All language subtitles for Secrets of A French Maid-fr

Venir,
bébé, joue avec moi.

Allez allez,
prends-moi par la main.

Toi et moi pouvons aller à
une étrange terre érotique.

Vous verrez que ce n'est pas aussi
aussi mauvais qu'on le prétend,

être.

Nous pouvons aller, aller sur certains
voyage tapis magique.

Et je sais que nous sommes dans
amour et partenariat.

Attendez de voir ce que
plaisirs du monde

peut vraiment être avec moi.

Viens jouer avec moi.

Prends-moi par la main,
et reste avec moi.

Viens avec moi.

Joue avec moi.

Viens jouer avec moi, je dois
te donne envie de rester avec moi.

Que me dites-vous ?

Joue avec moi.

Prenez le contrôle, pas besoin
devenir fou avec impatience.

Ne sais-tu pas que ça va
être l'amour, juste toi et moi ?

Prenez votre temps.

Allez-y doucement, et le
mieux ce sera.

Tu verras.

Prenez votre temps.

Allez-y doucement, et le
mieux ce sera.

Tu verras.

Viens jouer avec moi, je dois
te donne envie de rester avec moi.

Que me dites-vous ?

Joue avec moi.

Viens jouer avec moi, je dois
te donne envie de rester avec moi.

Que me dites-vous ?

Joue avec moi.

Viens jouer avec moi, je dois
te donne envie de rester avec moi.

Que me dites-vous ?

Joue avec moi.

Yanne aurait pu
été créateur de mode.

Mais à la place, elle
choisi le métier

qui depuis des temps immémoriaux a
né la teinte sombre de la honte,

sauf, c'est-à-dire dans le
campagne de Normandie.

Un homme d'honneur comme
Colonel de Granville

n'aurait jamais pu envisager
mariage avec Mademoiselle Yanne

s'il n'avait pas entendu qu'il
s'est compromis en restant

nuit chez elle.

Mais il n'aurait jamais pu
prévu comment serait sa vie

transformé par cet incident.

Sinon, il aurait
n'ont jamais provoqué

les rumeurs qui ont finalement été
pour les forcer à l'autel.

Puisque Yanne est maintenant une
veuve et non plus

lié par les liens
du mariage, ses deux

jeunes nièces,
Julie et Florence,

sont venus habiter avec elle.

Elle les traite comme
amis mais quand même

maintient une certaine distance.

Mais ces demoiselles
ne sont pas aussi cultivés

comme elle est, et ils ne l'ont pas eue
expérience de vie ou d'amour.

Ils ont plutôt
approche différente des deux.

Bonjour, petits oiseaux.

Oh, comme je m'ennuie.

Le petit déjeuner est prêt, Baptiste.

D'accord, Mme Ninette.

Avez-vous bien dormi?

Oui, mais tout seul.

Ce soir
sera différent.

- Pas si fort.
- Allez.

Vous savez que vous aimez ça.

C'est vrai.

Votre café refroidit.
- Très bien.

Vous ne voulez pas ce café ?

- Je pense à autre chose.
- Mmm.

Comme ça?

C'est plus comme ça.

Bien?

Ce soir, vous ne serez pas seul.

Vous pouvez parier dessus.

Ouais, nous obtenons tous les
sale boulot par ici.

Oh.

Flo, réveille-toi.

Tante Yanne est debout depuis des lustres.
- Je m'en fiche.

Il sera bientôt 10 heures.

Et alors?

Découper.

Mme Ninette, les légumes.

Elle dort encore.

Bien bien.

Ah.

Salut ma douce.

Chéri.

Il était temps.

- Et si ton patron entre ?
- Oh, laisse-la.

Comme tu veux.

C'est comme ça que nous, colonel, l'aimions,

tous ces souvenirs de
bonheur que nous avons partagé.

Chéri.

Excusez-moi, madame,
pour interrompre

votre divertissement, mais je suis
un monsieur et un ami.

Une belle femme
comme tu ne devrais pas

doit se divertir.

Je propose mes services.

Toi
sont très gentils, monsieur.

Mes remerciements les plus chaleureux.

Le plaisir
est tout à moi, madame.

Vous êtes très gentil, monsieur.

Aimez-vous cela?

Oh, oui, c'est merveilleux.

Je l'aime.

C'est merveilleux pour moi aussi.

C'est merveilleux.

Miam, Julie.

Tu es tellement belle.

Allez.

Oh, mon Dieu, tu es
magnifique, Julie.

C'est ce que tu veux dire?

Oh, ne t'arrête pas.
Allez.

Allez, oui.

Je m'évanouis.

Voulez-vous arrêter
ça tout de suite ?

Il y a des hommes pour ça.

Oui,
Tante, tu as raison.

C'est facile à dire, surtout
pour les filles aussi élevées

comme nous qui ne le sommes pas
intéressé par les vieillards

avec des problèmes cardiaques.

Quelques hommes.

Allez.

Continuons notre jeu.

Où avez-vous
tous les jeunes hommes sont partis ?

Long temps qui passe.

Où avez-vous
tous les vrais hommes sont-ils partis ?

Je pense que nous avons
fait un coup, là.

Vous pouvez avoir raison.

Je ne sais pas ce qu'ils veulent,
mais ils vont l'avoir.

Bonne idée.

Hey vous.

Oui?

Allons-y, Jacques.

D'accord, allez.

Hé, attendez une minute.

Revenez ici, vous deux.
- Economise ton souffle.

Allons après eux.

Vous obtenez la blonde
un, George, d'accord ?

Là-haut.

Oui, dans le foin.

Quels sont ces
les imbéciles font maintenant?

Nous sommes les imbéciles,
courir après eux.

Allez, Jacques.

J'en ai assez de ça.

Ils sont ici quelque part.

Ils ne sont même pas beaux.

Quelle différence fait
ça fait dans le noir ?

L'un d'eux est trop gros pour moi.

Et l'autre est trop maigre.

Allez, Jacques.

Ils se moquent de nous.

Oh quel dommage.

Ils abandonnent.

C'est dommage.

Que veux-tu dire?

Nous sommes trop bien pour
ces paysans.

Nous sommes mieux
en tant que vierges, sommes-nous?

Qui a dit que j'étais vierge ?

Oh, quel sens de l'humour.

Allons au galop pour
l'allée cavalière dans la forêt.

C'est le manège préféré de tante Yanne.

Hors de question.

On pourrait la croiser.
- Et alors?

Elle nous dira probablement
laisser les chevaux tranquilles

et partez à la recherche d'hommes.

C'est dommage que tu n'aies pas
en a un caché quelque part.

nous aurions pu donner
elle une surprise.

Je pourrais en avoir un si j'essayais.

Et le vôtre-- est-il
vraiment un inspecteur forestier?

je vais présenter
lui à tante Yanne

comme s'il était le
butin de bataille.

Vous savez, un
inspecteur des forêts--

c'est presque un colonel.

Comment l'avez-vous eu ?

Oh, quand l'amie de tante était
hors de la pièce pendant un moment,

je lui en donne un
mes regards significatifs.

Tu es l'homme de mes rêves.

Et il est tombé pour ça ?

Bien sûr.

Vous avez de la chance.

Je te dis,
il tremble

comme un poisson hors de l'eau.

Et tu le gardes
tic, je parie.

Il en a le souffle coupé.

Ne le fais pas attendre
trop longtemps, Florence.

Du moment que ça m'amuse.

Est-il vraiment aussi jeune
et beau comme ça ?

Ah oui, un peu
provinciale, peut-être.

Et est-il aisé ?

Oh, ce n'est pas le genre
de chose que vous pouvez demander.

Et tant qu'un homme est sexy,
Je me fiche de son argent.

On le saura bientôt
ça suffit, n'est-ce pas ?

À bien y penser, je
pu aller lui rendre visite aujourd'hui.

Ne dérange pas
vous-même sur mon compte.

Ne t'inquiète pas.
Je ne le ferai pas.

Une pauvre petite orpheline comme
moi doit penser à son avenir.

Et c'est ce que je fais.

Tu as plutot raison.

Oh, regarde, le cheval
devient excité.

Dis-lui bonjour pour moi.

Je serai ravi.

je serai curieux de voir
votre dieu grec.

Il sera absolument au-dessus du
lune quand il me voit venir.

Eh bien, au moins un jeune
inspecteur forestier

mieux qu'un vieux colonel.

je ne pouvais pas être d'accord
plus avec toi.

Mais tu ne dois pas dire
quoi que ce soit à tante Yanne.

C'est une surprise.
- Pas un mot.

Au revoir.

Tu es une belle
jument, Diane.

Le colonel serait fier
avoir une belle jument comme toi

dans ses écuries.

Qui c'est?

- C'est moi, Julie.
- Mmm.

Hum.

Calme-toi, Diane.

Oh, salut, Erik.

Dois-je frotter
elle a envie de toi ?

- Faut-il ?
- C'est pour ça que je suis ici.

Elle n'en a pas besoin.

Très bien.

Mais tu ne vas pas
garde ta casquette, n'est-ce pas ?

Ah, c'est beau.

De longs cheveux blonds comme ça, toi
ne devrait pas le garder couvert.

Oh, c'est juste de la flatterie.

Ce n'est pas mon
style, mademoiselle.

j'ai attendu longtemps pour ça
l'occasion de vous parler.

Et maintenant, je vais
te dire ce que j'en pense.

Tout d'abord mademoiselle
est une dame et devrait

enlève la tunique de cet homme,
ce qui cache ses bons points.

Et maintenant, enlève ton chemisier.

Je suppose qu'un marié est
pas assez distingué

pour te donner un coup de main.

Mmm.

Tu es
complètement fou, Erik.

Peut-être que je le suis, mais je pourrais
jamais espéré cela.

Je ne suis pas un homme pour bien
mots, mais je sais quoi faire

quand la situation se présente.

Oh.

Maintenant, c'est votre
tourner pour me montrer quelque chose,

ou tout était-il bavard ?

Ah, un grand vin,
vin des vignes

du sud de la France,
un vin aristocratique

d'une grande noblesse, un
compagnon fidèle et fidèle.

je l'apprécierai pour
le reste de ma vie.

Nous vieillirons ensemble,
vous et moi. Un vin noble

est le meilleur ami un
l'homme peut éventuellement avoir.

Oh, Érik.
Érik.

Érik.

Érik.

Érik.

Viens, Érik.

Érik.

Érik.

Florence.

Simon.

Je suis si content de te voir.

Quelle merveilleuse surprise.

je vais sortir du vin,
et nous célébrerons.

Oui, quelle bonne idée.

J'ai soif.

Ma bouche est si sèche.

Fais comme chez toi.

Tante Yanne
ne doit pas savoir que je suis venu ici.

Un baccalauréat éligible doit
ne recevoir que la demoiselle

dans le salon.

Ne t'inquiète pas.

Il est temps que je
fait la connaissance

de ta tante Yanne.

Elle est probablement
pas aussi puritain

comme vous semblez le penser.

Ah, elle est
une veuve respectable.

Il n'y a pas grand chose
vous pouvez enseigner à une veuve.

Après tout, elle ne
doit défendre sa vertu.

C'est assez différent
dans ton cas.

Tu as tout
à perdre, hein ?

Euh, enlève mes bottes.

Il y a un chéri.

Mon chéri,
tu devrais te souvenir

tu n'es plus un enfant.

je fais
souviens-toi, chérie.

Et je suis un adulte.

Je peux voir ça.

Mais tu comprends.

Est-ce que je précise ma position ?

Je pense que oui.

Mais que faites-vous?

Pourquoi as-tu l'air si inquiet ?

Moi?

Je pensais que tu étais un homme.

je le suis, mais nous
devrait être marié.

Exactement.

Ne s'agit-il donc pas
temps que nous avons commencé à obtenir

se connaître intimement ?

Après tout, vous devriez
voyez ce que vous obtenez.

Droite.

je vais te montrer quoi
un vrai homme peut faire.

je vais te montrer quoi
un homme est fait.

Tu prends
mon souffle.

Oui?

D'une manière ou d'une autre,
je l'ai toujours imaginé

serait un peu plus romantique.

Romantique?

Le classique est plus comme ça.

Considérez-moi comme Adonis.

Mais ce n'est pas Adonis que je veux.

C'est toi, Simon.

Eh bien, je veux un homme, un vrai homme,
et pas un frimeur qui se pavane

et se lisse comme un paon.

Tu es si doux, mon amour.

Oh oui.

Oh mon chéri.

Ah oui, c'est ça.

C'est zonte.

Aimez-vous cela?

Oui oui.

Oh oui.

Simon, tu es si grand et fort.

Florence, où es-tu ?

Érik.

Oh, Érik.

Mais ça ne peut pas être vrai...

oh, tante Yanne, le
gardien de notre vertu.

Passer du bon temps?

Et toi?

Oh oui,
chaud du lit de Simon.

J'ai eu un avant-goût du futur.

La Terre a-t-elle bougé ?

C'est mieux ainsi.

Eh bien, c'est juste
sur la façon dont c'était.

j'ai eu du mal
le faire partir.

Il n'est pas exactement un
amant bavard,

un peu lent au début.

Et alors?

Eh bien, continuez.

Que s'est-il passé ensuite, après ça ?

Mm.

Parle-moi de ça.

Tu as l'air très réticent
pour en parler.

Ou la question est-elle indiscrète ?

Je suis toujours franc avec toi.

Hum ?

Oh, sois secret si tu veux.

Eh bien, je peux avoir
des secrets pour toi aussi.

Hey.

Oh.

Hé, Ajax.
Hey.

Hey.

L'Ajax semble être dans
grande forme, hé, mademoiselle ?

Oui, Érik.

Le cavalier est également
dans la forme, si je puis dire.

Dieu, il y a une femme pour toi.

Elle roule comme le diable.

Elle a peur de
rien ni personne.

Mmm.

Ce cheval est le
prunelle de mes yeux.

Je le toilette chaque
matin et tous les soirs.

Hey.

Hey.

je retourne à
les écuries, Erik.

Vous pouvez venir faire votre
toilettage maintenant, si vous voulez.

Que suis-je censé faire
faire avec ça, mademoiselle ?

Qu'est-ce que ça veut dire?

je ne comprends pas ces jeux
vous jouez, femmes de votre classe.

Quand la jument est dans
chaleur, l'étalon

est toujours prêt à rendre service.

Très bien, inspecteur.

Entrez, s'il-vous-plaît.

Madame sera avec
vous en une minute.

Merci.

Madame.

Oh.

Permettez-moi de me présenter.

Je suis Simon Canard.

Veuillez accepter ces
fleurs simples--

Merci.

- en gage de mon estime.

Je suppose que je ne suis pas
l'objet de votre visite.

j'ai deux charmantes nièces
qui sont très attractifs.

Pour être très franc
avec toi, c'est

Florence que je viens voir.

C'est très bien tout ça.

Mais quelles sont vos intentions ?

Ils sont très sérieux.

En tant que tuteur, j'ai
pour en avoir la preuve.

Vous comprenez, n'est-ce pas ?

- Mais bien sûr.
- Par ici s'il-vous-plait.

Avec grand plaisir,
Madame de Granville.

Je suis sûr que tu trouveras mon
informations d'identification dans l'ordre.

Je suis sûr que tu es très
minutieux, inspecteur.

Tu verras.

La porte à gauche.

Mmm.

Je suis sûr que tu vas faire tes preuves
un digne membre de la famille.

Je ferai de mon mieux.

On verra bientôt, j'espère.

A votre service, Madame.

Nous sommes une famille honorée.

Mais je suis celui qui est honoré.

Très bien.

Jusqu'à présent, vous allez bien.

Jusqu'ici, oui.

Il y a un risque à
épouser quelqu'un d'aussi jeune.

Ne t'inquiète pas.
Je suis un homme dans la fleur de l'âge.

Vous sentez-vous capable de satisfaire
les désirs d'une femme ?

je ne demande rien de mieux que
l'occasion de le prouver.

Bien, c'est ta chance maintenant.

je suis profondément
merci, madame.

Hé, attends-moi.

Mais c'était madame
que je suis venu voir.

Quelle belle journée,
juste pour la récolte.

Bonjour.
- Bonjour.

je suis venu te demander
si nous devions avoir

tenait la récolte en l'état.
- Oh oui?

Eh bien pourquoi pas?

Après tout, c'est juste
aussi rentable de cette façon.

Oui, et peut-être le
récolte de maïs aussi.

Je pense que ce serait le mieux.

C'est ton argent, pas le mien.

Mais tes chevaux
doit coûter une fortune.

Nous avons tous notre
faiblesses, hein ?

Ceux qui peuvent se le permettre.

Eh bien, il y en a assez
foin dans la grange.

Oui, si nous continuons à vendre des récoltes.

Bien sûr.

Vous pouvez voir pour
vous-même combien il en reste.

Après vous, madame.

Attention à vos pieds.

Tout va bien, Jean.

Ces chaussures n'étaient pas
conçu pour marcher dans les granges.

Je vais juste jeter un œil.

Oui, vas y.

Cinq couches à
environ mille,

cela fait environ 5000 francs.

Oh mon Dieu.

Qu'est-ce qui ne va pas?

Madame, êtes-vous malade ?

Dites-moi ce que c'est.

Votre cœur bat fort.

Tout ira bien.

Tu t'es évanouie.

Je me sens souvent faible quand
Je suis près d'un bel homme.

Cela me brouille toujours la tête.

Il n'y a pas besoin
se sentir faible juste

parce que tu me trouves beau.

Nous allons bientôt trouver un remède pour vous.

Ce n'est pas souvent que j'ai
l'occasion de cueillir

une fleur si délicate.

Une beauté si fragile
nécessite une manipulation délicate.

Quel chanceux je suis.

je ne peux pas te dire
comme ça fait plaisir

moi que tu m'as choisi.

Croyez-moi, j'ai.

Ah, madame.

Quel beau parc,
Un régal pour les yeux.

Mieux encore, monsieur.

Vous pouvez régaler vos yeux
sur ma nièce, Julie.

Julie.

Qu'en penses-tu
d'elle, monsieur ?

Face à un
véritable déesse,

que peut dire un pauvre mortel ?

Eh bien, vous pourriez toujours
propose de lui peindre un tableau.

Mon plaisir.

Cela ne vous dérangera pas si je
te dis que tu as l'air égal

plus jolie sans la robe ?

Bien au contraire.

Bien sûr, un
l'artiste voit toujours

le corps dans la plus pure lumière.

Le maya nu est éternellement
pure tant qu'elle reste

la création d'un artiste.

A partir de ce moment,
tu deviens ma création.

Chaque centimètre de votre
le corps devient le mien.

Ton sein est mon refuge.

Et ton petit nid devient
ma cachette, sombre et profonde.

Mais tu n'est pas
connaître mon nid,

pourtant tu parles comme si
vous le saviez intimement.

Le contact avec le
modèle reste-t-il purement spirituel ?

Hum.

J'ai toujours pensé artiste
et le modèle devait être

comme un dans le sens le plus pur.

Il y a certains avantages
en étant un simple mortel.

Est-ce que ta déesse
te décevoir?

Non, elle est comme je l'espérais.

Est-ce vrai?

Oh, comme c'est gentil.

Oh oui.

Oh, mon ange, je ne peux pas dire
vous combien vous m'inspirez.

Oui?

Oh, déesse, prends-moi
avec toi au paradis.

Vous avez terminé maintenant.

La nature a payé pour
votre juste hommage.

Ma déesse, ma Maya,
ma muse, ma Vénus.

Maintenant tu es de l'argile dans le
mains de l'artiste--

Entièrement.

--à faire avec ce que je choisis.

- Madame Yanne.
- Erik.

Quel beau chapeau.

je ne t'ai pas vu
autour depuis un certain temps maintenant.

je dois changer mon
vêtements, et il y a

personne dans la maison pour m'aider.

Il fait très moite aujourd'hui.

j'ai peur de
orages, vous savez.

Ici avec toi, je
se sentir protégé d'une manière ou d'une autre.

Mm.

Cela ne vous dérange pas si
Je te tiens compagnie un moment,

est-ce que tu?

Est-ce que tu pars
si tôt, madame ?

Jésus, maintenant je l'ai fait.

j'espère que je ne comprends pas
dans n'importe quel problème.

Vous avez sonné, madame ?

Qui d'autre aurait sonné ?

Madame?

J'ai besoin de toi ici.

Se déshabiller.

Qu'avez-vous été
jusqu'à toute la journée ?

J'ai été
aider le jardinier.

Le jardinier?

Oui.

Alors vous avez eu votre
œil sur Baptiste aussi, n'est-ce pas ?

Hum ?

tu es vraiment un peu
tarte, n'est-ce pas ?

Gaston, Erik, maintenant Baptiste...

tu devrais te retenir
vous-même un peu.

Quand vous vous mariez, vous
peut faire n'importe quoi

qui prend votre fantaisie.

Pourquoi tout jeter maintenant ?

Mais je sens
plus heureux avec vous, madame.

Toi
m'aime toujours autant ?

Hum.

Parce que je suis
toujours très attaché à toi,

beaucoup trop affectueux, j'en ai peur.

C'est pourquoi vous pensez que vous
peut s'en tirer avec n'importe quoi.

Qui sait?
Peut-être que vous aviez aussi le colonel.

Jamais.

Non,
peut-être avez-vous pensé

ça n'en valait pas la peine.

Je n'y ai jamais pensé.

Menteur.

Honnête, je le jure.

C'est un autre mensonge.

C'est la vérité.

Je promets.

Petite Ninette.

J'ai besoin de votre affection, madame.

Pourquoi te méfies-tu ainsi de moi ?

Pardonne-moi.

Oui, mais tu m'as toujours fait mal.

Soyez tranquille maintenant.
Chut.

C'est peut-être mieux
si je m'en vais.

Non, reste avec moi.

Viens m'aider à prendre mon bain.

Oui, madame, si c'est
ce que tu veux vraiment.

Je veux que tu restes avec
moi, la façon dont nous avons toujours été.

Oui, nous avons eu du bon
fois ensemble, n'est-ce pas ?

Je ne sais pas.
Ce n'est plus comme avant.

Nous avons besoin d'un maître en
encore la maison, madame.

Et qu'en est-il de mon
liberté, Ninette ?

Cela ne vous apporte que de la solitude.

Tu rumines trop.

Ninette semble être
un peu philosophe.

Cependant, son diagnostic
est très précis.

Vous obtenez plus
et plus mélancolique.

Alors tu penses que je devrais me remarier ?

Si j'étais veuve et que je me sentais
rien du tout pour les hommes,

J'y penserais.

Tu comprendrais ?

Jusqu'à un certain point.

Tu sais, je t'envie.

Tu es si attirante, et tu as
jamais été réduit en esclavage par un homme.

Tu as des jambes qui
rendre tout le monde fou.

Oh, oui, y compris toi ?

- Y compris moi, bien sûr.
- Vraiment?

Ils sont magnifiques.

Ah, Yanne.

Oh, si seulement je n'avais pas
une telle faiblesse pour les hommes.

Ils sont tellement convaincants.

tu es plutôt
persuasif vous-même.

Yanne, tu as évidemment besoin des deux.

La variété est l'épice de
la vie, et cela n'a pas besoin

changer si vous vous mariez.
- Allez.

Allons en haut.

Comme tu veux, ma chérie.

Après tout, nous devons être
attention à ne pas offenser

la sensibilité des autres.

Vous savez à quel point je peux être prudent.

Chaque fois que je vais
en haut de cet escalier,

Je me sens comme une jeune mariée.

Ne te moque pas, Ann.

Ce n'est pas le moment.

Eh bien, nous y sommes.

Il n'y a personne à la maison.

Bien.

Une visiteuse, madame.

Pas maintenant.

je le lui ai dit,
mais il vient d'entrer.

Il veut te parler.

C'est important.

Tu peux y aller.

Pardonnez-moi, Madame Yanne,
pour avoir fait irruption comme ça.

tu n'aurais pas pu choisir
un moment plus gênant.

Cela pourrait peut-être attendre plus tard.

- J'attendrai, si tu préfères.
- Yanne.

Très bien.
Ici, s'il vous plaît.

Vous pouvez attendre ici.

Merci, madame.

J'espère qu'il n'est pas le
celui que vous allez épouser.

Que sont-ils
faire là-dedans ?

Ouais, chérie.

Allez.

Allez.

Oui.

Oh c'est toi.

Bonjour,
mademoiselle.

Désolé de te déranger.

Je dois prendre un livre
de l'étagère là-haut.

Ne me dérange pas.

Madame Yanne a demandé
moi d'attendre ici.

Oh je vois.

Est-elle très occupée ?
- Comme toujours.

Où est-ce que
Mirabeau est arrivé ?

Ah, ça y est.

Connaissez-vous ce livre ?

L'inspecteur forestier
m'a suggéré de le lire.

C'est votre fiancé, n'est-ce pas ?

C'est exact.
S'asseoir.

Merci.
Je vais.

Connaissez-vous Mirabeau ?

J'ai bien peur que non.

Comme le dit Simon, il élève le
voile sur les secrets du sexe.

Euh-huh.

Mais vous probablement
les connais déjà.

De beaux dessins, n'est-ce pas ?

je ne savais pas qu'ils allaient
si loin à cette époque, je veux dire,

si explicite.

Oh, beaucoup
plus que maintenant.

Par rapport à ces jours,
nous sommes arriérés et prudes.

Pouvez-vous imaginer être peint
faire ça avec tante Yanne ?

Et avec
vous, mademoiselle ?

Oh, et ici
avec Julie et moi.

nous tuerions
nous-mêmes en riant.

Nous n'avons pas grand
littérature comme ça de nos jours.

Ils pourraient enseigner
nous tous une leçon.

Ne pensez-vous pas?

Ah, Jean.

Hum ?

Je vois.

J'éclate comme ça,
tu l'as fait exprès.

Tu l'as fait pour me contrarier.

Tu dois payer.

Tu peux t'en prendre à moi.

Vous y êtes habitué.

Cela ne vous dérange pas.

Je vous connais.

Ah, Jean.

Que faites-vous
dans le salon ?

je te vois d'habitude
dans la cuisine.

Mademoiselle Ninette était
dehors, alors j'ai pensé apporter

les fruits moi-même, madame.

Oh, service personnalisé ?

je ne demande rien de mieux que
être au service de Madame.

j'ai un grand respect pour
vous, si je puis dire.

Mais bien sûr que tu peux, Gaston.

J'espère que mon amitié
avec Mademoiselle Ninette

ne vous afflige pas ?

Si c'est le cas, je l'abandonnerais
tout de suite, je vous assure.

Je comprends.

Mais s'il vous plaît gardez à l'esprit que
Je suis toujours à votre service.

C'est joliment dit.

Il ne s'agit pas seulement de parler, Madame.

Je le pense vraiment.

Je pense que tu pourrais peut-être,
euh, montrez votre sincérité.

Mmm.

Madame, je suis prêt à prouver
comme vous le souhaitez.

Oh, tu sais, il y a
pas particulièrement pressé.

C'est juste une manière de parler.

Je suis un homme de parole.

Et je suis toujours prêt, si tu
aiment le soutenir avec l'action.

Ne fais pas d'erreur
à ce sujet, Gaston.

Ne vous méprenez pas.

- Oh, c'est assez clair.
- Hum.

Ici, Madame Yanne ?

Maintenant, montre-moi comment
sincère tu peux l'être.

Prends un petit dessert
à la comtesse.

Elle n'est pas là
souvent, et je ne

veux qu'elle se sente exclue.

Très bien, madame.

Pour vous, madame.

Ah merci.

Ne pars pas, mon enfant.

Reste avec moi un moment.

Je me sens plutôt seul.

Oh, comme c'est délicieux.

Vous portez des jarretières.

Un café
pour Gaston, Ninette.

Tout de suite, madame.

Mais mon cher, vous
doit garder les chevaux.

Tu sais qu'ils sont
ta fierté et ta joie.

Chéri.

Le colonel était toujours
trouver à redire à tante Yanne.

Ah, bravo.

Buvons à
trois couples heureux.

Mais le champagne me rend triste.

Hein.

Bien
ouvrir la bouteille.

j'ai hâte de voir
Simon lâcha ses cheveux.

Oh, ouais, et
maintenant pour s'amuser.

Tout le monde se met à couvert.

Bravo.

Claquer,
une autre vierge partie.

Ah, Gérard.

Qu'est-ce que j'ai fait?

Contrôle-toi.

je n'étais pas
parler de vous.

Quand je pense à ton
les manières précieuses habituelles.

Nous avons
à peine fiancé,

et maintenant mon premier
goût de harceler.

Ce n'est qu'un début.

Et c'est de pire en pire.

Nous ne le ferons pas
arriver à ce stade.

Buvons à ça.

Bien sûr, je suis un fiancé modèle.

Un toast aux dames.

Les vivants.

Cette fête de fiançailles est
va droit dans ma tête.

D'ACCORD,
silence pour un discours.

je suis très content de voir ça
nous sommes tous ici ensemble.

Mes nièces toujours
considérait que j'étais

trop sévère avec eux, peut-être.

Mais ils ont trouvé
dignes fiancés

qui se tiendra ferme à leurs côtés.

Et c'est grâce à ma sévérité
que leur futur bonheur

sera assuré.

Je les ai protégés comme le
créatures délicates qu'ils sont.

Mon grand plaisir est d'avoir
trouvé l'homme de ma vie

après une si longue
période de veuvage,

un homme qui s'est réveillé
en moi la capacité d'aimer.

Chéri, je remercie
vous pour le compliment.

j'espère que je suis aussi
digne de Florence.

Et moi de Julie.

Buvons à ça.

Veux-tu m'épouser?

Je pensais que tu ne demanderais jamais.

Allons le dire à Madame.

C'était une belle
discours, tante Yanne.

Toutes nos félicitations
À vous deux.

Madame, pouvons-nous
te demander ta bénédiction ?

A partir de maintenant, vous devez aimer
elle et subvenir à ses besoins toujours.

Je vais.

Une femme doit grandir un jour.

Je suis prêt.

Tu peux toujours venir
revenir s'il ne se comporte pas.

Ne vous inquiétez pas, madame.
Je vais.

Gaston, votre
les devoirs commencent ici.

Nous verrons bientôt à ce sujet.

Maintenant, toi petit
Minx, si je décide

faire grève, que se passe-t-il ?

Tu ne ferais pas ça.

Vous avez raison.
Je ne peux pas te résister.

Là.

Tu es un homme, après tout.

Cela dépend de la femme.

Heureux maintenant?

je ne suis pas sans mon
faiblesses, bien sûr.

Ah, c'est plus
comme le vieux Simon.

Absolument typique.

Et c'est un
raison du divorce.

Autre autre
illusion brisée.

Qu'est-il arrivé aux sensibles
fille avec qui tu t'es fiancé ?

Tu me pardonneras.
N'est-ce pas ?

Je pourrais.

Ma douce petite
fille, pardonne-moi.

Juste un moment.

N'a-t-elle pas dit "pourrait" ?

Allez, ma chérie.
Allaient.

Mais d'abord, dites à l'entreprise
que tu me pardonnes.

D'accord, je le fais.

Vous avez tous entendu ça.

J'ai été gracié.

Et j'ai hâte
à des récompenses plus douces.

Dors bien, Florence.

Les hommes sont étranges
créatures, n'est-ce pas ?

Es-tu réveillé?

Réconcilié ?

Nous pourrions être plus tard.

Vous dites toujours pouvoir.

Eh bien, je dois
vous retenir d'une manière ou d'une autre.

Allez.

Nous n'allons pas nous disputer.

Non, nous allons faire l'amour.

Il était temps que nous
partir aussi, mon ange, hein ?

En effet, mon cher.

Tout le monde
nous quitte.

Avec votre
l'autorisation, nous avons

questions urgentes à régler.
Bonne nuit, Jean.

Bien dormir.

- Allons-y maintenant.
- Immediatement.

Elle a vraiment l'air
comme une déesse.

Bonne nuit, comtesse.

Nous resterons ensemble
un moment, toi et moi, hein ?

J'aimerais beaucoup, comtesse.

Essayons un autre
place à la variété.

Viens, mon cher.

nous ne dérangerons pas
les mariés.

Ils ne le remarqueront jamais.

je me sens plutôt
superflu ici, de toute façon.

Tu as une si belle silhouette, mon
cher, et de si belles jambes.

Florence.

Comme c'est gentil de
avoir la maison pour nous tous seuls,

Jean, juste toi et moi.

Et maintenant tu as un homme
pour satisfaire tous vos besoins.

Oui, Jean.

Vous pouvez compter dessus.

Comme c'est gentil.

Jusqu'à présent, ma vie a
été un acte d'abnégation.

En dehors de
les petites gourmandises

tu t'es donné de temps en temps.

Ils étaient
toujours forcé sur moi.

J'ai cédé seulement après
une lutte héroïque.

Allons au lit.

Les mots préférés du colonel.

Peut-être, mais le reste
l'histoire sera différente.

Je suis sûr que ce sera le cas.

Aide-moi à l'oublier, Jean.

Je ferai de mon mieux.

Buvons à cette promesse.

Buvons-nous.

Le passé est enterré.

La femme du colonel n'est plus.

Oh, oui, allons nous coucher.

Vous êtes si belle
dans cette robe,

Je peux à peine me contenir.

Non, pas ici, Jean.

Nous serons dérangés.

Mais ils sont tous partis.

Oui, au lit.

Où pensez-vous?

Qu'est-ce que je t'avais dit?

Eh bien, ils peuvent faire
ce qu'ils veulent.

Quant à nous--
- Viens ici.

Je vais enlever ça.

Non, je vais le faire.

Eh bien, je vais enlever ça.

je pouvais à peine y croire
le moment est enfin venu.

Il a.

Et maintenant que c'est le cas, je
ne veux rien changer.

Oh, je ne suis pas si
sûr de ça.

Oh, c'est pourquoi
tu as gardé la robe.

Oui.

C'est sympa comme ça.

Oui.

Oh oui.

Ah, Jean.

Jean.

Oh, Ninette, mon
petit truc de jeu.

Oui.

Tu me rend Foux.

Laisse-moi aimer ta poitrine.

Oui.

Maintenant, Erik, trois c'est une foule.

Érik !

Regarde, il salue.

Ses intentions sont claires.

Il est confortable, après tout.

Érik !

Je n'en peux plus.

Tu l'as rendue heureuse.

Merci.

Comment puis-je te remercier?

- Comment?
- Oui.

- C'est facile.
- Non.

- Oh oui.
- Non.

Non.

Venir,
bébé, joue avec moi.

Allez allez.

Prends-moi par la main.

Toi et moi pouvons aller à
une étrange terre érotique.

Vous verrez que ce n'est pas aussi
aussi mauvais qu'on le prétend,

la vie avec moi.

Nous pouvons aller, aller sur certains
voyage tapis magique.

Et je sais que nous sommes dans
amour et partenariat.

Attendez de voir ce que
plaisirs du monde

peut vraiment être avec moi.

Viens jouer avec moi.

Prends-moi par la main,
et reste avec moi.

Viens avec moi.

Joue avec moi.

Viens jouer avec moi, je dois
te donne envie de rester avec moi.

Que me dites-vous ?

Joue avec moi.