All language subtitles for The Roman Empire in the First Century 3-4fr

Trés chère mère, quel autre
endroit pourrait être plus désolée,

avec des falaises trempés
ainsi, comme ces rochers?

Si stérile? Si incivilisé?

Au milieu du premier siècle,

un homme appelé Seneca

a été bani pour avoir
offenser l'empereur romain.

Il était un rappel
vivant que la puissance

absolue pouvait amener
à la ruine absolue.

Il n'était pas seul.

Un homme exilé, a écrit Seneca,

était mais une goutte dans la
mer des bouleversements humains.

Au premier siècle, personne n'était

immunisé de l'abus impérial.

Le caprice de l'empereur était la loi

et la loi de l'empereur pouvait être
dure, particulièrement sous Nero.

Pendant son règne erratique, le
feu étriperait la ville de Rome,

les chrétiens en payeront le prix,
et la brutalité balayerait l'empire.

Bientôt, les vents du changement
commenceront à souffler

d'abord dans les
provinces, puis au coeur

même de l'empire romain
au premier siècle.

Dans sa jeunesse, Claudius avait
l´intention d´écrire une histoire.

Sa première lecture publique avait
été ruiner par son nervosisme.

Au début, un gros homme s'est
assis et a cassé quelques bancs.

L'assistances s´est éclaté de rire.

Même lorsque la foule fut calmée,

Claudius ne pourrait pas
se contrôler. Il a continué

à se rappeler l'incident et
à s´est éclaté dans le rire.

Écrivant il y a 2.000 ans, un biographe
impérial décrit le monde gouverné par Rome

et Rome gouverné par
un homme improbable.

Son nom était Claudius.

Claudius boitait et bégayait. Un
embarras de la famille impériale,

il a vécu la majeure partie
de sa vie dans l´ombre.

Il a trouvé la consolation
en tant que savant amateur

sans puissance et sans influence.

Mais quand le premier siècle
s'est approché de son point médian,

un tournant du destin a laissé Claudius
empereur et ses critiques ont été stupéfiés.

Claudius a pris la barre du plus grand
empire du monde avec plus de confiance

que n'importe quel homme depuis
que la dynastie avait débuté.

Claudius a augmenté
le territoire romain.

Au sud, il a accompli la conquête
de l'Afrique du nord par Rome.

Au nord, il a soumis les tribus violemment
indépendantes de la Grande-Bretagne.

De la Turquie au Maroc, de
la mer rouge à la mer du nord,

les nombreux visages du monde antique
ont fait partie d´un seul empire.

Mais Claudius a fait plus
qu'augmenter l'empire.

Il a passé des lois protégeant
les esclaves malades.

Il a permis aux peuples
conquis à devenir des citoyens,

même des membres du Sénat,

J'aime Claudius.

Je trouve Claudius très positif,

pas simplement en raison de
l'adversité de sa jeunesse,

sa maladie, sa mou, son bégaiement.

Mais quand il vient au pouvoir, il est
vraiment humain envers les esclaves.

Il s'inquiète des peuples de l'empire

et cela semble être
tout à fait remarquable

pour un homme qui n'avait aucune
chance d'atteindre le trône impérial.

Mais les années tranquilles
virèrent brusquement de cours

et l'empire sera confronté au
laid visage de la loi impériale.

En dépit de sa puissance,

Claudius était fragile.

Sa vie avait été infestée par
des intrigues et des trahisons.

La majeure partie de sa famille avait
été tuée par des ennemis politiques.

Claudius lui-même avait ordonné

l'exécution d'une épouse déloyale.

Maintenant, en l'an 49, Claudius

cherchait une nouvelle épouse.

La société romaine s´est mobilisé

les rivalités étaient intense.

Beaucoup de familles ont cherché
à lier leurs sang avec l'empereur.

Tandis qu'ils complotaient, Claudius a
hésité, et les tensions se sont développées.

Finalement, Claudius a pris

une décision qui a effrayé Rome.

Écrit quelques années
plus tard, un historien

nommé Tacitus a expliqué pourquoi:

l'empereur avait choisi
d'épouser sa propre nièce

une femme de résolution
d'acier et caractère contestable.

Son nom était Agrippina

A partir de ce moment, l'empire a
été changé. Tous ont obéi à une femme

Mais c'était une femme
sans frivolité féminine.

Elle était grave et souvent arrogante.

La dominantion d'Agrippina
était presque masculine.

La chose la plus tragique
au sujet d'Agrippina est

qu'elle a écrit des mémoires
et ils ont été perdus.

Je donnerais n'importe quoi pour
entendre son côté de l'histoire.

La frustration quant au sujet de
découvrir les femmes romaines est que

si peu d'elles ont survécu.
Cela ne peut pas avoir été très différent

de ce que les hommes romains
ont raconté au sujet d'elles,

mais ce serait merveilleux
d´entendre son raisonnement

et pourquoi elle a fait ce qu'elle a fait
sa voie.

Agrippina a tournée le dos

aux idéaux romains de la vertu féminine.

Elle a saisi directement le
pouvoir, et l'a employée fièrement.

Agrippina a frappé ses rivaux.

Elle a fondé une colonie
avec son propre nom;

et contredisant son nouveau
mari, nous dit Tacitus

elle a assuré le pardon
à l'un des exilés:

l'écrivain et le philosophe Seneca.

Agrippina n'a pas voulu être seulement

être connue pour ses mauvaises actions,

ainsi elle a obtenu
le pardon pour Seneca.

Elle a supposé que ceci
satisferait le public

parce qu'il était un auteur
populaire.

Elle a également voulu Seneca comme
précepteur de son jeune fils.

Son fils était Nero, un
vieux garçon de 12 ans

venu d´un mariage précédent,

et encore seulement
un pion dans la course

d'Agrippina pour
contrôle total du pouvoir.

Un autre gage était Seneca,

trop désireux de laisser
l'exil derrière lui.

Elle a crue que Seneca la
rejoindrait dans ses plans

pour la suprématie par
gratitude pour ses faveurs.

Pendant que Seneca revenait

à la politique
impitoyable de la capitale,

il avait à faire face
à un important dilemme.

Il avait toujours dédaigné
le luxe et la puissance,

et avait condamné la négligence morale.

Mais Seneca a été l´obligé d´Agrippina
et était conduit par l'ambition.

Après avoir langui pendant
une décennie dans l'obscurité,

il a été gouverné par la promesse
de l'influence et du frisson de Rome.

Regardez l'afflux énorme de gens

que même une ville aussi grande

et diverse que Rome peut à peine loger.
Ils convergent du monde entier.

L'ambition anime certain; d'autres
sont contraints par devoir.

Beaucoup par la soif d´études de droit,
d'autres implorent des spectacles.

Certains ont mis leur beauté en vente
d'autres vendent leur éloquence.

La race humaine entière
s'est rassemblée ici,

la ville offre de riches recettes
pour les vertus et les vices.

À l'intérieur du palais impérial, Seneca

rencontrera bien plus
de vices que de vertus.

Pour après avoir leurrer Claudius par
le mariage, Agrippina avait commencé

à tisser une parcelle
de terrain raffinée.

D'abord, poussant de
côté le fils de Claudius,

elle a convaincu l'empereur d´adopter
Nero et de l'indiquer comme héritier.

Avec la ligne d'Agrippina
la succession était claire maintenant,

Tacitus dit, le seul
obstacle restant était son mari.

elle avait des plans pour son meurtre

Car elle a attendu son temps,

A l'occasion, Agrippina
a recherché du poison.

Un spécialiste dans le domaine a été choisi,
et par sa compétence,

un breuvage magique a été elaboré.

Il a été livré à Claudius par l'eunuque
qui servait et a goûtait sa nourriture.

Claudius s'est effondré,

chancelant sur le point de mourrir,

puis il a commencé à récupérer.
Horrifié, Agrippina a rapidement

enrôlé le propre médecin de
l'empereur dans son crime.

Tout en feignant d´aider Claudius
à vomir la nourriture corrompue,

le docteur mettait du poison
dans la gorge de l'empereur.

Les crimes dangereux, Tacitus a commenté,
apportent une récompense suffisante.

Claudius, l'empereur de Rome,était mort

Peu d´heures aprés, les portes de
palais ont été ouvertes.

Le fils d'Agrippina était déclaré Empereur

Seneca a été lancé sur un chemin

que combattaient ses
convictions plus profondes.

Le règne de Nero avait commencé.

je suis un homme juif, instruit
strictement selon la loi de nos pères.

Dans la province romaine de Judea,

durant la vie de l'empereur Claudius,

un jeune juif ardent a appelé Saul
dirigé par ses propres dilemmes

Il cherchait et arrester
les hérétiques religieux,

membres d'une section juive minuscule
connue sous le nom de sectateurs de Jésus.

Saul a été chargé de les persécuter.

en effet, c´est ce ce que
j'ai fait à Jérusalem.

J'en ai emprisonné
beaucoup et ai applaudit

contre eux quand ils ont
été marquées pour la mort.

Dans mon extrême fureur, j'en ai poursuivi
d'autres même dans les villes étrangères.

Mais comme il a marchait sur
la route de Jérusalem à Damas,

le futur de Saul a soudainement changé,

et avec lui, le futur
de sa province occupée,

des règles romaines, et
de la religion du monde elle-même.

autour du midi, une puissante lumière

des cieux a brillé autour de moi.

Je suis tombé à la terre et j´ai
entendu qu´une voix me disait,

Saul, Saul, pourquoi
vous me persécutez?'

J'ai répondu, qui êtes vous,
seigneur?'

Et il m´a dit,
'je suis Jésus de Nazareth.'

J'ai dit, 'Qu´est ce que vous
voulez que je fasse, seigneur?'

Et le seigneur m´a dit
'levez-vous et allez à Damas.

Et là on vous dira tout ce
qui a été ordonné pour vous.'

Puisque je ne pouvais pas
voir, ceux qui étaient avec moi

m´ont pris par la main
et m´ont mèné à Damas.

Saul est devenu Paul

et il a consacré le
reste de sa vie à défendre

le nom de Jésus avec la même ardeur
qu'il l´avait persécuté par le passé

La ferveur de Paul a dessiné des convertis
et la haine.

Une nuit, pendant qu´il
clamait que Jésus était

le Messie s´etait agroupé
une foule violente.

Emprisonné dans un
appartement

Paul a évité la mort en
se cachant dans un panier.

Ses défenseurs l'ont
descendu en sécurité par une fenêtre.

C´etait une des ses nombreuses évasions.

Pendant les trente années à venir,
Paul a voyagé environ 10.000 milles

à travers le territoire dirigé par Rome.

Il a prêché dans les
grandes villes de l'empire

Ephesus, Philippi, Corinthe,
Athènes, et d'autres.

C'étaient des villes qui appréciait
la splendeur impériale,

mais il y avait également avec les
sujets faibles et les désespérés de Rome.

Ils avaient une assistance désireuse

d´ecouter le message de
Paul sur la vie éternelle.

Il y a une légende qui dit que
la famille de Paul a été à l'origine

asservie par des Romains et plus tard libéré
de l'esclavage par des Romains

et c´est comme ceci que la famille
de Paul a reçu la citoyenneté romaine.

C'est-à-dire,
Paul a internalisé

l'expérience de l'esclavage
et de la liberté.

Paul parle d´un message qui trouve
la puissance dans cet impuissance.

Il trouve la communauté
où la communauté a été détruite.

Paul est le premièr porte drapeau
pour un vrai empire romain.

De cette façon, il parle au dessous
de l'expérience impériale romaine..

Comme Jésus avant lui, Paul a parlé

aux gens dans leurs maisons
et dans les synagogues.

Mais tandis que Jésus avait prêché

seulement aux juifs,
Paul a cru que son message

devrait être apporté aux non-Juifs
aux gentils de l'empire romain.

Cela veut dire un relachement
des lois juives intemporelles

au sujet de nourriture
et de circoncision.

C'était une claque
radicale à la tradition

et la clef juives pour la
diffusion de cette nouvelle foi.

Le fait que Paul était un
avocat dévoué aux gentils,

n'ayant pas besoin de
qu'ils se circoncissent

ou de suivre les lois
diététiques juives,

cela était certainement à la longue,
de plus grande importance.

Ceci a signifié

que le christianisme
pourrait se développer

en quelque chose qui était
indépendant de judaïsme.

Au temps de Paul, le christianisme était
toujours une conséquence de judaïsme.

L'abandon par Paul des lois
de ses ancêtres a horrifié

beaucoup de zelateurs juifs de Jésus.

Mais Paul était résolu.

Comme il laissait la région de Galatia,
région maintenant de la Turquie,

Paul a appris que ses disciples
récidivaient,

et exiger aux convertis d'être circoncis.
Paul a envoyé une lettre fâchée.

Vous Galatians idiot
! Qui vous a enseigné?

Je souhaite que ceux qui
vous ont laissé sans direction

se châtre eux-mêmes!

Vous couriez bien. Qui vous a
gardé de poursuivre la vérité?

Regardez! moi, Paul, dit
que si vous êtes circonci,

le Christ ne vous
apportera aucune récompense.

Pour Jésus le Christ ni
circoncision ni prépuces

ne règnent, mais seulement la foi et l´amour

Paul était un homme de
convictions très profondes,

de convictions passionnées

Il est très investi dans
le peuple à qui il écrit.

C´est sa vie
Il prend cela très sérieusement.

La passion et le pathétique
de ces rapports préoccupés

qu'il négocie à de la longue
distance passent à travers ses lettres.

La tradition soutient

que Paul est revenu à Jérusalem,

avec l´intention
d´exprimer ses vues;

qu'il a été emprisonné
pour causer une émeute

en introduisant des hommes de
non-circoncir dans le temple.

En prison, Paul a censément
indiqué sa citoyenneté romaine

et a été envoyé à Rome.
Durant son voyage, il a fait naufrage.

Trois fois j'ai fait naufrage, cinq fois

où j'ai reçu les 40 mèches sans une.

Une fois ils m´ont lapidé.
J'ai été en danger par des voleurs,

le danger de mes propres gens,
le danger des faux frères

affamés et altérés,
souvent sans nourriture.

En plus de ces menaces,

chaque jour je suis plus fatigué
de mon souci sur toutes les églises.

On dit que le christianisme pourrait

avoir été possible sans Jésus,

mais il n'était certainement
pas possible sans Paul.

C'est un rapport très précis

parce que Paul pouvait
apporter ce message

à de diverses parties de la
méditerranéen de Palestine à Rome.

Personne ne sait comment
et où Paul est mort.

Sur ceci, la bible est silencieuse.

Mais partout où il a
passé ses années finales,

le succès de Paul a surpassé
ses rêves les plus fous.

Il avait été têtu et fier,

mais Paul avait transformé
un groupe juif éclatés

en un commencement d'une église du monde

une église qui un jour
conquerrait Rome elle-même.

il y a un proverbe: 'vous avez autant
d'ennemis que vous avez d´esclaves.'

Mais dans la vérité, nous
les faisons nos ennemis.

Nous les maltraitons comme si ils
étaient des bêtes de fardeau.

Quand nous reposons pour le
dîner, un essuie notre salive,

une autre prend les chutes et les miettes
jetées sur le sol par des ivrognes.

Le point de mon argument est ceci:

traitez votre subordonné car
vous voudriez être traité.

Du nouvel empereur le
précepteur, Seneca, avait

consacré beaucoup de sa
vie aux problèmes moraux.

Il était un sectateur
de la philosophie Stoïque.

Dans un temps d'esclavage,
les Stoics a avancé

la notion de l'humanité universelle,

une confrérie de l'homme qui a
antidaté la doctrine chrétienne.

Dans un âge d'opulence,
les Stoics a évité la vie fastueuse.

Dans un temps de règle
absolue, les Stoics ont marché

sur un chemin étroit entre
l'intégrité et l'hypocrisie.

Seneca était le principal
philosophe Stoïque de son temps.

L'enseignement principal de Stoicisme

était l'acceptation de son destin

pour jouer le rôle qui avait été
assigné par le destin dans le monde.

Le destin de Seneca était de participer
au tribunal de la politique de Nero

Seneca a participé au tribunal
politique de Nero,

maintenant un garçon
de 16 ans dont le chemin

au palais impérial avait
été baigné dans le sang.

Seneca était chargé
de mouler ce fils vif

d'une famille affamée de puissance
en un chef tolérable au monde.

Au début, ses chances étaient bonnes,

parce que le jeune Nero
avait une nature sensible.

Il a aimé le théâtre, la musique,

et, d´aprés les rapports
de Suetonius son biographe,

le passe-temps populaire
de course de chevaux

Nero avait été passionné

au sujet des chevaux
trés tôt en enfance.

Au début de son règne,
il a joué chaque jour

avec des chars de jouet faits d'ivoire.

Bientôt il a souhaité conduire
un char lui-même.

D'abord pratiquant avec ses esclaves,

il est apparu avant toute
la ville dans le cirque.

Le cirque romain, ou
le champ de courses,

était un endroit approximatif et rauque.

Les conducteurs de char
étaient habituellement

des esclaves ou de anciens esclaves.

Les concurrents ont souvent
maudit les équipes rivales

avec l'esprit de parti féroce.

je vous supplie, O démon qui que vous soyez

et vous demande à cette heure,
en ce moment même;

de crucifier les chevaux des
équipes vertes et blanches.

Et de tuer les conducteurs
Clarus et Felix et de les écraser.

Ne laissez aucun souffle en eux!

L'enthousiasme de Nero
pour le sport d'hommes

du peuple à scandaliser l´élite de Rome.

Mais elle l'a fait aimer des masses.

Pour la foule
a ricané l'historien Tacitus

"Passionné pour l´excitation et en émoi
si l'empereur partage leurs goûts. "

Nero, le fut longtemps
après ses années d'enfance.

Il n'est pas clair que
Nero n´ait jamais changé

ou que Nero n´a jamais grandi.

C'était sa force et sa faiblesse.

Nero était un empereur
extraordinairement populaire.

Il était comme Elvis.

Mais à Rome antique, la popularité était

une bénédiction mélangée.

Car le jeune empereur flexible
s'est livré ses diverses passions,

les efforts pour le diriger ont
atteint un niveau enfiévré

en particulier entre la
mère de l'empereur et Seneca.

Seneca a exercé discrètement sa puissance,

mais Agrippina
n´agissait pas légèrement.

Elle a entendu des histoires
que son fils avait séduit

et épousé des femmes
et de jeunes garçons.

Qu'il a châtré et était
marié à un homme esclave

et, selon le Suetonius plein de
racontars, pire.

dès qu'il était ivre,
il était dans l'habitude

d'aller aux tavernes
portant une perruque

Il errerait dans les rues,
recherchant de l'action,

et pas seulement des
polissonneries juvéniles simplement,

Il a attaqué des gens dans
une maison au moment du dîner,

ils les ont poignardées
quand ils ont battu en retraite

et ils ont jeté
leurs corps dans les égouts.

Comme les histoires de la dégénérescence
de Nero augmentèrent,

elles ont aussi fait la
désapprobation d'Agrippina.

Les relations entre la mère et
le fils se sont détériorés rapidement.

Car Nero l´a vu
rapidement, je pense,

il a commencé à se rendre compte

qu'il ne pourrait pas régner dans
sa propre maison aussi longtemps

qu' Agrippina avait toujours
l'ambition à régner à travers lui.

C'était le désaccord entre
deux titans, vous pourrait dire,

les deux vait un énorme ego
et de grandes convoitises de puissance.

Le système ne permettait
pas aux deux de régner.

Ainsi elle devait disparaître, et si
elle ne s´en allait pas volontairement,

bien, cela a laissé peu de choix à Nero.

Il a décidé de la tuer

Le projet a commencé dans
une maison au bord de la mer.

Nero a invité sa mère à naviguer
pour réconcilier leurs différences.

Quand la réunion eu fini,
Agrippina est retournée à la maison.

Tacitus raconte l'histoire.

Le bateau avait juste mis la voile.

Agrippina était occupé
par deux domestiques.

L'un d'entre eux s'est tenu
près du gouvernail de direction,

l'autre penché au-dessus de ses pieds,

heureux rappelant les excuses de Nero
et la restauration en faveur d'Agrippina.

Puis, un signal a été donné.

Le toit s'est effondré
sous le poids du plomb.

Le préposé d'Agrippina a été
écrasé et mort immédiatement.

Mais la chance est intervenue; Agrippina
a été sauvé par son vigoureux divan.

Parmi la confusion,
Agrippina a nagé en sûreté.

Nero a été assommé d´apprendre
que sa mère avait survécu.

Dans le palais impérial,
il a réclamé Seneca

et le commandant de sa garde de
palais, un homme a appelé Burrus.

il est peu clair s'ils avaient
conseillé Nero depuis le début,

mais l'empereur appelait
ces hommes immédiatement.

Frissonnant, Nero a crié

qu'Agrippina pourrait
apparaître à tout moment.

elle pourrait inciter les soldats!
Elle pourrait armer des esclaves!

Seneca et Burrus sont resté
silencieux pendant longtemps.

Alors Seneca a demandé

si les troupes de Burrus
devraient accomplir le meurtre.

Burrus a refusé de faire
participer son bataillon d'élite.

Ainsi Nero a envoyé quelques soldats
réguliers pour finir le travail.

Une armée forte et menaçante a entouré
sa villa et a enfoncé les portes.

Ils l'ont trouvée dans la pièce
faiblement éclairée avec une bonne simple.

Les assassins ont entouré son lit.

D'abord, le capitaine a
frappé sa tête avec un club.

Alors un autre soldat a plongé
son épée dans sa poitrine.

Agrippina a pleuré,
'ils poignardent mon utérus!'

À plusieurs reprises ils ont levé leurs
épées et elle a été poignardée à mort.

Rome a été épouvanté. Le matricide
était parmi la pire des impiétés

qu´un romain pouvait commettre.

Nero a solennellement informé le sénat

que la mère impériale avait conspiré
pour renverser son propre fils.

Mais l'excuse était évidemment une fiction
et ce n'était pas une idée de Nero.

Seneca avait inventé l'histoire
pour justifier les actes de son élève.

Le philosophe moral a été
de plus en plus impliqué

dans les brutales réalités
de la politique impériale.

Je vous écris ceci de mes résidences
d'hiver. Je vous salue.

La Grande-Bretagne était la
limite nordique de l'empire romain.

Les soldats et leurs
familles la voyaient

comme une terre diistante et
hostile avec peu d'agréments.

Je vous demande que
vous m'envoyez ce que

j'ai besoin pour l'usage
de mes jeunes hommes,

des choses que j'ai besoin
aussitôt que possible,

puisque je vient juste d´être transféré ici
six manteaux de laine et cinq tuniques.

Les lettres isolées ont été préservées
dans la boue pendant 2.000 ans

font écho au désir de ceux qui sont aimé

et au confort de la maison.

je vous ai envoyé quelques chaussettes,

deux paires de sandales, et
deux paires des sous-vêtements.

En l'an 60, la Grande-Bretagne
avait été une province

pendant moins de 20 ans.

Comme d'autres provinces
loin de l'Italie,

les corridors d'alimentation
étaient difficiles.

Sans espoir des renforts
rapides, trois légions

et quelques forts ont
tenu la province entière.

Quelques campements, tels
que la communauté infantile

de Londinium, étaient
devenue des villes.

Rome a tenu le controle en
maintenant les rois des tribus locales

et en encourageant les tribus
à faire la guerre entre elles.

Aussi longtemps que le gouverneur
de Rome les a maintenues divisées,

l'armée impériale était la
force la plus forte de l'île.

Cette adéquation commune dans
tout l'empire, s´est décomposé

juste quatre ans après que
Nero est devenu empereur.

Cela a commencé parmi les Iceni,
une tribu locale alliée avec Rome.

Quand leur roi est mort, il a laissé la
moitié de son domaine à ses deux filles.

Il a offert l'autre moitié
en hommage à l'empereur Nero.

L'historien Tacitus
raconte cette histoire.

Le roi a espéré par un
tel subterfuge sauvegarder

son royaume et sa maison du mal.

Ce qui s'est produit
était juste l'opposé.

D'abord, son épouse Boudicca a été
fouettée et ses filles ont été violées.

Puis l´armée a detruit sa terre
et à sa maison a été pillée.

Les propres parents du roi ont été asservis.

En réponse à ces outrages,
Boudicca, la reine veuve

et les tribus voisines
se sont rassemblées.

Ensemble ils ont attaqué Londinium.

Les tribus britanniques ont
éconduit les forces romaines.

C'était un renversement
étonnant et il n'était pas le dernier

Pendant que les Romains
battaient en retrait,

les tribus de la Grande-Bretagne
se sont rassemblées

pour reprendre leur terre natale.

Boudicca, défiant la chance,
est rentré dans l'histoire

parmi les chefs les plus effrayants

et les plus charismatiques
qui ont défié Rome.

Elle a encouragé ses forces
à se préparer pour une autre attaque,

Tacitus a monter un rostre
de Boudicca et a publier

un cri de rassemblement
digne d'admiration.

Je ne combats pas pour
reprendrele mérite des ancêtres.

Mais comme vous, je combats
pour venger ma liberté volée,

mon corps maltraité,
et mes filles violées.

Les dieux apportent
la vengeance au juste.

La légion qui a osé combattre
contre nous est tombée.

Les autres aspirent à s'échapper.
Si vous considérez notre nombre

et nos raisons pour la guerre,

vous conquerrez le Romains
ou mourrez en essayant.

Il voulait dire que Boudicca était
un objet de respect pour certains Romains,

qui ont admiré le courage
qu'une femme a montré

en montant une rébellion
contre les troupes romaines.

Naturellement, d'abord elle
a spectaculairement réussie.

Elle a mené un soulèvement qui a fait
les Romains sérieusement penser

aux limites de leur
puissance en Grande-Bretagne.

ils ont dû lui répondre
très rapidement en effet.

Le Romains effrayé a répondu rapidement.

Bientôt, les renforts sont
arrivés et l'armée romaine

a retourné la situation de la bataille.

Environ 80.000 Britanniques
ont été massacrés.

Boudicca s'est empoisonné.

Le suicide était
meilleur que l'esclavage,

le destin prévisible pour
les ennemis défaits de Rome.

Tacitus a rappelé
cette glorieuse victoire

comparables aux triomphes du passé.

Mais il voulait être ironique.

La paix romaine, savait Tacitus,
avait été imposée par des guerres brutales.

La prospérité de la
capitale avait été souvent

achetée avec le sang
des peuples conquis.

Rome a crée un désert, a
écrit plus tard Tacitus,

et fit des appels pour la paix.

Cette année a vu beaucoup de présages;

les oiseaux de malheur se
sont jetés sur la capitale,

des maisons sont tombés dans de
nombreux tremblements de terre

et les faibles ont été piétinés
en se sauvant des foules.

La Grande-Bretagne avait été stabilisée.

Mais à Rome, la situation empirait
rapidement pour l'empire et pour Seneca.

Les nouveaux conseillers avaient gagné
l'oreille de l'empereur.

Ils ont critiqué Seneca
pour son excessive richesse

et sa popularité impropre.

Ils ont invité l'empereur
pour rejeter son professeur d'enfance.

Peut-être sachant
sa position affaiblie,

peut-être perdant son appétit
pour des affaires d'Etat,

Seneca a demandé Nero la permission
de se retirer.

L'empereur refusé. Pendant
les deux années à venir,

la vie de Seneca était périlleuse.

Puis, en l´an 64,
un nouveau désastre a frappé.

le feu a commencé dans les magasins
près du cirque.

Éncouragé par le vent et alimenté
par des marchandises,

les flammes ont englouti la zone entière.

Elles ont augmenté vers le haut des
collines consommant tous dans leur chemin,

gagnant de la force dans la ville étroite,
et les rues tortuantes.

Les cris des femmes,
des enfants, des invalides,

des personnes effrénées
essayant de s'aider ou d'autres,

tous succombaient à la panique.

Le grand feu de Rome a duré
six jours et sept nuits.

Des quatorze zones de Rome,
seulement quatre sont restés intacts.

Des temples, des maisons,

et des magasins innombrables
ont été détruits.

Quand le feu s'est éteint,
Nero a examiné les ruines brûler lentement.

Il a ouvert les bâtiments publics,
même sa propre propriété aux sans-abris.

Mais selon Tacitus, l'aide de l'empereur
était un froid réconfort.

Bien que bienvenues, ses mesures
de soulagement étaient en vain

parce qu'une rumeur disait que
tandis que le feu ravargeait la ville,

Nero était sur sa scène privée,
chantant.

Nero n'avait pas joué du violon
tandis que Rome brûlait,

mais sa gaieté était également accablante.

Pire, on a même dit que Nero
avait lui-même mis le feu

pour nettoyer le sol pour un nouveau palais

La popularité de
l'empereur est descendue.

Les pamphlets hostiles sont
apparus sur des murs de la ville.

Les citoyens insolents ont même
osé insulter Nero en personne.

On a tellement cru aux rumeurs
sur son rôle dans le feu

que l'empereur a décidé de détourner
l'attention loin de lui.

Il a trouvé un bouc émissaire
dans une nouvelle secte religieuse

étrangère à de Rome: les chrétiens.

Pour supprimer la rumeur,
Nero a transferé le blâme

pour le feu sur cette
bande appelée les chrétiens,

détesté pour leurs pratiques honteuses.

Jésus avait été crucifié
à peine trente ans avant

et tandis que ses zelateurs
difusaient son nom,

le nombre de chrétiens à Rome
était toujours très petit.

Mais déjà, Tacitus dit, des convertis

chrétiens ont été regardés avec soupçon.

le fondateur de cette secte,
le Christ, avait été exécuté.

Sa mort avait brièvement
supprimé le culte destructif,

mais elle s´était diffusée,
non seulement en Judea,

le lieu de naissance du mal,
mais également à Rome

où les atrocités scandaleuses s'enveniment
et se sont étendues.

Les chrétiens auvaient
été une bonne cible.

Après tout, leur héros
principal était un criminel

qui avait été mis à mort
par ordre des Romains.

En plus de ceci, ils faisaient
des choses comme échanger un baiser

parmi des frères et des soeurs
lors de leurs réunions,

Cela ressemblait un peu à de l'inceste.

Egalement, ils mangeaient le corps

et buvaient le sang de leur Dieu,

qui a retenti un peu
comme du cannibalisme.

Nero a reuni tous les
chrétiens de la ville.

Ils ont été d'une manière
affreuse torturés et exécutés.

Alors Nero a pillé
l'empire pour des fonds.

Leurs statues dans les
temples ont été volés.

Des trésors que les
générations avaient consacrés

à la grandeur de Rome ont été
absorbés par les coffres impériaux.

Pour Seneca c'était la dernière paille.

Il a feint la maladie et
s'est confiné dans son lit.

Par la suite Nero a permis
à son précepteur vieillissant

de se retirer au pays.

Là, sur son domaine privé,
Seneca a pu réfléchir

sur les restes déchirés
en lambeaux de son honneur.

Si quelqu'un qui se
frotte à la philosophie

se pose la question fondamentale,

'pourquoi vous prêchez
plus hardiment que vous vivez?'

Je me le reprocherai chaque jour
toujours plus fortement.

Mais maintenant, je fais cette défense:

Je ne suis pas un sage
et ne le serai jamais.

N´exigez pas que je soit égal au
meilleur, mais meilleur que faible.

Seneca naturellement, sait très bien
qu'il n'est pas un homme parfait.

Jouer autour de la cour est être
emprisonné dans un système d'hypocrisie.

Tout à fait franchement,

il pousse au Stoicisme
à la fin de sa vie,

quand il essaye de se distancer

des vastes embarras dans
lesquels il s´est impliqués.

On le réalise graduellement qu'il
ne peut pas commander le jeune Nero.

Nero était au delà de n'importe
qui qui pouvait le commander.

Avec sa mère morte,
son précepteur retiré,

Rome était sujet aux caprices
d'un tyran instable.

Seulement un action aurait pu l'eliminer.

une conspiration a été soutenue et
s'est développée,

un terrain que les sénateurs,
les chevaliers, et même les femmes

ont concurrencé pour se rejoindre
dans la haine pour Nero.

En l'année 65, quelques
provoquants Romains ont commencé

à parler de meurtre,

mais retenus par la
crainte, ils ont hésité.

En conclusion, Epicharis une
esclave libre a pris le mouvement.

Elle a trouvé un officier contrarié
qui avait accès à l'empereur.

Le rencontrant en secret,
elle a prié l'officier

de frapper le premier coup
et libérer Rome du tyran.

Epicharis a commencé en énumérant les
crimes de l'empereur.

Il y avait seulement une manière,
a t elle dit, de punir Nero.

Et l'officier pourrait
s'attendre à une digne récompense.

C'était une erreur mortelle.

L'Epicharis a été trahi
par officier à Nero

et à Nero a cherché à se venger.

Il a exigé les noms
sur des tables d´argile.

Epicharis a refusé. Il était en rage,
il a menacé et pire.

assumer le corps d'une
femme n'était pas égal

à la douleur de la torture,

il a ordonné de la
déchirer en morceaux.

Mais ni les fouets, ni le
feu n'ont pu la casser

Même le deuxième jour, lorsque
traîné avec les membres disloqués,

elle n'a pas trahi
ses co-conspirateurs.

Ainsi, cette femme esclave
libre a surpassé les hommes libres,

les chevaliers, et les
sénateurs nés libres.

Le jour suivant Epicharis s´est attaché

un noeud coulant autour de
son cou et a fini sa vie.

Avec les tables d´argile encore
prètes, Nero a redoublé sa garde

et a engagé un règne de terreur.

D´innombrables personnes, certaines
innocentes, certaines coupables,

ont été sucées dans la fureur
de vengeance de Nero.

Seneca était l'une d'entre elles.

Sur de maigres preuves,
l'empereur a envoyé un officier

pour exiger le suicide du philosophe.

Seneca a embrassé son épouse
et doucement lui a prié de vivre

et de temperer sa peine.

Mais elle a choisi de mourir avec lui.

Avec la lame,
ils ont découpé leurs bras.

Seneca, durci par la vie économe,
n'a pas saigné facilement.

Il a coupé les veines
de ses genoux et de ses cuisses.

Mais il n'etait toujours pas mort.

Il a demandé à son docteur de lui
donner un certain poison la cigûe

Il l'a bue en vain.

En conclusion, il a été
porté dans les bains,

où il a été suffoqué par la vapeur.

Peu de philosophes avait atteint
une telle puissance.

Peu ont payé si chèrement.

Les actions de Seneca ont
fait défaut à ses idéaux.

Mais histoire, il l'a
bien espéré, le jugerait.

l'homme qui considère seulement

sa génération est soutenu par peu.

Bien des milliers d'années et
de gens viendront après lui.

Regardez ces derniers.

Si la vertu apporte la renommée,
notre réputation survivra.

La postérité jugera sans méchanceté
et honorera notre mémoire.

Comme le sang de la vie
de Seneca s´est vidée,

le mauvais sont restés
pour regner sur Rome, seuls.

Tandis que Rome était assiégé
par son propre gouverneur,

les sujets éloignés de l'empire
s´échauffaient de nouveau

selon la règle romaine
cette fois, dans la province de Judea.

Après 70 ans d'assujettissement,
la région glissait dans le chaos.

Les bandits ont rôdé la campagne.

Les terroristes juifs ont
commencé à attaquer les personnes

qui ont collaboré avec Rome,
les gens comme Josephus,

un prêtre juif riche qui
a craint pour sa vie.

ces criminels tueraient
des hommes en plein jour

au milieu de la ville, particulièrement
pendant les festivals.

Ils se mélangeaient à la foule, cachant
de petits poignards sous leurs vêtements

et les employant pour
poignarder leurs ennemis.

Beaucoup ont été tués chaque jour
et la terreur a gagné la ville.

Judea était à une
étincelle de la révolte.

Cette étincelle est venue en l'année 66.

Quelqu'un a vidé un pot de chambre

en dehors d'une synagogue
défiant l'emplacement saint.

Les juifs ont été outragés;
L´emeute a éclaté.

Pendant la mêlée, quelques juifs ont
crié des insultes au gouverneur romain,

un homme appelé Florus.

Exaspéré, Florus a emmené les
chefs juifs devant un tribunal.

C'était un moment pivotant
dans la vie de Josephus

et dans les vies de d'autres

luttant entre la
coopération avec Rome et leur héritage juif.

Florus a exigé les chefs juifs
remettent les éléments perturbateurs.

Les hommes ont refusé, disant

qu´ils ne pourraient pas identifier
les coupables des innocents.

Florus, ont ils dit, devraient pardonner

aux canailles inconnues
pour toute la ville.

Provoqué encore plus
par ce discours effronté,

Florus a crié aux soldats
pour piller le marché

et pour tuer tous qu'ils voyaient.

Même des citoyens ont
été emmenés à Florus,

qui les a fouettés et crucifiés.

Florus a conduit un massacre en gros

dans les rues de Jérusalem

et la brutalité et la méchanceté

ont atteint un point

où Josephus lui-même,
ou ainsi qu´il nous dit

que Josephus a décidé

que dans ces circonstances,
il n´y avait pas d´autre moyen

que de prendre son baton

en tant que chef des juifs.

Dans les mois à venir, l'ancien prêtre
menait une rébellion juive complète,

et la confrontation
avec une armée romaine

en bataille en tant
qu'elle a envahi sa patrie.

d'une extrémité de la Galilée
à l'autre, Josephus a racontée,

qu´il y avait une orgie de feu
et de carnage.

Par la suite, Josephus

et ses troupes cernées

ont pris refuge dans la
ville murée de Jotapata.

Les Romans l'ont entouré.

Le quarante-septième
jour, juste avant l'aube,

les soldats romains ont escaladé
les hauts murs de la ville.

Tandis que les juifs dormaient,

les troupes romaines se
ont glissé dans la ville.

Quarante mille juifs ont été tués.

Josephus et 40 autres se sont
sauvés dans une caverne cachée.

Il n'y avait aucune
possibilité d´évasion

et le choix était la
reddition ou la mort,

ses sectateurs se sont
préparé pour mourir.

Mais Josephus a argué du fait que
la loi juive a interdit le suicide.

Faisant confiance à Dieu,

j'ai jalonné ma vie
sur un jeu fatidique.

puisque nous comptons mourir, 'j´ai dit,

'tirons au sort et assignons
entre nous notre mort.

celui qui dessine le
premier tesson tombera

par la main du prochain
et ainsi de suite.

De cette façon, personne ne se tuera.'

Mes sectateurs ont été
convaincus et j'ai pu me reposer.

Chacun est mort à son tour.

Bientôt, par la chance
ou la volonté de Dieu,

j'ai été laissé avec seulement un homme.

Désireux d'éviter le destin de la
loterie, je l'ai persuadé de rester vivant.

Josephus raconte cette histoire.

Vous penseriez qu'il
serait embarrassant,

humiliant et tout à fait suicidaire,

d'une certaine manière,
de raconter cette histoire.

Pourquoi le fait-il?
Je ne pense pas que

quiconque a proposé à
explication proportionnée

à la psyche de Josephus.

On peut parler des sentiments
de culpabilité et ainsi de suite.

Il y a une peut être une
explication beaucoup plus simple.

À savoir, qu'il est sorti du siège de
Jotapata vivant et personne d´autre.

Je pense que c'était une
source d'hostilité considérable

entre les juifs ainsi il a dû
proposer une certaine explication.

L'explication a pris forme
juste des heures plus tard.

Quand Josephus a émergé de la caverne,

il a été emmené devant Vespasian,
général romain victorieux.

Josephus était sûr de faire
face à la mort ou à l'esclavage.

Mais sa perfidie ne l'a pas abandonné.

Les prophètes juifs avaient prévu qu'un
nouveau chef du monde émergerait de l'est.

Josephus a déclaré que
Vespasian était celui-ci

Stupéfié, Vespasian a
laissé Josephus en vie.

Mais l'armée romaine s'est
préparé à son attaque finale,

les événements à Rome ont apporté
une brusque halte à la campagne

et le ménage impérial
une frénésie de panique.

Le biographe de Nero
rapporte que le règne

de l'empereur de la terreur
était finalementallé trop loin

et en l'an 68, la prévision de Josephus
s´était réalisé

Nero perdait de sa poignée.

après avoir supporté un empereur

si tempétueux pendant presque 14 années,

le monde l'a enfin renvoyé

Le soulèvement a commencé
dans les territoires du nord.

Nero avait essayé de purger

les rangs des militaires.

Les armées de deux
provinces se sont rebellées

et ont commencé à
marcher vers la capitale.

quand Nero a appris la
révolte il s'est effondré

et resta silencieux sur le
plancher, assommé et comme mort.

Quand la nouvelle l'a atteint que d'autres
armées avaient également déserté,

il a déchiré les expéditions

et a essayé d´enrôler ses
officiers pour se sauver avec lui.

Certains lui ont tourné leurs dos

et d'autres lui ont ouvertement refusé.

Les sénateurs se sont également
retourné contre Nero.

Ils l'ont déclaré un ennemi public,
lui permettant d'être tué avec l'impunité.

Terrifié, l'empereur s'est sauvé du pays

avec ses quelques esclaves restants.

bien qu'il était pieds nus et
portait seulement une tunique,

il a saisi un manteau à capuchon et
a galopé au loin vers une vieille villa.

Tandis que les domestiques l'attendaient
pour préparer une entrée secrète,

il nettoyait son manteau déchiré
d´épines puis a rampé au dedans.

Il leurs a commandé
de creuser sa propre tombe.

Pleurant pendant qu'il parlait,
il a gémi à plusieurs reprises,

'un artiste meure en moi!'

Avec l'aide de son secrétaire, il a
conduit une lame de fer dans sa gorge.

La dynastie d'Augustus était éteinte.
L'empire était sans gouvernail.

Pendant que l'an 68 prenait fin,

les généraux rivaux ont commencé
à marcher vers la capitale.

La guerre civile s'est refermée sur Rome.

Mon esprit tremble de se
rappeler, mais je vais commencer.

La terre avait été secoué
pendant plusieurs jours,

mais nous n'avons pas été très
effrayés parce que c'est commun ici.

Mais la nuit, les tremblements étaient

si forts que tout a secoué et est tombé.

Au crépuscule du premier siècle,

l'empire romain a été
secoué sur ses bases.

les bâtiments ont autour
tremblé d'une telle force

que nous étions sûrs de
mourir si nous restions.

Pendant que nous nous sauvions,
j'ai pris la main de ma mère.

La mer s'est avalée et puis
l'a lancé une vague énorme.

Vous pourriez entendre
pleurer de femmes,

des bébés brailler,
et des cris d'hommes.

Quelques uns avaient si peur de la mort

qu´ils l'ont priée de venir plus tôt.

L'auteur survivra à
l'éruption du Vesuvius.

Mais d'autres désastres
basculeront sa vie,

et les vies de millions
dans de l'empire.

Car le premier siècle
a passé son point médian,

la guerre civile serait lâchée

et le despotisme agrapperait
de nouveau la ville capitale.

Beaucoup se sont demandés si Rome
s'effondrerait après un siècle de gloire

si les années de l'éruption détruiraient

l'empire romain au premier siècle.

Avec l´an 68, la
ville de Rome approchait

d´un siècle de paix ininterrompue.

La prospérité a régné
et les temps dangereux

ont semblé être enterrés dans l'histoire

pendant que les gens poursuivaient
la routine de leur vie confortable.

Ils se sont levés à l'aube
et se sont préparé à faire, ou à recevoir,

des visites de matin. des
produits de beauté utilisés

par femmes des minerais et des
cendres et des parfums importés.

Le plus riche habillé
de couleurs brillantes,

ont porté de fins bijoux,
et les coiffures raffinées.

La mode a exigé des
hommes propre-soit rasé.

Mais selon un humoriste
antique, les outils du jour

font de la mode une suite douloureuse.

ces cicatrices sur mon menton me
font ressembler à un vieux boxeur.

Elles n'ont pas été faites par
mon épouse dans un coup de colère,

mais par la main et le rasoir
criminels de mon coiffeur.

La chèvre de billy est
le seul animal pour avoir

le courage de porter une
barbe et d'éviter la lame.

De tels paisibles vanités, cependant,

ont été balayés en l'an 68,

l'empereur Nero avait
été renversés

et avec lui, la dynastie qui avait régné

Rome pendant un siècle.

La révolte avait commencé en Gaulle

et avait atteint rapidement en Espagne.

L'armée impériale s'est
soulevée et a marché vers Rome.

Nero a commis le suicide.

L'empire a fait écho avec la
fureur de la guerre civile.

Les généraux du monde
entier se sont demandés

s'ils devaient aussi
entrer dans la mêlée.

Dans la province de Judea,

un homme a déjà été
endurci par bataille,

son nom était Vespasian.

Il était l'un des généraux
les plus réussis de l'empire.

Pendant trois années, Vespasian avait

combattu pour supprimer
une révolte locale.

Avec la victoire en vue, les ambitions
de Vespasian ont soudainement

tourné dans les directions sans précédent
pour un homme de sa position.

Vespasian n'est pas de
la vieille aristocratie.

Sa famille venait d'une petite
ville pas très loin de Rome,

mais d'un monde du bas
de la classe sociale.

Son père et grand-père avaient été
des percepteurs et des soldats

Il a lui-même aimé mettre au
dessus l'image d'un homme du peuple,

un homme du camp, un homme qui
a faisait un avec les soldats.

Les troupes de Vespasian lui ont vivement
conseillé de saisir le pouvoir

Les soldats dans les autres provinces
l'ont soutenu, aussi.

Enhardi par l'occasion,

Vespasian leur a demandé
de marcher vers la capitale

Ses troupes anvancées
ont commencé aux Balkans.

Elles ont contourné la mer adriatique,
et sont descendues sur Rome.

En atteignant l'Italie, ils se sont
trouvés tête à tête avec l'ennemi

et pour la première fois en cent ans,
l'ennemi étaient des camarade Romains.

L'historien Cassius
Dio décrit la tragédie.

ils ont combattu comme si c´etait contre des
étrangers et non pas des parents.

Même lorsque la nuit
est tombée, ils ne se radouciraient pas.

Mais toutes les fois que la lune
a traversé les nuages,

vous pouviez voir des adversaires
épuisés se parler.

Tandis qu'ici, certains
luttaient.

Là-bas, d'autres se sont
reposés, se penchant sur leurs épées.

De temps en temps, on prennait
des autres de côté et disait,

'soldat, camarade,
citoyen, que faisont nous?

Pourquoi combattons-nous?

Enfuyez-vous à mes
côtés.' L'autre répondrait,

'Non, venez au mien.'

Et ainsi ils ont passé
la nuit, alternativement

combattant et parlant,
jusqu'au lever de soleil.

Au matin, les forces de
Vespasian ont gagné le dessus.

Ils ont réduit leurs compatriotes,
ils ont saccagé une ville voisine,

et se sont enflamés par le sang et
le pillage, ils se sont enfermés dans Rome.

Bientôt la capitale de l'empire
était un champ de bataille

pour les armées concurrente
et les civils de Rome étaient au milieu.

la ville de Rome était sous siège

et les habitants combattaient

ou se sauvaient ou même
se joignants au pillage

et espérer qu'ils pourront être pris pour
des envahisseurs et sauver leurs vies.

Quelques 50.000 ont été tués. Les
forces de Vespasian ont gagnées

et le faible sénat a ratifié le résultat

Vespasian, un homme rustique du camp,
était maintenant empereur de Rome.

La guerre civile a montré
le sale secret de l'empire,

cette puissance reposait
vraiment sur la force militaire.

N'importe qui qui avait suffisament
de militaires derriere lui

pouvait faire une course au trône impérial.

N'importe quel empereur
à l'avenir devra se souvenir de cela

Rome était maintenant
une dictature militaire,

et les citoyens de l'empire
attachés à un futur incertain.

Salutations mon ami, je vous écris
dans la tristesse la plus profonde:

la plus jeune fille de notre
ami mutuel, Fundanus, est morte.

Pline était un témoin à son âge jeune.
Ses lettres, éditées pendant sa vie,

montrent Pline tâchant de
réconcilier avec des périodes

turbulentes de sa vie
publique et privée.

je n'ai jamais vu une
fille plus gaie et amicale;

plus digne d´une longue vie.

À peine quatorze ans, elle a mélangé
la modestie virginal

avec la sagesse et la dignité
d'une femme mûre.

Et sa mort était plus tragique puisqu'elle
devait bientôt épouser un bon jeune homme.

Le jour avait été choisi et les invitations
avaient été envoyées.

Tant de joie s'est tournée
vers tant de douleur!

Pline était juste un enfant
pendant les guerres civiles de Rome.

Il a été élevé dans une riche famille
de la campagne de l'Italie nordique.

Loin de la capitale, il a été épargné
de la violence immédiate de la guerre,

mais il n'était pas tragédie
personnelle de rechange.

Son propre père est mort tandis que
Pline était toujours un jeune garçon.

C'était un coup changeant la vie,

mais il était à peine peu commun.

Indépendamment des risques de la guerre,
beaucoup de Romains sont morts jeune

de maladie infectieuse,de famine
et les femmes, de l'accouchement.

Les enterrements et le deuil étaient

les agrafes douloureuses
de la vie quotidienne.

Les monuments antiques immortalisent

.l'émotion intemporelle de la perte

ici je suis étendu pour me reposer.
J'aivécu 27 ans et étais marié à seize.

J'étais une épouse fidèle qui a donné

naissance à six enfants,
seulement un a survit.

A ma épouse aimée qui a vécu
avec moi pendant 18 années

et ne m'a donné aucune
cause de plainte.

Mais maintenant je me plains et je prie
aux esprits de me renvoyer mon épouse,

celui qui peux ne pas éprouver une
telle séparation criminelle plus longtemps.

C´étaient des lamentations que le jeune
Pline avait pu facilement comprendre.

Les événements de
l'enfance de Pline lui ont tôt

enseigné que cette
vie était passagère.

La renommée, a t il conclu,
était le seul tonique.

En faisant la chronique de
ses périodes Pline a espéré

qu'il pourrait former le legs de
l'empire et écrire ses propres écrits.

la mort semble amère et prématurée

pour ceux qui composent des
travaux intemporels.

Ma propre mortalité, mes propres
écritures, viennent à l'esprit.

Aucun doute les mêmes
pensées ne vous effrayent.

Tandis que la vie est avec nous,

nous devons lutter pour
faire notre marque de sorte

que la mort trouve si peu
qu'elle peut s´en aller loin.

Tandis que Pline se confrontait

à la nature périlleuse de
la vie du premièr siècle,

le nouvel empereur
Vespasian était en Egypte,

se confrontant aux réalités
de la politique de la fin du siècle.

Ses troupes controllaient Rome,

mais Vespasian savait que l'Egypte
était une clef pour la suprématie.

Il avait besoin de commander les
approvisionnements alimentaires de Rome,

le grain poussant le long du Nil.

Il avait besoin de
commander l'armée postée là

et il avait besoin de
l'aura et de la splendeur

que la culture égyptienne assurait.

l'inattendu et encore nouvel empereur

a manqué d'autorité et de majesté.

Mais ces deux traits
lui ont été donnés.

Le biographe Suetonius a
rappelé les étapes maladroites

de l´empereur pour devenir
une nouvelle personne.

Quand Vespasian tenait cour
devant une grande assistance,

deux hommes se sont approchés.

Ils ont prié Vespasian de
traiter leurs afflictions.

Ils lui ont dit qu´un rêve avait
prédit que la vue retournerait

si Vespasian crachait dans
les yeux de l'homme aveugle;

que l'autre marcherait si le talon de
Vespasian touchait sa jambe boiteuse.

L'empereur était douteux
et d'abord refusé.

Mais ses amis l'ont persuadé
d'essayer, ouvertement, devant la foule.

À la stupéfaction de Vespasian
les invalides ont été guéris.

Toute légitimité est
nécessaire aux empereurs.

Ils ont besoin d'autorité.

Ils ont besoin qu´un certain signe que
leur puissance vienne de l'extérieur,

qu´ils ont la volonté
des dieux derrière eux.

C´est très commun d´avoir
des histoires de miracle

plantées autour des empereurs.

Vespasian en particulier,
parce qu'il est arrivé

au pouvoir partant de nulle part.

Il ne fait pas partie
de la dynastie régnante.

Il a besoin de ces signes d'autorité.

Vespasian a embrassé sa
stature récemment faite,

mais il a su que seule une image ne
pourrait pas tenir l'empire.

Il a su que sa vraie puissance
etait venue des militaires

et rien ne la cimenterait plus
sûrement qu'une victoire étrangère.

Vespasian a rapidement tourné
son attention sur la Judea,

la province qu´il a laissé
rapiditement l'année précedente.

Judea était encore en flamme.

Pendant cinq longues années,
la population juive avait fait

une guerre complète
d'indépendance contre Rome.

La révolte avait montré une témérité
renversante, et augmenter les coûts.

En l'an 70, les forces romaines avaient

transformé la Judea en ruines fumantes.

L'armée juive avait été décimée
et les quelques rebelles survivants étaient

été maintenant assiégé à l'intérieur
de la ville muré de Jérusalem,

à une exception d´un notable
: son nom était Josephus.

Josephus était un aristocrate juif.

Il a été instruit, c´est un Pharisee.

Il avait beaucoup combattu
pour la liberté de ses gens,

et était un chef militaire
mais il avait du être convaincu

ou peut-être s´était convaincu lui même
que Dieu était du côté des romains

dans cette bataille, dans cette guerre.

Des mois juste auparavant, Josephus
avait été un combattant rebelle.

Mais il avait été capturé,
et avait changé de côté.

Maintenant, il circulait
librement dans le camp romain

en dehors des murs de Jérusalem

et il a offert des informations
utiles à l'armée d´envahisseurs.

Les anciens alliés de Josephus,
même sa propre famille,

étaient encore assiégés
à l'intérieur de la ville.

Mais au nom des Romains,
Josephus a maintenant invité

ses camarades juifs à se rendre.

j'ai entouré le mur. Je les ai priés
d'épargner le pays et le temple.

Ils savaient que la force
romaine était irrésistible.

Quelles terres avaient échappé au Romains?

La faveur de la fortune
s'était tournée vers Rome

et Dieu était maintenant en Italie.

'vous hommes têtus!
Jetez à bas vos armes

et plaignez votre ville effondrée!

Ma famille est emprisonnée
à l'intérieur avec vous.

Peut-être vous pensez pourquoi
je vous pousse à la reddition.

Mais tuez-les! Prenez mon
sang comme prix de votre salut.

Moi aussi, je suis prêt à mourir
si cela vous enseignera le bon-sens.'

Les défenseurs ont ignoré son appel.

Le noeud coulant romain
a continué à se reserrer.

Les soldats romains ont dépouillé
la campagne des arbres sur des millles.

Ils ont construit une tour de siège
géante pour attaquer la forteresse juive,

mais des tunnels
creusés par les rebelles

avaient affaibli les murs de Jérusalem.

À la stupéfaction de tous, l'un
d'entre eux s'est soudainement effondrée

et les Romains étonné sont entrés.

Les Romains et les juifs ont combattu tête à
tête dans les rues étroite.

Bientôt, les juifs
survivants ont été éconduits

de nouveau dans leur dernière bastion

le sanctuaire muré du temple sacré de
Jérusalem, au plus profond de la ville.

Le temple était le symbole de la foi
et pas simplement pour les juifs

qui se sont avérés justement
habiter à Jérusalem.

C'était vrai pour les juifs de partout
dans la méditerranéen;

la plupart n'avaientjamais été à Jérusalem,
ils n'avaient jamais vu le temple,

mais pour eux c'était l'emblème
de la continuité du judaïsme.

Même sacré, les murs du temple
n'ont pas pu résister à l'impact.

Un soldat romain a jeté
un flambeau sur le sol du temple.

Immédiatement le temple a pris feu

et des troupes romaines l´ont envahi.

Josephus était témoin du massacre.

la seule passion a pris la charge.
Le vol et la mort étaient partout.

La plupart de ceux qui ont été tuées
étaient les citoyens sans armes;

envoyés à la boucherie
partout où ils ont été attrapées.

Autour de l'autel saint,
les cadavres se sont empilé

et ont glissé dans un fleuve de sang

Les cris de détresse etaient partout.

Je ne peux imaginer rien
de plus orrifiant que ces cris.

La rébellion était broyée.
Des milliers sont morts.

Mais pour beaucoup de juifs,
le destin du temple

était bien plus dévastateur
que le carnage humain.

Sans l'endroit pour conduire
leurs rituels intemporels,

les juifs de Jérusalem ont craint
à l'extinction de leur religion.

Mais le judaïsme ne mourrait pas.

Les juifs extérieur à
Jérusalem maintiendraient

leurs pratiques et
leurs mémoires vivantes.

Ironiquement, l'un d'entre eux
était Josephus.

Le rebeller-collaborateur a suivi
l'armée de conquête de nouveau à Rome,

etait même devenu un citoyen romain.
Mais il n'a pas abandonné son héritage.

Peut-être pour soulager sa conscience,
Josephus consacrerait sa vie restante

à enregistrer les événements
dont il avait été témoin.

Il deviendrait l'un des grands
chroniqueurs de l'histoire juive.

récemment, j'ai passé
toutes mes heures parmi

des tables d´écriture et des livres.

'comment est possible avec les courses?'
vous demandez vous.

Elles ne sont pas le genre de
spectacle que je trouve tentant.

Je m'émerveille que des milliers sont
si enfantins pour voir,à plusieurs reprises

galopant des chevaux
tirant des hommes se tenant dans des chars.

Tandis que la Judea brûlait, le capital de
l'empire est revenu aux rythmes de la paix

et Pline, aux rythmes
d'un jeune monsieur romain.

Pline et sa mère veuve
s'étaient déplacés à Rome.

Sa famille avait décidée
que seule la capitale

pouvait fournir au garçon
une éducation appropriée.

Mais, écrivant plus tard, le nouveau venu
a trouvé Rome une ville des contrastes,

tous les deux richement dotés,
et inutiles avec sa culture.

Cette année a produit une
grande récolte des poètes

en dépit de l'hésitation du
public pour venir les écouter.

Les gens disent qu'au temps de leurs
parents, les choses étaient différentes.

Une fois l'empereur Claudius
avait arreter son travail,

quand il a appris qu'une lecture
de poésie était en cours.

Si grand était son amour des lettres,
inopinément il a rejoint les assistances,

mais aujourd'hui, même les hommes ont

des loisirs suffisants
qu´ils négligent les arts.

Le rafinement perdue que Pline a pleuré
aurait pu être reel,

mais Rome avait changé
au premier siècle.

Beaucoup de vieilles
familles s'étaient éteintes.

Et les nouvelles familles, telles celle de
Pline, étaient proéminente.

Les Étrangers ont également eu
plaisir à accroître leur influence

et leurs cultures ont laissé
de fortes marques sur Rome.

De nouvelles religions telles
que le culte d'Isis et de Mithras

ont été absorbées de l'est
et la philosophie de la Grèce.

Le Romains n'étaient pas
des impérialistes culturels

qui arrivaient et disaient, vous devez
faire juste comme nous faisons.

Ils étaient tout à fait l'opposé.
Ils donnaient beaucoup de liberté.

Ce n'est pas simplement que Rome arrivait,
definissant des choses du haut vers le bas.

Les cultures locales ont
données l'occasion d'apporter

leurs propres nombreuses
contributions de différentes manières.

La bonne volonté de Rome
d'embrasser des cultures

non propres était une clef
de la force de l'empire,

mais pour certains, cela l´ébranlait
également profondément.

Vers la fin du premier siècle, un homme

appelé Juvenal a écrit
une satire virulente,

exprimant l´anéantissement
de beaucoup de Romains.

Peu de groupes ont échappé
au stylo du poison de Juvenal.

laissez-maintenant moi dire quelque
chose au sujet de cette course

dont la plupart m'épouvante. Je ne veux
pas voir notre ville plein de Grecs.

Pour trop longtemps l'est s´est vidé

comme cette écume dans notre Tiber aimé,

apportant avec eux leur
langue et leurs habitudes,

leurs flutes et leurs ridicules
instruments à cordes.

Quelle parodie!
Les Étrangers soufflant dans Rome

obtiennent une meilleure
affaire que moi;

moi qui a tiré mon premier
souffle dans la ville.

Avec Juvenal, ce que vous avez
est un ecrivain satirique

qui mettra le feu à n'importe
quelle cible qui se déplace.

Mais dans la mise à feu,
il crée une figure cohérente de lui-même.

Cette figure est d'un bon
romain, ce qu'un romain

doit vraiment être dans une ville
où tout tourne mal;

là où Rome a cessé d'être romain,
où elle est inondé par des immigrés.

Juvenal est une voix
de la protestation romaine démodée

au sujet de la manière que
le monde change autour de lui.

vraiment ce qui est
aggravant est cette femme

qui s'assied à un dîner

et commence immédiatement
à s´avancer en parlant,

pesant les mérites de
Virgile contre Homere.

Les mots se répandent de sa bouche,
claquant comme des pots et des casseroles.

Les avocats et les fournisseurs et
même d'autres femmes n´osent pas parler.

De tels sujets sont
les soucis des hommes.

L'amertume de Juvenal
n'était pas universelle.

En effet, car le siècle entrait
dans ses décennies finales,

la plupart de Romains appréciaient
une montée subite d'optimisme,

un sens que l'empire était de retour.

Maintenant, Jérusalem avait
été conquis, la capitale voyait

sa première victoire
étrangère depuis des années.

L'ancien rebelle, Josephus, était là.

en ce jour où la ville de Rome a
célébré la victoire sur ses ennemis,

la fin de la guerre
civile, et le commencement

de l'espoir d´un futur prospère.

Dans le cortège, des troffés de
la guerre coulaient comme un fleuve

d'or, d'argent et d'ivoire
façonnés dans toutes les formes.

Des statues merveilleuses
des dieux ont été ramenées,

énorme et faites avec grande compétence.

Il y avait des créatures
de nombreruses terres,

mais ce que tenu en haleine

étaient ces objets capturés
dans le temple de Jérusalem.

Josephus a bien compris que
c'était un moment pivot.

Il a symbolisé la renaissance d'un empire
traumatisé par guerre civile;

la réparation de la
société éffilochée de Rome

et l'autorité inattaquable
du nouvel empereur, Vespasian.

Vespasian a reconstruit la
capitale déchiré par la guerre.

Il a construit des temples, un théâtre,

et a commencé un amphithéâtre
massif, plus tard appelé le Colisé.

Vespasian a également construit
quelque chose moins concrêt

il a construit une nouvelle image
de la position de l'empereur.

Vespasian était presque toujours
de bonne humeur,

son sens de l'humour était souvent
calomnieux et mal fichu.

Une fois que, son fils
Titus grondait l'empereur

pour son nouvel impôt impropre
sur les toilettes publiques.

Vespasian a posé une pièce de
monnaie juste sur le nez de son fils

et a demandé si l'odeur l´avait offensé.

Et quand Titus l'a nié, Vespasian a
dit, 'mais il vient de la pisse.'

Vespasian a mené les
affaires du gouvernement

avec une humeur terreuse

et un bon sens rarement
montrés par ses prédécesseurs.

Il était économe: les dépenses étaient
financées par de nouveaux impôts.

Et il était accessible.

Vespasian était trapu,
avec les membres forts

et fermes et un expression tendu.

Une fois quand Vespasian a invité un
habitant local à prendre un coup avec lui,

l'homme a répondu, ' volontier, quand vous
avez fini de décharger vos entrailles.'

L'empereur a hurlé de rire

et l'empire a soupiré
avec le soulagement.

Après des décennies
d'abus et d'incertitude,

Vespasian est devenu beaucoup
plus qu'un général de conquête.

Il est devenu l'espoir
de la stabilité pour l'empire.

Vespasian, un aventurier
de la politique,

était en mesure de fonder
une nouvelle dynastie

et il a tenu le pouvoir pendant dix ans,
l'on a pourrait dire par chance.

Il avait reconstituer la
stabilité qu'Augustus avait

la première fois obtenu
des décennies plus tôt.

Tout le Rome a bénéficié de la
main de Vespasian.

Mais pour le jeune Pline, l'empereur
peu usuel lui a ouvert le monde.

Il n'était pas encore un adolescent
quand Vespasian avait pris le commandement,

et pour la décennie suivante, Rome
serait un endroit ragaillardissant de vie.

Pline a étudié avec des professeurs
célèbres, en particulier son oncle,

un homme né loin du centre du pouvoir,

dont les talents prodigieux porté
à la connaissance de l'empereur

et dans le cercle intérieur
de conseillers impériaux

L'oncle de Pline était un disciple
accompli, et un auteur prolifique.

Il a compilé une encyclopédie de 37 volumes
Isur le monde naturel.

Ses écrits ont tout
couvert de la vie marine

aux mouvements planétaires.

ils ont fourni un aperçu unique
dans la vue du monde de la Rome antique.

un poulpe, quand il
craint d´être capturer,

émet une encre foncée,

qu'il a au lieu du sang et peut
se cacher dans l'eau obscurcie.

Le monde entier est
divisé en trois continents:

L'Europe, l'Asie et l'Afrique.

Quand les abeilles meurent, certains
pensent qu'elles peuvent être ramenées

de nouveau à la vie en les couvrant
avec un estomac d'une vache recemment tuée.

nous sommes maintenant dans
une heure si heureuse de paix,

Pline l´ancien a écrit,
sous un empereur qui fait

bon accueil à la poursuite de
la recherche et de l'écriture.

Le jeune Pline a été
profondément impressionné

par la curiosité approfondie de son oncle,
et les efforts épuisants.

Industrie et compétence, observe le
garçon, pavent la route du succès

et a fait de son oncle
vénéré une figure célébrée.

vous vous émerveillez
comment mon oncle pourrait

avoir écrit tant de volumes
quand il était si occupé.

Son enthousiasme était
incroyable et il se lèvait

avant le soleil pour poursuivre
ses études par lumière artificielle.

Parfois, tout en travaillant, il inclinait
la tête et se réveillait encore.

Toujours avant aube, il allait
à l'empereur Vespasian,

qui également travaillait la nuit,

et alors commencait seulement
ses fonctions professionnelles.

Vespasian a récompensé l'oncle de Pline

avec des postes importants en
Espagne, en Gaulle et en Afrique.

Le garçon s'est réjoui
quand son aîné est revenu

en l'Italie pour commander
la flotte romaine.

Mais en l'an 79, une ombre est
tombée sur le chemin de jeune Pline.

Après avoir régné pendant une décennie,
le patron de la famille,

l'empereur Vespasian, est devenu
gravement malade.

L'empereur a su qu'il mourait,
mais son humeur est demeurée jusqu´à la fin.

'OH, cher! a il raillé, raillant l'habitude
de Rome de deifier les empereurs morts,

je pense que je deviens un dieu.

Vespasian était arrivé à Rome par
la crise la plus grave du siècle:

guerre civile, et a laissé l'empire
plus fort et plus fort que jamais.

Mais Vespasian a passé
un legs préoccupant aussi.

mes fils me succederont, a t il
déclaré ouvrertement, ou personne.

L'empire était encore infesté par
le fléau de la règle héréditaire.

Vespasian n'avait rien fait
pour changer cela.

le peuple s'était déjà réuni pour
le spectacle de notre punition,

et ceux qui étaient
sur le point de mourir,

ont été forcés de marcher vers l'arène.

La violence ritulisée avait
été le divertissement préféré

de la foule romaine pendant des siècles.

Des criminels, des esclaves et des captifs
de guerre ont été souvent

envoyés à l'arène où ils ont combattu

à mort devant des foules hurlantes.

Tout autour de moi, je pouvais entendre
les instruments de la mort.

Je pouvais entendre le
bruit d'une lame s´affilant,

des armes de métal
chauffant dans le feu,

le cliquetis des bâtons, et des fouets.

Les trompettes ont
retenti le glas de la mort.

La civière pour les morts ont été

apportées sur un défilé
funèbre avant la mort.

Partout il y avait les hommes enroulés,

gémissements, sang versé;

rien que le danger devant mes yeux.

Nous devons identifier que le
Romains ont réellement apprécié

le spectacle de voir
des gens s´entre tuer.

C'est l'une des caractéristiques
fondamentales de Rome.

Elle était une société
militaire depuis le commencement.

Et quand ils voyaient des
combats de gladiateurs,

ils voyaient de manières symbolique
leur propre prouesse martiale

et appréciaient le sang ce qui était
toujours une partie du caractère national.

Tandis que la plupart
n'avaient aucun choix,

certains volontaires se sont offert
pour entrer dans l'arène.

Conseil antique de
graffiti d'attraction.

le gladiateur appelé Celadus est
le soufre coeur de toutes les filles.

Crescens, qui combat avec un filet,
attrape ses insectes femelles.

De la même manière,
les gladiateurs étaient

comme le premier rôle
dans un film d´aujourd'hui.

Ils pouvaient obtenir
une grande renommée,

de grand succès et
devenir extrêmement riches.

Il y avait presque une atmosphère

du show business pour
ceux qui apparaissaient là.

Certainement le désir de la popularité

doit avoir poussé
beaucoup de gladiateurs

à opter pour l'amphithéâtre
et le combat,

en dépit de tous les risques
qui étaient impliqués.

Suettius Certus a présenté
une bande de gladiateurs

au combat à Pompeii le 31 mai
De l´ombre sera fournie.

En été de 79, la ville de
Pompeii était une communauté

prospère d'environ 10.000 personnes.

Beaucoup nous sont connus,
grâce à une tournure du destin

qui a préservé leur
monde pendant 2.000 ans.

Comme la plupart des villes romaines,

Pompeii avait un stade, des théâtres,

des temples, des bains publics
et des magasins.

N'importe quel jour, les résidants
de Pompeii ont mangé, ont bu

et ont eu une vie sociale dans les cafés
et les tavernes qui étaient dans les rues.

ici une boisson décente coûte
quelques pièces de monnaie.

Pour le double vous pouvez
achète quelque chose de mieux

et pour quatre fois le prix,
vous pouvez savouré le meilleur vin.

Le vin a pu avoir été fourni par
les frères de Vettii de Pompeii.

D'anciens esclaves, ils ont ouvert
un commerce de vin et ont prospéré.

Leur maison était grande et élégante,

rayonnant des signes
de la richesse recemment acquise.

Le couple possédait aussi une boulangerie.

Ils ont fait leur portrait tenant
des symboles d'éducation et de statut.

À travers la ville vivait
une femme appelée Julia Felix,

un propriétaire foncier riche qui louait

des terrains en raison
de sa grande villa.

Sur le domaine de Julia Felix,
ce qui suit est à loyer:

bains, magasins,
cafés, zones de travail,

et appartements luxueux.

Et il y avait Eumachia,
une femme riche et d´autoritée,

tant estimée pour ses contributions
à la vie civique de Pompeii

qu'une statue a été érigée
en son honneur.

Ce gens et d´innombrable autre,
riche et pauvre,

ont vécu et se sont épanoui dans la région.

Le graffiti antique dit
la vitalité de leurs vies journalières.

un pot de cuivre a
disparu de ce magasin.

A qui le renvoie,
la récompense est à lui.

Le graffiti de Pompeiian
sont merveilleux

parce qu'ils donnent une
sorte de voix non-éditée,

une voix sans cérémonie quand
nous sommes habitués à entendre

ces voix de l'antiquité très
formelles de la littérature formelle,

ou de déclarations
impériales et ainsi de suite.

Vous entrez dans un bar et vous trouvez

cette petite inscription au
sujet de la fille du tenancier.

Successus le tisserand
aime Iris la servante,

qui ne s'occupe pas de lui,
mais il la prie de le plaindre.

Et alors écrit par une
autre main en dessous,

Ah, dit ainsi un rival jaloux.

Mangez votre coeur.
vous éclatez de jalousie.

Je souhaite que vous n'harceliez
pas le plus bel homme,

celui qui est le plus noble.

je vous le dit et
maintenant je l´ai écrit.

Vous aimez Iris qui ne
s'occupe pas de vous.

De telles rivalités seront tout
oubliées l'après-midi du 24 août.

Ce jour, Pline le jeune,
a maintenant dix-sept ans,

en voyage avec sa mère
dans la baie de Naples,

à travers l'eau de Pompeii.

Son oncle était descendu de
Rome pour des affaires nautiques.

Soudainement un nuage peu commun est apparu
dans le ciel au-dessus du mont Vesuvius.

le nuage était formé
comme un pin de parapluie,

avec un long tronc qui
était ebranché au dessus.

C´était si remarquable que mon
oncle a voulu l'étudier de plus prés.

Il a ordonné à un bateau de se preparer.

Courageusement, il se dirige à
travers le mont, droit vers le danger,

tout en prenant des notes sur les
mouvements et les formes des nuages.

Bientôt, les cendres
tombaient, chaudes et denses.

Après sont venues les pierres,
noir et roussi par le feu.

Il est revenu à terre
près de la villa de son ami

et espérant le calmer, mon oncle nous
a invité à se baigner et se reposer.

Bientôt la cour au dehors de
la pièce a été rempli de cendre.

Les bâtiments ont balancé
avec de lourds tremblements.

Le ciel est devenu
plus noir que la nuit.

Des flambés et des vapeurs de
soufre sont tombé partout.

Il a demandé l'eau, puis s´est levé

et soudainement s´est effondré:

sa respiration avait été obstrué
par un brouillard épais.

Le jour est revenu
trois jours plus tard.

Le jeune Pline a survécu.

Mais son oncle, Pline l'aîné,
abattu par sa propre curiosité,

était l'un de milliers qui ont péri.

Pompeii et la ville voisine de Herculaneum
ont été enterrés dans un torrent

de cendre et de boue et
perdus pour l'histoire

pendant les 1.600 années à venir.

Nous avons loué un
bagagiste appelé Corax,

qui s'est avéré faire
plus d'ennui que d´aider.

Il a souvent laissé tomber son bagage, se
plaignant au sujet du pas et ronchonnant,

'Que pensez vous que
je suis? Un cheval?

Je ne suis pas moins libre que vous,

même si mon père m´a
laissé comme un indigent.

' Pas suffisant de nous
maudire, il a soulevé son pied

et a rempli l´air de
bruit et de puanteur.

Le peuple qui travaille
dur pour gagner sa vie

est rarement décrit
au sujet de leurs vies.

La masse vibrante des bagagistes,
de cuisiniers, de constructeurs,

et de négociants était la plupart du temps
illettrée.

Même ceux qui pouvaient écrire avait peu
de temps pour se reposer.

Au lieu de cela, nous entendons parler
d'eux par les voix de leurs patrons,

les hommes dont les
fortunes héréditaires

les ont souvent libérés de
la nécessité de travailler.

quelques commerces sont trop bruts
et vulgaires pour un monsieur.

Nous dédaignons les douaniers
et les prêteur sur gages.

En outre avec nous
toutes les occupations

qui exigent la main-d'oeuvre
sans compétence.

Ils ne sont pas
meilleurs que les esclaves.

Même moins bruyant étaient
la cohue des esclaves

qui ont permis le fonctionnement
de l'empire.

Ils ont travaillé partout: dans les mines,
les domaines, et les ménages romains.

Beaucoup sont venus
comme captifs de guerre

d'autres ont été
maintenus dans le servage.

Et tandis que l'établissement
antique de l'esclavage

s'infectait avec les mêmes
abus vus plus tard dans l'histoire,

dans l'empire romain
il a eu un teint différent.

L'esclavage n'a pas
été basé sur la course.

En fait, était il ce
que vous pourriez appeler

un état d´égalité des chances.

N'importe qui était exposé à devenir
un esclave à tout moment.

Et, en fait, la grande différence
entre les formes antiques d'esclavage

et les formes modernes
d'esclavage est cette absence

de l´importance de
la couleur de la peau.

Les esclaves romains ont fusionné
tellement bien dans la population

que le sénat a étudié un plan pour
les distinguer par une robe spéciale.

L'idée a été rejetée.

Si les esclaves savaient à
quel point il étaient nombreux,

a declaré le sénat, ils pourraient
être encouragés à se rebeller.

Pline le jeune étaient aucunement
étranger à l'esclavage.

Sa famille a possédé un grand domaine
dans le pays, plusieurs maisons.

Comme la plupart de Romains riche,

elle avait beaucoup d'esclaves.

Bien que les révoltes
étaient rares, Pline savait

que le mécontentement
fermentait sous la surface.

je dois vous dire ce qui s'est produit.

L'atrocité que Larcius Macedo a souffert

aux mains de ses esclaves
mérite un outrage public.

Il se lavait dans son bain public.

Soudainement, ses
domestiques l'ont entouré.

On l´a saisi sa gorge,
d'autres le battaient,

et, cela me rend malade de vous le dire,
ils a même écrasé ses parties génitales.

Vous pouvez voir quel
danger de violence,

sous quel mépris indigne nous vivons!

Il était un maître arrogant et cruel,

mais il n'y a pas sécurité
pour n'importe qui;

egalement pour ceux qui
sont cléments et doux.

Les esclaves tuent,
non pas pour faire justice

envers leur maître
mais par leur nature criminelle.

Pour Pline et pour les ancients en général,

l'esclavage était partie juste
de l'ordre normal des choses.

Quand il a été rationalisé,
il pouvait être pensé tout simplement

en termes de supériorité
et d´infériorité

normalement établie dans la nature.

Dans une société si dirigiste
la noblesse terrienne,

tel que la famille de Pline le jeune,
avait de riches perspectives.

À l'âge dix-huit, après avoir hérité
de la fortune de son oncle,

le jeune Pline s'est mis à
suivre les traces de son aîné.

Il s´est lancé lacarrière
du droit et de la politique.

Mais tandis que son oncle s'était
épanoui sous un bon empereur,

Le jeune homme rechercherait sa renommée

et la fortune dans des
circonstances très différentes.

En l'année 81, le plus jeune fils
de Vespasian est arrivé au pouvoir.

Son nom était Domitian.
Dans les compte-rendus de Suetonius,

il s'est avéreré un tyran aussi terrible

que ceux qui étaient venus avant lui.

Tôt sous son regne
il s'isolerait pendant des heures,

attrapant des mouches et les
collant avec des stylos affilés.

De sorte que par le passé,
quand quelqu'un a demandé

si quelqu´un était à
l'intérieur avec l'empereur,

un esprit du palais a abilement
répondu, 'ni même une mouche.'

La sauvagerie de
Domitian était inattendue.

Il a par le passé appelé un administrateur
dans sa chambre à coucher pour diner.

Le jour suivant l'homme a été crucifié.

Des caprices mercuriels
étaient la proie de Domitian.

Il a lancé des procés pour trahison,

et exécuté ou bani même
ses critiques les plus doux.

Il a terrorisé l'élite
romaine et représentait

pour Pline le jeune le
plus grand défi de sa vie:

comment se diriger dans
des moments déloyales

sans compromettre ses valeurs;

comment maintenir
l'honneur tout en montant

dans les grades d'un système despotique.

Pline a admiré, même traité en ami,

ceux qui ont hésité devant
la règle de Domitian,

mais le chemin du martyre
n'était pas pour lui.

Au lieu de cela, Pline a jalonné
sa moralité sur une terre de compromis,

lui convenant en ses périodes compromises.

Il était efficace et dévoué,
à l'ami et au tyran même.

Même tout en servant l'empereur,
il a sponsorisé des mariages

pour les enfants de dignitaires exilés,
promus leurs carrières, preté de l'argent.

Et, la carrière de Pline a prospéré,

mais son succès avait
été teinté de remords.

j'ai évité la honte,
mais ne mérite aucune éloge.

Évidemment, quand Domitian a
expulsé ses critiques de Rome,

j'en ai visité un,
même lui ait prêté de l'argent,

bien que ceci ait compromis
ma propre position.

Sept de mes amis
avaient déjà été tués ou exilés.

Je me tenais clairement parmi
une pluie des coups de foudre

et il y avait des signes qu'une extrémité
semblable était en reserve pour moi.

Le fait reste que Pline le jeune était
un politicien qui a très réussi sa carrière.

Il a prospéré sous Domitian
ainsi que beaucoup de sa classe sociale.

Ce que je pense c´est que
nous pouvons voir grandir la notion

de la part des individus
declasse aristocratique comme Pline,

qu´il était parfaitement possible
de collaborer avec un système politique

qui fournissait le bon gouvernement,

même si l'empereur du jour
était un tyran absolu.

Pline, comme l'empire lui-même,

survivrait à ces temps préoccupants.

En l'année 96, Rome a rejeté
de nouveau son despote.

Domitian a été assassiné
par un groupe qui incluait sa propre épouse.

De nouveau, l'armée
commanderait le futur de Rome.

D'ici les événements ont suivi
un nouveau cours remarquable.

Pour la première fois,
les généraux romains

ont coopéré pour choisir
le prochain empereur.

Ils l'ont contraint adopter un héritier

acceptable de l'extérieur
de sa propre famille.

C´était innovateur et
le résultat était réussi.

Le prochain empereur a règné sur
Rome était un sénateur et general

espagnol nomé Trajan

Son règne a amenné Rome
à une mesure en plus vers l'universalité.

Les hommes maintenant instruits
et riches de partout dans l'empire

sont devenus habilités
a être au plus haut escalon.

Trajan a augmenté l'empire romain
à sa plus grande extention géographique.

Il a amenné la prospérité de la société
a des niveaux jamais atteint.

Il a lancé des travaux publics,
promu l'allégement fiscal des impôts,

et un programme d'assistance
sociale pour les enfants.

Parmi ses aides de confiance
était Pline le jeune.

Durant le tournant du siècle,

Pline valorisé maintenant
par les avantages du succès

a publiquement félicité
le nouvel empereur Trajan.

nous ne souffrons plus;

il n'y a aucun besoin de
le flatter en tant que dieu.

Nous parlons pas au sujet
d'un tyran mais d'un citoyen

d´un camarade, pas d´un maître
mais d´un parent.

Il est l'un de nous
et se rappelle qu'il règne

sur des hommes, il est lui-même un homme.

Trajan refermera la porte sur
l'époque finissante de l'empire.

Il definira le cours
pour les générations

qui viennent, qui
projeteront la voix collective

du premier siècle à travers
deux milléniums où elle résonne aujourd'hui.

L'Europe s´est dessine aujourd'hui

sur la puissante image
créée par l'empire romain.

Rome a pris les systèmes
culturels développés

au commencement dans le
méditerranéen oriental

et les a écarté d'une manière dramatique

et a crée les bases d'une
zone culturelle entière

qui est notre Europe moderne.

Le premier siècle nous a
fourni un modèle puissant

pour un peuple global
composer de société

de différentes appartenances ethniques

et des différentes cultures,
qui pouvaient s´unir

sur certains points et rester
distinctes et séparées sur d'autres.

Au premier siècle nous voyons le système

le plus puissant de
la domination impériale

que le monde avait jamais
vu jusqu'à ce temps.

Au milieu la une notion de
la liberté humaine a grandit

comme un lotus hors de l'étang
de boue de la domination romaine.

tout autour de nous, combien
les choses ont changé.

Mon travail m'a apporté le succès,

puis le danger, puis encore le succès.

Vers la fin de sa vie,

Pline le jeune s´est préparé

à écrire l'histoire en tant
que porte-parole de l´époque.

Peu s'étaient longtemps confinés dans
la force et la majesté de la Rome impériale.

Peu ont mieux connu son côté en noir,
mais la perspective de Pline était longue.

Comme ceux avant lui qui etait venu,

il a espéré que son
meilleur côté resterait.

La postérité se rappellera
de nous, cela je ne le sais pas,

mais nous méritons
certainement les honneurs

pas pour notre génie,
ceci paraitrait arrogant,

mais pour notre attachement,
notre travail, et notre souci de l'avenir.

Nous continuerons sur la
route que nous avons prise

qui amenera la pleine
lumière de la renommée,

mènera beaucoup dans
les ombres de l'oublie.

L'empire romain survivrait
pendant les siècles à venir.

Mais les hommes
et les femmes du premier siècle

ont laissé un legs pour le futur,

méritant pour toujours,
la pleine lumière de la renommée.