All language subtitles for Cattle_Town__Panique_no_l_Ouest_vost_1952

PANIQUE � L'OUEST

C'est le Texas d'aujourd'hui.
Un g�ant tentaculaire sous le soleil du sud.

Industries, navires naviguant
jusqu'au sept mers.

Mais le Texas n'a pas toujours
�t� comme ceci.

Sa page d'histoire est longue.

Les conquistadores explorant une
nouvelle province pour l'Espagne,

des temples en pis� �rig�s,

par des Padres patients
dans le d�sert.

Les patriotes de la
R�publique du Texas,

se souviennent de Goliad,
se souviennent de l'Alamo.

Pionniers, colons, �leveurs
et villes d'�levage.

Finalement, l'annexion � l'union.
Le seul �tat � refuser � ses terres

Un vaste empire d'herbe.
Des acres de terres non num�rot�es.

Riche en traditions et en s�curit�
dans la richesse.

Mais avec la fin de la guerre civile,
vinrent la pauvret� et les difficult�s.

D'orgueilleux domaines
se trouvent d�sert�s.

Seuls quelques petits �leveurs
s'accrochaient avec une foi obstin�e � leur herbe.

Et l'Etat lui-m�me s'est tourn� vers
la vente de son domaine public,

pour faire face aux d�penses du gouvernement.
Grandes �tendues de terres.

M�me les villes d'�levage elles-memes
chang�rent de mains.

Bon nombre de ces nouveaux
investisseurs sont venus du Nord.

Des hommes avec de l'argent
mais souvent sans principes.

Les rues et les couloirs d'Austin ...

du b�timent du Capitole
est venu � bien les conna�tre.

BUREAU DU GOUVERNEUR

Le Texas est un tr�s jeune Etat,
Monsieur Hastings.

Pas plus vieux que vous ou moi,

et bien sur
que nous avons bon nombre de pro�mes.

Je comprends �a, mais j'ai 40 partenaires
dans mon syndicat, Gouverneur.

Et je suis responsable envers eux tous.

Je me rends compte de
votre position, M. Hastings.

Le Texas est venu � nous pour vendre
sa terre, nous l'avons achet�e.

Nouso sommes certainement habilit�
� nous en emparer.

L'Etat est pronfond�ment
redevable � votre groupe.

Votre aide est venue et
nous en avions le plus besoin.

P�re a donn� � ceux qui revendiquent les
droits de squatter pr�s de trois ans,

pour d�placer leur b�tail et
leurs biens de notre terre.

Oui, et pendant tout ce temps,
pas une seule personne sur un millier de sections

que nous avons acquises n'a tellement emball� de malles ni fait avancer un boeuf.

Je sais, mais il y a beaucoup de confusion,
� propos des archives perdues,

et la validit� de certaines

anciennes concessions espagnoles.

Cela se peut tr�s bien, Gouverneur.

Mais le fait demeure que l'Etat du
Texas fonctionne sur notre argent.

Vous avez ouvert des �coles, pay�
les factures du Gouvernement,

construit ce magnifique
b�timent du Capitole.

J'ose dire, m�me les
meubles de cette pi�ce,

on �t� achet�s avec l'argent que la soci�t� de mon p�re a d�pos� dans votre tr�sorerie.

Est-il d�raisonnable,

de vouloir la possession
de la terre que nous avons achet�e?

Croyez-moi, mademoiselle. Hastings,
Le Texas remplira ses obligations.

Je n'ai pas de milice disponible
pour les faire respecter,

mais vous pouvez �tre assur� que al loi
se tient solidement derri�re vous.

Eht bien, cette assurance est tout
ce dont nous avons besoin, Gouverneur.

Ce fut un plaisir de vous revoir.

Vous ne pouvez pas rester?
Le d�ner ce soir peut-�tre?

Nous ne pouvons pas, je suis d�sol�.
Nous avons tout juste le temps de prendre la diligence.

Nous voulons revenir pour
demander d�s que possible.

Bien sur.

Ce fut un plaisir de vous rencontrer,
Madame Hastings.

- Merci monsieur.
"Le Texas sera toujours reconnaissant,

par les investisseurs sinc�res
et les belles femmes.

- Adieu, gouverneur.
- Au revoir, M. Hastings.

- Joseph
- Oui monsieur?

Trouvez Mike McGann, je veux le voir.
imm�diatement.

Je ne l'ai pas vu depuis des jours, monsieur.

Trouvez Shiloh, alors.

Il saura o� est Mike.
Ils ne sont jamais tr�s loin l'un de l'autre.

Oui monsieur

Avez-vous vu Mike McGann ce matin?

- Non
- Et pour Shiloh?

Je l'ai vu passer en direction
de chez le barbier.

�a suffit.

H�, Shiloh, le gouverneur
veut voir Mike McGann tout de suite.

- A cette heure de la journ�e?"
- C'est ce qu'il a dit.

Mike n'aimera pas �a.
Mais dis au gouverneur

que je vais essayer de le trouver.

- O� est Mike, ch�rie?
- L�-haut.

Tombeur.

Je sais que c'est un peu t�t, mais le
gouverneur, veut te voir tout de suite.

L'�tat du Texas r�pond
� beaucoup d'amusement pour moi.

Vous avez un joli piano, ch�rie.

Bonjour, gouverneur.
Quoi de neuf, maintenant?

Nous sommes � nouveau envahis?

Judd Hastings,
de la compagnie de b�tail Hastings,

et sa fille, �taient ici.

Hastings s'est plaint,
qu'il y avait plusieurs d'envahisseurs sur ses terres,

que son syndicat a achet�,
pr�s de Questa.

Ils ne veulent pas
quitter ses terres.

- Il me semble que c'est son souci.
- La guerre nous a tous boulevers�s.

Hastings est un Yankee
et le syndicat qu'il repr�sente,

poss�de la moiti� de l'argent
jamais monnay�.

Je crains que les �leveurs de
Questa ne deviennent t�m�raires,

et ne transforment cela en
quelque chose d'assez m�chant.

Les Texans sont comme �a,
surtout ...

quand ils sont expuls�s de
terres qui leur appartiennent.

La loi est enti�rement
du c�t� de Hastings.

Je veux que vous alliez � Questa pour

faire que ces �leveurs le comprennent.

- J'aime �a ici � Austin.
- Oui, nous aimons mieux �a � Austin.

Mike, �coutez...
l'�tat est au bord de la faillite.

Il a besoin de plus d'argent.
Le seul endroit o� nous pouvons l'avoir est

avec des investisseurs
comme le syndicat Hastings.

Leurs droits doivent �tre prot�g�s.

Vous dites...
que ce Hastings a une fille?

- Est-elle belle?
- Une ttr�s s�duisante jeune fille.

- Mais elle est trop riche pour ton sang.
- Je parie un mois de salaire l�-dessus.

Je parie le salaire d'un mois aussi.

- Ils ne sont pas trop riches pour le sang de Mike.
- Dites � Joseph d'envoyer notre courrier � Questa.

J'ai des billets pour vous
dans la prochaine diligence.

Non, je me sens mieux en selle.
Et je veux regarder la terre en chemin.

Mike, tu sais que je ne
peux pas monter � cheval.

Raison de plus.

- Tu as besoin de pratique.
- Bonne chance, Mike.

Shiloh, une fois encore,
nous allons graver nos noms...

dans la grande histoire
de cette grande ville.

Keeno.

Comment allez-vous, M. Hastings?
Je ne m'attendais pas � votre retour.

avant la semaine prochaine.
- Oh, mes affaires � Austin,

- n'ont pas pris autant de temps que j'avais anticip�.
- Oh, est-ce que tout va bien?

Tr�s bien, le gouverneur
nous soutient � 100%.

�a veut dire qu'il va envoyer des gars
de l'�tat pour d�gager ces squatters?

Non, en fait
il a dit qu'il n'y avait pas de milice disponible.

Donc, je lui ai dit que nous
nous en occuperions nous-m�mes.

Vous aurez l'oeil sur le b�tail
de ces squatters, hein?

- Ils sont toujours sur notre terre.
- Vous savez, s'ils ont vent de cela.

- Certains d'entre eux pourraient essayer de d�placer leur troupeau. - J'y ai pens�, tu le sais?

Je n'ai pas l'intention de
leur donner autant de temps.

AVIS D'EXPROPRIATION

30 JUIN 1888
A partir de cette date,

tous b�tail sur cette
�tendu sera confisqu�

COMPAGNIE DE B�TAIL HASTINGS

Eh bien la voil�.
La plus grande r�gion d'�levage de bovins du monde.

Le bassin de Questa.

Grand, n'est-ce pas?
O� est la ville?

A cinq ou six miles de l'autre
c�t� de cette cr�te.

- Nous pouvons y �tre pour le souper.
- Cinq ou ...

Oh, non ma selle est all�e
assez loin pour aujourd'hui.

Nous allons camper tout
de suite et juste l�.

Je suis plus � l'aise maintenant.

Prends soin des chevaux.
Je vais chercher le bois.

Non, prends soin des chevaux,
Je vais chercher le bois.

Tu ne sais pas que le cheval,
est Le meilleur ami de l'homme?

Oui, je le sais et tu le sais
Mais le cheval le sait-il?

- D'accord, je vais m'en occuper.
Je vais chercher le bois.

Salut, Ben

Nous ferions mieux de nous reposer
jusqu'� ce que nous trouvions de l'eau.

- Nous ne pouvons pas continuer � les d�placer toute la nuit et toute la journ�e. - Nous le devons.

Nous avons d�pass� la date limite fix�e
par Hastings depuix deux jours.

- Faites-les avancer.
- C'est votre b�tail.

- Eh bien, voici le dernier groupe d'entre eux.
- Oui, mais c'est Ben Curran.

- Tu te souviens?
- Il n'abandonnera pas ses boeufs sans un combat.

Curran ne vous causera plus de probl�mes,
Ceci est votre dernier combat.

Les ordres d'Hastings.

- Salut.
- Ouais!
-.

Cela ressemble � un probl�me.

- Quel est le probl�me?
- Je dois me cacher.

Doucement, monsieur.

Des amis � vous?

Ici, cachez-vous l�-dessous.

Ol .

Vous cherchez quelqu'un?

Oui

Un homme nomm� Ben Curran,
chevauchant un alezan � face blanche.

- Vous l'avez vu?
Je n'ai jamais entendu parler de lui.

Un grand "H".
La marque de Hastings, n'est-ce pas?

- Vous traquez les squatteurs?
- Nous ne chassons pas les squatteurs, monsieur.

Celui-ci a tir� sur nous,
par-dessus la cr�te.

On dirait qu'il ne s'est pas souci� des
risques auxquels il s'est attaqu�.

J'ai demand� si vous l'avez vu.

Vous le traquez alors vous le trouverez.

Vous, les Texans, devez apprendre que...

lorsque nous voulons
une r�ponse, nous l'avons.

Vous n'auriez pas d� d�ranger un homme
avant son petit-d�jeuner.

Ne d�ner pas sur les terres de Hastings.

Vous pourriez dire merci.

- Quel est votre r�le l�-dedans?
"Le gouverneur m'a envoy� ici,

pour voir que vous ne tirez pas
sur les �quipes d'Hastings.

Il semble qu'il soit un peu confus
sur qui fait le coup de feu.

- Je m'appelle Mike McGann.
- Je suis Ben Curran, dua cercle C.

Ou ce qui fut un temps le cercle C.
Merci McGann.

- Vous pourriez r�pondre � quelques questions?
- A propos de Hastings?

Donnez-m'en juste � l'occasion.

- A propos de ce petit d�jeuner?
- Mettez-le, c'est un repas.

- Je n'�tais pas s�r que j'allais manger.
- Peut-�tre que �a ne va pas.

- Le rebelle ne se montre pas avec de l'eau.
H�, Shiloh!

Shiloh!

M'as-tu appel�?

Nous avons de la compagnie.
Que diriez-vous d'un petit d�jeuner, voisin?

Ceci est mon partenaire, Shiloh.
Shiloh, voici Ben Curran.

- Content de vous rencontrer.
- Salut.

O� es-tu all� chercher cette eau,
jusqu'au Rio Grande?

Non, avec un si jolie matin�e,
j'ai en quelque sorte pris mon temps.

Vous savez, c'est le pays le plus pacifique.
que j'ai jamais vu.

J'aime une matin�e tranquille.
Les gars, que diriez-vous du caf�?

Je l'ai trouv� dans les bois.

je vais me tenir � l'�cart...

Mais mettez la main sur tous ceux
qui sont encore sur le ranch Hastings.

Dites-leur de de charger
et de s'en aller et vite.

La plupart d'entre eux l'ont d�j� fait.

Il y a tout un convoi qui campe
au bas de la petite Questa, maintenant.

- Dites-leur de s'en aller aussi.
- Pas si vite, McGann. En plus de nous chasser de nos terre,

ils ont pris notre b�tail
et nous ne l'accepterons pas.

Laisse-moi m'occuper du b�tail.
- Comment pouvons-nous nous le permettre?

Hastings les a juste tous convoy�s
jusqu'� son ranch Miradero.

Alors, je pense que nous devrons
lui demander de les renvoyer.

Prenez la parole la plus douce de ce c�t� du ciel,

pour obtenir n'importe quel genre d'accord de cela maintenant.

Maintenant voue me laissez �a. Vous faites votre
tourn�e et tenez le coup avec vos amis � ce camp de chariots.

- Je vous rejoins plus tard.
- Allez, Shiloh. En selle.

- O� pr�f�res-tu marcher jusqu'� Questa?
- Franchement je vais monter.

Allez, mon gar�on.
Tout doux.

Tout doux.

Doucement, gar�on.

Questa, Texas,
centre commercial du bassin de Questa.

Une des meilleures villes d'�levage.

- Eh bien, au revoir.
- Au revoir?

- O� vas-tu?
- Nulle part.

Mais tu y es.
Tu vas trouver un travail.

Un travail?
Moi, travailler?

- Avec les hommes de Hastings."
- Oh, non, attends une minute.

Apr�s ce qu'ils ont essay� de faire
avec ce type, Curran ce matin?

- Ce n'est pas pour moi.
- Ecoute, nous sommes partenaires, non?

Je sais
mais c'est aller trop loin.

Nous sommes venus ici pour emp�cher
les ennuis, n'est-ce pas?

- Mais c'est comme demander pour cela.
Comment allons-nous agir si nous ne savons pas,

qu'est-ce qui se passe
des deux c�t�s de la cl�ture?

Tr�s bien.

- Maintenant, arrives � y entrer.
- Ouais

Si quoi que ce soit d'int�ressant
arrive, fais-le moi savoir.

- D'accord
- Je serai dans les parages.

J'esp�re rque je pourrai.

Nous sommes all�s au camp.
et je suis descendu pour lui parler.

La derni�re chose que je sais est qu'il
m'a frapp� au menton et m'a fait tomber.

Il sait tout sur le ranch Hastings.
M�me nous accus�s de chasser les squatters.

Et il est bon avec le pistolet aussi.
Il a tir� mon chapeau tout juste de ma t�te.

Je parierai que ces squatters,

ont un peu d'argent ensemble et
ont engag�s eux-m�mes un pistolero.

Non, c'est impossible,
ils n'ont pas le moindre argent.

Mais ne vous inqui�tez pas pour �a,
s'il se montre en ville,

- Envoyez-le moi.
- D'accord.

Je vous demande pardon.

Vous ne chantez pas mieux
que vous n'�coutez pas, n'est-ce pas?

Je vous ai dit ce matin de d�gaer
du cercle de Hastings.

- Hastings est propri�taire de la ville aussi?
- Elle est sur ses terres."

- Il prend pas mal de territoire, n'est-ce pas?
- Un peu trop.

Peut-�tre qu'il ne le sait pas.
Pourquoi n'allez-vous pas lui dire?

Je pense que je vais le faire.
Passez une bonne journ�e, messieurs.

- Ce n'est pas un tireur � deux balles.
- Je ne m'inqui�terais pas pour �a."

- Pas de la fa�on dont vous l'avez trait� ce matin.
- Je ne m'inqui�terais pas trop � ce sujet.

j'ai le pressentiment qu'il ne sera pas
dans les environs tr�s longtemps.

- Tr�s bien, finissons le travail
et ne chantez pas.

- Eh bien!, bonjour.
- Bonjour.

- Puis-je vous aider, monsieur?
- C'est la premi�re fois,

que je vois l'hospitalit� du Texas,
depuis que je suis � Questa.

- Je suppose que vous voulez voir mon p�re.
- Votre p�re?

Oui, j'aimerais avoir quelques minutes
de son temps.

S'il est occup�,
Cela ne me d�range pas d'attendre.

Il y a un homme
qui veut te voir.

Oh, fais-le entrer.

- M. Hastings.
- Mike McGann.

Vous aviez un camp � environ dix miles
sur la route de Fort Worth ce matin.

Oui monsieur

Je n'arrive pas � trouver quelque chose
d'officiel sur vos lettres de cr�ance.

Si vous voulez dire un insigne des Rangers
ou une commission, non, monsieur.

La carte du gouvernement indique simplement
que vous et lui �tes des amis proches.

Cela a toujours suffit pour nous.

Eh bien, dans ce cas,
c'est bien assez bien pour moi.

Je crois que vous savez
que certains de mes hommes.

ont �t� forc� de se battre en duel ce matin,
Par un �leveur hors-la-loi,

- appel� Curran.
- Ils volaient son b�tail,

Ils ont tir� sur certains de ses
hommes et ils ont essay� de l'avoir.

Essayons-nous de nous comprendre, McGann.

Mes hommes ont confisqu� le b�tail,

pour d�faut de se conformer
� un avis de d�possession.

Maintenant, Curran lui-m�me �tait
en train d'empi�ter sur nos terres.

Le gouverneur m'a envoy� ici pour voir

que personne ne tire
sur n'importe qui d'autre.

Eh bien, c'�tait tr�s
attentionn� de sa part.

Et il vous a sans aucun doute �galement dit que
notre position au regard de la loi est parfaitement claire.

Ces intrus ignorent la loi. Eh bien, en ce moment,
ils se rassemblent dans un camp de chariots nous d�fiant de les chasser.

Je pense que je peux les faire
Partir paisiblement, M. Hastings.

- Ce serait parfait.
- Si vous les laissez prendre leur b�tail avec eux.

Ecoutez, je suis un homme raisonnable

Je m'attends � ce que vous le soyez aussi.
Ces personnes ont eu leur chance.

Ce b�tail est sur mes terres
et il va rester l�-bas.

- Je ne le pense pas
- Non?

Avant de prendre une d�cision,

j'aimerais que vous jetiez un coup
d'oeil aux documents que voici.

Je crois qu'ils voous prouveront,

que mes actions jusqu'� pr�sent
sont tout � fait l�gales.

Salut.

Il est occup�, Keeno.

L�galement, vous semblez �tre en r�gle.

Je suis content que vous ayez reconnu cela.

Curran et ses amis,

ne peuvent rien faire
� propos de ce b�tail maintenant.

- Et vous non plus.
- Je vais lui dire ce que vous m'avez dit.

Faites le.

McGann, j'aimerais
vous pr�senter ma fille, Marian.

- C'est un plaisir, mademoiselle. Hastings.
- Bonjour

Et je crois
qui connaissez mon contrema�tre.

- Nous nous sommes rencontr�s.
- Vous lui avez dit?

Demandez lui.

Le plus grand Etat de l'Union
et le gouverneur envoie un seul homme.

- Le gouverneur?
- Oui.

Pourquoi ces gens ne peuvent-ils
pas avoir leur b�tail?

Oh, ch�rie, �coute, nous avons une
fortune au crochet pour ce b�tail.

Maintenant, penses-tu que
je vais laisser tomber.

Juste parce que tu te sens d�sol�e
pour de nombreux imb�ciles t�tus,

qui ne voulaient pas affronter les
faits avant qu'il ne soit trop tard?

- Maintenant, que diraient mes partenaires?
- Tu n'as plus aucuns partenaires.

Tu les as tous achet�es
et tu le sais.

- Eh bien, alors mon jugement est suffisant, non?
- Pas si tu gardes ce b�tail.

M. McGann avait raison,
lorsqu'il a dit qu'ils avaient �t� vol�s.

Marian, �coute moi.

Tu dois t'occuper du bureau
et laisser les affaires pour moi.

- Voulais-tu me parler, Keeno?"
- ouais

- Tu voulais me voir, Keeno?
- Ouais.

- Vous savez, c'est dr�le.
- quoi?

McGann, j'aurais d� savoir,
qu'il travaillait pour l'Etat.

Il ne faut pas beaucoup d'argent
ou beaucoup d'influence,

pour engagner un homme
arm� comme lui.

Pourquoi, cela ferait-il une
diff�rence pour vous?

Pourquoi je devrais le faire?
Les balles dans mon arme,

ne s'arr�tent pas
juste parce qu'elles voient un insigne.

Il ne porte pas de badge,
seulement une carte du gouverneur,

- Rien d'officiel.
- Cela facilite les choses.

Je suis venu ici pour vous dire quelque chose.

Il y a six autres chariots en ville,

- depuis midi.
- Oui, et?

Soit le gars du gouverneur,
ou Ben Curran,

doit avoir obtenu que tout
le monde reste sur l'herbe.

Eh bien, alors, vous allez
vers ces squatteurs.

Je veux que ce camp bouge
avant que McGann ou Curran

ne leur parle de tenter leur chance pour leurs boeufs.
Nous ne voulons aucuns ennuis avec ces gens.

- Ils seront sortis d'ici � l'aube.
- Bien.

- Oui monsieur?
- J'aimerais voir des armes.

Les nouveaux mod�les.
Quelques bonnes affaires.

Ouais, bon �quilibre

Et je peux vous en donner
un bon prix, monsieur.

Acceptez-vous les le texte de
la tr�sorerie de l'Etat?

Voici.

Tout est meilleur,

que le prix au combat d'une
offre de mon stock, M. McGann.

- Quelqu'un a achet� votre magasin?
- Me mettre dehors est plus appropri�.

Qui?

La Compagnie de b�tail Hastings
pr�tend que mon magasin,

est sur ses terres et
que je devrai partir.

- Est-ce que cette paire va bien?
- Je les prends.

- Toutes vos armes et les munitions.
- Tout?

- Les fusils aussi?
- Oui.

Tout dans votre magasin qui tire.

Vous devez avoir envie,
de d�clencher une guerre.

J'esp�re en emp�cher une.

Tenez, d�posez-le moi dans un mois
quand vous aurez tout compris.

Pouvez-vous me les livrer au camp
de chariots en dehors de la ville?

Soyez tranquille, je m'en occupe.

- Quelqu'un d'autre a des armes?
- John Hill en a. Quelques unes.

Dites-lui de les amener ici et
je le ferai asseoir avec le mien.

Merci

- Excusez-moi, mademoiselle.
- Pourquoi ne regardez-vous pas o� vous allez?

Vous �tes vraiment sans-g�ne.

Attendez une minute.

Quel charmant Yankee,
tel un �ne empot�.

- Qu'est-ce qu'elle a dit?
- Elle dit que vous �tes tr�s s�duisant, monsieur.

Comme un �ne empot�.

- Merci beaucoup pour l'achat.
- J'en avais vraiment besoin.

- Je peux en apporter un peu � la banque.
- De toute fa�ons, vous vouliez travaillez, M. McGann.

S�r que personne d'autre n'en a aucune?

Ce sont toutes les armes en ville.
Bonne chance

J'aurai besoin de tout ce
que je peux obtenir.

- Combien d'hommes avez-vous laiss�s avec le b�tail?
- Une demi-douzaine, �a suffira.

- J'esp�re que oui.
- Alors, o� est le patron?

En haut, c'est notre travail.

Pour moi c'est bon,
Je veux avoir la chance d'abattre McGann.

Tu pourrais l'avoir.

- Tout est pr�?
- Ouais

- C'est fini, M. McGann.
- Bien.

Essayez de ramener votre chariot
en ville sans �tre vu.

Oui monsieur

- Je n'aime pas �a.
- Pourquoi, p�re?

Je ne sais pas tr�s bien.

Je ne comprends pas ces armes,
M. McGann.

Si nous pensions que nous avions
une chance dans une fusillade,

contre les hommes d'Hastings,
Nous essayons depuis des semaines.

Je vous ai dit que mes ordres �taient de
d'�viter une fusillade entre vous et Hastings.

- Cela semble �tre un d�but dans la bonne direction.
- C'est un coup de poing contre et�a ne servira � aucune fusillade.

Les voleurs de Hastings viennent ici.

- Maintenant?
- Oui, patron.

- Combien?
- 30, 40.

- Qu'est-ce qui se passe?
- 30 ou 40 hommes de Hastings,

sont en route vers ici.
- Maintenant, essayez d'arr�ter cela.

Amenez les femmes
et les enfants dans les chariots.

- Et ne tirez pas.
- Attendez une minute!

J'ai une meilleure id�e.

- A pr�sent restez hors de vue et restez tranquille.
- Et taisez-vous.

Je vais prendre cette guitare.
Vous savez qu'il faut faire.

Vous venez avec moi.

Ce McGann chante encore.

Descendons tr�s discr�tement
et donnons-lui un public.

Tr�s joli, McGann.

Continuez � chanter.
R�veillez vos amis

avant que nous en ayons fini
avec vous et vous aurez ceci.

J'ai dit, chantez

Pas si vite, Keeno.

Laisse tomber ton ceinturon, Keeno.
Et le reste d'entre vous aussi.

Attendez, ne bougez pas,
remettez ces armes dans l'�tui.

Je ne semble pas pouvoir vous convoaincre
qu'il n'y aura aucune fusillade ici.

- Je suppose que je vais devoir m'en assurer.
- Tr�s bien, les gars mettez-vous en rang.

Mettez-les l�-bas.

Tr�s bien, venez.

H�, vous.

Qu'est-ce qu'il y a?

C'est � moi de trouver
un travail, n'est-ce pas?

Je ne pensais pas pouvoir le faire.

Dites � Hastings que s'il
vous garde les gars, hors de danger,

je vais vous montrer
o� sont vos armes,

une fois que ces chariots
seront en s�curit� sur leur route.

Maintenant, marchez � pied jusqu'� la ville.

Venez, donnez-moi un coup
de main avec ceci.

Un public que tu voulais
donner � McGann, hein?

Une corde et un arbre
me conviendraient mieux.

La ferme, nous aurons de la chance si
Hastings ne nous �tire pas le coup pour �a.

Ouais, ici �a ira.

Enlevez les selles de leurs
chevaux et lib�rez-les.

C'�tait une chose courageuse,
un bon plan, M. McGann.

- La plus brave, monsieur, c'�tait elle.
- Pardonnez-moi, ma fille.

Maria Eliene Stefano Dolores ...

papa,
C'est plus facile de m'appeler Queli.

- Merci, Queli.
- Ne tvous en faites pas, Micaelo.

M. Rojas
est le plus ancien colon sur le bassin de questa.

Non, ma famille l'est
La concession du ranch Miradero,

la terre remonte au g�n�reux
Roi de l'ann�e 1610.

Miradero, c'est l� o� Hastings,
a envoy� votre b�tail.

C'est exact.

Maintenant, comment
comptez-vous le r�cup�rer?

Nous devons nous occuper
de ces chariots, d'abord.

Nous avons aussi des femmes
et des enfants.

Une autre fois, nous n'aurons
peut-�tre pas la m�me chance que ce soir.

Personne ne part d'ici jusqu'� ce que nous
r�cup�rions notre b�tail.

- Personne ne vous demande de le faire.
- Arr�tez de vous inqui�ter pour votre b�tail.

Tenez ces chariots pr�ts � partir
� la premi�re heure.

C'est mieux que nous allions
le dire aux autres, non?

Donc, nous partons demain, hein?

Ce n'est pas facile pour un Texan,
de quitter le Texas.

Non
mais les Texans sont des �leveurs de b�tail.

Ceci est notre terre, l'herbe.
Partout o� il grandit.

Il y a de l'herbe au Nord d'ici.

Grandissant sur des milliers de miles
de paysages vallon�s et de plaines.

Attendant de nouvelles villes,
des boeufs,

des �leveurs du Texas.

Pas m�me les Texans ne savent pas
combien le Texas est grand, encore.

- Pas m�me un lance-pierre. Oh, attendez une minute.
- Jetez votre quincaillerie, monsieur, nous en avons besoin.

- Non, �coutez.
- Ne demandez pas de re�u.

McGann les a tous achet�s,
il ne reste rien que ceci.

Cela ne donnera rien de bon.

Emmenez-les jusqu'au saloon,
et distribuez-les.

Voyons ce qui se passe.

Toi et moi pourrions aussi bien
monter et affronter la musique.

- Tu as sign� avec nous?
- Oui monsieur.

- Comment t'appelles-tu?
- Shiloh.

Tu veux voir cela grav�
sur une pierre tombale?

- Non
- Alors, garde cet instrument silencieux.

Tr�s bien, les gars,
venez chercer ces armes.

Mon contrema�tre fut� et son...
comment t'appellent-ils par ici?

- Segundo?
- Je peux penser �un meilleur mot.

Avez-vous eu des armes?

Non, McGann a achet�,
toutes les armes en ville hier.

C'est tr�s bien.

40 hommes sur le registre
de paie et pas une arme,

- ni un cerveau dans l'�quipe enti�re.
- Eh bien, nous avons recueilli l'atmosph�re dans la rue.

Oh, c'est la pire chose que
vous auriez pu faire.

Nous sommes rendus assez
impopulaire dans cette ville.

Il y a beaucoup de Texans dans notre �quipe

Ils peuvent se retourner contre nous.
Nous n'avons pas besoin de �a.

Nous pouvons obtenir des armes
de Fort Worth par dilligence en 2 ou 3 jours.

Je pensais que McGann vous avait dit hier
soir � chacun de vous o� �taient vos armes.

Bien s�r, si nous laissons
ces chariots sortir d'ici.

Ils sont d�j� en train de sortir
tous les chariots du camp.

Eh bien, alors c'est une ruse.
Ben Curran et le vieux Rojas,

ne feraient pas tourner les roues
sans r�cup�rer leur b�tail.

Eh bien, ils devront le faire
t�t ou tard.

Peut-�tre que votre visite la nuit
derni�re, convaincu de cela,

ou ...
Peut-�tre que McGann l'a fait.

McGann, il est assez mesquin pour rester plus
longtemps que n'importe lequel d'entre eux.

Eh bien, �a vaut la peine d'attendre
un moment pour voir.

Allez jusqu'�au Miradero, Segundo,
et gardez un oeil sur ces bovins.

Et si quelque chose se passe, faites le moi savoir.
Vous pouvez compter sur moi, M. Hastings.

Je l'esp�re bien.

Si McGann tient la promesse,
qu'il m'a fait la nuit derni�re.

Il devrait se montrer bient�t.

Felipe, vous serez � la fouche Canadian
� peu pr�s au coucher du soleiL

Si ben et les gars ne vous ont pas encore
rattrap�, attendez les hommes.

- Dieu soit avec vous.
- Micaelo, dieu vous garde, Micaelo.

Merci

"Tr�s bien, tout est pr�t, McGann.
- Allons-y.

Allons-y!
En avant!

H�, Miller, Regarde.

Commencez le d�placer du b�tail.

Curran et McGann.

Nous ne pouvons pas les retenir.
Fichons le camp d'ici.

Merci de vous �tre arr�t� pour moi, Miller.
Avez-vous des messages,

que je puisse livrer pour vous
� Questa?

- Est-ce que �a va boe?
- �a le sera apr�s un verre.

On dirait que tu en as assez.
Hastings est l�-dedans?

Pratiquement tous ses hommes y sont.
Et ils ont des armes.

- Ils les ont pris � des gens de la rue.
- Combien?

Attends une minute.

- 14 - Presque le m�me nombre que nous.
- Quel genre de calcul est-ce?

- Ils semblent aimer chanter, n'est-ce pas?
- Ouais

Voyons ce qu'ils pensent de Dixie.
Quand je te donne le signal, commence � chanter.

Oh non, je ne peux pas.
Ces gars n'aiment pas la musique rebelle.

- J'ai d�couvert cela moi-m�me.
- Mais les Texans le font.

Il y a beaucoup de Texans � l'int�rieur.
Nous devons les tenir occup�s,

Qu'ils en oublieront les gens
des chariots et leur b�tail.

- Hastings est dans la grande salle?
- Non, il est � c�t� du bar.

Bien, il n'y aura pas trop de monde.
Cela nous donne plus d'espace de travail.

H�, le gars du gouverneur.

Vous avez pris de grands risques
en venanc ici, n'est-ce pas, McGann?

- O� sont nos armes?
- Je vous le dirai quand je penserai que ces chariots,

seront �loign�s pour que vous
ne puissiez plus leur causer d'ennuis.

- Vous allez nous le dire tout de suite."
- Attendez une minute.

Maintenant je vois pourquoi le gouverneur
aime vous appeler son ami.

- Prenez un verre.
- Excusez-moi.

Combien de fois je t'ai dit,
rester � l'�cart de cette bouteille?

- Laissez-le tranquille.
- Oui, il a dit laissez-moi tranquille.

Son Excellence le gouverneur.

- Au Texas.
- Qu'est-ce que tu veux faire?

Recommencer la guerre?

Alors tais-toi!

Ecoutez, j'en ai marre de ceci.
Quand allez-vous nous dire o� sont les armes?

Ne devenez-vous pas
un peu impatient?

Ne mordez-vous pas plus
que vous ne pouvez m�cher?

C'est une bonne chose � dire
� l'Irlandais du Texas.

Chantez Dixie.

Dixie. Le vieux rythme Dixie!

�a va?

Je pense que j'ai cass�
mon Concertina.

Ne vous battez pas!

Ne vous battez pas!
S'il vous pla�t, non!

Je vous en prie, non!
Arr�tez �a!

Je vous le demande, les gars,
s'il vous pla�t! Arr�tez �a!

Bande d'idiots!
Arr�tez �a!

Bande d'idiots!
Arr�tez �a!

US Grant et Robert E. Lee.
Maintenant, nettoyez cet endroit.

- Papa, tu vas bien?
- Oui, je vais bien.

Mais que s'est-il pass�?

Ces deux babouins ont aid� McGann
� d�clancher une �meute � l'int�rieur.

Un beauc camouflage pendant que Curran
se rend au Miradero et fait fuir le b�tail.

- Fait fuir le b�tail?
- Oui.

�coutez, ils n'ont pas beaucoup d'avance,
Je vais rassembler tous les hommes possibles.

- Et les descendre?
- Qu'est-ce qui vous fait penser que vous ne finirez pas comme Miller?

Pas cette fois, il se dirigera
droit vers les chariots.

Nous allons nettoyer toute la bande.
Attendez une minute...

Vous n'avez pas assez d'armes.
pour nettoyer une �cole du Dimanche.

Cette fois, je vais m'occuper de McGann
et des chariots.

Je donnerais ma chemise pour
voir le visage d'Hastings

quand il d�couvrira que
nous avons r�cup�r� notre b�tail.

Dans peu de temps, nous serons
de retour avec le convoi, monsieur.

On dirait que nos amis sont
de retour aux affaires.

Tu penses qu'ils nous laisseront
emprunter un chariot

pour rentrer chez nous?

- Que pensez-vous de cela, M. Rojas?
- Toutes les t�tes que nous avons perdues.

- N'avez-vous pas eu de probl�mes, monsieur?
- Pas pour nous.

Mais Mike sait
ce qui vient ensuite.

- O� est Micaelo?
- Il est all� en ville.

- Il devrait arriver imm�diatement.
- Il est ici.

Eh bien, tout le monde...
Jusqu'ici tout va bien.

- Oui, ici, mais qu'en est-il de Hastings?
- Eh bien, il �tait tr�s occup�,

- quand nous avons quitt� la ville.
- Est-il au courant pour le b�tail?

Oui, mais il ne peut rien y faire avant
qu'il est regroup� son �quipe.

Shiloh et moi avons en quelque sorte
fait se frictionner les uns et les autres.

Mais je ne comprends pas.

Il semble que certains,

ont aim� notre musique,
et certains l'ont fait.

Je pense que nous sommes hors de danger.
Nous avons deux fois plus d'hommes.

- Avec des armes au moins.
- J'esp�re que tu as raison, Mike.

Mais nous ferions mieux de faire attention.
Dites-leur d'aller tout droit,

- � travers la fourche canadienne.
- Ouais

Je reviendrai pour vous signaler
si nous sommes suivis.

Permettez-moi de vous d�ranger
pour un point un moment?

- Pouvez-vous jeter un coup d'oeil?
- Oh, vous �tes bless�?

- Papa, donne-moi la bouteille, s'il te pla�t.
- Oui.

Il semble que l'un des gars de Hastings
doit avoir la m�choir dure.

Je pense que je vais vous aider, Micaelo.
Mais �a va faire un peu mal.

�a ira.

- Oh, grosse bosse, hein?
- Grosse bosse.

Papa, tout est mauvais.
Ce n'est pas ce que tu avais pr�vu du tout.

Ne t'inqui�te pas � propos de tout.
Tout va bien se passer.

Vous �tes tous pr�ts, les gars?

Chaque homme en qui
nous pouvons avoir confiance.

Maintenant, c'est un peu t�t.

Nous avons besoin d'une bonne obscurit�
avant d'atteindre ces chariots.

- Je vais vous payer un verre.
- P�re, �coute-moi, s'il te pla�t.

Laisse-les partir.
Laissez-les partir avec le b�tail.

Ils ont le b�tail, mais s'il y a une
�ventuelle chance qu'ils le perdent,

Pourquoi ne devrions-nous pas
�tre l� pour reprendre le troupeau?

Ce serait vraiment difficile pour un groupe de courir jusqu'� eux, avec des chariots pour arr�ter

une d�bandade si jamais elle commen�ait. Ouais,
et ces bouvillons du Texas ont sacr�ment saut� les premiers jours du trajet.

- Tu ne ferais pas �a.
- Eh bien s�r que non.

Mais il n'y a pas de loi contre l'espoir,
en attendant,

qu'un accident,
ne d�clenche pas une d�bandade.

�coute ma ch�rie,
tu es la grande dame jusqu'� mon retour.

Serrure, stock et barils. Maintenant, pourquoi n'irais-tu aps faire un tour � Miradero?

Une heure en selle pourrait apporter
un peu de bon sens en toi.

Allons-y les gars.

- Votre main ne vous fait plus mal, maintenant?
- �a ne pourrait pas �tre mieux.

- C'est un bon endroit pour camper.
- N'importe quel endroit me semble bien.

Et aucun signe de M. Curran encore?

Personne derri�re nous, j'ai l'impression.

C'est comem vous l'avez dit,

Hastings ne peut pas
nous suivre sans armes.

Nous ferions mieux de mettre les chariots
dans un cercle serr� tout de m�me.

Shiloh va vous aider.
Je retourne au troupeau.

Dites aux gardiens que j'enverrai des
secours lorsque le camp sera construit.

- Construisons le camp.
- Micaelo, vous n'avez pas de chariot.

Revenez ici et
je vous pr�parerai le d�ner.

Je serai impatient d'y �tre.

- Nerveuse, n'est-ce pas?
- Comme des lapins, monsieur.

C'est toujours comme �a
le premier jour du trajet.

Ouais, je sais

Quelqu'un devrait vous relever
un peu plus tard.

Je vais essayer de trouver Ben
pour te relever.

A plus tard.

- Salut, Ben
- Salut, Mike

- Comment �a va au camp?
- Tr�s bien.

- je pensais juste monter et vous relever.
- Si j'�tais s�r,

- qu'Hastings ne ferait pas de tentative pour ces boeufs, je...
- Je ne le reconna�trais pas s'il se pr�sentait.

Ce n'est pas que cela.

H� ... regardez!

- C'est Mlle Hastings.
- Que peut-elle bien faire par ici?

Je me le demande.

Amenons-la aux chariots.

- Comment va-elle?
- Pas de fracture,

mais elle est toujours inconsciente.

Elle a fait une mauvaise chute,
cette compresse devrait r�duire le gonflement.

- C'est tr�s bon pour les chutes.
- Je vais d'abord utiliser la compresse.

Nous pouvons essayer cela plus tard.

Elle se repose sans difficult�.
Je pense qu'elle ira bien demain.

Demain?
Je vais trouver Mike.

Elle a d� essayer de nous apporter
une sorte d'avertissement.

Faites-nous savoir s'il y a
le moindre changement.

Tout est clair de ce c�t�.
Comment est-ce sur le v�tre?

Calme, monsieur.

- Trop calme.
- Des nouvelles du camp?

- Non pas encore.
- Je vous verrai � la prochaine ronde.

Il est foutu.

�a d�gage ce c�t� du troupeau.
Attendez le signal du patron,

et je m'assurerai que personne
ne se rende au camp.

O� est tout le monde
� l'autre bout du troupeau?

Pepe et quelques autres
sont cens�s �tre l�-bas.

Cela ne semble pas trop bon.
Vous finissez ma ronde.

Je vais retourner voir.

Maintenant, ils sont tous pr�ts.

Il n'y a aucun signe de McGann?

Non, il �tait de l'autre c�t� du troupeau.

On s'occupera de lui plus tard.

Maintenant, qu'allez-vous faire?

M'assurer que le b�tail
ne manque personne dans les chariots.

Ne vous inqui�tez pas d'une chose.
Il ne restera plus aucun t�moin.

D�bandade, mettez-vous � couvert.
D�bandade!

Prot�gez-vous.
Prenez soin des femmes et des enfants.

Prot�gez-vous.
D�bandade!

Prot�gez-vous.

Laisse tomber le dernier.
Essayez de les retourner.

Plus d'hommes par ici.

Non!

Non!

� l'aide!
Aidez-moi!

- Marianne!
- Vous ne pouvez pas y aller.

- L�chez-moi!
- Esp�ce de fou!

- Je te dis de me l�cher!
- Aidez-moi!

Aidez-moi!

� l'aide!

Marian!
C'est ma fille

Ne faites pas..

Marian!

Montez sur vos chevaux
et essayez de les d�tourner.

Shiloh.

Occupe-toi d'elle.

Allez vers les meneurs.

Faites-les tourner.

Continuez de les faire tourner.

Mettez-les en cercle.

Le calme est fait, je pense que
les gars peuvent g�rer cela maintenant.

Oui, ils se sont �puis�s.

- Marian.
- Oui?

- Pr�te?
- Oui, Mike.

�tes-vous s�r
de vouloir aller �Questa?

Je vous l'ai dit hier soir,
Questa est ma ville.

Il y a le ranch. Je veux le Texas

soit fier
Eh bien, c'�tait cens� l'�tre au d�but.

�tes-vous s�r
de vouloir revenir avec moi?

Je suis absolument sur.
Ensuite, nous irons �Austin.

- Pourquoi Austin?
- j'ai un petit pari

que je veux
r�gler avec le gouverneur.

Quel genre de pari?

Je vous en parlerai une fois que
nous aurons r�cup�r� votre ranch.

Ben rapportera votre cheval.

Je veux y aller et dire au revoir
� Felipe et Queli.

Queli.

- Alors vous retournez �Questa,
hein, Micaelo?

- Avec madame Hastings?
- Vous comprenez, Queli?

Je comprends

Vous avez �t� un bon ami.

- Dieu soit avec vous.
- Merci, Mike

- Bonne chance, mademoiselle. Hastings.
- Merci, Ben.

Bonne chance � vous
� vous tous.

Nous sommes sacr�ment reconnaissants
envers vous et Shiloh.

Heureux d'aider unvoisin.

- Donnez-leur nos salutations au Kansas.
- Au revoir, les gars.

Faites rouler vos chariots!

Tanguy Massange
16/09/2019