Quelqu'un est sorti de cette soucoupe.
- Ou a été jeté.

Et gelé rapidement avant qu'il ne puisse se dégager.

Homme de Mars.
- Comment proposez-vous de le faire sortir ?

Je ne sais pas.
- Utilisez plus de thermite.

Tout ce qui est le plus rapide.
Nous n'avons pas beaucoup de temps.

Voici des haches. Tu pourrais couper
et mettre le bloc sur l'avion.

Je suis d'accord.
- Commencer.

Donnez-moi de la place.
- Bob, dégage le traîneau et ramène-le ici.

Eddie, fais chauffer le bateau.

Et sois prêt à sortir d'ici rapidement.

Pat, je pense que nous avons fait une erreur.
- Que veux-tu dire?

Vous avez déjà lu ça ? 'Département
de la Défense, Bureau de l'Information Publique.

Washington DC.
27 décembre 1949.

Bulletin 629-49 concernant l'article 6700...

... extrait 75 131.

L'armée de l'air a cessé d'enquêter
et évaluer les soucoupes volantes rapportées...

... sur la base qu'il n'y a aucune preuve.

Probablement faire de vous un général
pour détruire la preuve qu'ils ont tort.

"L'Air Force a déclaré que toutes les preuves
indique que les rapports...

... d'objets volants non identifiés
sont le résultat de :

Un : Mauvaise interprétation de divers
objets conventionnels.

Ça ne m'a pas l'air très conventionnel.

"Deuxièmement : une forme bénigne d'hystérie de masse."

Ce serait à ce moment-là que le général Fogarty aurait
à serrer la main de cette chose dans la glace.

Quelles sont les autres raisons ?

"Troisièmement : que ce sont des blagues."

Qu'avez-vous dit le numéro
de ce bulletin était?

'629-49, article 6700,
extrait 75 131.'

Oh. Ah, celui-là.

Montez sur cette corde, professeur.
- J'ai besoin d'un coup de main ici.

Surveillez vos pieds.

Laissez-moi attacher une autre corde pour descendre.

Le tenir!
- Retenez-le maintenant.

Le tenir!

Tirez, là-bas !

Tenez-vous bien sur ces cordes !

Facile.
- Nous y voilà.

Le maintenir.
- Le maintenir!

Waouh ! Allez-y doucement.

Je ne peux pas voir à travers la glace trop bien.

Assez bon pour savoir que d'où il vient
à partir de là, ils ne les élèvent pas pour la beauté.

Eh bien, qu'est-ce qu'on fait maintenant, le décongeler ?

Cette glace va bientôt fondre.

Pouvez-vous contrôler la chaleur dans cette pièce ?
- Non, capitaine. C'est notre cellier.

La température est constante ici.

Nous n'avons pas besoin de le faire fondre.
Nous pouvons l'écailler.

Nous n'allons pas le faire fondre
ou ébréchez-le. Eddie, ouvre cette fenêtre.

Nous n'avons pas le droit de l'examiner ?
- Je veux dire juste ça.

C'est stupide.
- Nous sommes des scientifiques.

Et le Dr Carrington est responsable ici.
- Hé, Pat, ces fenêtres ne s'ouvrent pas.

Il est pratiquement certain qu'on nous demandera
par vos supérieurs pour l'étudier.

Probablement, mais nous ne pouvons pas le permettre maintenant.
- Nous n'avons pas besoin d'autorisation...

Eddie, casse cette fenêtre.
- D'accord.

Désolé. Nous avons déjà tiré une gaffe
dans la glace.

On ne sait peut-être rien à ce sujet...

... mais jusqu'à ce que je reçoive des instructions de mon
officier supérieur, il va falloir marquer le pas.

Vous n'avez aucune autorité...
- Si tu veux parler, fais-le dans le couloir.

Il va faire froid ici.
- Enfin une suggestion sensée, capitaine.

Mac.
- Ouais?

Veuillez rester ici.
Et prenez des quarts de travail de quatre heures.

C'est sans intervention pour tout le monde.
- Oui Monsieur.

Va-t-il faire assez chaud ?
- Sinon, vous m'entendrez crier.

Bob vous apportera le dîner.
- Je pourrais utiliser quelque chose à lire.

Une belle histoire d'horreur tranquille.
- Peut-être un peu apprivoisé pour vous, monsieur.

Eh bien messieurs ?
- Capitaine Hendry...

Excusez-moi, docteur. Puis-je?
- Certainement.

En ce qui concerne l'enlèvement du corps
de la glace, je voudrais souligner...

... il y a des organismes qui survivent
après la mort, mais le froid peut les détruire.

Au vu de ça...
- Je ne sais pas...

Mais ces organismes peuvent être dangereux. Ils
peut être porteur de germes d'une autre planète.

Des germes auxquels nous ne pouvions pas faire face médicalement.
- Merci.

Je ne peux pas être d'accord avec vous, Dr Chapman.
- Moi non plus.

En voici une autre : nous ne savons pas
quel effet l'air de notre Terre...

... peut avoir sur les restes de cette créature.
- En quelque sorte partir en fumée, comme la soucoupe ?

Absurdité.
- N'est-ce pas tiré par les cheveux ?

Ainsi est un homme de Mars.
- Nous n'avançons nulle part.

Je suggère que le capitaine Hendry communique
immédiatement avec son supérieur.

Je deviens sénile.
Nous aurions dû faire cette première chose.

Je suis surpris, capitaine, que vous n'ayez pas essayé
pour joindre votre général en revenant ici.

Nous faisions. Barnes.

J'ai essayé via votre opérateur radio.
Impossible de passer. Trop d'interférences.

Je vois. Mes excuses, capitaine.
- Oui, docteur.

Salut, capitaine.
- Salut, Texas.

Tu as sûrement créé pas mal de problèmes...

Avez-vous envoyé mon message?
- Bien sûr.

Obtenir une réponse ?
- C'est arrivé il y a une heure. Est-ce que tu peux le lire?

Non, tu ferais mieux.
- 'Fogarty à Hendry :

Retenir l'article de journal
jusqu'à l'autorisation du QG de l'Air Force.'

Te voilà, Scotty.
- Bien. Maintenant, quelqu'un d'autre comprendra l'histoire.

'Enlevez immédiatement l'avion de la glace. Utiliser
bombes thermite si nécessaire pour faire fondre la glace.

Oh, c'est ce que j'aime dans l'armée.
Intelligent jusqu'au sommet.

Cela vous permet de vous tirer d'affaire pour la thermite...
- Allez-y doucement. Poursuivre.

'Ériger une structure temporaire pour protéger les aéronefs
jusqu'à mon arrivée.

En voici un autre. Venu il y a quelques minutes.
Je n'ai pu en obtenir qu'une partie.

Poursuivre.
- 'Tout à la terre. Je ne peux pas...' Quelque chose.

'Je veux que tu...' Quelque chose ou autre...
- Ça ressemble à Fogarty.

Puis ça s'est encrassé.
- Vous n'obtenez rien ?

Rien. Frappe statique
tout droit sorti de l'air.

Et vos affaires ?
- Je ne sais pas s'ils l'obtiennent. J'en doute.

Je ne le crois pas.
Même le Pony Express est passé.

Eh bien, docteur?
- Au vu de cette nouvelle situation...

Ne modifie pas l'ancien.
- Nous ne sommes pas d'accord avec vous.

Il n'y a aucune raison de retarder...
- Désolé, messieurs. C'est ça.

Tex, j'aimerais quitter Barnes
pour aider tout ce qu'il peut.

Bien sûr.
- Barnes, continue d'essayer de passer.

Je veux envoyer un message au général.

Dites-lui que l'avion était complètement
détruit par la bombe thermite.

Dis-lui qu'on a trouvé un passager...
- Un gars de Mars ? Où?

Sur la glace, mon pote.

Dis-lui que le corps est dans la glace
et le Dr Carrington veut la permission...

... pour enlever le corps
de la glace pour examen.

Nous attendons des instructions
avant toute autre action.

Oui Monsieur.

Vous avez quelque chose à ajouter, docteur ?
- Oui, un point tout à fait essentiel.

Que c'est d'une importance vitale
que l'examen soit fait.

Par tous les moyens. Ouais.
- Ajoutez ça, Barnes.

Merci, capitaine.
C'est tout ce qui me concerne.

Lorsque vous obtenez votre réponse,
J'attends que vous me le fassiez savoir.

Oui, docteur.

Attends que j'interviewe le médecin
de ce qu'il pense de toi.

Probablement être bon.
- Si ce n'est pas le cas, je le ferai bien.

Tex, continue d'essayer. Barnes, s'il réussit,
demander à nouveau de dégager M. Scott.

N'essayez pas de me savonner.
Je ne t'aime pas mieux.

Je vais manger avec toi, Eddie.
- Je t'enverrai de la bouffe.

Qu'y a-t-il, Bob ?

C'est à propos du lieutenant McPherson assis là-dedans
avec cette chose dans le bloc de glace.

Devenir nerveux?

Eh bien, il ne voudrait pas que je vous dise, monsieur,
mais il a des chatons.

Je ne l'ai pas entendu crier comme ça
depuis Rechenberg.

Vraiment?

Vous voyez, monsieur, la glace se dissipe,
et nous pouvons voir cette chose assez bien.

Il a des mains folles et pas de cheveux,
et les yeux...

Ils sont ouverts et semblent pouvoir voir.
- Bob, je ne t'ai pas entendu...

Ça m'a aussi, monsieur,
et je n'y suis pas resté très longtemps.

En plus il fait assez froid.
J'ai offert au lieutenant une couverture électrique.

Capitaine, j'ai une suggestion.
- Poursuivre.

Au lieu de quarts de travail de quatre heures,
on pourrait les couper en deux...

D'accord. Vous dites à Barnes de prendre le relais à 22h00.

Vous prenez le relais à 2400,
et je vous relèverai à 0200.

Je pense que vous avez raison, monsieur.
- Je pense que vous êtes.

Merci Monsieur.

Salut Pat. Barnes vient d'arriver. Bien sûr content
Je ne regarde plus ce type.

Tout est prêt, Barnes ?
- Oui Monsieur.

J'ai une combinaison de vol électrique et du café.
- Bob vous relèvera à 2400.

Allez-y doucement.
- Ouais.

C'est mieux.

Capitaine Hendry ! Capitaine Hendry !
Capitaine Hendry.

Qu'y a-t-il, caporal ?

Où est le capitaine ? je dois lui dire
cette chose est vivante. Je l'ai vu.

Il m'a chassé. Ce n'est pas mort. C'est...

Capitaine Hendry !

Cette chose est vivante, monsieur.
Je l'ai vu. J'ai tiré dessus. Je l'ai frappé, je le sais.

Rien ne s'est passé. Ça n'arrêtait pas de venir vers moi,
faire un bruit comme un chat qui miaule.

Si tu avais pu voir ces mains et
ces yeux! Tu dois faire quelque chose...

Mac, Bob, prenez des armes.
Maintenant, Barnes, que s'est-il passé ?

Je suis désolé monsieur. Je ne sais pas exactement, mais tout
tout à coup, il était vivant et venait vers moi.

J'ai tiré dessus et je l'ai touché.
Il ne s'est rien passé, alors j'ai couru...

Facile Facile.
- Je suis désolé monsieur.

Tiens, capitaine.
- Prend soin de lui. Allez-vous?

Rendormez-vous.

Reviens avec les autres.

Qu'est-ce qui aurait pu... ?
- Kid a dit qu'il était vivant. Je le crois.

Je le savais. Tout le temps que j'étais ici,
Je pouvais le sentir.

Voici ce qui l'a fait.
Cette couverture était allumée. Il fait encore chaud.

Il est sorti d'ici, d'accord.
- Obtenez des parkas, des bottes et une lampe de poche !

Écouter. Ils le mettront en pièces.
- Nous devons le sauver.

Attendez, docteur. Tu vas mourir de froid
dans cinq minutes. Utilise ta tête!

Je suppose que vous avez raison. J'étais trop anxieux.
- Regardez par ici, capitaine !

Je pense que j'ai le vôtre.
- Puis-je en avoir un, capitaine ?

Laissez-nous partir, docteur.

Doc, pouvez-vous voir quelque chose là-bas ?
- Pas beaucoup.

Vous êtes prêt ?
- Laissez-la partir.

Capitaine, cela aiderait si vous, l'un d'entre vous,
décrirait ce que vous avez vu là-bas.

Il faisait trop froid pour bien voir,
mais les chiens l'ont abattu.

Il s'est levé avec trois suspendus à son bras.
- Il en a jeté un au reste.

Deux étaient morts.
- On aurait dit qu'ils avaient traversé un hélicoptère.

Où as-tu trouvé le bras ?
- En partie sous l'un d'eux.

Les chiens pourraient-ils arracher un bras ?

Ce genre de bras.

Soyez prudent, docteur. Ces barbes sont pointues.
- Semble être une sorte de substance chitineuse.

Parler l'anglais.

Quelque chose entre le dos d'un scarabée
et une épine de rose.

Doigt d'épine ?
- Incroyablement fort.

Très efficace comme arme.
- Très.

Nous n'avons pas à nous en soucier. Un bras
dehors et dehors dans ce froid, il est mort maintenant.

Ça s'est bien passé dans un bloc de glace pendant 24 heures.

Assez vif pour un gars avec 12 chiens sur lui.
- Et pour avoir perdu un bras.

Je perds la tête.
- Incroyable, n'est-ce pas ?

Incroyablement fort.
- Étrange.

Je suis sur et certain.
- C'est du sang sur la main. N'est-ce pas ?

Oui, mais pas le sien.
- Probablement d'un des chiens.

Il n'y a pas de sang dans le bras,
aucun tissu animal.

Dr Stern, voudriez-vous jeter un coup d'œil à ceci
sous le microscope?

Non, M. Scott. je doute fort qu'il
peut mourir, comme nous comprenons mourir.

Sacré chat !
- Oui.

Eh bien, docteur?

Aucune structure artérielle indiquée.
Aucune terminaison nerveuse visible.

Croissance cellulaire poreuse et non connectée.

Juste une minute, docteur. Ressemble à
vous essayez de décrire un légume.

Je suis. Est-ce que vous obtenez tout cela ?
- Oh, pour l'amour de Pete !

Vous savez, docteur, c'est peut-être pour ça
sergent. Les balles de Barnes n'ont eu aucun effet.

C'est exact.
- Simplement des trous percés dans la matière végétale.

Ce liquide vert ici.

Comme la sève des plantes.
- Nous trouverons probablement qu'il a une base de sucre.

S'il vous plaît, docteur, je dois vous demander ceci.

On dirait, eh bien... Juste comme si
vous décrivez une forme de super carotte.

C'est presque exact, monsieur Scott.

Cette carotte, comme vous l'appelez, a construit un
avions capables de voler des millions de miles...

... propulsé par une force
encore inconnue de nous.

Une carotte intellectuelle. L'esprit s'embrouille.
- Ça ne devrait pas.

Imaginez à quel point cela aurait semblé étrange
à l'époque pliocène...

...pour prévoir que les vers, poissons, lézards qui
rampé sur la Terre évoluerait en nous.

Sur la planète d'où vient notre visiteur...

...la vie végétale a subi une évolution
semblable à celle de notre propre vie animale...

...qui compterait
pour la supériorité de son cerveau.

Son développement n'a pas été handicapé
par des facteurs émotionnels ou sexuels.

Dr Carrington, vous avez gagné le prix Nobel.

Vous avez reçu toutes sortes de félicitations
un scientifique peut atteindre.

Si tu étais à vendre, je pourrais toucher un million
dollars pour vous de n'importe quel gouvernement étranger.

Je ne vais donc pas me casser la tête
et dites que vous êtes plein à craquer...

...de muffins aux bleuets sauvages. Mais je promets
vous, mes lecteurs allez le penser.

Pas pour longtemps, M. Scott. Pas s'ils savent
rien sur la flore de leur propre planète.

Tu veux dire qu'il y a des légumes
ici même sur Terre qui peut penser?

Un certain type de pensée, oui.
Avez-vous déjà entendu parler de la vigne télégraphique?

Pas récemment.
- Ou la...

C'est l'acanthe centenaire, Dr Stern ?
- Oui.

Allez-y, docteur. C'est votre domaine.

Eh bien, la plante centenaire attrape les souris,
chauves-souris, écureuils, tout petit mammifère.

Utilise un sirop sucré comme appât,
puis retient sa prise et s'en nourrit.

Qu'est-ce que la vigne télégraphique ?

La vigne, la recherche l'a prouvé, peut signaler
à d'autres vignes de la même espèce...

... des vignes à 20 à 100 milles.

Intelligence dans les plantes et les légumes
est une vieille histoire, M. Scott.

Plus vieux encore que l'arrogance animale
qui l'a négligé.

C'est un pour Ripley.
- Regardez ici.

J'ai pris ça sous les tissus mous
dans la paume de la main.

Une gousse.
- Graines?

Oui. Le net et sans confusion
technique de reproduction de la végétation.

Pas de douleur ou de plaisir tel que nous le connaissons.

Pas d'émotions...

...sans coeur.

Notre supérieur. Notre supérieur à tous points de vue.

Messieurs, vous rendez-vous compte
qu'avons-nous trouvé?

Un être d'un autre monde aussi différent
de nous comme un pôle de l'autre.

Si seulement nous pouvions communiquer avec lui...

... nous pouvons apprendre des secrets qui ont été
caché à l'humanité depuis le début...

Sacré chat. Ça bouge.

Mlle Nicholson.
- Oui, docteur ?

A 12h10, la main est devenue vivante.

La température de l'avant-bras
a montré une hausse de 20 degrés.

En raison de cette élévation de température,
Je crois qu'il a pu ingérer...

...le sang canin avec lequel
c'était couvert. Je crois...

Tu veux dire...
Tu veux dire qu'il vit de sang.

C'est le meilleur que nous ayons pu trouver.
- Cela devrait fonctionner.

Où vas-tu?
- Pour trouver notre visiteur, si nous le pouvons.

Un instant, capitaine !

Vérifiez à nouveau la réserve.
Verrouillez toutes les portes extérieures.

Capitaine, quand vous trouvez
Qu'est-ce que vous cherchez...

... rappelez-vous que c'est un étranger
dans un pays étranger.

Les seuls crimes étaient ceux
commis contre elle.

Il s'est réveillé d'un bloc de glace, a été attaqué
par des chiens et abattu par un homme effrayé.

Tout ce que je veux, c'est communiquer avec lui.
- D'accord, à condition qu'il soit fermé à clé.

Si nous l'attrapons, laissez-moi prendre sa photo
avant que quelqu'un en fasse une salade.

Bien sûr, Scotty.

Bob, monte là-bas.
- Quoi de neuf? On dirait une fête de lynchage.

Vous avez des visiteurs ?
- Pas une âme.

J'ai reçu une partie d'un message du général.
Il a dit d'attendre l'histoire de M. Scott.

Quelle est la différence?
Rien ne sort de toute façon.

Qu'est-ce que tu cherches?
- Je n'ai pas pu venir ici.

OMS?
- L'homme de Mars.

Tu veux dire qu'il est vivant et lâche ?

Gardez votre porte verrouillée. Utilisez votre hache
si tu dois. Le pistolet n'est pas bon.

Que voulez-vous dire par le pistolet n'est pas bon?
Maintenant, regardez...

Eddie.

Attendez, capitaine.

Il y a quelque chose ici, d'accord.
- Vous êtes un peu à côté de la plaque.

C'est le labo de minéralogie.
Les isotopes radioactifs sont là-dedans.

Votre Geiger réagit à une salle pleine
d'échantillons de minerai d'uranium.

Ouais.

Cette porte est verrouillée.
- Le Dr Stern a la clé.

Oh oui.
- Qu'y a-t-il ici ?

La serre. Les Esquimaux ont
un faible pour nos fraises.

Fraises au Pôle Nord.
- Excuse-moi.

Mac. Bob.

Regardez sous ces tableaux.

Bob, vérifie cette porte extérieure.

La porte est verrouillée, monsieur.
- Rien ici.

Nous sommes toujours à zéro au bâton.

Eh bien, docteur?
- Capitaine, je...

Rien dans cet autre couloir.
- Des suggestions, docteur ?

Il n'est visiblement pas à l'intérieur.
- On va commencer à chercher dehors...

Fermez la porte s'il vous plaît.
- Pas grave.

Capitaine, une demi-heure dehors maintenant c'est tout
nous pouvons tenir. On ferait mieux de le faire en relais.

Vous avez raison, Dr Chapman. On va s'arranger...
- Voulez-vous fermer la porte, s'il vous plaît ?

Nous devons dire au général Fogarty
ce qui s'est passé.

Nous sommes susceptibles de devenir célèbres.

Si peu de gens peuvent se vanter d'avoir perdu un vol
soucoupe et un homme de Mars en une seule journée.

Je me demande ce qu'ils auraient fait à Columbus
s'il avait découvert l'Amérique, alors il l'avait égarée.

Bouquet de doigts de beurre.

Messieurs, je viens de remarquer...

Regardez ces taupes.

Ils sont flétris.
La seule chose qui pourrait...

Un souffle d'air glacé
si cette porte arrière était ouverte.

Regardez cette serrure, professeur.
- Oui.

10 ou 15 secondes d'exposition suffiraient.
- Exactement.

À quoi cela vous mènerait-il ?

Que c'était peut-être...

Ici.
- Sans aucun doute.

Dr Carrington, vous aviez raison.
Le verrou a été remis en place.

La clé est partie. Quelqu'un est entré
et est parti et a verrouillé la porte de...

De l'exterieur.
- Regarder. Vous voyez comme il brille à la lumière ?

C'est une tache de...

Sève végétale. Du bras blessé ?
- Vous ne supposez pas...?

Ouvrez-le, s'il vous plaît.

Un des chiens de traîneau.
- Pas encore froid.

Docteur, cela ne semble-t-il pas un peu... ?
- Rétréci. Y a-t-il du sang là-dedans ?

Aucun.
- Pas de sang.

Pas de sang ?
- Son sang a été drainé.

Tout rentre dans l'ordre.

Quoi de plus naturel pour un tel être
que de chercher la seule terre ouverte à proximité ?

Il est venu ici pour se réfugier, nous a entendus et s'est enfui.

C'était ici. Il reviendra encore.
- Nous ferions mieux de dire...

Je ne suis pas d'accord. C'est bien mieux
si la science plutôt que l'armée...

Es-tu sûr que c'est la meilleure chose à faire ?
- Je suis sûr que nous pouvons communiquer avec elle.

C'est plus sage que nous. C'est notre seule chance
de lui parler, d'apprendre tant de choses.

Le Dr Carrington a raison.
- Tu comprends sûrement ça, Stern.

Monterez-vous la garde tous les deux
ici avec moi ce soir?

Bien sûr, docteur.
- D'accord.

Stern, dites au Dr Auerbach et au Dr Olson
ce que nous avons trouvé.

Demandez-leur de revenir
et nous soulager le matin.

Et dis-leur, s'il te plaît,
ne se confier à personne.

Un peu de chance, capitaine ?
- Lee, tu ferais mieux de préparer plus de café.

Trouver quelque chose, capitaine ?
- Pas un signe.

Barnes a débusqué un ours polaire.
- Bien sûr.

T'effrayer?
- Pas après avoir vu que ce n'était qu'un ours.

Trop froid là-bas pour ça.
- Vous n'avez rien trouvé.

Je ne pensais pas que tu le ferais.
Quand nous les perdons, ils restent perdus.

Non pas que cela fasse une grande différence.
Rien n'arrive à la radio.

Tex, tu as quelque chose ?
- Le général Fogarty a de la température.

C'est devenu clair il y a 10 minutes,
puis il s'est de nouveau encrassé.

'Fogarty à Hendry : Prenez toutes les précautions pour
conserver soigneusement l'avion jusqu'à mon arrivée.

Identique à identique.'Utilisez les mêmes précautions
avec les cadavres de tous les occupants.

Du pareil au même.
'Transmettre la description détaillée de l'avion.

Mesures, poids approximatif
et ainsi de suite. Important.'

'Fogarty à Hendry : pourquoi n'ont-ils pas
tu as répondu? Vous voulez une réponse immédiate.

Idem. Silence radio inutile.
Message de référence Fogarty à Hendry.

Reconnaissez immédiatement.

Rapport d'attente. Silence déroutant.

Pareil à même.'Reconnaître.'

Du pareil au même...
- Reconnaissez immédiatement.

Je suppose qu'il veut entendre parler de moi.
- Il n'y a rien pour moi ? Je ne le crois pas.

Comment un homme peut-il être
un général sans...?

Dans la serre...

Voir...

Barnes, surveille ce couloir.
- Apportez la trousse de premiers soins.

Capitaine, c'est mon travail.
- Bob, tu ferais mieux de commencer à prévenir le reste du camp.

Est-ce que ce système de haut-parleurs fonctionne à partir d'ici ?
- Oui. L'interrupteur de gauche dessert toutes les pièces.

Attention, tout le monde dans le camp.
Verrouillez vos portes.

Notre visiteur est revenu et est dangereux.
Restez où vous êtes jusqu'à notification.

Reste où tu es.

Facile. Tout va aller bien.
- Que s'est-il passé, docteur ?

Dans la serre,
J'étais en train de travailler. Je ne pouvais pas voir.

Puis un souffle d'air froid,
et j'ai entendu Olson crier.

Quand je me suis retourné, la chose m'a frappé.
- Continue.

Je ne m'en souviens pas. Ma tête...
J'ai dû tomber.

Quand je suis revenu à moi, j'ai vu Olson et Auerbach.
Ils étaient...

Donnez-lui un peu plus de ça. Obtenez ces haches.
Allez-y, docteur.

Ils étaient tous les deux suspendus aux poutres
à l'envers, mort. Leurs gorges ont été tranchées.

j'ai rampé...
- Était-il là quand vous êtes parti ?

Je ne pouvais pas voir.

Vous voila monsieur.
- Attends Pat ! Je veux prendre une photo.

Attendez une minute. Il pourrait sortir
de la serre par la porte extérieure.

On peut y accéder par la salle du générateur.
- Vous deux allez avec lui.

Tu veux dire entrer ?
- Scellez la porte avec tout ce que vous pouvez trouver.

C'est mieux.

Facile. Donnez-leur le temps d'y entrer.
- Pat, je veux une photo.

Vous revenez avec le reste.
- Ne soyez pas stupide.

Ça te coûtera un verre.
- Je vais lui acheter une bière.

Prêt, Bob?
- Non, mais allez-y et ouvrez-le.

Obtenez quelque chose pour soutenir cette porte, quelque chose
assez court pour passer sous ce verrou !

Prends ta photo, Scotty ?
- Non. La porte n'a pas été ouverte assez longtemps.

Voulez-vous que je l'ouvre à nouveau ?
- Non!

Apportez un marteau et des pointes !
- Frappez ça, voulez-vous?

Là. Cela devrait faire l'affaire.

Docteur Chapman, vous êtes sûr
il n'y a pas d'autre issue ? Pas de fenêtres ?

Uniquement les portes avant et arrière.
- Les murs solides ?

Tôle ondulée.
- Vous ne pensez pas que...?

Tu as trouvé un chien là-dedans, saigné à blanc
par notre visiteur. Pourquoi ne pas l'avoir signalé ?

Ce n'était pas nécessaire.
- Il fallait laisser mourir des amis ?

Je les ai postés comme gardes...

J'ai regardé. Ils sont suspendus à l'envers
comme dans un abattoir. J'aimerais que vous l'ayez vu.

Ne pouvons-nous pas faire quelque chose ?
- Ils sont morts.

Voyons si personne ne les rejoint. Docteur, vous êtes
limité à votre chambre, au laboratoire et au réfectoire.

Vous n'avez aucune autorité d'aucune sorte.
Pas le droit d'assumer...

Tu ferais mieux d'avancer.

Nous avons la porte arrière bloquée.
S'il sort...

... il devra creuser
barils de pétrole et quelques tonnes de neige.

Bob, la prochaine fois, lève un peu la mire.
- J'étais trop occupé pour y penser.

On va devoir s'installer
un garde ici dans le couloir.

Postes de deux heures. Nous aurons besoin de bénévoles.
- Comptez sur moi, capitaine.

Vous nous avez fait venir, docteur ?

Vous avez dit que vous aviez des nouvelles pour nous, docteur.

Désolé. Je suis très fatigué. Je n'ai pas dormi.

Il est difficile...

Difficile de parler.

Voulez-vous lire mes notes, Mlle Nicholson ?
- Docteur, vous avez besoin de repos.

Oui je sais mais...

Veuillez lire mes notes.

"A 21h00, j'ai placé les graines prélevées sur
la main coupée de X...

...dans quatre pouces de terre.

J'ai saturé la terre...

J'ai saturé la terre avec deux unités
de plasma provenant de notre banque de sang.

L'état du chien retrouvé
dans la serre indiqué du sang...

... était un facteur primordial
dans la culture des graines.

A 2h00 du matin...

A 2h du matin, les premières pousses
apparu à travers le sol.'

Cinq heures.
- Oui. J'ai utilisé deux autres unités de plasma.

A 4 heures du matin, les pousses ont commencé
prendre une forme définitive.

Je suis arrivé à la conclusion...

Je vois à vos visages que vous ne me croyez pas.

Eh bien, vous pouvez juger par vous-mêmes.

Oh non. Ce n'est pas possible.

Il se reproduit.
- Vitesse incroyable.

Cela confirmerait
L'impression du capitaine Hendry.

Quand il a vu la créature dans le
serre, il avait poussé un nouveau bras.

Cette pulsation, docteur ?
- Comme s'ils respiraient.

Oui. Plantes humaines.
- Surhumain.

Tout ça à cause du plasma sanguin ?
- C'est correct.

Remarquez-les, plus près de la source de
le plasma. Tandis que ceux-ci, plus loin.

Combien d'unités avons-nous ?
- Assez, j'espère.

Souhaitez-vous les écouter,
Professeur Wilson ?

Oui merci. Je devrais.

Bien?

Presque comme le gémissement
d'un nouveau-né qui a faim.

C'est ainsi que je l'aurais décrit.
- Médecin?

Oui, Mlle Nicholson ?
- Cela vous dérangerait-il si je... ?

Auras-tu encore besoin de moi ?
- Non. Finis juste de taper mes notes.

Rendez-les-moi.
Que personne ne les voie.

Docteur, je pense que vous devriez dormir un peu.

Il y a trop à faire.

Votre esprit ne peut pas fonctionner si vous êtes épuisé.
- Mon esprit est toujours clair.

Non, ça ne l'est pas, docteur. tu ne penses pas
de ce qui se passe dans la serre.

Il fait pousser ces graines là-dedans
utilisant du sang. Juste comme tu es.

Vous avez vu ce qu'une créature comme ça
peut faire. Imaginez un millier.

Je l'ai imaginé.
- Arthur...

... et si cet avion arrivait
pas seulement pour visiter la Terre...

... mais pour le conquérir ? Pour commencer à grandir
une sorte d'horrible armée ?

Transformer la race humaine en nourriture pour elle ?
- Beaucoup de choses menacent notre monde...

... de nouvelles étoiles, des comètes qui tirent...
- Mais ce sont des théories.

C'est un ennemi ici.
- Il n'y a pas d'ennemis dans la science...

...seuls phénomènes à étudier.
Nous en étudions un.

Entrez.

Bonjour Pat.
- Salut. Nikki, je veux te demander quelque chose.

Est-ce que quelqu'un ici a été blessé dernièrement ?
Quelqu'un a-t-il été abattu, poignardé ou opéré ?

Non. Qu'est-ce-qu'il y a dans la serre
a été notre première diversion.

J'ai apporté 35 unités de plasma sanguin
il y a deux mois. Qu'est-il devenu ?

Pourquoi veux tu savoir?
- Pourquoi ne le donnent-ils pas au Dr Stern ?

Ils lui font des transfusions sanguines
au lieu de plasma. Deux donneurs vivants.

Que fait Carrington avec
35 unités de plasma sanguin ?

Je suppose...

Je suppose que tu ferais mieux de te balancer
mon menton et jetez un oeil à ces notes.

Je devrais essayer de t'arrêter.

C'est donc ce qu'il a fait.

Merci. Merci de ne pas m'avoir arrêté.

Pat, tu te souviens de quelque chose ?
Il est fatigué.

Il n'a pas dormi depuis que tu as trouvé
cette chose. Et il ne pense pas bien.

Je le connais. Et il ne pense pas
comme nous le faisons en tout cas.

Mais il a trouvé quelque chose que personne ne peut
comprendre. Jusqu'à ce qu'il puisse le résoudre, il va...

Tu sais, comme un enfant avec un nouveau jouet...
- Seul ce jouet est susceptible de le mordre.

Merci encore.

Oů est le Dr Carrington ?

Je suis désolé. je n'ai pas d'autorisation
pour te donner n'importe quoi...

Je suis très occupé.
- Je sais que vous êtes occupé, docteur.

Je comprends que vous avez jardiné.
Où sont-elles?

Pourquoi?
- Par ici à la crèche, Pat.

je ne tolère pas les intrusions
dans mon laboratoire. Ne touchez pas.

C'est ce que vos collègues
font dans la serre.

C'est une amélioration.
- Ce qui s'est passé n'est pas de ma faute.

Nous avons lu vos notes.
Vous auriez dû nous consulter.

J'ai l'aide dont j'ai besoin.
Votre avis n'a pas été demandé.

Il a par le capitaine Hendry. Et j'ai donné
ça à lui. Je vais vous le répéter.

Nous sommes face à quelque chose
imprévisiblement dangereux.

La créature dans la serre
se multiplie évidemment.

Nous n'avons aucun moyen de savoir combien.

Il faudra plus de sang
et essaiera d'obtenir ce dont il a besoin.

Il est emprisonné et inoffensif.
- Comment pouvez-vous être sûr de notre sécurité ?

Ou la sécurité du monde ?

Pensez à 1000 de ces créatures. 10 000. Il
doit être détruit, cette progéniture avec elle.

Non.
- On peut les brûler.

Et ce truc dans la serre ?
- Vous êtes comme des garçons effrayés.

Tu as raison. Je suis effrayé.
- Toute destruction serait un outrage...

... une trahison de la science.
- C'est possible.

Mais je dormirai mieux si on s'en débarrasse.
- Capitaine, Barnes enfin...

... j'ai reçu un message.
Voici la réponse.

Poursuivre.
- 'Fogarty à Hendry :

Carrington m'informe que Martien est vivant.
Gardez-le en vie et protégez-le contre les blessures.

N'intervenez en aucun cas
contre elle jusqu'à mon arrivée.

Vous avez vos ordres, capitaine Hendry.
Je les considère sains d'esprit et intelligents.

Mais, Tex, et moi ?
- Rien, Scotty.

Qu'est-ce qu'on fait, Pat ?
- Essayez de changer l'avis de l'armée.

Hé! Hé, c'est moi, Eddie !

Que faites-vous ici?
- Nous ne pouvons pas l'emmener là-bas.

Abandonnez l'idée de garder de l'extérieur.

Le vent souffle si fort que vous ne pouvez pas voir.

Il peut traverser les murs aussi facilement que les portes.

Comment a-t-il pu traverser des murs de fer ?
- Utilisez un ouvre-boîte.

Nous laissons tomber la garde extérieure.
- Mettez cette main dans de l'eau glacée.

Qui est dans le couloir ?
- Stone et Wilson, monsieur.

Barnes, dis-leur qu'ils sont les seuls
sur ses gardes. Dites-leur de le regarder.

Texas?
- Je suis ici.

Vous ne serez pas long.
Nous laissons tomber la garde extérieure.

Venez rejoindre les autres dans la salle à manger.

Je vais bien. J'ai la porte renforcée,
et il n'y a pas de fenêtres extérieures.

D'accord. Si vous voulez être courageux.

Bien.
- Pat, qu'est-ce qu'on va faire ?

Quelqu'un ici veut du café ?

Non, mais vous pouvez entrer.

C'est la raison pour laquelle je l'ai apporté.
J'espérais que vous pourriez me demander d'entrer.

Qui en veut?
- Je pourrais utiliser une moitié.

Qu'est-ce que tu disais, Scotty ?
- Je me demandais... Ça suffit. Merci.

Que se passe-t-il si notre petit ami se sent seul
et se promène et finit ici ?

J'ai pensé que.
- Rien ne lui fait mal.

Que faire d'un légume ?
- Faites-le bouillir.

Qu'est-ce que tu as dit?
- Faites-le bouillir. Faites-le mijoter. Cuit le. Faites-le frire.

Ça a du sens.
- Le froid ne le dérange pas.

Peut-être que le Dr Carrington la posera
ramper dans une chaudière.

Tu pourrais peut-être emprunter un lance-flammes.
- Capitaine, j'ai eu une idée folle.

On a plein de kérosène et on pourrait...

Point trois. Point quatre.
- Voici où nous commençons à cuisiner.

Cinquième point. Sixième point.

Cette chose est sortie de la serre.
Rester ensemble.

Point neuf. Qu'en est-il du lancer
du kérosène dessus et y mettre le feu ?

Nous pouvons essayer.
- Voici une boîte pleine.

Je le prends. Nous aurons besoin de quelque chose pour le mettre.

Voici un seau.
- En voici un autre.

Un point deux.
- Il nous en faut un de plus.

Pat, celui-ci fonctionnera bien.
- Bien.

Surveillez cette cigarette, lieutenant.

Comment allons-nous y mettre le feu,
frotter les bâtons ensemble?

Il y a un pistolet Veri dans mon sac.
- Je l'aurai.

S'il entre, vous le mouillez.
Mac, touche-le. Et ne manquez pas.

Soyez prêt s'il en faut plus.
- Tu as raison.

Fermez-la.
- Un virgule trois maintenant.

Vous savez tirer ça ?
- J'ai vu Gary Cooper dans le sergent York.

Un virgule quatre.
- Venez ici. Allez dans le coin.

Tiens ça devant toi.
Restez près de l'interrupteur.

Un virgule cinq. Un virgule six.

Ca c'était quoi?
- Ça ressemblait à une fenêtre.

Un virgule huit.
- Éteignez ces lumières.

Un virgule neuf.
L'aiguille a atteint le sommet.

Éteindre le feu!
- Je suis!

Attention, capitaine !

Bloquez cette fenêtre !
- Salut Scotty !

Cela rendra votre main plus agréable.
- Merci.

Cela devrait être assez de kérosène.
- Préparez-le.

Comment ça se passe, Barnes ?
- Tout ira bien.

Ce qui me rend fou, c'est qu'il ne l'a pas fait.
Je l'ai cassé en tombant sur la couchette.

Écoutez, nous voulons que vous restiez tous ici.

Nous avons trouvé un moyen de combattre cette chose,
mais a incendié une pièce.

Ça ne fait pas beaucoup de mal, de la façon dont ça a décollé.
- A peu près autant d'effet qu'un pied chaud.

C'est sûr de revenir.

Nous ne voulons pas brûler tout l'endroit.
Alors on va après.

Il est probablement allé à la serre.
Nous allons commencer par là.

En attendant, reste ici.
Regardez la porte dans le couloir.

Gardez un œil sur le compteur Geiger.
- Voici les extincteurs.

C'est qui ton électricien ?
- C'est ma ligne.

Pouvez-vous vous connecter au système d'interphone ?
- Nous pouvons en prendre un de n'importe quelle pièce.

Je peux aider.
- Mac, nous serons dans la salle radio.

Faites-nous savoir quand vous serez prêt.
Ça va?

Ouais. J'aimerais vous accompagner.
- Vous n'en avez pas assez ?

Si je recommence à brûler,
qui éteindra le feu ?

Nous sommes très fiers de notre capitaine.

Maintenant, regarde, mets un des interphones
ici. Cela prendra soin de cette fin.

Mettez-en un autre ici à la jonction.
Voyez s'ils travaillent dans la salle à manger.

Tu as dit que tu allais
utiliser à nouveau du kérosène.

Vous savez quelque chose de mieux ?
- Quelque chose de plus chaud. Pourquoi ne pas utiliser l'électricité ?

Vous voulez dire votre système d'éclairage?
- Non, on peut brancher un nouveau transformateur.

Cela nous donnera plein d'amplis.
- Assez pour le brûler ?

Plus qu'assez.
- Pourriez-vous utiliser des câbles à deux pôles ?

Si vous isolez les poteaux.
- Ça a l'air bien.

Bob, donne-lui un coup de main.
Allez, Tex. Tu vas travailler.

Obtenez Anchorage si vous le pouvez.
Racontez-leur toute l'histoire.

Dites-leur que nous sommes en mauvais état
et d'apporter des grenades à main, des mortiers...

... des lance-flammes, n'importe quoi.

Dites-leur si je n'envoie pas d'histoire,
Je vais me tirer une balle.

Peignez d'abord vos cheveux.
- Quels cheveux ?

Hé, dis-le encore.
- Oh, Nikki, pas toi aussi.

Il est sensible.
- Toi aussi.

J'ai des cheveux.
- Ne te rend pas plus jolie.

Non, votre souffle.
- Je suis désolé.

Il est sensible à ça aussi.
- J'ai été contrarié.

Vous ninnies. Regarder. C'est ce que je veux dire.
- Hé regarde. Toi aussi.

Il commence à faire froid.
- Le chauffage doit être éteint.

Il est désactivé.

Il ne reçoit pas d'huile.
Voyez si c'est la même chose de l'autre côté du couloir.

Tex, où ces radiateurs obtiennent-ils de l'huile ?
- Autour de derrière. Dehors.

Pat, il n'y a plus de chauffage dans la salle à manger !
- Non.

Plus d'huile qui rentre.
- C'est éteint là aussi.

Le réservoir pourrait-il être vide ?
- Rempli avant-hier.

La ligne principale pourrait être bouchée.
Mieux vaut le réparer.

Probablement rencontré notre visiteur,
qui t'attendrait.

Nous sous-estimons ce gars.

Essayer de nous geler, hein ?
- Ce ne sera pas difficile.

Il fait moins 40 degrés.
- Il fait moins 60 dehors.

Combien de temps ces pièces conserveront-elles la chaleur ?
- Une demi-heure.

D'ici là, nous serons raides.
- Si personne ne sort...

... ne pensera-t-il pas à autre chose ?

Il pensera que notre seule chance de garder
chaud c'est de l'électricité. Chauffages, couvertures.

Cela pourrait casser le circuit,
couper une ligne, sauf à la source.

La salle du générateur.
- Faites-les tous entrer.

Je vais le dire à Tex.
- Apportez de la nourriture, des médicaments, des couvertures, des vêtements.

Apportez nos vêtements de vol.
- La plupart ont été brûlés. Je vais voir ce que je peux sauver.

Branchez le transformateur dessus.
- Il fait froid ici.

La chose a éteint le chauffage.
- Quoi?

Qu'allons-nous faire ?
- Je ne sais pas.

La prochaine chose est l'électricité,
donc tout le monde est dans la salle du générateur.

Avez-vous fait du bon travail sur la porte extérieure ?

Houdini aurait du mal à entrer.
- Il passera par ici.

C'est la seule solution. J'ai du fil de clôture
assez fort pour la tension?

Des rouleaux entiers.
- Ça marchera.

Quoi?
- Pose-le sur le sol.

Une avance au-dessus de la tête et de chaque côté.
Quand il arrive sur place, pressez-le.

Je ne te comprends pas.
- Oů est le fil ?

Ici.
- Donnez-moi ça.

Que fais-tu?
- On lui installera un attrape-mouche électrique.

Que veux-tu dire?

Scotty, donne-moi un marteau et des clous.
- Bien sûr.

Mieux vaut s'écarter du chemin.

On dirait que la situation est bien en main.
- J'ai donné tous les ordres que je vais donner.

Si je pensais que c'était vrai,
Je te demanderais de m'épouser. Voici votre manteau.

Je veux garder mon esprit ouvert.

Marteau et clous.
- Là-bas.

Où nous voulez-vous ?
- Dans la salle du générateur. Avancer.

Désolé, j'ai changé d'avis. Tout est éteint.
- Continuez à bouger, tout le monde.

Je veux un autre mot avec toi.
- Pas le temps maintenant. Avancer.

Faites place. Nettoyez ça.
Nettoyez cet endroit.

Où sont ces coupeurs ?
- Ici.

Où est ton compteur Geiger ?
- J'en ai un aussi.

Allez dans la salle de réunion.
Si vous obtenez quelque chose, venez en courant.

Donnez-moi une paire de gants.
- Utilisez le mien.

Laissez assez pour accrocher le fil aérien.
- Eu plein.

Nous y sommes, lieutenant.
- Ouais, ça devrait nous donner un terrain.

Elle est là, capitaine.
- Jusqu'à cinq degrés maintenant.

Parfait pour le ski.
- Mieux vaut prendre des bottes en caoutchouc, Scotty.

Pourquoi?
- Isolation quand ils allument le jus.

Oh ouais.
- Il y en a une paire ici.

Où?
- Attendez. Vous n'aurez pas besoin de bottes.

Quand ça vient, reviens.
Vous n'appartenez pas ici.

Je n'appartenais ni à Alamein ni à Okinawa.
Je kibitais juste.

J'écris aussi une très bonne nécrologie.
Ignorez-moi simplement, s'il vous plaît.

Capitaine Hendry.
- Poursuivre.

Je viens de brancher ça.
Vérifier si cela fonctionne.

Bien. Surveillez votre compteur Geiger.

Mac, as-tu entendu ?
- Tous les mots. J'espère que c'est tout ce que j'entends.

Moi aussi.
- Voici un autre message de Washington.

'Utilisez tous les moyens pour protéger des vies,
mais ne prends aucune mesure contre ton prisonnier.

Notre prisonnier.

Vous ne pouvez pas ignorer les commandes.
- Témoignez-en devant ma cour martiale.

Vous privez la science du plus grand secret
cela n'a jamais été fait.

Retourner.
- La connaissance est plus importante que la vie.

Nous n'avons qu'une excuse pour exister.
Penser. Découvrir. Apprendre.

Que pouvons-nous apprendre de cela,
sauf une façon de mourir ?

Peu importe ce qui se passe.
Rien ne compte sauf notre pensée.

Nous nous sommes battus dans la nature.
Nous avons divisé l'atome...

Cela a assurément rendu le monde heureux.
N'est-ce pas?

Nous le devons au cerveau de notre espèce
rester ici et mourir...

...sans détruire une source de sagesse.
- Capitaine Hendry.

La civilisation nous a donné des ordres.
- Sortez-le d'ici.

Oh, imbéciles. Vous ne lui ferez jamais de mal.

Poursuivre.
- Je reçois une contre-réaction Geiger.

Quelle est votre lecture ?
- Point deux, mais stable.

Regarde ça. Dites-nous tout changement.
Mac, quelque chose à votre goût ?

Pas une lueur.
- Regarde ça.

Voici l'interrupteur de fonctionnement.

Comment peut-il faire froid si vite ?
- Continuez à vous déplacer.

Il doit être nul.
- C'était. Prochain arrêt, cinq ci-dessous.

Allez, M. Martian, et prenez quelques
beau sang écossais. Cent preuves.

Rien de tel pour les bébés.
- Dites-lui de le couper.

Non non. Laissez-le continuer. J'aime
chair de poule. Ils me gardent au chaud.

Avez-vous une photo de cette chose en feu ?

Non. J'en ai tiré un pendant que j'étais
tomber en arrière sur le lit.

J'ai probablement le plafond et mes grands pieds.

Le capitaine Hendry, en montant un peu.
Point quatre maintenant.

Attendez. Mac, un changement ?
- Juste le même. Seulement plus froid.

Ça veut dire qu'il passe par le mess.
- Excuse-moi. J'ai une idée.

Quoi?
- On y va encore une fois.

Votre garçon est assez intelligent. Il pourrait voir
ces fils et réfléchissez-y.

Ouais.
- S'il réfléchit trop longtemps, nous sommes de la viande froide.

Et si on le rencontrait au carrefour ?
- Qu'il nous voie là-bas et qu'il nous chasse ?

Moins il y a de lumière, mieux c'est.

Éteignez cette lumière et celle-ci ici.
Ne me dis pas que j'ai raison.

Le capitaine Hendry, qui monte.
Point huit maintenant.

J'en prends aussi.
- Il montre ici.

Tous les deux, revenez ici. Venez courir.
- À mi-chemin.

Si vous accélérez ce générateur,
pouvez-vous en tirer plus ?

Certainement pas de mal à essayer.
- Bill et Tex, allez avec lui. Nikki aussi.

Non.
- Bonne chance à toi.

Quel est le problème?

Je souhaitais que nous ayons testé cette chose.
- Et si nous n'avons pas assez de tension ?

Continuez à vous balancer dans ses bras.
- Un virgule deux.

C'est en route.
- J'ai un souci.

Rapport du front,
McPherson a un souci.

Ce n'est pas une blague.
- Quoi?

Et s'il pouvait lire dans nos pensées ?
- Il sera en colère quand il m'atteindra.

Un virgule quatre.
- Continuez à vous déplacer, les gars.

Gardez-le tranquille.

Je me souviens de la première exécution que j'ai jamais
couvert. Ruth Snyder et Judd Grey.

Avez-vous une photo?
- Non. Ils n'autorisaient pas les caméras.

Un virgule six et plus.
- Ne bouge pas tant qu'il ne nous a pas vus.

Donnez-lui une chance de regarder.
Laissez-moi de la place pour atteindre cet interrupteur.

Éloignez-vous des murs
quand il frappe le jus.

Tout le monde a des bottes en caoutchouc ?
- Oui Monsieur.

Un virgule huit.

J'ai entendu quelque chose.

Il se rapproche du sommet.

Recevez vos publications !

D'accord. Détendez-vous.

Qu'est-ce que...?
- Le jus est éteint!

Carrington a éteint le générateur.

Bob, apporte une lampe de poche. Eddi,
retenez-le aussi longtemps que vous le pouvez.

Attention. Il a une arme à feu.
- Tenir à l'écart. Tenir à l'écart.

Tenir à l'écart. Je ne te permettrai pas de détruire...

Allumez ce générateur !
Reviens ici, Eddie.

Eddie, reviens !
Éloignez-vous de ce fil !

Je suis votre ami. Je n'ai pas d'armes.
Je suis votre ami.

Tu es plus sage que moi. Tu dois comprendre
ce que j'essaye de te dire.

N'allez pas plus loin. Ils vous tueront.
Ils pensent que vous allez nous faire du mal.

Mais je veux te connaître,
pour vous aider. Crois ça.

Tu es plus sage que tout sur terre.

Utilisez cette intelligence. Regarder
et sachez ce que je vous dis.

Je ne suis pas ton ennemi.
Je suis un scientifique qui essaie...

Le tenir.

Attends qu'il ait raison
au milieu, monsieur.

Il doit être sur cette promenade, capitaine.

Attendez qu'il soit en plein milieu, monsieur.

Ah, c'est ça. Arrêt. Éteignez-le.
- Laisser aller. Nous ne voulons plus aucune pièce.

Eh bien, tu peux prendre une photo maintenant, Scotty.

Cela prendra une minute pour se réchauffer.
- D'accord.

Y a-t-il une raison maintenant
pourquoi je ne peux pas envoyer mon histoire?

Ne prends que cinq minutes.
- Je suppose que ça va.

Tu me parais mieux
qu'avant.

Tout est fait, Pat.
- Tout obtenir ?

Tout brûlé dans le labo de Carrington
et la serre.

Brûlé le bras aussi.
- Comment va le Dr Carrington ?

Il a une clavicule cassée
et un mal de tête.

Je n'ai pas assez de tension.

Je vais vérifier le générateur pour vous.
- Bien.

Quelqu'un veut du café ?
- Non, mais vous pouvez entrer.

Vous feriez mieux d'en avoir. Tu as l'air fatigué.
- Il devrait avoir l'air fatigué.

Il a deux choses en tête.
- Nous n'en avons eu qu'un.

Nos soucis sont terminés, tandis que notre capitaine...
- Fermez-la.

N'y a-t-il pas quelque chose que vous
peut faire à ce sujet, Nikki?

Je ne sais pas. Tu sais, je reçois
assez marre du pôle Nord.

Combien gagne un capitaine ?
- Pas beaucoup.

C'est un bon début. Poursuivre.

Assez pour en supporter deux ?
- Pas presque.

Capitaine, vous touchez l'indemnité de vol.
- Certains pour chaque personne à charge.

Nous pouvons gérer cela.
- Je ne serai pas entraîné dans quoi que ce soit.

J'ai une idée.

Ça va marcher.
- Tu devrais t'installer.

Te voilà.
- Ce serait beaucoup mieux pour nous.

Bien sûr. Notre capitaine toujours
avoir des ennuis.

Vous souvenez-vous de cette nuit à Honolulu ?
- C'était plutôt mauvais.

Je ne sais pas de quoi ils parlent.
- Il devrait éclairer quelque part.

Voyez, ils savent ce qui est le mieux pour vous.
- Nous voilà. Beaucoup de tension maintenant.

Anchorage, de l'expédition polaire 6.
Pouvez-vous m'entendre? Sur.

Mouillage, accueil clair. Etre prêt.
- Appuyez sur le bouton et parlez, Scotty.

Dites au général Fogarty que nous avons fait venir
Capitaine Hendry. Il sera là dans quelques minutes.

Roger. Sur.
- Y a-t-il des journalistes là-bas? Sur.

L'endroit en est plein. Sur.
- D'accord. Voici votre histoire.

Pôle Nord, 3 novembre.
Reportage de Ned Scott.

L'une des plus grandes batailles du monde
a été combattu et gagné par la race humaine.

Une poignée de soldats américains
et civils...

... a rencontré la première invasion d'une autre planète.

Un homme du nom de Noah une fois sauvé
notre monde avec une arche de bois.

Ici, quelques hommes ont joué
un service similaire avec un arc électrique.

Une soucoupe volante, qui a atterri ici,
et son pilote ont été détruits.

Mais non sans faire de victimes parmi
nos maigres forces.

Je voudrais apporter au microphone
les hommes responsables de notre succès.

Mais le capitaine Hendry est présent
aux exigences qui vont au-delà de l'appel du devoir.

Dr Carrington, chef
de l'expédition scientifique...

... se remet des blessures de la bataille.
- Bien pour vous.

Et maintenant, avant de vous donner les détails
de la bataille, je vous apporte un avertissement.

Chacun de vous écoute ma voix...

...dire au monde. Dis ça à tout le monde
où qu'ils soient :

Regardez le ciel partout.

Continue de regarder.
Continuez à regarder le ciel.