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Oui;

Oui, c'est moi, Marco Carrera.

[D'après le roman "Il colibrì",
de Sandro Varanesi,
Publications La Nave Di Teseo]

Le colibri

juin 2023

Luisa, j'ai la voiture. J'arrive.

- Vous partez ?
- Je vais me promener.

- Tu ne veux pas manger ?
- Je n'ai pas faim. Que fais-tu;

- Je resterai comme ça tout l'été.
- Bien joué.

-Quelle connerie.
- Vous avez besoin d'aide;

- Savez-vous mettre des boucles d'oreilles ?
- Nous sommes en retard.

Titti a besoin des trois quarts
de temps pour arriver au restaurant.

Titti pense à
fêter son anniversaire.

Tu dis que tu le fais pour l'ami
vous Aldino mais seulement ceux

avoir vécu avec quelqu'un pendant 30
des années peuvent le savoir...

Irène ?

Qu'est-ce qui ne va pas?

[LETIZIA] : Je sais...

Ce sera ta nuit, pas la sienne
Titti. C'est pour vous.

Je te connais depuis longtemps.
Tu veux me tuer

pour me dire que tu ne viendras pas.
Mais je ne m'enfuirai pas et tu viendras.

Et dépêchez-vous!

- Je vais.
- Je viens aussi.
- Non.

- Marco, tu as ses clés
voiture?
- Celles du scarabée.

- Avez-vous vu Irène?
- Ce qui s'est passé;

- Il y a des spaghettis dans le frigo.
- Non, ils ont fini.

- Je l'ai mangé cet après-midi.
- C'est pourquoi vous n'avez pas faim.

- Je vais rester à la maison et te préparer quelque chose.
- N'y pense même pas. Voulez-vous venir avec moi.

- Il y avait les clés.
- Peut-être que quelqu'un les a cachés.

Si je voulais les cacher,
vous ne les trouveriez pas.

[MARCO] J'y vais.
Faire quelque chose pour le dîner, ouais?

- Luisa, où vas-tu ? Ne mangerons-nous pas ensemble ?
- Je vais chez Roberta.

Mais, sur son téléphone
Tu as dit que tu resterais à la maison...

Nan, tu m'espionnes maintenant ?
A insisté.

Voici Irène. tu feras quelque chose
pour toi et ton frère?

- [LUISA] Entrez !

[MARCO] C'est comme ça qu'ils ont aussi sauté le pas
Montecchi avec les Capulet. (Roméo et Juliette)

S'ils nous emmènent,
ils vous tueront.

J'ai calculé la vitesse de la machine
et le morceau cassé de l'hélicoptère

et les risques de conflit entre
de ces deux. Vous savez ce que j'ai découvert ?

- Quoi;

Si le crochet en avait cassé un
un dixième de seconde plus tard...

Et qu'est-ce qu'un dixième de seconde ?

Il tomberait de 2,5 mètres le long
Aldino, juste assez pour lui faire peur.

Quelle que soit la façon dont vous calculez,
Aldino n'est pas ressuscité.

Et il le compterait
si c'était moi

Merde!

[HOMME] Deux jours, compris ?

-Giacomo. Que veux-tu;
- Bon après-midi.

D'où venez-vous d'ici ?

- Si mon mari descend, nous en aurons plus.
- Je voulais parler à Luisa.

- Luisa est sortie.
- Il m'a dit qu'il allait rester à la maison.

- Va-t'en, tu es ivre.
- Où est-il allé;

- Rentrer chez soi.
- Je l'ai invitée à dîner ce soir,

- Rentre chez toi tout de suite, gentil et gentil...
- Je veux savoir où il est.

[MARCO] : Vous savez combien de temps
ai-je attendu cette nuit

Depuis que je t'ai vu lire
"Docteur Jivago" sur la plage.

Je lisais ceci pour que vous me remarquiez.
Je savais que c'était ton livre préféré.

- Qui te l'a dit;
- Ta soeur. Il avait remarqué que…

- Quoi?
- Irène sait tout, avant tout le monde.

Chaque fois que tu venais à la plage,

ou quelqu'un a mentionné votre nom...

mon cœur se brisait.

Et maintenant;

J'étais vraiment bon.

D'ici.

- Où;
- Voyons, est-ce que notre petit cœur le dit encore ?

Attends, Luisa. Nous n'avons pas le temps, maintenant.

- Docteur Carrera ?
- Au deuxième étage.

[MARCO] : Voilà. Rendez-vous dans 20 jours.
- Merci.

- Je vous en prie.
- Bonjour.

Je suis Daniele Carradori.

Est-ce que mon nom vous dit quelque chose ?

- Non.
- Danièle Carradori.

C'est son nom de famille
le psychanalyste de ma femme ?

- Oui.

Je n'aurais jamais pensé qu'on se rencontrerait.

- Que puis-je faire pour vous;
- Écoutez-moi.

Ce que je vais vous dire n'est pas
autorisé dans ma profession.

Mais je le fais parce que je pense que
que vous courez un grave danger.

Risque sérieux ? - Oui.

Les accidents.

- Je t'entends.
- Je voudrais vous poser quelques questions.

Tel que;

Je voudrais exclure la possibilité d'avoir
une image trompeuse, compris ?

Non.

Bien. Pour les questions,
J'ai apporté quelques notes.

- Oui.
- Vous êtes le fils de Letizia Calabrò

et de Probo Carrera, qui est
tous deux architectes à la retraite

- et qui habite Florence?
- Oui, mais mon père est ingénieur.

Frère de Giacomo,
un peu plus jeune que toi,

qui vit maintenant en Amérique ?
Et frère...

- d'Irène, décédée à 24 ans ?
- Oui.

Marié à Marina Molitor,
Slovène, ancienne hôtesse de l'air de Balkan Air ?

- C'est votre patiente.
- Oui.

Votre surnom était-il "Hummingbird" ?

Ma mère m'appelait ainsi, parce que j'étais
plus petite que les autres.

A 14 ans, ton père,
t'a emmené à Milan pour...

subir une hormonothérapie

et tu as pris 16 cm en un an ?

Dans huit mois pour être exact.

- C'est vrai que ta mère était contre ?
- Oui.

Il est vrai que le
vous emmène à Milan

c'était la seule manifestation
l'autorité de ton père?

Car lui, en
sa famille, comme

ils me disent, personne ne l'a compté.

Ce n'est pas vrai pourtant
Marina convaincue...

Ce n'est pas vrai que
ta mère était contre, ou...

Que mon père
personne ne comptait sur lui !

- Qu'est-ce que tu es venu me dire ?
- Encore quelques questions.

Ils seront un peu plus personnels.

Tu devrais me répondre honnêtement.
Es-tu prêt;

Oui.

C'est vrai que tu as toujours été
amoureux de Luisa Lattes ?

- Qui dit ça?
- Que veux-tu dire;

Marina est hors de question
t'a dit une chose pareille.

Soyez honnête, s'il vous plaît.

Quel ridicule sont-ils?

Je ne suis pas là pour te juger.
Je suis très inquiet.

Tu me dis que ce n'est pas vrai
comment êtes-vous lié

Ouais, je veux dire, non.

- C'est un mensonge.
- C'est un mensonge.

Donc toi et Luisa Lattes n'avez pas correspondu depuis des années ?

- Lettres d'amour.
- Non.

Je vais vous demander une fois de plus.
Es-tu honnête?

Bien sûr, je suis honnête.

Alors excusez-moi.
Je n'aurais pas dû venir.

Où vas-tu;

Merci d'ignorer
cette visite.

Tu ne peux pas venir me dire ça
Je suis en danger et ensuite tu pars. Explique moi.

Sinon, je vous signalerai au syndicat.

J'ai considéré la situation
de Marina très sérieux.

- Depuis qu'il a arrêté les séances...
- A-t-il cessé de venir ?

- Oui
- Depuis quand;

Cela fait plus d'un mois.

- Vous ne le saviez pas ?
- Non, je ne le savais pas.

Tous les mardis et jeudis à quatre heures,
et même aujourd'hui, je reçois Adele.

Ça ne m'étonne pas qu'il te mente.

Le problème c'est qu'il a menti
et à moi. Cela change beaucoup.

- Votre femme est en danger.
- De quoi est-il en danger ?

- Ça ne sert à rien de lui parler.
- Ce n'est pas un fantasme de sa part.

- Voici;
- Est vrai.

Nous nous rencontrons, correspondons,
mais nous ne parlons pas d'une relation.

Surtout, on ne parle pas de
infidélité conjugale. Est...

C'est quelque chose qui nous appartient, qui n'est pas
Je saurai même comment le définir.

Mais surtout je ne sais pas comment
Marine le sait.

- Es-tu toujours amoureux d'elle ?
- Ce n'est pas la question, docteur.

Désolé si je persiste.
Êtes-vous amoureux de Luisa Lattes ?

Oui.

Vous avez rencontré de nombreux
fois au cours de la dernière année ?

- Oui mais...
- Mais avez-vous fait vœu de chasteté ?

Vous n'avez pas de relations sexuelles même si vous aimez, même si vous vous convoitez.

Pourquoi ne me dis-tu pas ça
où voulez-vous me dire?

Il y a un mariage en jeu, bon sang.
et une fille dans tout ça.

Je suis désolé, mais votre mariage
c'est fini depuis longtemps.

Marina est hors de contrôle.

Que veux-tu; S'en aller.

La bonne est venue.

Luisa, quel était ce bruit ?

Un avion.
(SM F16 était!)

[VOIX BASSES] Un avion.

- Je dois aller travailler.
- D'ACCORD.

- Que lui est-il arrivé;
- Où êtes-vous allé;

Viens mon amour. Un avion est passé.

Viens mon amour.

Ah, Marine...

Oui, allez-y.

Saviez-vous qu'en 1959,
Ton année de naissance,

le nombre de passagers dans les avions

le surpasser
des passagers à bord des navires ?

Très intéressant.

Pourquoi ne lui dis-tu pas
le nombre exponentiel ?

- [PROBO] Je peux le chercher.
- Mercy, elle s'apprête à sortir, ne te tais pas.

Je voulais lui dire que les avions
sera important dans sa vie.

Merçi papa.

[VOIX BASSE]
Merci maman.

Marco, je ne veux pas de lui
à la maison. Chasseur, maintenant.

Mais ça se terminait.

Marco, je deviens fou.
S'il vous plaît, humble.

- Ça ne sert à rien de les écouter.
- Ma tête va se casser.

Je vous en supplie.

- Nous allons sortir.
- Belle chanson, la précédente. Potentiel.

- C'était un groupe anglais ?
- Maman pense qu'il est tôt.

- Bonjour.
- Hein, Marco ?

- Es-tu prêt;
- Oui, nous sommes prêts.

- Asseyez-vous, laissez-moi vous aider.
- Écoute, ne tombe pas.

Ça se terminait. Vous ne pouvez même pas bouger.

Depuis que je suis malade, il la voulait
et son diagnostic.

Le scénario habituel.

Si tu ne meurs pas bientôt, je te tuerai.

- Avez-vous des nouvelles de Giacomo ?
- Je lui ai écrit. Il ne me répond pas.

- Bonjour.
- Bonjour.

Une minute et une place est vide.

En attendant, j'accompagnerai mon père.

Au fait, fermons
à la prochaine

- et pour votre mari.
- Oui.

- Bonjour.
- Bonjour.

- 40 000.
- Avez-vous trouvé 40 000 ?

- Passer.
- Je les vois. Nous les comptons plus tard.

- Donc?
- À ton tour. Complet.

- Moi aussi.
- Faible.

Dames.
Je suis désolé, mais avec une carte comme ça, où vas-tu ?

- Riga est plein.
- C'est tout ce que tu peux apporter.

Vous allez trop loin.
Vous êtes deux boîtes.

Ne les prends pas, tu dois aller quelque part
déchaîner sa colère. Prenez les francs.

Aller. Bonjour.

Je me fous des francs,
mais pour ce jeu.

- C'est que tu es un con au poker.
- Nous l'appelons "Amencioto".

La prochaine fois, amène quelqu'un d'autre.

Il dit à Magnini : "C'est bon de te voir."
Le lendemain, il est opéré d'une péritonite.

- Est-il possible de croire cela?
- Est-il possible de lui tenir compagnie ?

C'est mon ami, après tout.

Il y en a aussi.

- Nous sommes montés à 500 000.
- Maintenant ça devient sérieux.

- Oui, j'y retourne et...
- Allez, lève-toi et vas-y, hey.

Si ma mère me voit
rentrer à cinq heures...

- Viens dormir sur moi.
- Dans la chambre de ta sœur ?

Allez, va te faire foutre.

[MELEE SPEAKER] "Départ du vol de Pise à destination de Chypre..."

Pourquoi faire escale à Chypre,
m'oblige à prendre deux vols ?

- Chypre est plus bas que Ljubljana.
- Les billets coûtent un cinquième.

Dans le casino de Ljubljana, ils vont
grattez et nous ferons le voyage.

Ne sois pas mou. Pise-Ljubljana,
sans arrêts, ça ne joue pas.

- Allez vous faire foutre.
- Allez, va te faire foutre.

Je crains.

Passer à autre chose,
sinon comment allons-nous arriver à las vegas ?

Je n'aime pas les sièges,
c'est vieux. Pourquoi est-il si vieux ?

Les fesses, Marco.
Ils ont déjà l'air morts.

- Tu peux m'entendre.
- Je m'en fiche.

- Regarde-le.
- Arrive !

- Assez, allez.
- Désolé!

- Allez!
- Y a-t-il quelqu'un de célèbre dans l'avion ?

- Pas de footballeur, acteur, VIP.
- Se détendre.

Avec qui êtes-vous?

- Tu es mort et tu veux me tuer.
- Désolé, elle a peur.

- [MARCO] : C'est passé maintenant.
- Eclaireurs non. Téléchargez-les !

Bravo, bébé !

- Monsieur, que se passe-t-il ?
- Les scouts, non.

- Maintenant, je vais appeler la personne responsable.
- Saute, baise.

- Vous avez terminé;
- Route.

- Appelez la sécurité !
- Pas les éclaireurs. Laisse-moi tranquille!

- Laisse moi tomber!
- Arrête ça. Il a une crise d'épilepsie.

Nous devons descendre.

"[TV] Le dysfonctionnement
du système de pression

obligea les passagers à
s'évanouir à cause de l'hypoxie.

"L'avion, sorti
contrôle, a volé sur pilote automatique

jusqu'à ce que le carburant soit épuisé.

"Il était dans l'avion
et une troupe d'éclaireurs.

Pourquoi l'as-tu fermé ?

- Marco, je sais.
- Lequel;

Que c'était l'avion c'était
voler avec "Amenciotos".

Qu'en penses-tu; Nous allions à Barcelone,
celui-ci se dirigeait vers Chypre.

Vous alliez à Ljubljana pour jouer.
L'avion est passé par Chypre.

Marco, pourquoi ?
Tu peux me parler, tu le sais.

Êtes-vous fou.
Qu'est-ce qui te prend ?

Pour moi c'est la plus belle de Florence.

Marco, où étais-tu dimanche ?
C'était la fête chez Bini.

- J'étais avec Duccio.
- Ne dites pas de noms. Ne prononcez pas de noms.

Quelque chose d'incroyable s'est produit.
Nous avions pris l'avion pour Ljubljana.

- De qui parle-t-il ?
- Pour "Amenciotos".

A un moment il est devenu fou
hurlant qu'il voulait descendre.

« Tu es déjà mort, tu veux
tue-moi aussi."

- Il l'a perdu. Et tu es descendu ?
- Oui.

- L'avion s'est écrasé.
- Ce grec ?

- Il m'a sauvé la vie.
- Mais il a tué 100 personnes. Magie noire.

Les gars...

Tu penses qu'il t'a entendu ?

"[LUISA] "Marco, comment vas-tu ?
Ne pensez pas que je suis fou, s'il vous plaît."

« Ni, pire, pour un hypocrite. Désolé
que j'apparaisse comme si rien ne s'était passé."

" "Parce que tu me manques. Hier soir à
J'ai rêvé, c'est pourquoi je t'écris"

"rompre la promesse
que je t'ai demandé"

"Ne m'écris plus jamais.
Je ne me souviens pas pourquoi j'ai fait ça."

- Bon après-midi.
- Bon après-midi. Passeport, s'il vous plaît.

- Je vous en prie.
- Merci.

Bouge.

Sortir. Dehors!
Rapidement!

- Il se passe quelque chose ?
- Ne t'inquiète pas. Où vas-tu;

Pour rencontrer quelqu'un à Paris.
Désolé...

- Toujours!
- Laisse-moi prendre la veste !

[FRANÇAIS]
Bonjour! J'en ai pris deux. Dois-je vous en proposer un ?

- Mais pourquoi;
- D'ACCORD.

- Ils m'ont dit que tu es italien.
- Oui.

Étrange que tu ne le fasses pas
ils ont dit que je suis aussi juif.

Mais c'est l'Italie qui manque...

Est-ce que quelqu'un y joue ?

Oui.

Il y a quelqu'un.

Après que je te l'ai dit.
J'allais à Paris.

Mais pourquoi;

J'allais justement à Paris, hein ?

- Allez juste à Paris, hein ?
- Un hôtel a-t-il été réservé ?

Un rendez-vous d'affaires ?
Est-ce que quelqu'un vous attendait ?

Personne ne m'attend.
Je cherche quelqu'un.

- Et comment s'appelle-t-il ?
- Elle ne sait pas que je vais la trouver.

J'ai des années pour la voir et
Je n'ai pas son numéro de téléphone.

J'ai une adresse, mais je ne sais pas si elle est correcte.

Hé, vous vous moquez de moi !
Doit-on vous croire ?

Vous avez la mauvaise personne.
C'est probablement un synonyme.

Nous ne le laissons pas au hasard,
mais dans les mandats internationaux.

Et ils nous disent que c'est un terroriste,
un fugitif qui va retrouver ses amis.

Carrera. Qui l'aurait imaginé
que tu disais la vérité.

Tu peux y aller.

[TV Reporter] : 121 personnes sont mortes dans l'accident
étaient dans l'avion.

"Marina, c'était toi
membre d'équipage

du vol Pise-Chypre, mais
tu n'es pas monté dans l'avion."

-Tu veux nous dire ce qui s'est passé ?
- Ma soeur, Mateja

elle était atteinte de leucémie

Et le seul espoir était un
greffe de moelle osseuse.

J'ai proposé de donner le mien.

Heureusement pour nous, j'étais compatible.

- Et que s'est-il passé ensuite ?
- Je n'ai pas pris l'avion ce matin-là.

parce que j'étais allé passer des examens.

Et donc, il m'a remplacé
Tina Dolec.

Mais c'était un cadeau gratuit.
Ils sont tous les deux morts.

Ma soeur par rejet,
rendant la greffe inutile.

Et Tina à ma place.

"Désolé."

Excusez-moi, puis-je passer ?
Juste une information que je veux demander.

- Je vous en prie.
- Merci.

- Puis-je demander quelque chose?
- Oui.

- Passeport et billet ?
- Je ne voyage pas.

- Ensuite, faites un point.
- Je ne peux pas.

J'ai vu l'émission de télévision hier.

- Et alors;
- J'étais aussi dans l'avion il y a dix ans.

Je suis descendu avant qu'il ne décolle.

Vous et moi sommes des survivants.

Nous sommes sauvés une fois et nous le ferons
nous sommes sauvés pour toujours ensemble, je le sais.

- Hein?
- Désolé, pour une information que vous n'avez pas dit?

Un instant.

Voulez-vous manger ensemble ?

Maintenant dirons-nous ceci ?

- Je ne peux pas déjeuner.
- Dis-lui oui, ou je vais rater le vol.

- À quelle heure finissez-vous;
- A 15h00.

J'attendrai. - Il est 11h30.

J'attendrai.

[MARCO] Merci. Vous avez été décisif.

- Passeport et billet ?
[MARCO] Je sais, je sais, tu as raison. Merci.

Me voici. Rupi je ne le bouge pas.

Oui;
Oui, c'est moi, Marco Carrera.

" Papa;

- Aviez-vous de la laine quand vous étiez enfant ?
- Quel fil ?

- Comme ça dans mon dos.
- Je ne comprends pas, explique-moi.

J'ai un fil qui remonte tout le long du mur.

- Laissez-moi voir.
- Ne semble pas.

- C'est pourquoi je dois être près du mur.
- Et quand tu n'es pas près du mur ?

Si quelqu'un s'approche,
Je tourne autour de lui et le libère.

- Tous les enfants ont-ils un tel "fil" ?
- Non.

- Vos amis l'ont-ils ?
- Non.

- C'est un peu étrange.
- Oui.

- Tu leur as dit que tu l'avais ?
- Non.

Et que fais-tu chez toi ?
Avec les grands-parents, maman, avec moi ?

Tu ne passes jamais
derrière mon dos.

- Quoi de neuf;
- Rien.

Je ne peux pas croire ça
c'est encore ici. Route! Dehors!

Probo, tu chasses les chiens des Latte ?

[PROBO] Route, les chiens !
- Assez de la télé, aidez un peu.

- Tu es trop petit.
- Le bouchon a aussi parlé.

Et voilà, jambon et melon.

Que faites-vous ici; Aller à l'intérieur.

Il le prend pour un kilo. Ce soir à
regardez où nous aurons burini.

- Pourquoi tu ne pars plus ?
- Pourquoi pas.

Maman le dit à propos de toi.
La majorité doit être célébrée.

- Pourquoi continuez-vous de jouer avec moi?
- Giacomo, peux-tu m'aider ?

- Je viendrai avec vous en Irlande.
- Ne vous mêlez pas non plus.

- Avez-vous consulté le médecin?
- Il est en vacances.

Vous serez surpris d'apprendre que même
les docteurs fous partent en vacances comme tout le monde, maman

Loula ! Maison! Maintenant!

Les Lattes, quelle arrogance.

Vestiges d'un monde dans
au bord de l'extinction, heureusement.

- Tous pauvres sauf moi.
- Les chiens ne sont pas mauvais.

Mais ils dérangent les chats et moi.

- Où vas-tu;
[CRIS] Tu es obsédé, hein ?

Marc, rentre à la maison.

[Cris] Je t'ai dit de rentrer à la maison !

Colibri.

Allons-y.

- Au revoir.
- Au revoir.

- Et laisse moi savoir.
- Merci.

- De quoi je parle !
- C'est assez, mais...

TOC.
Elle hallucine, pas Adele.

Elle est créative, imaginative.
Elle est trop stupide pour comprendre.

- Peut-être avons-nous...
- Il a également un diplôme en psychologie de l'enfant.

Marine, elle a raison.

- Pouvez-vous m'entendre, s'il vous plaît?
- Oui.

Adele a besoin de parler à quelqu'un de ce "fil".

Quel est son problème ?

Vous en avez parlé
avec votre psychanalyste, peut-être ?

Je ne peux pas te dire ce que je lui dis.

- Correctement.
- Il nous fera passer pour des parents irresponsables.

Comment osait-il?

Des erreurs peuvent arriver, n'est-ce pas ?

- Oui.
- Vous ne savez pas toujours quand vous êtes bon

- et quand est-ce que tu chies ?
- [RIRE] Désolé. Toi, merde ?

Toi, si tu étais de la merde, tu mourrais.

- Maman!
- Bonjour!

Bonjour ma fleur !

- Bonjour.
- Bonjour.

- Allons-y.
- Les gars, en classe.

Tout le monde en classe.

- De quoi est fait ce "fil" ?
- Je ne sais pas.

pauses ;

Papa, je ne sais pas.

C'est comme celui de l'escrime.

Tu te souviens quand on regardait les Jeux olympiques ?

Même les filles avec les épées d'entraînement
ils avaient du "fil" sur le dos.

Allons accrocher les vêtements. Si ça dure
le "thread", nous allons l'utiliser.

Arrête, maman. Sinon tu vas tomber.

Tu y vas en premier.

Maman fait semblant.

Oui;
Oui, c'est moi, Marco Carrera.

- [Français] [LUISA] S'il vous plait ?
- Luisa ?

- Marco ?
- Oui.

[MARCO] Pourquoi avez-vous cessé de m'écrire ?
et venir à la plage?

[FRANCAIS] Bonsoir.

[LUISA] J'essaie de
concentrer sur ma propre vie.

Ta présence
ça me perturbe.

Je ne peux pas sans toi.
Je pense à toi tous les jours.

Pas moi.
Je ne peux pas.

Vous êtes le modèle
chaque relation que j'ai eue.

Mais comme le nôtre n'existe pas,
vous l'emportez toujours.

- [ANGLAIS] Bonne nuit, Marco.
- [ANGLAIS] Bonne nuit. À demain.

- Je ferais mieux de partir ?
- Pourquoi;

Je ne sais pas.

Non. Ils sont tous là avec leurs allumettes.
Je suis le seul laissé de côté.

Ne m'attends pas ce soir. Je serai un peu en retard.
Oui.

Bonjour.

Luisa, allons-y.

Dieu, quelle tragédie.

Avec une mère comme ça,
avec une telle famille.

J'ai appelé pour présenter mes condoléances,

mais personne ne m'a répondu.

Quelle horreur!

[CHANSON, "JE VAIS VOUS VOIR",
par BILLIE HOLIDAY]

Luisa, allons-y.

Allons-y.

[MARCO] Maintenant tout le monde dit que c'était
quelque chose comme ce non-sens est censé se produire.

"Je me suis disputé avec Giacomo. Lui
Je lui ai reproché de ne pas l'avoir vue sortir.

- Au revoir.
- [MARCO] Mais, c'est moi qui l'ai laissée seule.

"Si je l'éclate, ma Luisa, mais pas la mienne, hélas, . . .

"... Je l'ai fait dans la mauvaise direction."

- Ce n'était pas notre faute.
- Maintenant je sais.

"Je suis malheureux.
Je gâche tout."

Ce n'est pas vrai.

La tragédie est ce qui nous a déchirés.

Sinon nous serions
ensemble toute notre vie.

Et maintenant...

Maintenant;

Il y a toujours quelque chose qui attire votre attention.

Crois-tu vraiment cela?
ce sacrifice change-t-il quelque chose ?

Oui, parce que comme ça je ne te perds pas.

Parce que c'est comme ça qu'on se voit toujours,

sans nuire à personne.

Et nous?

Vous savez, les Aztèques pensaient
qu'ils se sont réincarnés en colibris ?

Ils sont morts héroïquement.

Adele me dit que Marina
il l'emmène à l'école et en revient.

- Oui.
- A cette époque, je suis...

Oui, il... Dites.

A cette époque, je suis déjà à l'école.
J'ai le bureau du médecin dans l'après-midi.

[VOIX BASSES] Tu ferais mieux de t'arrêter
plus de temps avec votre fille.

JE;

Eh bien, le week-end…

Beaucoup plus de temps.

Oh pardon.

Eh bien, ne soyez pas offensé, voulez-vous?
La théorie de l'escrime est

complètement infondé. Le "fil" n'est pas
attache ta fille aux murs.

Mais... au père.

C'est un lien étroit et exclusif.

- J'ai quitté mon emploi.
- Attrapez-la encore, madame.

En ce moment, papa doit
passe plus de temps avec la petite fille.

Toujours, dans la mesure du possible, bien sûr.

[MARCO] Adèle ? Adèle !

- Tu tiens ça pour moi ?
- Oui.

Merci.

C'est là que nous l'avons trouvée.

Papa, as-tu peur de mourir ?

Bien sûr, j'ai peur, avec toute la saleté
que je dois encore nettoyer pour vous.

- Je n'ai pas de saleté. Non.
- Parce que je t'ai donné un bain.

Vous avez de la saleté, pourquoi ?
tu n'as pas pris de bain

- J'en ai quelques-uns dont je dois me débarrasser.
- Non.

Avez-vous peur du noir après votre mort ?

- Pourquoi l'obscurité ?
- C'est comme ça que je l'imagine.

Sombre, bondé
que vous ne pouvez pas voir.

Ce monde entier est immobile.
Vous le sentez, il respire, mais vous ne le voyez pas.

"Dieu sombre" pour ainsi dire
prononciation comme on dit à Rome.

- Ça ne s'appelle pas comme ça en italien.
- Je viens de Rome.

Vous n'êtes pas de Rome, n'est-ce pas ?
Vous vivez à Rome.

Écoutez-moi. Quand tu te retrouves dans
tant d'obscurité, fais ceci.

Essayer.

Non. Tu dois te taire
tu es comme un cul de poule.

- Je ne peux pas le faire.
- Nous avons le temps pour vous de le découvrir.

Tu siffleras aussi
Je te répondrai.

Marina, que fais-tu sans gants ?

Bravo, faisons les exercices.

Viens. Filippo, montre-lui.

Nous ferons trois séries de quatre. Prêt;

- Droit. Bien joué. Un...
- Donc;

- Deux trois...
- Comment tu t'entraines avec des clous comme ça ?

Quatre. Astin.

Ne riez pas. Ci-dessous. Un...

- [ENFANT] La sorcière commande la couleur…
- Café.

- La sorcière commande la couleur...
- Vert.

- Bonjour.
- Bonjour.

Être autorisé; Es-tu prêt;

- Je vais le mettre ici.
- Oui.

Et j'emmerde les maisons que tu as, Marina.

Es-tu seul;

Es-tu seul;

Poser.

Ouvre tes jambes. C'est ça.

Il ne remarque rien, il ne se doute pas
rien. Vous le trompez très facilement.

Je... en essayant de faire semblant d'être bon, je me suis aveuglé.

Maintenant, je vois.
Je suis sûr.

- Il me trompe.
- D'après ce que tu me dis

c'est toi qui le trompe tout le temps.

Vous avez même un lien permanent maintenant.

Quand je lui dis, il ne me croit pas.

- Tu ne veux plus t'allonger ?
- Je n'ai jamais aimé ça, tu le sais.

Cette chose me rend faible.

Nous avons déjà parlé de
vos fantasmes.

Tu trompes Marco depuis des mois.

Tu m'as parlé de Hans, un collègue,
Pilote de ligne.

- C'est la réalité.
- Ce mois-ci, il est allé à deux conférences.

Toujours en France,
toujours le week-end.

Il est venu m'offrir le paradis
et les étoiles. Nous, âmes sœurs,

survivants d'un
Crash d'avion.

Nous qui avions souffert
par la mort d'une sœur.

Où nous avons essayé de les sauver.
Moi avec la greffe.

Marina, c'est toi qui as menti.

Nous savons tous les deux que vous n'avez pas fait de don
ne pense jamais à ta soeur.

- C'est comme si je l'avais fait.
- Elle n'était pas compatible.

Vous pensiez lui avoir fait don.

Quand tu souffres beaucoup, quand
la réalité est trop dure

tu te défends
avec votre imagination.

Je ne veux pas en parler.

Ce qu'on se dit entre nous ne marche pas
de cette pièce, vous le savez.

Mais ici avec moi tu dois accepter

le début de la réalité.

Oui.

Et nous savons qu'ils ne le font pas
tu es monté dans l'avion

simplement parce que ce jour-là

tu avais un jour de repos

Tu l'as deviné.

Et si Marco mourait ?

- Si?
-Si, s'il est mort...

moi et ma fille
nous serions libres.

Ma vie serait différente.

Il s'est peut-être noyé, n'est-ce pas ?

Peut-être à cause de la drogue,
ou empoisonnement...

Il ne m'a jamais aimé.

Il a toujours aimé cet autre.

[RIRE]
Père, non, Marco, s'il te plaît.

- Oies méchantes. Savez-vous comment ils sont nourris ?
- Je sais.

Désolé, je ne commande plus.
Dernière fois. Je le jure.

Eh... Je n'ai pas l'habitude d'être obéi.

Tu dois me baiser
et commandez-le deux fois.

- Oh, c'est comme ça que ça se passe ?
- Donner ou prendre.

Je lui ai dit que nous l'étions.

- Lui aussi;
- Il l'a eu.

Moyens;

Comment n'était-ce pas de l'infidélité ?

Comment...

Comment... C'était nécessaire.

Et Marina, le sait-elle ?

Je veux parler à Marina, mais...

Il y a toujours quelque chose de plus important.

Laissez-lui cet esprit le plus balkanique.

Elle n'est pas française.

- As-tu recommencé à fumer ?
- Oui.

Je suis plein de défauts.
Je suis un monstre.

Tu m'as fait flipper.

L'été à la mer, tu as été massacré, autant que tu parlais.

Et puis, pendant qu'elle
de l'année où vous étiez là pour le sexe.

Quel crétin!
J'ai tout trouvé.

J'ai vérifié les cartes de crédit,

Je lis les e-mails.
Quelle horreur!

- Quelle horreur!
- Nous n'avons jamais eu de relations sexuelles.

Encore pire!
Encore pire!

Que ce soit que j'ai trouvé tout cela la première fois.

Dans la boîte avec ses cendres
ta soeur Quelle originalité.

Non! Montrez un peu de respect, s'il vous plaît.

Pardonne-moi. Je te pardonne.
Le problème n'est pas que moi.

Je m'excuse de vous dire
mensonges, mais je ne t'ai jamais trompé.

Mais moi, oui !

je baise Je veux
te mentir Oui.

Je ne suis jamais tombé amoureux de toi.

Je n'ai jamais été content de toi.

Je n'ai jamais été fidèle. Jamais.

Tu comprends qu'Adele ne le fasse pas
peut-il te voir comme ça quand il revient ?

Oui.

- Comprenez-vous que vous n'êtes pas bien?
- Oui, je suis malade, malade,... malade.

j'ai essayé d'être
une autre personne.

Chaque matin je sortais du lit

et je me battais avec elle
faux bonheur que vous vouliez.

Chaque putain de jour.
Tous les jours.

Me dire juste suffirait
que tu voulais qu'on rompe

- Nous avons Adele à protéger.
- Quel homme bon.

Quelle sainte.

Qu'est-ce que tu sais de la vie ?
Qu'est-ce que tu sais ?

Maman, papa, franc, voiture.

Je t'ai peut-être toujours menti, mais
tu l'as aggravé. Bien pire.

Tu m'as cru.

Allons-y, mets une seconde.

- Maintenant?
- Exactement. Viens.

Ne regarde pas ici. Détourne le regard.

- Je détourne le regard.
- Oui, pas trop.

Mais es-tu blessé ? Que fais-tu;

On se voit ce soir ?

- Non je ne peux pas.
- Pourquoi pas;

Parce que vous ne pouvez pas;

Les enfants peuvent venir
voyons les photos. Maintenant je peux.

- Maman!
- Maman! Allons-y.

[FRANCAIS] J'arrive.

Non. Besoin d'aller.

- Bonjour. Non.
Je vous en supplie. Venez maintenant pendant que nous le pouvons.

- Non
- Je vous en supplie.

Non, je t'en supplie.

Je t'écrirais. Je vais t'expliquer.
Sortez juste après, ouais?

J'arrive, j'arrive !

- Papa;
- Oui?

- Êtes-vous inquiet?
- Non, je ne suis pas inquiet.

Je pense juste parce que j'aime la mer.

- Voulez-vous essayer aussi?
- Non, je ne suis pas pour ce genre de chose.

Dépêchez-vous, ils sont tous là.
Même oncle Giacomo de Boston.

- Quel honneur. Quoi dire;
- Ce que vous ressentez.

- Salut à tous.
[ensemble] Bonjour.

Avec papa et papy on pensait
comment honorer la mémoire de Letizia

nous devions faire quelque chose qu'il n'aurait pas fait
rien à voir avec le rituel religieux.

Cela nous tuerait.

J'ai dit Letizia, pourquoi pas
Je ne l'ai jamais appelée grand-mère.

Ce n'est pas qu'il ne le voulait pas,
c'est juste que ça n'a pas marché pour moi.

C'était donc avec elle.

A plus tard à la maison dans
Place Savonarole. Merci.

Papa, à quel point ta mère était incroyable.

"Il était plus gentil, mais fatigué.
- "Je vais conduire."

- Voulez-vous conduire? Es-tu sûr;
- Oui.

Ma petite fille.

- Je vous apporte quelque chose à manger ?
- Non merci.

- Mes condoléances.
- Merci.

Je pense que je vais partir pour un
depuis ces jours.

[FRANCAIS] Jamais en Amérique...

Je ne suis jamais allé en Amérique.

[ANGLAIS]
- [VIOLET] À la santé de l'Amérique.

[ANGLAIS]
- [PROBO] Oui. J'aime Londres.

[ANGLAIS]
- [PROBO] J'étais à Londres il y a 50 ans.

[ANGLAIS]
- [PROBO] J'étais... Super, super Londres.

[ANGLAIS]
- [VIOLET] À la santé de Londres.
- [PROBO] À Londres.

[GIACOMO] Papa, je ne sais pas si je dois, hein ?

Comme vous le savez en 1952 moi et Aldino

nous en avons fait un éducatif
voyage à Londres

Très agréable.

Nous avons été accueillis par une famille
sur la place Cavendish.

Je n'ai jamais été aussi heureux
comme en ces jours à Marylebone.

Jamais;

[ANGLAIS]
- [VIOLET] À la santé de Marylebone.

[ANGLAIS]
- [GIACOMO] Combien lui as-tu fait boire ?

[ANGLAIS]
- [VIOLET] Un.
- [MARCO] Assez, s'il vous plaît.

Ils partent demain.
Les filles ont école.

Je peux rester quelques jours.

- Apporte-les.
- Nous en reparlerons plus tard.

[CRIANT] Ne dis plus jamais ça !

Vous auriez pu l'arrêter.
Tu l'as vue partir et tu ne l'as pas arrêtée.

Je vais te tuer, connard !

- Ah, te voilà. Je n'ai pas pu te trouver. Avez-vous faim;
- Non.

- Que fais-tu;
- Tu ne vois pas; Rien.

Giacomo, ça fait 30 ans.

Je m'excuse si je t'ai accusé.

- Nous étions tous fous à cette époque.
- S'il te plaît.

Les frères et sœurs se disputent les héritages.
Pourquoi ne pas se réconcilier ?

Avons-nous déjà atteint les héritages ?

Pourquoi;
Que disent les médecins ?

Il doit faire une dernière chose
cycle de chimiothérapie

- mais, depuis maman...
- ... décédé.

Ses globules blancs
ils sont en chute libre.

Ils n'ont jamais été heureux ensemble
et ils mourront ensemble. Que dites-vous maintenant;

- Demain je l'emmènerai pour une chimiothérapie.
- A quelle heure est votre vol;

À cinq heures. Je prendrai le vol de Luisa.
Je ferai une escale à Paris.

- As-tu parlé?
- [CRIANT] Oui, nous avons parlé.

[GASPING] Désolé, papa.

- Que disait-il ?
- Rien. Quelque chose à nous.

Viens. Reste avec moi un instant.

Oui. Qu'est-ce que;

Marco, emmène-moi.

Emmène-moi, Marco.

Papa, il descend. Je le laisse;

Tais-toi les gars ! Ne le secouez pas.

C'est OK.
Prudence.

Elle tremble trop.

Lentement! Ne le secouez pas.

Tais-toi, les gars.

C'est beau.

Nous sommes également impliqués dans la modélisation.

J'ai toujours eu envie de voir
les modèles de ton père.

Mais laissez le mécanicien se reposer
son esprit, j'avais un peu peur de lui.
Et moi...

'[MARCO] Giacomo.'

[MARCO] Giacomo !

- Reste au sol.
- Qu'est-ce que;

C'est ton frère.

- À quoi tu tiens;
- Arrête ça.

- Il ne nous voit pas, de toute façon.
- Arrête ça.

Et pourquoi tu me le dis maintenant, hein ?

30 ans maintenant que j'essaie de comprendre pourquoi
Giacomo est énervé contre moi.

Je pensais que la mort d'Irene était peut-être à blâmer,
peut-être les parents, la maison, la méchanceté, l'argent.

Au lieu de cela, vous étiez au milieu.

- Non.
- Comment pas ?

Les choses ne sont pas si simples.

- Pendant qu'il était en Amérique, avez-vous correspondu ?
- Oui, parfois.

C'est toi qui reste debout
absurdement encore.

Tu es vraiment un colibri.

Tu y mets toute ton énergie
pour rester où vous êtes.

Sait-il tout de nous ?
Et à propos de notre accord ?

Oui, c'est facile
communication avec Giacomo.

- Nous rions. Toi et moi sommes risibles.
- Ici, vous vous êtes avéré être psychanalyste.

Le "Frittellì". "Madame, j'ai mal compris,
tu es la victime piégé par

- la tragédie de cette famille.
- Assez.

"Ça suffit", je dois dire.

Pendant 40 ans, tu as été le premier et le
ma dernière pensée, chaque jour. 40 ans.

- L'idiot j'ai gâché ma vie.
- Non, je suis l'idiot.

[LUISA CRIE EN FRANÇAIS]
Ne parlez pas français !

- Allez, bonjour, Marco.
- Je te dis "bonjour".

Je suis désolé mon amour.

[MARCO] Ma mère était architecte.

Il faisait partie du mouvement Radical Architecture des années 70.

Il prenait des photos.
Il n'a jamais planifié.

- Savez-vous que j'ai une petite banque ?
- Oui.

Nous avons une fondation très active.
Il traite de l'iconographie du XXe siècle.

- Donnez-moi un prix.
- Non. Mais s'il te plaît.

Heureux qu'ils puissent
faire l'objet d'études.

Qui sont utiles à quelqu'un.
Je ne savais plus où les mettre.

Êtes-vous sûr de vouloir donner?
quelque chose de si personnel ?

« [LETIZIA] Vous vous moquez de moi ? »

"Que veux-tu faire, utiliser
Marco comme cobaye?"

" [PROBO] La folie c'est de
accepter qu'il ne grandira pas.

"[LETIZl] Arrêtez ! Quel est le problème ?
- Qu'il est plus petit que son jeune frère.

Ce pédiatre de Milan a
obtenir d'excellents résultats.

Peu importe sa taille.

[PROBO] Nous devons faire quelque chose pour lui.

[LETIZIA] Vous ne devriez pas
nous intervenons dans la nature.

- [PROBO] Elle a 14 ans et en paraît 10.
- [GIACOMO] Entendez-vous ce que papa dit?

Arrive.

- "Développement et formes".
- Architecture. Architectes.

Je vais te mettre ce putain de bouquin dans le cul.

" [TV] Bravo, Pinocchio."

[PROBO] Profs du cul !

[PROBO] Et les vagabonds
putain d'architectes.

- Allez vous faire foutre !
- Allez, toi !

"Qu'est-ce qui t'est arrivé;"

- Désolé.
-Excusez-moi.

Tu es fou. Vous ne comprenez pas ?

- Désolé.
- Ne peut pas.

- Je m'en fiche.
- Maquillez-vous, maintenant.

"[IRENE] Tu ne comprends pas
le mal que vous lui faites ?

Je suis prêt.

- J'ai mis ça dans le sac à dos.
- Que c'est beau.

- Vous avez tout pris;
- Oui.

Grand-père était fou.

A eu tous les "Urania"*, de '52 à '81.
* Magazine italien de science-fiction.

C'est comme neuf.

Six à parcourir. Sa signe pour les événements.

Les morts, le déluge de 66.

Le dernier est le 23 août
1981, une semaine avant la mort d'Irène.

Depuis, il n'a plus jamais acheté.

"Mesdames et messieurs, vous voilà
présenter Mlle Giovanna"

"ou M. Giacomo. Qui sait."

C'est ainsi qu'il est né.

Papa attend dehors en fumant.

Maintenant les grands-parents
ils entrent dans la baignoire.

- Je connaissais le.
- Vous le saviez.

Comment s'est passé ma naissance ?

- Vous souvenez-vous de quelque chose ?
- Au-delà du pet de ta mère ?

- Viens. Malchance.
- Avez-vous entendu parler d'elle?

Oui, je l'ai appelée.

Pour connaître la durée,
contractions, cordon ombilical.

Il ne se souvient de rien.

je pense qu'ils l'ont
accro aux psychotropes.

, Oui. Je le crois aussi.

Bien joué! Allez, encore un peu.

Bravo, comme ça.

Oh dieux.

Bonjour.

Regarder.

Oui; Oui, c'est moi, Marco Carrera.

[MARCO] "Grand-père, n'y pense même pas."

"Je suis là, tu dois endurer."

Comme tu me l'as dit.

Elle était allongée ici.

C'était l'appel téléphonique que tout le monde
les parents tremblent comme l'enfer.

Parce que c'est l'enfer.

Il n'y a pas un seul mot pour
décrire la mort d'une fille.

"Shaul", en hébreu.

Grand-père mourant, c'est normal.

Mira !
Mira, non.

Oui.
Pas comme ça.

Je suis désolé, grand-père.

Ils sont arrivés.

Attendez.

Je vais bien.

Pardonne-moi.

Je suis vraiment prêt, grand-père.

Aussi dur que ce soit, je te comprends.

Et je t'admire.

- Assez de gémissements.
- Assez avec les gémissements.

Luisa Latte.
Elle est la première.

Tu es heureux;

Puis-je parler au Dr Carradori ?

Je suis Marco Carrera.

Vous ne me dérangez pas.
Avec tout ce qui se passe...

Tu es très important pour moi, Marco.

Grâce à toi j'ai aussi arrêté
exercer mon métier.

Je sors un instant.
Quand j'ai enfreint les règles

en parlant d'une patiente, votre femme,

Je n'étais plus capable de travailler.

- Ces règles me semblaient absurdes.
- C'est une mauvaise chose.

Non. D'une manière ou d'une autre, j'ai été libéré.

- Comment vas-tu?
- Le problème pour lequel je t'ai appelé...

Désolé.
pour lequel je t'appelle...

Docteur, le problème est...

que je ne sais pas comment gérer Marina.

Parce que maintenant c'est dans
une clinique à Munich

et il ne sait toujours pas pour Adele.

Pourquoi est-il dans une clinique ?

Elle a également rompu avec son pilote
Lufthansa, mais je pense que vous le saviez.

Mais elle ne peut pas vivre seule.

Je pensais plus à...

- Quelqu'un de responsable...
- Marco, excusez-moi de demander.

Prend-il actuellement des anxiolytiques ?

- Oui, oui, beaucoup.
- Compris.

Si vous me le permettez, je vous aiderai.
Je parlerai au collègue allemand

qui traite votre ex-femme et
Je vais essayer de parler à Marina.

- Étroitement.
- Je ne peux pas vous demander une telle chose.

- Vous avez déjà votre travail.
- C'est mon travail.

- Je ne sais pas quoi dire.
- Alors ne dis rien.

je vous le répète.
Marco, tu étais important pour moi.

-Vous surfez.
- Oui, il grimpe aussi.

- Est-ce qu'il grimpe?
- Je fais du parapente et de l'escalade.

- Je suis antisportif. Mais j'aime le Japon.
-Manga ?

- Et Kurosawa, Murakami.
- Tu fais.

- Personne quoi ?
- Personne n'est le père.

Est-ce que je me languis tant que ça ?

Bien. "Mirài" signifie "futur", "vie future".

Il sort de la combinaison
de "pas encore"

et de, "arrivé", et de "jin",
signifiant "homme", "personne".

Nous l'appellerons Miraijìn et
il sera l'homme du futur.

- J'ai bien compris, mais qui est le père ?
- Vous ne vous débarrasserez pas de moi si facilement, compris ?

Ne pleure pas.

Veux-tu un câlin?
Viens chez grand-père.

Tiens, regarde.

Regardez qui est là.

- "Hanmokku".
- Oui, c'est japonais.

Je l'ai eu de l'aéroport.
J'ai tout de suite pensé à vous deux.

Et je vais basculer d'avant en arrière
ma petite-fille avec?

Donc ça me reviendra
La volonté de vivre?

Abandonnez la volonté de vivre.
L'important est de vivre.

Tu sais t'habiller

dans un avion le masque à oxygène

En cas d'urgence;
Quel est le processus;

D'abord tu le portes et
puis tu t'occupes des enfants.

Voici. Exactement.
Et maintenant tu ne dis pas de la quitter.

Vous devez penser à partir de
où tu puiseras le pouvoir

se lever de
le lit tous les matins.

- Oh, c'est pour ça que ma petite-fille existe.
- Oui, mais si vous vous occupez de la petite-fille

avec le vide au coeur
vous le lui transmettrez.

Si tu essayes
pour combler cette lacune

peu importe si
tu réussis ou pas

juste essayer de le remplir.

Ensuite, cet effort
vous le lui transmettrez également.

Et cet effort, c'est la vie.

D'accord. J'essaierai.

Le promets-tu ?

- Je promets.
- Promesse.

- "Un. "
- "Une feuille pour toi."

- "Un et pour toi. La dame ?"
- "Deux."

- "Les deux pour la dame."
- "Doku."

- Je vous en prie.
- Non.

Je les vois.

- Je vous en prie.
- Non.

Et maintenant nous deux.

Nous tournons les feuilles.
Nous avons une quinte de pique.

Merci. Et nous en avons plein
neuf à sept. La ligne droite gagne.

Désolé. Partage une partie sans moi.

Des images qui ne le sont pas
nous avons toujours voulu voir.

40-30.

Dehors. Correspondre à Soldati

précédant 6-3-3-1.

Au service, Bordini.

Un instant.

Quelqu'un me remplacer ?
Ou allez-vous jouer seul?

- Professeur, comment peut-on jouer seul ?
- Jouer.

Quoi qu'il en soit, vous avez perdu, Bordini.

- Bonne soirée.
- J'attendrais.

Je ne m'y attendais pas.
Ce qui s'est passé;

Chez toi on m'a dit que
vous passez vos journées ici.

C'est vrai.
J'adore être là-haut.

Domination, domination,
les joueurs en colère.

Allons nous asseoir là, allez.

Je suppose que tu n'es pas venu
pour demander conseil.

- Non.
- Non.

- Vous êtes très troublé.
- C'est une confrontation simpliste.

C'est un pancréas. Il n'y a pas d'espoir.

J'ai vu ce que c'est que de
on meurt peu à peu.

Jour après jour.
Tant de douleur, tant d'agonie.

Je ne veux pas mourir comme ça.

- Et votre petite-fille ?
- Exactement.

Elle est très intelligente.
Tu sais que je le fais aussi pour elle.

Ce n'est pas facile d'être
spectateur à la joie.

- Vous avez l'air paisible.
- Assez.

Je suis surpris aussi.

Mais je dois trouver une solution.

Pensez-vous que vous pouvez m'aider?

Nitrate de thiopental.

Je l'imaginais, mais tu sais
une organisation?

- N'importe qui?
- Oui.

Bordini résiste.
Il est persistant.

[MARCO] Allons voir.
Peut-être qu'il ira au troisième set.

Viens. Ne regarde pas dehors.
Combien de fois dois-je te le dire ?

- Oui, je suis intéressé.
- Un seul nom de code.

- Personne ne saura qui je suis ?
- Et vous ne saurez pas qui sont les autres.

- En ville;
- Non, j'ai un château à Vico Alto.

" [MARCO] Il y a une possibilité que
la police fait des descentes ?

- "Je suis désolé, mais je viendrai avec le petit."
- "Il y aura beaucoup de petits sur les tables."

- "Le pari?"
- "Vingt mille."

- Je mettrai "Ammoccu" dans le studio.
- Merci Manuel.

- Est-ce que tout le monde est arrivé ?
- Tout le monde attend 'Ammoccu'.

Désolé. Je vais la mettre au lit.

Dépêchez-vous, ils vous attendent.

Toutes mes excuses à Drago. Dit lui
que la petite fille a un peu de fièvre. J'arrive.

- Viens mon amour.
- Je dois faire "aka".

Tu dois faire caca, hein ?

- Oui
- Allez, brosse-toi les dents.

Ce qu'il vous reste.

- Dracula !
- C'est tout ce qui manque.

- Ça fait deux.
- Tu vois; C'est tout ce qui manque.

Et c'est quoi l'autre ?

Rouge.

Tiens, mon amour.

- Duccio !
- Chut ! Non. Ils m'appellent Blizzard ici.

- Quelle poupée tu es.
- Donc voilà.

- Grand-père, je l'ai fait.
- Es-tu sûr;

- Écouter. Vous êtes "Ammoccu" ?
- Oui.

- C'est quoi ce nom ?
- "Hanmokku".

Cela signifie "hamac" en japonais.

A Florence, ce nom est un bouche à oreille
en bouche. Tables de poker, réunions.

Club de tennis.
Et partout avec cette petite fille.

- Je la mets au lit. Viens mon amour.
- Oui.

Savez-vous que ma mère parle encore de vous ?

Il a été fâché avec
Qu'est ce qui t'es arrivé.

Est-il toujours vivant?

Il a 92 ans.

Je ne la vois pas beaucoup, mais ils sont là
deux cousins qui veulent l'héritage.

S'ils savaient qu'il m'a renié,
ils lui donneraient de la mort aux rats.

Je vais mettre le bébé au lit
et à bientôt aux tables.

Je t'attendrai ici.
J'ai besoin de te parler.

- Écoute, Duccio...
- Non, ne l'allumez pas.

Mieux sombre. J'aime.

Je voulais te dire que je suis désolé

pour ce que j'ai dit à tout le monde

à propos de l'accident d'avion.

Ne soyez pas désolé. C'était ma chance.

- Que veux-tu dire;
- Écoutez-moi attentivement.

Vous devez prendre l'enfant et
partir ce soir Écoutez-moi.

as tu peur
Pourquoi;

Ce n'est pas ça. je ne peux pas rester
très. Tu ne devrais pas jouer ce soir.

- Va-t'en, écoute-moi.
- Duccio, je viens ici chaque semaine.

- Alors sautez cette semaine.
- Et pourquoi;

Savez-vous ce que je fais ?

J'apporte la malchance pour le salaire.

[DES RIRES]
- Ne riez pas.

Mon ami m'a embauché ce soir
pour te frapper.

- Quel ami à moi ?
- L'hôte.

- Luigi Tamburini ? Incroyable.
- Oui.

- Nous sommes amis.
- Je ne sais pas comment te dire ça.

Maintenant, je vis à Naples.
Comme un torero vivant à Séville.

Je suis numéro un, je suis très demandé.

Ce matin, j'ai pris l'avion pour
pour écraser 'Ammoccu'.

Drago m'a fait chier
argent. Savez-vous ce qu'il m'a dit ?

Pas seulement pour vous faire chier,
mais pour te faire pleurer

C'est ce qu'il m'a dit.

- Pourquoi;
- S'en aller. Sauve toi.

Arrête, Duccio.

Savez-vous pourquoi je ne pars pas ? Jamais
Je pensais que tu étais un idiot.

Ne crois pas. Et ça se termine ici.

Plus 1 500.

Non.

Trois.

Deux.

- Je ne peux pas respirer.
- Oh Dieux ! Zoro !

- Qu'est-ce qu'il y a, Mandrake ?
- Je ne peux pas respirer.

- C'est une attaque de panique.
- Deux cartes.

Allons-nous boire de l'eau?
Allez, je vais te sortir.

- Je ne peux pas respirer.
- Allez, allons prendre l'air.

Viens.
Arrêtez, je reviens.

Plus 5 000.

Non.

- On arrête, Drago ?
- Il est quatre heure. Arrêtons-nous.

- D'accord. Arrêtons-nous.
- Dernier lot.

- Prenons une Teresina. La mise est doublée.
- Vous n'avez rien à parier.

- Prêt?
- Non.

- Où dois-je signer?
- Ici.

-Qu'est-ce que tu fais, abandonner?
- Je vais voir ma petite-fille.

J'y vais aussi.

- Blizzard, que s'est-il passé ?
- C'est la petite-fille. Elle le protège.

Je ne peux pas la battre. Il le lui donne
trop de pouvoir, il est invincible.

Drago, tu dois quitter la table.

Jouez au seigneur.

Pointe, merci.

Bonjour. Je suis Blizzard et toi ?

- Oncle Giacomo ?
- Tu es si belle.

- Où est;
- Elle est avec grand-mère.

En ma présence, le notaire public
Giulio Maranghi

reconnu que Drago, dont
l'identité m'est connue

s'engage à organiser
une dette envers Hanmokku pour

840 000 euros, via incessible
compte bancaire.

Désolé...

C'était une nuit folle, mais je...

J'ai remarqué ça...

comme je gagnais, la vie que je vis tous les jours

elle devenait de plus en plus malheureuse.

Est-ce que tu comprends?

Grand-mère.

Bonjour.

Allons-y.

"[MARCO] Quand j'ai fini
200 000 Je pensais voyager.

« Aux Maldives, aux Seychelles.
Mais j'aime rentrer à la maison.

"J'aime la mer Tyrrhénienne."

A 400 000 je pensais déjà permanent
nounous, cuisiniers, domestiques.

Mais pourquoi;
J'adore m'occuper de ma petite-fille.

Cela me procure une immense joie.

Nous venons ici pour
méprise nos vies.

Nous pensons le changer.
À 600 000 euros, je voulais arrêter de travailler.

mon travail,

Je l'ai depuis 35 ans et je l'aime.
Pourquoi;

Que j'étais content de l'abandonner,
comment ça m'a dégoûté.

- Jeudi prochain je les ramènerai.
- Mais je n'en veux pas.

Nous savons tous que le
argent gagné au jeu

ils font beaucoup plus mal
d'argent perdu.

Ils rendent nos vies misérables.

Je ne veux pas détester ma vie.
Pourtant, je l'aime.

Et c'est comme ça que je vais le garder.

je rachèterai l'appareil photo
le dossier de ma mère

avec les 840 000 euros que j'ai gagnés.

" [MARCO] Les photos de ma mère. Son voyage sur cette Terre."

"J'ai honte de m'en être débarrassé comme ça."

Viens.

Bonne nuit mes amis.

De quoi parle-t-on;

Une fois que nous arrivons à la fin
des escaliers je te ferai descendre.

Souhaitez-vous voir; Oh Dieux, je craque pour ça.

Grand-père, écoute, mais si...

Aller. Plus de gémissements.

- Assez.
- Assez.

Allons-y.

Ne vous fâchez pas. Jurer.

Merci.

" [ADÈLE] Je ne peux pas.

juin 2023