All language subtitles for School on Fire 1988 1080p x264 AAC Fan Edit Reconstruction.(Version.Uncut)

"Après avoir éjaculé, elle s'est
accrochée fermement à ma bite.

"Serrée fermement
à l'intérieur de son vagin.

"Elle a aussitôt retrouvé
toute sa dureté.

"Pendant qu'on le faisait,
sa chatte mouillait.

"Était-ce à cause de l'âge,
ou à cause de sa touffe ?"

Fong, pourquoi tu n'es pas
venu à l'anniversaire de Macho hier ?

Désolée, j'étais occupée hier.

Occupée, ou pas envie ?

Peut-être qu'elle n'aime pas
traîner avec toi. Laisse-là.

J'ai des devoirs à faire.
Fiche le camp.

- Tu copies, plutôt.
- C'est pas ton affaire.

Tu te prends pour qui ?

- Et toi ?
- Arrêtez, s'il vous plaît.

Que se passe-t-il ?

Macho,
elle me manque de respect !

Arrête de foutre la merde !

Ferme-là quand elle parle,
gros dur !

Elle ne fait pas partie de ton gang.
Tu cherches à nous impressionner ?

Macho, Sandy est avec moi.

C'est son amie.

Les amies de Sandy sont avec moi.

Vous regardez quoi ?

Circulez !

Laisse-moi te rafraîchir la mémoire.

Frère Scar sort avec elle.

Frère Scar ? Connais pas.

Ce nain d'un mètre soixante ?

Tu sais pas qui c'est ?

Pas de problème,
je te le présenterais bientôt.

Allons-y !

Qu'est-ce que tu fais ?

La prof a trois nichons.

Arrêtez !

Qui a dit ça ?

Vous copierez cette phrase
1000 fois, tous les cinq !

- J'ai rien fait !
- Je m'en fiche, je le veux pour demain.

Rendez-moi mon sac !
Rendez-le !

Kwok siu-chun !

C'est mon sac.

Arrête de jouer avec.
Rends-le-moi.

Rends-le-moi.

M. Wan,
c'est pas moi qui l'ai jeté.

Ramasse-le et va t'asseoir.

Debout !

Bonjour, Mme Tsang.

Assis.

Les contraceptifs préviennent du SIDA.

Qui a écrit ça ?

Bonjour, M. Chan.

Aujourd'hui, vous allez
travailler en autonomie.

- Il va parier aux courses.
- Ne réfléchissez pas trop, M. Chan.

Pariez tout sur le numéro 1
dans le triround !

Trop risqué,
la côte est mauvaise.

C'est mieux que de
le laisser à la banque.

Je vais y réfléchir.
Allez.

Personne n'avoue ?

Vous allez tous me copier
1000 fois cette phrase.

Combien tu as eu ?

- Impressionnant !
- Kwok siu-chun !

Tes notes sont basses.

M. Wan,
Ne me mettez pas la pression.

Je ne te force pas.
C'est à toi de faire des efforts.

Tu ne le fais pas pour moi.

Lee tin-shing.

Allez !

Attends-moi,
je vais chercher la voiture.

Au revoir.

Frère Scar m'a demandé
de t'arranger un rencard avec lui.

On va au ciné avec lui, ce soir.
Viens avec nous.

Arrête de jouer les entremetteuses.
Il n'est pas mon genre.

Avec des gens comme lui,
on a du pouvoir. On s'amuse.

Prends ça comme une rencontre sociale.
Je ne te demande pas de tout lui donner.

Fong, viens avec moi.
On va s'éclater.

Salut, gamin.
Je suis Scar.

Salope !
Qui tu traites de nain ?

Va te faire !

Arrête !

N'aie pas peur.

Si tu lui fais encore chier,
je te crève !

À plus.
On y va !

Lam Keung.

Ça va ?

Appelez les secours
tout de suite.

Sale connard !
Tu crois que tu me fais peur ?

Espèce d'enculé !

Maman !

On se disperse !

- Ils étaient combien ?
- Quatre.

- Tu les connais ?
- Alors ?

À quoi ils ressemblent ?
Leur physique ?

- Dis-lui !
- C'est vous le flic, ou c'est moi ?

Je veux juste vous aider.

Avec votre attitude,
les gens vont mal comprendre.

Excusez-moi.

C'est quoi cette perruque ?

Il n'y a plus de bureau de dispo.
Tu peux m'aider ?

Prends ce bureau.
Fais-leur un rapport.

Donc vous arrêtez ma fille,
et vous laissez le coupable s'échapper.

- De quoi l'accuse-t-on ?
- Du calme. Pas besoin de hurler.

Deux gangs de triades se sont
bagarrés pour votre fille.

- L'un d'eux est mort.
- Fong, tu as rejoint les triades ?

Moins fort, monsieur.
Vous êtes dans un commissariat.

Et alors ?
Je ne peux pas lui faire la morale ?

- Dis-moi. Tu as rejoint les triades ?
- Non.

Les flics se prennent pour des rois.

J'ai dit à ma fille de réfléchir avant
de parler. Pas de garder le silence.

Dissuadez vos enfants
de rejoindre la police.

Monsieur, pourquoi cette tête ?
Le jeune qui est mort est votre fils ?

Mes condoléances.

M. Wan, pouvez-vous identifier
les personnes que nous allons arrêter ?

- Oui.
- Merci.

Eh, le prof.
J'ai une question pour toi.

- Comment tu enseignes à tes élèves ?
- Pourquoi ?

Mon neveu a le même âge que lui.
Il est sans cesse rabaissé par le prof.

Et pire encore,
Les profs ne pensent qu'à leur salaire.

- C'est quoi votre problème ?
- Je ne suis pas ce genre de personne.

Officier.

- Vous êtes le responsable ici ?
- Oui.

Les précédentes déclarations
de ma fille ne sont pas valables.

- Elle ne sait rien. Elle n'a rien vu.
- Tu dis ne rien savoir.

Et les triades parmi les élèves ?

Je sais qu'ils vendent de la drogue
dans des centres désaffectés.

Ces centres sociaux
sont leurs repères.

- Vous êtes en charge de l'école !
- C'est un problème sociétal.

- C'est votre problème !
- Attendons 1997 pour régler ça.

Ma fille n'identifiera personne.

Taisez-vous avant que je vous inculpe
pour obstruction à la loi.

Vous savez pour
les triades dans les écoles.

Vous ne faites rien pour nous aider.
Et vous osez me menacer !

C'est vrai. Ce sont des experts
pour arrêter les innocents.

Quelqu'un à l'école me force à le payer
contre sa protection.

Une affaire après l'autre, gamin.
Parlons d'abord de celle-ci.

- Tu le reconnais ?
- Non.

Chef, Happy a beaucoup
d'hommes là-haut.

Rien à foutre.

- Tu as rassemblé nos hommes ?
- Oui.

- Et les armes ?
- Dans le sac des deux gosses là-bas.

Les voilà.

Ils sont là.

- Chef, c'est le jeune qui l'a fait.
- Va t'asseoir.

Si ça ne se passe pas bien,
occupe-toi de lui.

Ça fait un bail, Happy !

Du thé.

Pas besoin.

On se fiche des formalités.

Comme c'est charmant.
Tu as du style.

Les traditions sont dépassées.

Pas besoin de me flatter.
J'ai une réputation.

J'ai des dettes à récupérer.
Comment on règle ça ?

Droit au but.

Avec cet incident à l'école.
J'ai un mort sur les bras.

Putain, ces petits merdeux me les brisent.
Et ils rapportent que dalle.

Ils ne s'intéressent qu'aux filles
et à la bagarre.

- Surveille-les mieux !
- Oui, chef.

- Qu'est-ce que ça veut dire ?
- Chef, les poulets sont là.

Ça vous dérange si on s'assoit ?
Il n'y a aucune place de libre.

Ne vous occupez pas de moi.
Continuez.

Serveur ! Vous avez quoi ?

Deux assiettes de ravioli aux crevettes
et boulettes de viande.

- Je meurs de faim.
- Ça va suffire ?

- Pour l'instant.
- Commençons !

Si c'était pas toi, Happy,
je m'en foutrais.

Change pas de sujet.
Donne-nous ton gars.

Tu plaisantes ?

J'en ai l'air ?

Je ne te le donnerais pas, mais je peux
te donner une enveloppe en compensation.

Ça suffit pas.

Commandons du riz frit.

D'accord, combien ?

Sharpie, met 400 $
dans une enveloppe.

Tu me prends pour un clochard ?

Ça ne paie même pas l'ambulance !

On a juste écrasé un chien !
C'est quoi le problème ?

C'est un lieu public.

- Tu les veux ou pas ?
- Ferme-là !

C'est à toi de parler ?

Tu te prends pour un dur ?

Arrête de râler !

L'enveloppe est un geste de bonne foi.
Tu veux 40 000, Happy ? Tu rêves.

Chef, allons-nous-en.
On ne tirera rien d'eux.

Une minute.

Assieds-toi, Happy.
J'ai quelque chose à vous dire.

Vous connaissez le dicton :
"La paix engendre la richesse".

Il est important de maintenir une bonne
entente entre la police et les citoyens.

Ne compliquons pas les choses.

Réfléchissez-y.

Ne dérangez pas le voisinage,
si vous voulez conserver vos activités.

Comme tu veux.

Si on laisse les gamins seuls, il y aura
des dizaines de cambriolages par semaine.

Viens pas pleurer.

C'est une menace ?

Je n'oserais pas.

J'ai le meurtre d'un étudiant
sur les bras.

Vous êtes au courant ?

- Non.
- Et toi ?

Officier,
vous venez de me l'apprendre.

Alors c'est bien que tu le saches.

Faites en sorte
qu'un gamin admette les charges.

Vous avez trois jours.

Qu'est-ce que vous racontez ?

Happy, viens me voir
si tu as des griefs contre lui.

Bull, on y va.

N'oublie pas, trois jours !

Relaxe. Sers-moi du thé,
ça va aller.

Range tes devoirs, chérie.
C'est l'heure de dîner.

Tu as regardé si ton père
avait encore de la bière ?

Y en a.

Ma tante.

Siu-chun, viens t'asseoir.

Je veux juste parler avec Fong.

- Quoi ?
- Suis-moi.

Qu'est-ce qu'il y a ?

Rien d'important.

Deux de nos gars ont été arrêtés
pour l'incident de l'école.

S'il te demandent de venir
les identifier, n'y va pas. Compris ?

C'est de ta faute si on en est là.
Tu as intérêt à faire ce qu'on te dit.

Je sais pas pourquoi
vous avez dû vous battre.

N'y va pas,
sinon mes frères ne te lâcheront pas.

C'était bondé ce jour-là. Si j'y vais pas,
les flics se douteront de quelque chose.

Alors écoute,
si tu balances mes frères,

ils ne te feront pas de cadeau.

C'est des brutes !

Georgie Boy,
Fong est comme une sœur pour moi.

Ferme-là quand je parle.

Qu'est-ce que tu regardes, salope ?

Chu-yuen-fong,
c'est un ordre de notre chef.

Si tu ne fais pas ce qu'il dit,
je ne peux pas garantir ta sécurité.

Fong.

- Qu'est-ce qu'il y a ?
- Mon oncle.

Qui sont ces gens ?

- C'est eux.
- On y va.

Qu'est-ce qui presse ?

Mon oncle, ma tante.
Je m'en vais.

Qu'est-ce qu'il y a ?

Tout va bien, ma chérie ?

Frère Sheng, tu sais
que je n'ai qu'une fille.

Elle est tout pour moi.

Pas de problème, Hung.
Bien que tu ne sois plus du gang.

On est toujours potes.
On peut en parler.

Détends-toi. Avec Frère Sheng,
tout va bien se passer.

Alors je compte sur vous, Frère Sheng,
Frère Tin-Chiu.

Chef.

- Comment vont les affaires.
- Pas trop mal.

Bien. Dis à Tung de te fournir
plus de marchandises.

Chef.

- Frère Sheng !
- Smart

Voici Hung et sa fille.

Frère Smart.

Que puis-je faire pour toi ?

La rumeur court sur tes recrutements.

Tu accepterais des gamins de tout âge,
qui provoquent toutes sortes de problèmes.

Prends du thé.

Frère Sheng, je ne force personne.
Ces gamins viennent d'eux même.

Tu en acceptes trop,
tu devrais les éduquer.

Tu savais que ces gosses prennent
des pilules et sniffent du crack ?

Ils ne respectent personnes,
et causes des conflits.

Sans ça,

on n'aurait pas tout cet argent
qu'ils nous rapportent.

Frère Sheng,
je te donne 3 000 par mois.

Dis à tes gars de laisser
la fille de Hung.

Renseigne-toi auprès de Scar.

Ils ont menacé ma fille.
Ils lui ont demandé de ne pas témoigner.

- Tant qu'elle fait ce qu'on lui dit.
- Pas de problème.

Mais arrêtez de la harceler.
Laissez-la aller à l'école en paix.

Qu'est-ce tu veux dire ?
Tu ne sais même pas qui a commencé.

C'est la faute de l'école
si elle ne peut pas suivre ses études.

J'arrête pas de le dire à Sheng.

C'est toi qui l'as gâté.

- Smart, on est tous frères ici.
- Je suis pas ton frère.

Tu as du culot de venir lécher
les bottes de Sheng comme ça.

Combien tu lui as donné ?

Eh, Smart. Montre un peu de respect
pour Frère Sheng.

J'ai tort ? Sans argent,
Frère Sheng lèverait le petit doigt ?

T'as fini ?

Oui, je vous laisse.

Sale ingrat !
Tu crois tout posséder ?

Je me suis battu
pour mon statut, Frère Sheng !

Pas comme toi.

À ton âge, tu serais mieux
dans une maison de retraite.

Salaud !

Arrêtez !

Papa !

On est frères, non ?

Papa, tu vas bien ?

Arrêtez !

C'est honteux
de se battre entre nous !

Papa, ça va ?

Je vais bien. Je manque de sommeil.
J'ai juste pris quelques coups.

Essaie de rester à l'écart des triades.
Ce sont tous des ordures.

- Alors pourquoi tu en faisais partie ?
- C'est différent, j'étais obligé.

Pourquoi tu as demandé
de l'aide à Sheng ?

- Il nous aide.
- La police peut nous aider.

Elle est inefficace.
Les triades doivent traiter entre elles.

Elles ont quelques mérites.

Tu ne comprends toujours pas.

À certains moments,
je dois traiter avec eux.

Si jamais ils t'embêtent encore,
préviens-moi.

Et surtout, ne va pas
témoigner contre eux.

Tu trouves ça juste ?

Juste ? On est pauvre.
Ils sont blindés de fric.

Il n'y a pas d'équité dans ce monde.

Mais tu viens de te prendre une raclée !

Papa n'a pas eu de chance.

Écoute-moi. Ne va pas témoigner
contre eux et reste à l'écart de tout ça.

Désolé, officier.
Je n'ai pas vu grand-chose, ce jour-là.

- Je peux être dispensé de témoigner ?
- Non !

Si tout le monde refuse comme toi,
tous nos efforts auront servi à rien.

Ma fille, laisse-moi
t'expliquer le règlement.

Si tu refuses, tu seras accusé
d'entrave à la justice !

Tu risques la prison.
Penses-y !

Officier, vous lui faites peur.

Madame, je ne fais
que lui dire la vérité.

Ils vont s'en prendre à elle.

Pour qui vous nous prenez ?
Vous croyez qu'on est inutiles ?

Bull !

- Hoi, elle ne veut pas les identifier.
- Ofiicier, puis-je lui parler ?

N'aie pas peur.

Si tu arrives à les identifier,
la police te protégera.

Le plus important,
c'est d'avoir bonne conscience.

Permettez.

Neuf fois sur dix, les gens
refusent d'identifier les criminels.

Ensuite, ils commencent
à se plaindre de notre incompétence.

Que devons-nous faire ?

- M. Wan, venez vite !
- Qu'est-ce qu'il y a ?

Venez vite !

Petite salope !
Je t'avais dit de ne pas le faire !

Pourquoi tu ne m'as pas écouté ?
Pourquoi ?

Je te préviens,
il n'y aura pas que des gifles.

- Ce n'est que le début !
- Qu'est-ce qu'il se passe ?

Ne bouge pas, George Chow !

Chu yuen-fong, il t'a frappé ?
Dis-moi la vérité.

- Vas-y ! Je te mets au défi !
- Tais-toi !

M. Wan, je ne fais
que l'encourager.

- Si tu as le courage, dis-le.
- Reste à l'écart !

Me touche pas !
Quoi, tu as perdu ta langue ?

Ne fais rien de stupide.

Si je me plains au conseil,
tu pourrais perdre ton boulot.

- Au bureau du principal !
- Me touche pas !

- Allez !
- Lâche-moi, t'entends ?

- Connard ! Je te préviens...
- Tu oses me frapper ?

Qu'est-ce que tu fais ?

Tu as du culot.

Je ne fais que me défendre.
Je vais porter plainte.

Wan, qu'est-ce qui se passe ?

Viens avec moi.

Écoute, Georgie Boy,
je sais avec qui tu traînes.

Je me fiche des problèmes
que tu peux créer.

Ne mêle pas l'école dans tout ça.
Sinon je devrais t'expulser.

Conseiller, c'est M. Wan
qui m'a frappé le premier.

Tu continues ?

Si c'est le cas, fais venir
ton chef Smart pour qu'on en discute.

Wan, qu'est-ce qui t'a pris ?

S'il se plein au conseil,
tu vas perdre ton boulot.

Si je n'ai pas le respect
que je mérite,

je préférerais démissionner.

Wan, t'es un bon professeur.

Il y a une centaine d'étudiants
dans cette école.

Tu renoncerais juste
pour quelques mauvaises graines ?

Ce n'est pas injuste pour les autres ?

Directeur.

SI je ne peux pas faire mon boulot,

pourquoi rester ici ?

Wan...

Wan, viens dans mon bureau.

Officier, on ne reste pas longtemps.

Faites vite.

Regarde-moi ces clochards
avec leurs Mercedes.

- À quoi bon rejoindre les forces ?
- Ne les envie pas.

Ne t'en fait pas.
Je sors avec Georgie Boy ce soir.

On parlera et on réglera tout.

Siu-chun, arrête de te prostituer,
je t'en pris.

J'arrête bientôt.

- T'aurais pu me dire que tu séchais.
- Fong, mon chef veut te voir.

- C'est sérieux ?
- Le chef vient d'arriver.

Tout va bien, Fong ?

M. Wan.
Mon chef veut vous voir.

Allons-y !

Chef, c'est M. Wan.

Qu'est-ce qu'il y a ?

Tu arrêtes pas d'embêter le gamin.

Tu as essayé de le frapper.
Qu'est-ce que tu veux ?

Chu yuen-fong, va-t’en.

Mon chef est en train de te causer !

Je te préviens,
ne sois pas si curieux.

Fais ton boulot.
Récupère ton salaire.

Si tu persistes,
je serais sans pitié.

Monte dans la voiture, petite.
Je dois te parler.

Monte !

Monte !

Chu yuen-fong, n'y va pas !

M. Wan,

Si tu m'empêches de lui parler,
je n'aurai plus d'autres occasions.

Si quelque chose arrive,
tu seras le seul responsable.

C'est clair ?

Monte !

Ne te prends pas pour un flic,
à pouvoir faire des arrestations.

Un petit prof comme toi
n'a aucune autorité.

Tu es peut-être le chef à l'école,
mais dehors, c'est moi.

Si tu n'arrives pas à les éduquer,
je le ferais pour toi. Compris ?

C'est pour toi.

Allez !

J'ai eu la malchance
de croiser la police ce jour-là.

J'ai été obligé
d'avaler tous les paquets.

J'ai eu une grosse diarrhée.
Pauvre de moi !

Chef.

Chef.

Chef.

- Lève ton cul !
- T'as pas du boulot ?

On fait la grasse mat ?

Debout !
Il est déjà midi !

Grouillez-vous !

Nettoyez cette porcherie !

Ça pue, putain !

Je t'avais dit de t'occuper d'eux !

Toi, ramène-toi !

Vas-y !

Petite salope !

C'est à cause de toi
que mes gars se sont battus.

Je me suis disputé
avec mon entourage.

Et tu as balancé
mes hommes aux flics !

Tu te prends pour un modèle
de vertu avec cet uniforme ?

Retire-le !

Tu m'entends ?

Retire-le !

- Tu veux de l'aide ?
- Chef, laissez-moi faire !

Chef, détends-toi.
Prends un verre.

L'argent de la semaine.

Retire tes vêtements !

Tu es comme toutes les putes,
sans vêtements.

Crève !

Ne dépense pas trop.

Merci, chef.

Je la connais bien, chef.

Et alors ?
Ça ne l'excuse pas.

Quel image de moi
je vais montrer aux plus jeunes ?

Écoute-moi, je vais être clair.

Tu as balancé deux de mes gars.

Les frais d'avocats coûtent 30 000.
Qui va payer ?

Moi ?

Ou toi ?

Sharpie, occupe-toi
de lui prendre les 30 000.

Je me fiche si tu voles l'argent.

Il va falloir que tu rembourses.

Je te retrouverai
quand tu auras décidé de payer.

Viens par là !

Viens !

Je te préviens !

Je me fiche que ton père
connaisse Sheng.

Je ne te lâcherais plus,
si je le revois.

Inutile d'appeler les flics.

Même s'ils m'attrapent,
mes hommes te lâcheront pas.

Tu as eu de la chance,
parce que Scar a parlé pour toi.

Fous le camp !

Tes vêtements sont propres, Scar.

Ta copine est mignonne.

Merci, Jane.

- Ton uniforme.
- Merci.

De rien.
Je n'ai rien pu faire d'autre.

Change-toi,
et rentre vite chez toi.

Le dîner est prêt.

Dis à Fong de venir manger.

Elle a de la fièvre.
Elle dort dans sa chambre.

Surveille-là, ce soir.

Prépare-lui un bol de nouilles
sans mettre d'huile.

D'accord.

Chu yuen-fong, ça va ?
Il s'est passé quoi, hier ?

Je ne serais pas là,
s'il s'était passé quelque chose.

Je peux t'aider ?

Vous ne pouvez rien
pour moi, M. Wan.

Combien d'amis proches dans une vie

Combien d'amis...

Tu n'étudies pas ?

Laisse-moi tranquille, frangine.

Tu ne voulais pas étudier à l'étranger ?
J'ai économisé assez pour toi.

Allez, fais un effort.

- Maman, papa. Je vais travailler.
- Lin ! Un moment.

Tu peux régler ces factures ?

- Tu as de l'argent sur toi ?
- Tu joues trop au Mah-jong.

Tais-toi ! Il faut payer
le loyer dans deux jours.

Je sais. Je vous donnerais un peu
quand je rentrerais du boulot.

Va ouvrir !

Et ramène-moi une tasse de thé !

- Ton mari est attentionné.
- Bien sûr !

Mon oncle.

Viens t'asseoir.

Siu-chun est dans sa chambre.

- Ma tante.
- Siu-chun est dedans.

Tu as dit que tu m'aiderais.
Tu as une idée ?

- Oui.
- Comment ?

Viens !

Voici 5 000 $.
C'est ce que je gagne.

Donne-le à Sharpie.

Dis-lui que
tu lui donneras 5 000 tous les mois.

Je peux pas le prendre.

On est sœurs, non ?

Je copie tes devoirs
depuis que je suis toute petite.

Tu ne m'as jamais rien demandé.
Comment tu l'expliques ?

Prends-les !

Si tu ne les prends pas,
tu devras te prostituer.

Prends-les.
Tu me rembourseras plus tard.

Siu-chun,
je n'aime pas ce que tu fais.

C'est de l'argent sale.

- Désolée, je voulais pas dire ça.
- Je suis une fille facile ?

- Je le pensais pas.
- Dans ce cas, prends cet argent.

Sinon, on est plus sœurs.

Mieux vaut qu'une seule
de nous deux fasse ça.

Quand tu réussiras plus tard,
pense à moi.

Souris un peu.

Sortons !

Siu-chun, je ne t'oublierais pas.

Moi non plus, tu me dois de l'argent !
Allons-y !

Viens !

- Vient danser.
- J'ai pas envie.

Fais pas ta rabat-joie !

Tu te prends pour qui ?

Elle veut pas danser.
C'est quoi ton problème ?

Je veux bien
danser avec toi, Boy Loong.

Danse avec ta mère !

Tu snobes celles qui veulent danser.

et tu forces celles
qui ne veulent pas.

Va danser !

Vas-y !

Allons-y !

- Qui voudrait danser avec toi ?
- Tu viens ou pas ?

Il se prend pour un tombeur,
mais ce n'est qu'un gland.

Mes parents sont morts
quand j'avais 12 ans.

À l'époque, j'habitais en zone reclassée,
et je travaillais dans un snack.

On arrêtais pas
de s'en prendre à moi.

Un jour, j'ai rendu les coups.
Et ils se sont tous jetés sur moi.

J'ai reçu des coups de couteau.

Je suis plus malin, maintenant.

Le pouvoir est très important.

Une fois que tu l'as, tu peux
tous les faire tomber.

Je supporte pas quand
on use de la violence.

Tu ne dois pas aimer les gens
qui sont violents avec toi, non plus.

Inutile de me demander
combien d'argent j'ai en poche

Inutile de demander
quel est mon talent et mon ambition

Inutile de demander d'où je viens
et quelles sont mes qualifications

Un jour, tout le monde
dans les rues connaîtra mon nom

Camarade, ce n'est pas tâche facile
d'être connu pour l'éternité

Tu dois le mériter
avec tes mains nues

Le monde est entre tes mains

Camarade, ce n'est pas tâche facile
d'être connu pour l'éternité

Tu dois le mériter avec sincérité

Suis le chemin que tu as choisi

Grand-mère !

Mamie.

Mes chères petites filles.
J'arrive !

Comprenez mes défauts
et mes mérites en tant qu'exemple.

C'est difficile de trouver
un partenaire compatible dans la vie

Qui partage mes peines aussi bien que
mon bonheur, et est avec moi à tout moment

Camarade, si tu as l'aide de tes amis,

et que tu la chéris chaque jour,

le monde sera meilleur

Camarade, si tu donnes ton cœur

Et que tu travailles de ton mieux

Tu auras des amis où que tu ailles

Il faut que tu dises à ton père
de venir me voir plus souvent.

Grand-mère n'a plus beaucoup de temps.

Mamie, papa m'a dit
de te donner 500 dollars.

Il ne vient plus me voir.

À quoi bon me donner de l'argent ?

Il devrait me voir plus souvent
quand il a le temps.

Je comprends.
Il faut qu'on y aille.

On y va.

Soyez prudente.

Conduis prudemment.

Au revoir.

Ne roule pas trop vite.

- Fais-moi une passe !
- Tire !

Je dois parler à des amis.
Attends-moi ici.

- Fais vite !
- D'accord.

Police, ne bouge plus.

- Ne bouge pas !
- Ne bouge pas !

Arrête-toi !

Arrête !

Ne cours plus !

Bouge plus !

- Scar, qu'est-ce qu'il y a ?
- Allez, monte !

Arrête-toi !

Gamin, reste là !

Ne bouge pas !

C'est quoi ?

Debout !

Tu voulais t'enfuir ?

- Pourquoi vous le frappez ?
- On est de la police !

Regarde ! Tu es suspecté
pour possession de drogue.

Tourne-toi !
Fouillez-le.

Fouillez la fille, aussi.
Et cherchez sur la moto.

Pourquoi tu t'es enfui ?

- Et si vous étiez un ennemi ?
- Je t'ai dit que j'étais de la police.

Il n'a rien.

- Pareil pour la fille.
- Et la moto ?

Vous êtes témoin.
On m'a frappé.

Je veux porter plainte.
Vous aussi, vous êtes témoin.

Gamin,

on sait tous ce que tu manigances.

On te relâche.
Tu veux toujours porter plainte ?

Non !

Qu'est-ce que tu regardes ?

Allons-y.
Scar t'attend.

Vous vous êtes disputés ?

Non.

Il s'est forcément passé quelque chose.
Dis-moi tout.

- J'ai simplement pas envie de le voir.
- Pourquoi ?

Ne le quitte pas,
sinon on va avoir des ennuis.

J'ai décidé de ne plus le voir.

Que tu le veuilles ou non,
tu dois rester avec lui.

Pourquoi ?

Pour être franche,

la plupart de l'argent
que tu donnes lui revient.

Penses-y.

J'ai du mal à obtenir cette somme.

Il faut que je trouve une alternative.

Pourquoi tu ne m'as rien dit ?

Ne t'en fais pas,
ce n'est pas grave.

Chante pour moi !

- Tu t'amuses ?
- Il a un gros appétit.

Ces voyous n'oseraient pas
faire de bêtises.

Ne t'inquiète pas, je n'ai pas
de drogue quand je suis avec toi.

Scar, je m'en vais !

- Vraiment ?
- Je peux ?

Il est trop mignon.

Prends soin de toi.

Tu ne pourrais
pas trouver un vrai boulot ?

Je suis né avec rien.

Il est temps que ça change.

Sacré Georgie Boy !

Il traîne avec deux filles
en même temps. Apprenez de lui.

Pour survivre,
il faut saisir toutes les opportunités,

et les utiliser à bon escient.

- Siu-chun, arrête.
- Laisse-moi tranquille !

Siu-chun, n'y va pas !

Salope !
Touche pas à mon copain !

Dégage !

Siu-chun, qu'est-ce que tu fais ?

Arrête, je te dis !

Ça te regarde pas !

Arrête !
T'es folle ou quoi ?

Connard,
après tout ce que je t'ai donné !

Voila comment tu dépenses l'argent
que j'aie gagné à faire la pute !

- T'as fini ?
- Pourquoi tu la frappes ?

La ferme !

- Dégage !
- Crève !

Connard !

Sale con !
T'es qu'une merde !

Tu me prends pour qui ?
Casse-toi d'ici !

Calmez-vous !

Dégage !

T'as fini ?
Dégage !

Allez-vous-en !
Vous dérangez le chef.

Je m'en vais, chef.

Sortez !

- Qu'est-ce qui se passe ?
- Ça fait un bail, Chi-Hung.

Ça va ?

J'ai fait le conquérant,
maintenant, je sue comme un porc.

T'as touché gros, dernièrement.
Viens t'asseoir.

Trinquons !

Qu'est-ce qui t'arrive, Siu-chun ?

Siu-chun !

Arrête !

- Arrête !
- Laissez-moi !

Lâchez-moi !

Calme-toi.

Laissez-moi !

On utilise "rather than"
pour former une phrase.

Luk Tze-Fung.

I prefer the rich rather than the poor.

C'est ça.

Lau Ka-Wai.

I prefer the good rather than the bad.

Pas mal.

Est-ce que tout le monde comprend ?

Tu veux quoi ?

Kwok Siu-chun, que fais-tu ?

George Chow m'a lancé un stylo.

C'est faux.

Je m'en fiche.
Tu ne dois pas dissiper la classe.

- J'ai rien fait.
- Tu ne vaux pas mieux que lui !

Il ne fera rien
si tu ne joues pas à son jeu.

D'accord, c'est bon.

C'est quoi ce comportement ?
Tu vas recevoir un avertissement.

Je suis une de vos élèves, non ?

On me harcèle,
et vous en avez rien à foutre.

Vous n'aimez que les lèche-culs !

Je n'ai pas de bons résultats, mais
j'ai payé mes frais de scolarité.

- Tu m'écriras 1000 fois tout ça.
- Mon cul !

Kwok Siu-chun,
Tu veux te faire expulser ?

- J'exige des excuses !
- Excusez-moi, elle ne se sent pas bien.

C'est pas à toi que je le demande,
assieds-toi !

Vas-y, excuse-toi !

- Dis-le.
- Parle !

- Dis-le.
- Je m'excuse.

Sors ton carnet de correspondance.

Vite !

Sinon, j'appelle le principal.

Luk Tze-Fung,
va chercher le principal.

Ton attitude est inacceptable.
Quel genre d'élève tu es !

J'abandonne !
Au diable votre enseignement de merde !

Qu'est-ce que tu fais ?

- Ne fais pas ça.
- Laisse-moi !

Arrête.

N'expulsez pas ma fille, je vous en prie.
je vais lui faire la leçon.

Bon sang, ma fille !
Tu ne peux pas te tenir tranquille ?

J'ai travaillé comme une folle
pour ton éducation.

Vous ne pouvez pas
lui donner une autre chance ?

Mme Kwok, elle a pris
de l'ecstasy en classe,

sans parler des insultes.

Je t'avais dit
de ne pas être grossière à l'école !

Pourquoi tu me compliques la vie ?
Donnez-lui une autre chance, svp.

Le conseil ne le tolérera pas.

Que va-t-elle faire
si vous l'expulsez ?

Ses notes sont trop basses.
Elle a trop de retard.

Ce n'est pas le problème.
Je ne me suis jamais plaint.

Sinon, j'aurais arrêté
de payer sa scolarité.

Et je ne marchanderais pas avec vous.

Mettez là en retenue
pendant quelques jours.

Je paierais les heures supplémentaires,
ce n'est pas un problème.

- Fong, je suis contente de te voir.
- Siu-chun est là ?

Oui, viens.

Je ne comprends pas pourquoi
elle continue de prendre ces cachets.

Elle n'est pas rentrée
depuis hier soir.

Siu-chun, tu vas bien ?

Entrez !

Merci.

J'ai appelé chez toi.

Ta mère ne savait pas où t'étais.
Dieu merci, tu es là.

Ça va ?

Je t'avais dit de ne pas te droguer.

Ma fille, ne me fais pas peur.

Ta sœur m'a demandé de te ramener.

Comment lui faire face, alors
que je ne peux plus aller à l'école ?

Tout le monde s'en fout de moi.

Que ce soit ma famille,

ou l'école.

Même Georgie Boy m'a quitté.

Tu as toujours ta grand-mère.

Tout le monde s'en fout
de toi, aussi !

Siu-chun, je suis là.
Je m'occuperais de toi.

Ne pleure pas !
Arrête.

Arrêtez de pleurer toutes les deux.

Siu-chun, qu'est-ce que tu fais ?

Il est tard. Qu'est-ce que tu fais ?

- Ne pars pas.
- Laissez-moi !

Tu vas où ?

Monte sur la moto !

Accroche-toi !

Il est tard. Ne partez pas.

Revenez !

Siu-chun!

- Arrête !
- Tu vas où ?

Je vais te donner une raclée !

Tout le monde s'en fout de moi !

Pas moi !

Ralentis !

Tout le monde...
Laissez-moi !

Tout le monde s'en fout !

Siu-chun, ta grand-mère
t'a demandé de revenir.

Arrête-toi !

- Laisse-moi !
- Elle a besoin de toi !

Laissez-moi !

Je t'en supplie.

Un camion s'approche.

J'en ai assez.

Siu-chun, Siu-chun !

- N'y va pas !
- Laisse-moi !

Lâche-moi !

C'est trop dangereux !

Laisse-moi !

Arrête.

Lâche-moi.

Je me fiche de la mort de Sandy.
Je l'ai largué à cause de toi !

Et maintenant, tu veux me quitter ?
Tu en a parlé à mon chef ?

Vous ne vous arrêtez jamais ?

Je dois dire quoi ?

Dire quoi ? Tu sais combien
j'ai claqué pour sortir avec toi ?

C'est quoi, ça ?

Chef, je pars bosser.
T'es qu'une merde !

Chiu-tuen est un homme vertueux.

Il en va de même pour Tsoh-ngai.

Il s'est donc suicidé
au lieu de tuer Chiu-tuen.

C'est un bon exemple de
l'échange d'une vie contre la dignité.

Cette question apparaîtra
très probablement dans l'examen.

Faites attention.

Compris ?

Je n'ai pas compris.
Vous pouvez répéter ?

Mencius a dit un jour
que la vie est précieuse.

La droiture aussi.

Si on ne peut pas obtenir les deux,

il est préférable de sacrifier une vie.

M. Wan.

Vous pouvez parler plus fort ?

M. Wan, criez-lui dessus.

C'est pas ton problème !

George Chow, je vais le répéter
une dernière fois pour toi !

Échanger une vie contre la dignité,

c'est se sacrifier
pour le bien de la justice.

Mensonge !

Se sacrifier pour les autres ?
Combien font vraiment ça ?

Les plus généreux sont déjà morts.

La seule que je connaissais est morte.

Où vas-tu ?

Votre attention. Il y a le feu.
Veuillez évacuer votre classe !

- Ouvrez la porte !
- Qu'est-ce qu'il y a ?

La porte est verrouillée.

- On est allé chercher les clés ?
- Oui.

Y a quelqu'un ?

- Que faites-vous ?
- M. Wan,

quelqu'un est coincé dedans !

Forçons la porte.

Je ne veux plus aller à l'école !
Je n'irais plus jamais à l'école !

Chu yuen-fong,
fais-la sortir d'urgence !

Laissez-moi !

Lâchez-moi !
Laissez-moi !

Je n'irais plus en cours !
Laissez-moi !

Je n'irais plus en cours !

Votre fille est suspectée d'incendie.
Nous allons devoir l'inculper.

Officier, vous êtes sérieux ?

Fong, qu'est-ce qui s'est passé ?

Ma fille a été blessée,
et vous voulez l'inculper ?

Ma fille est quelqu'un de bien.

Qu'est-ce que vous lui enseignez ?

M. Chu, elle a pris de la drogue,
avant de mettre le feu à la bibliothèque.

Ma fille, que t'arrive-t-il ?

Hung, ils vont inculper notre fille.

Que faire ?

Tu entends ?
Tu vas être inculpée !

Tu comprends ?
Tu vas aller en prison.

Peu importe.

- Petite garce !
- Arrêtez !

Lâchez-moi.

Je lui donne une leçon.

Lâchez-moi !

Me touchez pas !

Ne l'arrêtez pas.

Sale gosse !

Ne faites pas ça ! Elle est traumatisée.
Vous voulez la tuer ?

Monsieur, ma fille
est quelqu'un de bien.

Donnez-lui une chance.

Si vous l'inculpez...

Monsieur, ma fille est encore jeune.

Ça ne relève pas de nous.

Ne vous inquiétez pas.

Je vais en parler à l'école.
J'espère qu'ils vont retirer les charges.

Merci !

Ne pleure pas.

- Salut.
- Smart est là ?

Pas encore.

Je viens vérifier ta licence.
Montre-la-moi.

Encore ?

Dépêche.

Je vous ai dit qu'il n'était pas là.

- Vérification de licence !
- Sortez tous !

Sortez vos cartes d'identité.

Faites vite !
Vous avez fini ?

Qu'est-ce qu'il y a ?

Dépêchez !

Les hommes de ce côté.
Les femmes de ce côté.

Grouillez-vous !

Soyez coopératif
et restez tranquille.

Taisez-vous !

Allez.

Ferme-là !

Le personnel, ici !

Ici.

Les mineurs, ici.

Allez, avancez !

Plus vite.

C'est inutile de perdre du temps.

Loong, que fais-tu là ?

- Je fais partie du personnel.
- Tu n'as pas l'âge, vas là-bas.

Tu fais partie des deux.
Reste ici.

Officier Hoi,
qu'est-ce qu'il se passe ?

C'est difficile de te voir.

Ça fait une semaine que je te cherche.
J'ai cru que tu te cachais.

Qu'est-ce que tu fais ?
Le personnel de ce côté.

Qu'est-ce que t'attends ?

J'étais dans le sud-est de l'Asie
quelques jours.

Chapeau !
Aller jusqu'au sud-est de l'Asie.

Depuis quand
tu fais dans l'international ?

Officier Hoi, je fais des affaires.
Qu'est-ce que vous voulez ?

Tu connais cette disparue ?

Pas du tout.

Non ?

D'accord,
je reviens dans deux heures.

Vous êtes dur avec moi.

Pourquoi ?

Vous venez me voir pour des suspects
ou des filles disparues.

- Je travaille pas pour la police.
- Tu devrais être au courant.

Bien ! Tu veux jouer au dur ?

Je jouerais le jeu
une fois la porte fermée !

Une menace ?

Non !
Vous avez du temps à revendre.

Je demanderais à un jeune
de s'occuper de vous.

Si tu oses nous envoyer des jeunes,

ne viens pas te plaindre.
Il y aura des répercussions.

On y va.

Pourquoi tu ne l'arrêtes pas ?

Tu aurais pu l'inculper
pour menace sur témoin.

Est-ce utile ?

Il faut d'abord trouver la fille.

Après, il faut qu'elle puisse avouer.

Allons-y.

Grand-mère.

Le père de Siu-chun m'a demandé
de te donner cet argent.

Siu-chun... Quelle pauvre enfant !

Elle n'aura jamais véritablement vu
de quoi notre monde est fait.

Je viendrais te voir plus souvent.

Je sais que tu voulais bien faire.

Ça a changé.
Le monde a changé.

Siu-chun n'était qu'une adolescente.
Pourquoi a-t-elle sacrifié sa vie ?

Il y a trop de mauvaises personnes,
et si peu de bonnes personnes.

Je vais t'aider.

- C'est prêt.
- Delicieux !

Où sont tes manières ?

Ici, ma chère.

Tu ne rentres pas chez toi ?

Tu crois que je ne veux pas ?
Je ne sais pas si l'affaire est réglée.

Tu devrais appeler,
pour leur dire que tu vas bien.

Je ne saurais pas quoi dire.
C'est frustrant.

Dis-lui que
notre vie sexuelle est super.

Mange tes nouilles !

Tu sais quoi ?

Je devrais faire de la lèche
à mon futur beau père.

- Qu'est-ce que tu fais ? Arrête !
- Laisse-moi faire !

- C'est à moi de décider !
- Décider quoi ?

- Ça lui fera plaisir.
- Tu vas m'écouter ?

Oui, chérie.
Je serais sage.

Chef.

- Et les comptes ?
- J'ai pas travaillé ces derniers jours.

Je pars une semaine,
et tu te laisses aller ?

Tu es assez riche,
ou tu ne penses qu'aux filles ?

Tu sais que les plus pauvres sont ceux qui
se droguent et ont des cages d'oiseaux.

Tu as des oiseaux ?

Tu manges bien quand tu es avec moi.

Maintenant tu t'abaisses
à manger des nouilles instantanées ?

Si tu n'avais pas arrêté,
tu ne serais pas comme ça !

Tu ne l'a pas ramené chez elle ?

Elle a mis le feu à l'école.
Elle ne peut pas rentrer.

Tu sais que j'ai la police sur le dos ?

Et toi, tu ne m'as
toujours pas remboursé.

Je te réglerais bientôt.

Chef, laisse-moi
te rembourser à sa place.

Combien tu as ?

Chef, aide-moi s'il te plaît.

Je te confie ma vie.
Je ferais tout ce que tu demandes.

Tu as vu combien mes gars t'aiment ?

Eh bien, au travail !

Il y a beaucoup de flics,
ces derniers temps.

Tu crois qu'on est dans le légal ?
C'est un risque de vendre du crack.

Ils sont trop.

La ferme !
Qui t'a donné la parole ?

Ne dis rien.

En ce moment, il y a plus
de vendeurs que d'acheteurs.

On va perdre des clients,
si on ne vend plus.

Oui, chef. J'y vais.

Je pars bosser.

Je sais que
tu ne me portes pas dans ton cœur.

Dans tous les cas, si tu vois un flic,
ne fais rien de stupide, compris ?

Laisse Scar quitter le milieu.

- Je m'occuperais de la dette.
- Comment ?

Votre attention.

À partir de demain,
M. Wan va donner sa démission.

Mme Chan le remplacera.

Elle sera votre nouvelle professeur.

J'espère sincèrement
que cela ne perturbera pas votre étude.

Elle fera de son mieux
pour vous enseigner.

Enchantée.

Wan, je m'en remets à vous.

- Mme Chan.
- Debout !

Au revoir, Principal.

Dieu merci !
Les jours s'annoncent plus radieux.

C'est ma dernière leçon.

Vous êtes libre
d'étudier par vous-même.

Vous n'allez plus enseigner ?

Quand je ne serais plus là,
travaillez dur pour vos études.

Chin ming-wai, tu es voué à l'échec.
Pas vrai ?

Je te parlais pas !

Ne t'excite pas comme ça !

George Chow, qu'est-ce que tu fais ?
Assis !

M. Wan, je ne suis pas sourd.
Pas besoin de crier.

M. Wan.

Vous pouvez lui dire
de faire moins de bruit.

George Chow !

Arrête de déranger tes camarades !

J'ai rien dit.

En classe, c'est moi le prof.
Sois respectueux !

M. Wan, vous n'êtes plus prof.
Pas besoin d'être sérieux.

- À cause de toi !
- Tu veux une baffe ?

La ferme !

Sois tu lis ton livre,

sois tu fais une sieste.

Laisse les autres tranquille,
et je ne t'embêterais pas.

Tu te fous de ma gueule ?

- Qu'est-ce que t'as dit ?
- Tu te fous de ma gueule ?

Crève !

- T'es pas bien ?
- Tu agresses le prof !

Arrêtez de vous battre !
Arrêtez !

Arrêtez de vous battre.
J'ai dit stop !

SI tu n'étais pas qu'un gamin,
et moi ton prof.

T'en aurais pris une !

Reculez !

J'ai dit de reculer !

Tu n'es pas là pour étudier,
alors pourquoi tu viens ?

Pourquoi tu me fais perdre mon temps,
et ton argent ?

Tu ne peux pas laisser mon dernier
jour se dérouler dans le calme ?

M. Chu.

M. Wan,
qu'est-ce qui vous amène ici ?

Le sac de Fong.
Je vous le rends.

Merci.

- Vous êtes libre ?
- Pourquoi ?

Je voudrais qu'on discute
de l'incendie de l'école.

Oncle Nau, je sors un moment.
Je serais chez Sun-Kwong, au restaurant.

Chef, c'est la fille du boucher.

Allons voir.

J'en ai déjà parlé au principal.
Il a promis de ne pas porter plainte.

- Il n'y aura pas de problèmes.
- Merci, M. Wan.

- Je ne sais même pas où elle est.
- Vous la trouverez.

Pour son avenir,
il faut qu'elle retourne à l'école.

- C'est ça.
- Hung !

- Tin-Chiu vient de voir ta fille.
- Où ça ?

J'ai noté l'adresse.
Tu ferais mieux d'y aller.

Je vous accompagne !

- C'est Tin-chiu ?
- Il n'est pas là.

Chiu-chow,
Tu cherches les ennuis ?

Allons-y.

Mon chef veut vous voir.

- Sharpie, c'est ton chef.
- Oui.

- La fille du boucher est là ?
- Oui, avec des clients.

Son père est là.
Dis-lui de partir.

- Et les autres filles ?
- Dis-leur de partir. On sait jamais.

On va avoir des ennuis.

Oui, chef.

Tante Kow !

- Oui ?
- Fais partir tout le monde !

Siu-man !

- Il se passe quoi ?
- Habille-toi et va-t’en !

Excusez-moi.

Ton père est en bas.
Habille-toi et va-t’en. Vite !

Lâchez-moi !

Calme-toi !

Chef !
On fait quoi ?

On appelle les flics.

Ne monte pas !

Calme-toi !

M. Chu, du calme !

Dégage le passage !

Allons voir.

Chef, c'est chez Smart.

- N'allons pas nous créer des problèmes.
- Tu crois qu'il me fait peur ?

Inutile de s'embrouiller
avec les siens.

Ne compliquons pas la tâche
à Frère Sheng.

Mon père !

- Le fais pas entrer !
- C'est privé.

Vous faites quoi ici ?

C'est une affaire de famille.
Rien de grave.

On y va.

Officier Hoi ?

J'ai trouvé votre petite disparue.

Cache-toi là.

Je vous attends ici.

Que ça te serve de leçon, petit.
Toujours se protéger en premier.

- C'est une propriété privée !
- Je cherche ma fille !

- Sortez d'ici !
- Vous faites quoi ?

Je veux ma fille.
Me poussez pas !

M. Wan, appelez la police !

Sortez !

Appeler les flics ?

Stop ! Ne bouge plus !

- Fong !
- Crève !

Tu crois quoi ?

Stop !

Laisse mon père !

Papa !

Va chier !

- Pourquoi en arriver là ?
- C'est pas tes affaires !

Sharpie, arrête !

- Arrête Sharpie !
- Va chier !

Crève !

Officier Hoi !

Donne-moi
un morceau d'ananas.

- Je suis coopératif, cette fois.
- Elle est où ?

Relaxe, elle arrive.

Celui-là, il est joli.

Petite traînée !

- Quand on parle du loup.
- Tu m'as assez fait honte !

Allons.

- Allons ? C'est mal !
- Ne soyez pas trop dur.

- Smart, je vais te tuer !
- Papa !

Qu'est-ce que tu fais ?

Papa, ça va ?

Arrête !

- Pourquoi tu l'as frappé ?
- Laissez-moi. Je vais le tuer !

- Vous avez vu ?
- La ferme !

Je veux porter plainte.

J'ai le cran de te découper.
J'ai pas peur de la prison !

Vous avez entendu ? Il avoue.
Je veux porter plainte !

Après tout ce que vous avez fait !

- Du calme.
- Je porte plainte !

Je m'en fous !

M. Wan, ramenez-le chez lui.

Non !

- Papa, on y va.
- Allez-vous-en !

Il veut porter plainte contre vous !

C'est toi ou moi, Smart !

J'ai trop peur !
On verra qui est le plus rapide.

Je te laisserais pas t'en sortir
aussi facilement, pourriture !

On va régler ça ici !

Papa, viens !

Ramenez la fille pour la déposition.

Où va ma fille ?

Nulle part.
Elle va juste faire une déposition.

- Fichez le camp !
- Dans la voiture, allez !

Rentrez chez vous !
Y a rien à voir.

Allons-y.

Tu veux me baiser, connard ?

À l'aide !

Dégage !

Laissez-moi !
Je veux voir mon père !

Lâchez-moi !

Appelez une ambulance !

- Sharpie !
- Pose ton couteau !

Ne bouge plus,
sinon je tire !

- M. Chu, ça va ?
- Le bougez pas !

Laissez-moi voir mon père !

- Reste dans la voiture !
- Laissez-moi le voir !

Non !

Vous faites quoi ?
Appelez les flics !

Espèce d'attardé, c'est un flic !
Officier Hoi, vous avez tout vu.

- J'ai rien à voir dans tout ça.
- Espèce d'ordure !

- Connard !
- Bouge pas !

Non !

Arrête !

Lâchez-moi !

Arrête !

Laissez-le-moi !

Vous avez vu ?

Non !

Touche-moi encore,
et je t'inculpe !

Tu te prends pour un homme ?
Tu es un animal !

Lâchez-moi !
Laissez-le-moi !

Je vais le cogner !

C'est incroyable !
Moi aussi je peux porter plainte !

Je vais te donner une chance
de porter plainte.

Allez !

Les flics pensent avoir du pouvoir !

Avec le pouvoir,
il n'y a pas de justice dans ce monde.

Il disjoncte !

Appelle une ambulance !
Que les blessés aillent à l'hôpital !

Qu'importe ce que tu es devenue,
tu seras toujours ma petite fille.

Ça ne me dérange pas
de m'être blessé pour toi.

Le plus important est que
tu te comportes comme une bonne fille.

Je le ferais, papa.

Promets-moi
de retourner à l'école.

Papa, ça va ?

T'es mon mec ?

Ton chef a tué mon père !

Tu veux que je le poignarde ?
C'est mon chef !

Suis-moi au poste
pour faire une déclaration.

Est-ce que ton père serait mort
si tu ne t'étais pas prostitué ?

Pourquoi t'es devenue une pute ?
Dis-moi !

Ton chef m'a forcé
à le rembourser !

Il m'a même violé.
Tu le savais ?

Il m'a violé !

Il est toujours
digne d'être ton patron ?

Alors, dis-moi !

Tu vas m'aider ou pas ?

Tu n'es plus mon mec.
Je veux plus te voir.

- Monsieur.
- Officier.

Tu peux partir
après avoir signé ta caution.

L'officier Hoi
n'est pas encore rentré.

De quoi on l'accuse ?

Je suis un citoyen modèle.
De quoi pouvez-vous m'accuser ?

Renseigne-toi
sur les lois de Hong Kong.

- Sinon, ne rêve pas pour une promotion.
- Vous avez fini ?

- On y va.
- Je m'en vais.

Connard.

Officier Hoi ! Juste à temps
pour dire au revoir.

Minute !

Reste-là !
Recule !

- Maître Chan, c'est quoi le problème ?
- Hoi, on a rien contre lui.

- Officier Wong.
- Hoi, relâche-le.

Tu crois qu'il peut s'enfuir ?

Hoi, j'ai rien contre toi.

Viens me voir si t'as besoin d'aide
dans tes enquêtes.

Je vais fêter ça au Fuji Night-Club.

Si tu as le temps,
viens faire la fête avec nous.

Reste là !

Monsieur,
ne le relâchez pas !

- Vous ne pouvez pas le libérer !
- Arrêtez-le !

Du calme. Lâchez-le.

- Je sais quoi faire.
- Arrêtez-le !

Officier Hoi, je vous laisse
régler cette affaire insignifiante.

Je m'en vais.

- Monsieur !
- Tu as tué mon père !

Ne le laissez pas partir !

Calmez-vous.

- Fous le camp, connard !
- Arrêtez-le !

Ne faites pas ça !

Arrêtez-le !
Ne le laissez pas partir !

- Calme-toi !
- C'est quoi votre problème ?

Pourquoi vous ne l'arrêtez pas ?

- Il nous faut des preuves !
- Vous plaisantez ?

On sait qu'il est derrière tout ça !
Qu'est-ce qu'il vous faut d'autre ?

On doit suivre les procédures !

Vous suivez les procédures
pour les vendeurs à la sauvette ?

Démissionnez !

Vous restez pour votre salaire ?

Vous voulez vous faire arrêter ?

Tous les flics sont morts ou quoi ?

Bouge pas !
Tu ne peux pas faire ça !

Vous êtes flic.
Pourquoi vous ne l'arrêtez pas ?

Lâche-la !
Madame, surveillez votre fille.

Lâche-moi !

Fong ! Fong !

Elle n'est pas en état
pour faire la déposition.

Qu'est-ce qu'il t'arrive, Hoi ?

L'avocat de Smart
s'est plaint de ta brutalité.

M. Wan, veuillez me suivre
pour la déposition.

Les gens disaient que
le bien triomphe toujours du mal.

Maintenant,
je ne sais plus quoi penser.

Monsieur !

Ma fille vient de partir.

Elle veut se venger.

Vous pouvez me la ramener ?

Tes frères sont là !

Mimi !
Prends soin de Frère Smart pour moi.

Dix, quinze. Tu perds !

Vide ton verre !

Le chef est là.

Joue avec lui.

Ça me va.

Je relance.

Chef, assieds-toi.

Du vin pour le chef !

Quinze, dix.

- Zéro.
- Quinze.

Frère Scar,
le chef veut te parler.

Frère Scar.
Le chef te demande de venir.

Frère Scar est là-bas.

La fille du boucher !

Elle arrive.

D'accord, j'ai perdu.
Je bois.

- T'es content de toi ?
- Que fais-tu là ?

Viens t'asseoir.

Va te faire !

Qu'est-ce qu'il se passe ?

Lâche-moi !

Le couteau !
Donne-le-moi !

Reculez !

N'approchez pas plus !

T'as perdu la boule ?
Pose ce couteau !

- Tu m'aides ou pas ?
- Pose-le !

- Passe-moi le couteau !
- Tsun, emmène-la !

Je suis toujours ton chef ?
Pose ce couteau !

T'as baisé ma femme ?

Les femmes sont plus importantes
que les frères ?

Tous nos frères sont là !

Donne-le-moi,
je vais le tuer !

Tu as violé ma femme !
T'es plus mon frère !

Crève !

Arrêtez !

Va te faire !

Chef, on fait quoi ?

C'est pas nos affaires.
Continuons de jouer.

D'accord.

Du vent !
Y a rien à voir !

Frère Tin-Chiu !
Venez nous aider !

Tu vois pas que je joue ?

Je vous l'ai toujours dit.
On ne touche pas à la femme d'un frère.

Salope !

Crève !

Je vais chercher du renfort !

Quel spectacle !
Ça mérite des applaudissements.

- Applaudissez !
- Oui.

T'as violé ma femme, connard !

Reviens !

M. Wan, appelez la police !
Bull, on y va !

Police, sortez de là.

Police !
Personne ne bouge !

Police !
À genou !

À genou !

Bouge pas !
Les mains sur la tête !

Connard !
Pose ce couteau !

Tu ne t'en tireras pas, cette fois !

Tu n'as rien d'un homme !

Tu te crois malin,
avec ton argent et ton avocat ?

- Ça va ?
- Fais-moi sortir d'ici.

Sale pourriture !

Debout !

Bouge pas !

Où tu crois aller ?

À l'aide !

Un coup de feu !

Allons-y !

Allez !

Bull !

Bull, tu vas bien ?

Appelle une ambulance !

- Excusez-moi.
- Fong, où vas-tu ?

Ta mère m'a dit de te ramener.

- Chef, Georgie Boy est mort !
- Allez !

Sale traître, je vais te tuer !

Vite !

Bouge pas !

Tuez-le !

Vite !

- Et maintenant ?
- Grimpe !

Allez !

Connard !

Ma jambe !

Vite !

Tuez ce traître !

Allez, M. Wan !

Revenez !

Scar !

Stop !

Courez ! Vite !

Tu fais chier !

Suivez-les !

Allez !

Chef !

- Tue-les !
- Arrêtez-vous !

Crève, enculé !

Donne le couteau !

Scar !

Tiens-la bien !

Occupez-vous bien de ce sale traître.

Allez !

Tu te retournes contre moi
pour une fille ?

Laisse-nous partir, connard !
Je vais te tuer !

- Ferme ta gueule !
- Relâche Scar !

À l'aide !

- À l'aide !
- La ferme, connasse !

Tu l'adores, n'est-ce pas ?

Je vais la baiser devant toi !

Connard !

Je vais te tuer !

Laisse-la !

La touche pas !

T'es fâché ?

S'en prendre à moi pour une fille ?

Regarde-moi la violer !

Fais pas ça, connard !

Laisse-la !

Sale connard !

Chef !

Reculez !

Bougez pas !

Tu te souviens de ce que
tu m'avais dit, connard ?

Tu m'as dit que tu étais le chef en ville !
Mais à l'école, c'est moi !

Tu es sur mon territoire !
Je vais te découper !

Smart !

Tu l'as bien cherché.

Tu me prends pour qui ?

Retourne d'où tu viens !

École

Fok Wah, alias Scar fût condamné
à sept ans d'emprisonnement

pour relation sexuelle avec une mineure
ainsi que pour agression armée.

Lau Yong, alias Sharpie fût arrêté
deux semaines plus tard

au bureau des douanes de Shenzehn.

Il a été accusé de meurtre
et a été condamné à mort.

Wan Ga-man, a été acquitté
sur la base de la légitime défense.

Chu yuen-fong, a été accusée
d'agression armée.

Comme elle était une victime, le tribunal
a suspendu sa peine de deux ans.

Elle est retournée à l'école.

Sous-titres : bartXy