All language subtitles for Amigo (2010)

TV-Rip: Burak SAHIN
Traduction Auto Google: Thierry MARTIN

Au d�but du si�cle dernier

les �tats-Unis ont d�clar�
la guerre � l'Espagne.

ils se sont engag�s � lib�rer l'�le de cuba,

� 150 km au Sud,
de la domination coloniale.

C'est ainsi
que les troupes am�ricaines sont venues

dans une autre colonie espagnole
� l'autre bout du monde,

Et ils ont d�cid� de rester.

Luzon, �les Philippines

Pourquoi es-tu si stupide?
Ils vous renverront chez vous maintenant.

Eloy, nous sommes avec eux
et nous avons le m�me �ge!

Ils ont besoin d'hommes pour se battre,
pas d'enfants!

Le g�n�ral dit que nous devrions tous suivre

Vous me suivez d'abord,
puis vous suivez l'appel de la nation.

Je pensais que Dieu venait en premier.

Votre m�re est responsable
des affaires religieuses.
Demandez lui!

Qu'est-ce qu'il a encore fait?

Je l'ai attrap� en train
d'essayer de s'�chapper.

Je veux rejoindre l'oncle Simon et me battre.

Quand il est n�, les nains ont du le m�langer!

Mon vrai fils ne peut pas �tre aussi stupide!
�coute ton p�re!

Vous �tes toutes les deux complices!

Sois prudent en me parlant.

D�sol�, je suis en retard.

Amor Cabahug a mis trop de
temps � cuire une tinola.

Restez � l'�cart de la porte!

- Il dit qu'il va �couter votre confession
- merci

- �tes-vous l�, mon p�re?
- Y a t il quelque chose de chang�?

Non, mon p�re.

P�re?

Que Dieu leur pardonne.

Vous pouvez commencer

- Pourquoi on fait �a?
- C'est ma responsabilit�.

- Mais le p�re Hidalgo
- C'est le village,

pas lui.
- Il ne le pense pas.

- Que puis-je faire pour vous?
- Le cochon de Sixto est entr� dans mon jardin.

- Il a mang� toutes mes patates douces!

La cl�ture est inutile! Tout peut entrer.

- Toutes tes pommes de terre?
- Tous!

Feuilles, racines, tout!
Ils n'�taient m�me pas pr�ts � creuser!

Les patates douces sont tr�s attrayantes

et votre cl�ture est une honte.
- J'ai dit r�parer, ou des oignons.

Quand vas-tu massacrer ton cochon?

Festival.

Miss Dolores,
Sixto vous donnera des graines � planter.

Quand ils sont pr�ts,
une douzaine de vos voisins

� votre cochon.
- Mais--

Si le cochon se nourrit de patates douces,
c'est plus d�licieux.

Et vous, Sixto,
r�parez la cl�ture de Mme Dolores demain

le cochon ne peut pas entrer.

Donne-moi une cuisse au festival.

Je voudrais un filet.

Je suis Amigo

Vivid los americanos--

Mon nom est pom-pom girl, yo!
- Rafael!

Ne les combattez pas!

Ce petit singe a fonctionn� de cette fa�on!
Je l'ai vue

�tends-toi et tais-toi. Allons le chercher.

Attention, ne nous tirez pas dessus.

Il est l�. Va le chercher!

- Je pensais l'avoir fait.
- Zut!

Pourquoi ne faites-vous pas du scoutisme?

Je dois faire pipi.
Je ne veux pas descendre ma culotte.

Les b�tards ont d�j� atteint Dagupan.

Bon sang!

Mon Dieu, fais-moi mal.

- Quelqu'un s'est fait tirer dessus?
- Shanker est en route.

Je suis malade, sergent.
Je dois y retourner. �a fait mal.

C'est aveugle, il a manqu�.

La prochaine fois.

J'ai besoin de savoir
qui est le maire du village.

Busca la cabeza.

Qui est le maire de ce village?

R�pond moi!

R�pond moi!

Ils sont presque blancs.

Il est temps de rejoindre la f�te, messieurs.

Tu viens, Shanker?
- Je meurs ici, monsieur.

C'est bon pour toi.

Qui est le pr�sident?

Dis-moi, avant que �a fasse mal!

- Je dois dire.
- non.

Vous! Vous savez qui vous �tes!

Qui est le pr�sident ici?
Dis-moi ou je vais te faire sauter la cervelle!

Qui? Qui est le maire du village?

Le chef du village.

Ceux-ci �taient enferm�s � l'arri�re,
lieutenant.

Nous sommes prisonniers de la r�sistance.
Et ces l�ches et p�cheurs.

- Tu parles anglais.
- Je connais cette langue, oui.

Pr�sident, cet homme.

Vous

debout.

L�ve toi.

Quel est votre nom

Nombre d'eau.

Como ma�triser?

Amigo. R�jouis-toi, amigo.

Que fais-tu ici?

Les Am�ricains sont l�!
Des centaines ici!

Nous savons.

Nous d�m�nageons le camp, neveu.
Tu ferais mieux de venir avec nous.

- Tu ne vas pas les attaquer?
- Pas aujourd'hui.

O� sont les jeunes hommes?

Ils sont all�s se battre
pour cette mauvaise r�sistance.

Je lui demande.

Je le sais Un menteur.

- Demande lui.
- Tout ce que tu veux.

Il veut savoir o� sont les hommes.

O� pense-t-il qu'ils sont?

Ceux qui ne se battent pas se cachent.

- Il dit qu'ils se cachent.
- o�?

O�?

Ils ne me diront pas o� ils restent.

ne parlera pas.
Son fr�re est le chef des insurg�s.

Ils nous condamnent
depuis la capitulation � Batangas.

Dis-lui que l'emplacement des insurg�s
n'a pas d'importance

s'ils ne se rendent pas,
nous les trouverons et les tuerons.

- Tu peux faire �a?
- Dis lui.

Pourquoi ne vous ont-ils pas tir� dessus?

Les insurg�s ont voulu nous utiliser
contre les Am�ricains.

Vous ont-ils tortur�?

Je cherche depuis deux semaines
avec ces deux idiots et

avec une mal�diction.
Quoi de plus de torture?

La tueuse?
- 73�me.

Les Am�ricains disent que vous
n'avez m�me pas tir�
quand ils ont envahi Manille.

Dans notre propre crasse,
entre les murs comme des rats

nous avons �t� pi�g�s.
Si les Am�ricains n'�taient
pas venus, les Indiens

couper notre gorge.

Maintenant tu travailles pour les Yankees?

Il n'y a personne en Espagne qui m'attend
en dehors d'une cellule de prison.

Je reviendrai d�s que possible

et je vais prendre quelque chose avec moi.

Il s'appelle Rafael Dacanay. Comme son p�re,
il est chef du village depuis dix ans.

C'est la personne qui per�oit
les imp�ts pour l'�tat.
- Bon travail s'il peut.

S'il ne peut pas, il devra payer.

Ce n'�tait pas si bon.

Il s'est montr� � l'horizon, lieutenant.

- Vous avez tout, lieutenant?
- Oui, monsieur, nous avons cess� de r�pondre.

Quelques personnes se sont �chapp�es.

Choisissez les dix hommes
en qui vous avez confiance
et commencez votre h�bergement.

Monsieur?

Comme nous courons apr�s
Aguinaldo sur l'�le

Je ne veux pas que ces singes
courent autour de nous.

J'ai besoin d'une garnison ici.

Mais mes soldats sont pr�ts � bouger, colonel.
C'est dur de rester ici

J'ai besoin d'une garnison.

Oui monsieur

Tout ce que je sais,
c'est qu'Aggy se cache dans ce village.

� la fin de la guerre,
vous lui donnez des coups de pied.

Dieu sait que je ne peux rien leur dire.

Merci de nous avoir sauv� de la captivit�,
colonel.

C'est le p�re Hidalgo.

Les insurg�s, avec certains des espagnols
qu'ils ont captur�s

ils l'ont tenu dans le village.

Nous t'emm�nerons � Manille, mon p�re.

Ce sont mes enfants.

Leurs esprits sont sous ma garde.
Je ne peux pas partir d'ici.

Ensuite, vous avez un interpr�te, lieutenant.

Zu�iga!
- Si, J�fe!

- Tu viens avec nous.
- Un soupir, coronel!

Procurez-vous un talkie-walkie
et un travailleur pour planter les poteaux
afin que nous puissions communiquer.

Faites d�coller ces gens,
pour l'amour de Dieu.

Nous devons gagner leurs
c�urs et leurs esprits.

Oui monsieur

Whatley et neuf autres personnes en qui
je peux avoir confiance, sergent.

Whatley, Thomas, Casey, Dortmunder, Lynch

Pederson, Fitzsimmons,
Andrews, Shanker et McBride

tu restes ici!

Tous les autres, double rang�e
derri�re le colonel.

- A qui est cette cabane?
- Il appartient au m�me homme.

Dans ce cas, il lui reste cinq minutes.

Ce sera mon quartier g�n�ral.

Dites-lui que nous resterons pour
prot�ger son village des envahisseurs.

Dis-lui qu'il est toujours pr�sident,
alors s'il y a un probl�me,
il en est responsable.

- Arr�tez le feu!
- Ne tire pas! Ne tire pas!

Avez-vous �t� abattu?

Temps d'Ang�lus. C'est son travail.

Pri�re.

Tous les jours � six heures.
C'est notre tradition.

Quelqu'un vient chercher ce
singe pr�s de la cloche.

J'�tais tellement curieux
que j'avais presque de l'eau.

Ils ont assomm� mon mari.

Elle devrait voir un m�decin.

S'il avait r�sist� � ces bandits,
rien de tout cela ne serait arriv�.

Vous nous avez tous embarrass�s
en pr�tendant �tre leur prisonnier.

Ce ne sont pas des bandits.
Les soldats. Nos soldats.

C'est une insulte � Dieu.

Vous passez tellement de
temps � sucer cette b�te

Ne vous battez pas chez moi!
Si tu continues, ma soeur et moi

nous restons ici,
tu couches avec les chiens!

Bonsoir, mesdames.

Rafael,
merci d'avoir parl� aux
envahisseurs en notre nom.

Je n'ai rien fait.

Nous pensions qu'ils allaient te pendre.

- Ou tire.
- Ils ne nous feront pas de mal.

Ils ont suspendu le maire du village
de Pampanga parce que...

ils pensaient qu'il �tait un espion.
- Nous entendons beaucoup d'histoires.

Alors, que sugg�reriez-vous �
propos des Am�ricains?

Pas de probl�me Essayez
de collecter les r�coltes.

Et si les Am�ricains nous forcent
� travailler avec eux?

Ils utilisent le chinois pour cela.
Tout comme les espagnols l'ont fait.

Mais si nous vivons avec les Am�ricains,
les rebelles ne se f�chent-ils pas?

Tu vois Nenong.

Nous devons vivre ensemble dans cette maison.

Alors, sommes-nous amis?
- non

Mais sous le m�me toit,
nous allons dormir avec un �il ouvert.

Quand le soleil se l�ve, ils se couchent,
mangent des bananes et regardent
les combats de coqs.

Mais d�s qu'il fait noir,
ils rentrent dans les bois
et l'homme avec la ligne � la main coupe.

De cette fa�on, plus d'Am�ricains
sont morts que pendant la guerre.

Soldat aveugle. Allez dormir un peu.

Je suis venu ici pour tuer les espagnols.

Tuez dans votre r�ve.

Changer la position fr�quemment.
Ce ne sont pas de bons tireurs,
mais ne soyez pas des cibles faciles.

- d'accord.
- Quatre heures, fils. Ne nous g�ne pas.

- Des �claireurs?
- quatre coins.

Juste au cas o�,
j'ai dit aux enfants de
dormir dans leurs bottes.

Je n'ai pas s�ch� mes pieds depuis Caloocan.
Asseyez-vous.

- La t�che sera facile ici.
- Pourrait �tre.

Jouez aux cartes, attrapez les mouches.

- �tiez-vous � l'ouest?
- Arm�e normale, 15 ans.

Je bannissais les Indiens.

Vous?

Avant de me porter volontaire pour ce projet,
je construisais une maison.

Belles grandes maisons
- Lieutenant, ce pr�tre

il fait quelque chose ici.
Je ne lui ferais pas confiance si j'�tais toi.

La religion civilise, sergent.

Et s'il peut garder ces gens en laisse,
laissez-les avoir leur �me.

- Oui monsieur.
- Et je ne lui fais pas confiance.

Pardonne-moi, mon p�re.

Je viens tous les jours, mais tu sais comment.

Croyants occidentaux.

Ils m'ont m�me demand� d'accomplir le rituel.

- Vous avez refus�, n'est-ce pas?
- Bien sur, mon p�re.

Je leur ai dit de prier pour votre lib�ration.

Et Dieu a entendu nos pri�res.

Soit Dieu, soit le g�n�ral Otis.

Pensez-vous que Joaquinito est en s�curit�?

Il est plus en s�curit� qu'il est ici.
Mon fr�re prend soin de lui.

Simon?

Il a m�me pris soin de ses coqs de combat
mieux que sa femme.

Je pensais qu'ils t'avaient tu�.

Je suis toujours l�.

Vous ne prenez aucun risque, n'est-ce pas?

Je ferai ce que je dois faire.

Ce n'est pas juste nous deux.

Dieu nous guidera � ce moment.

Dieu est occup� ailleurs.

Je les ai vus rel�cher le p�re
avec d'autres prisonniers.

Et ils ont frapp� la t�te de ton fr�re.

- Ils sont partis?
- Pas tous.

Le g�n�ral Aguinaldo envoie quelqu'un ici.

Il nous dit quoi faire.

Tout le monde en place!

Ne tirez pas avant d'avoir vu quelque chose!

Viennent-ils?
- Je sais pas.

Je pensais qu'il y avait quelque chose l�-bas.

Il y a toujours quelque chose � l'int�rieur.

- On fait quoi, sergent?
- Attendons le lever du soleil.

Je laisserai les autres savoir.

J'esp�re que tu as tu� quelqu'un, mon fils.

Bien fait, �il aveugle.
Au moins, vous obtenez un meilleur coup.

Je suis all� dans une �cole de pr�tres
� Valladolid, mais je suis n� � Toledo.

- Al Hamra.
- Tu y es d�j� all�?

Non, j'ai examin� le b�timent.
Alors vous avez d�cid� d'�tre une personne.

- La colonie espagnole des Philippines
- C'�tait une colonie.

C'�tait une colonie d'Espagne.

Servir ici n'est pas seulement un devoir
religieux, mais aussi un service militaire.

Nous sommes les soldats de Dieu.
- Est-ce que les gens ici vous �coutent?

Ils �coutent, mais ils
n'ob�issent pas toujours.

- J'aurai besoin de ton aide.
- J'offre inconditionnel

d'une mani�re qui ne perturbera
pas la morale de mes croyants.

- Je ne pense pas que �a va �tre un probl�me.
- Tu n'es pas catholique.

- non
- Alors je dois te pr�venir

la voie de la moralit�
n'est pas toujours claire.

Le p�cheur a l'air tr�s fier aujourd'hui.

Que Dieu lui ordonne de devenir un bon chr�tien.

Pouvez-vous marcher?

Si je vais � la cabane de patrouille,
je vais ramper de l� � Manille.

- Je te confie ces gens.
- C'est bon, sergent.

Tr�s bien tout le monde. K�p�rday�n.

Tu y vas avec ta putain.

Oui, mon p�re et moi vous
laissons avec les Indiens.

R�colt� deux fois par an.

Un champ donne du riz,
l'autre est � la houe et sem�.

Ils r�coltent deux fois.

Ce n'est qu'en juillet et
ao�t que le sol est repos�.

Les villageois sont-ils copropri�taires
de cette terre?

Cette terre lui appartient. Et celui-ci.

Les gens sont des races.

Ils travaillent pour une certaine
partie de la r�colte.

Donc, tout ici appartient � Amigo.

J'ai beaucoup de champs derri�re ici
et nous ne pouvons pas voir.

En prison, les gens ne les aimaient pas.

- S'ils travaillent pour le stock
- Ce conseil,

une mission prescrite par l'�glise
et les gardes civils.

- Vous faites un profit.
- J'en ai assez vu.

Dites-lui, comme d'habitude,
que les gens peuvent r�colter une �quipe.

Mais le foss� l�-bas est la limite.
Si quelqu'un le traverse sans permission,
nous le tirerons.

Et dites-lui qu�� partir de maintenant,
il travaillera dans son propre domaine
comme tout le monde.

J'aime faire �a.

Il dit que personne n'est autoris�
� traverser ce foss�

et passe sans permission.

Tout le monde dit qu'il va cultiver
sa propre terre, m�me vous.

Vous comprenez?
- Je comprends, mon p�re.

Nous sommes de toutes sortes.

D�p�chons-nous, messieurs,
le c�ble arrive. Rapide, rapide!

H�! Patron.
Vous travaillez beaucoup le guindeau.

- O� tu vas?
- Manille.

Tu vas infecter le reste des putes?

Quelle belle �quipe tu as.

Il s'appelle Chop-Chop,
et j'appelle ce visage Chuckles

c'est maigre, et l'autre est Moon.

Une �quipe a raccroch� les fils � Santa Ana.
Nous allons les rencontrer au milieu.

Salutations

Travaillez-vous vraiment ou sautez-vous?

- Tu veux le voir?
- Oh mon Dieu.

Je vais boire de la bi�re froide pour vous.

OK. Cousons ces b�tons, messieurs!
D�p�che-toi, d�p�che-toi!

Qui a besoin d'un t�l�gramme?

Tu es le grand patron ici, Amigo.

C'est difficile de se salir les mains.

Tout comme ton p�re � la ferme, Lynch.

Nous �tions partenaires.
deux d'entre nous n�gres cueillaient le coton.

- De quoi parlent-ils?
- Ne t'en fais pas.

Cela fait longtemps que nous avons fait cela.
Tu te souviens?

Je me souviens de travailler juste devant moi.

Je regarderais tes fesses toute la journ�e.

Rafael!

De nos jours, il ferme davantage le paysage,
mais il reste beau.

Ne le fais pas devant les hommes!

Ils ne comprennent rien de ce que nous disons.
Regarde le.

Singes au grand nez.

Que fais-tu l�, en te grattant les fesses?

Je pensais que vous �tiez des soldats.

- Qu'est-ce qu'il dit?
- Tout �a a l'air de merde pour moi.

Est-ce votre odeur ou est-ce un b�uf?

Que se passe t-il

Avec l'ordre de l'ordre g�n�ral 100

...tout territoire ou pays occup� par l'ennemi...

...est soumis aux lois de la guerre
du pays envahisseur.

Ces lois de la guerre,
o� r�gne la situation de guerre

avec duret� dans les zones.

L'autorit� de la R�publique
des Philippines a �t�...

...malgr� l'invasion �trang�re.

Toutes les autorit�s locales
des villes et villages...

au camp r�volutionnaire le plus proche.

Les hommes qui ne peuvent pas r�sister
aux attaques de l'ennemi sur leurs maisons
et leurs emplois

qui se font des soldats

Pas en tant que guerriers,
mais en tant que bandits et meurtriers.

Les camps ennemis, zones de pause

des informations sur le mouvement
et la direction du voyage,

qui se portent volontaires
pour guider l'ennemi

et d�lib�r�ment trompeuse et
portant des v�tements locaux

ceux qui recueillent des informations
pour l'ennemi seront trait�s
comme des espions et pendus.

Et ceux qui refusent l'assistance
strat�gique aux forces r�volutionnaires

ils seront consid�r�s comme
des tra�tres et condamn�s � mort.

Par ordre du g�n�ral Emilio Aguinaldo,
pr�sident de la R�publique des Philippines.

Des copies de cette commande doivent
�tre secr�tement distribu�es
� tous les villages de la r�gion.

- A quoi sert ce puits?
- Les fant�mes blancs sont sales ici.

Ils ont �t� sur le terrain toute la journ�e.
Pourquoi ne sont-ils pas sales?

Parce qu'ils sont blancs.
Ils pissent dans cette fosse

et ensuite ils le recouvrent
d'herbe et de terre.

- Tu te moques de moi.
- Je te le dis bien.

Je les ai vus le faire.
- Comme par magie.

Et le gaspillage d'engrais.
- Peut-�tre.

Apr�s l'enterrement,
ils s'en vont habituellement.

Ce doit �tre s�r de travailler pour eux.

Je ne veux pas porter tes bombes.
Ou les bless�s.

- Qu'est-ce que tu veux porter?
- de la nourriture.

Ils se nourrissent mieux que
les hommes blancs aux cheveux noirs.

C'est vrai.

Et ils paient mieux que la merde � Manille.

Ceux qui sont ici sont pauvres,
ils n'ont pas d'argent pour payer.

Les Chinois ici sont tellement
pauvres qu'ils font leur propre travail.

- Une seule personne peut tomber aussi loin.
- en bas.

Bonsoir

Il dort d�j�! Mlle Dionisia.

Comment �a va, Jose?

Tr�s bonne qualit�.

Je regarde combien de coquille
il faut pour lui donner la bonne couleur.

�tes-vous s�r de ne pas tomber et mourir?

Presque parfait.

C'est presque du vinaigre.

Me laisseras-tu le vendre aux Am�ricains?

Personne n'a plus d'argent.

Peut-�tre devriez-vous commencer
par vendre un tuba de jour.

Ils ne sont pas habitu�s � nos boissons.
Nous ne voulons pas les rendre fous.

Je leur donne la r�sistance.

Un buveur de son doit �tre d�velopp� avec soin.

Comme un coq de combat.

Avant le combat, vous devez cirer.

C'est comme un m�lange de Philippins,
de Mexicains et de Chinois.

- Le cha�non manquant.
- Une course aride.

M�me ses chevaux sont faibles.

- Nous avons kidnapp� des Cubaines.
- La pute est la pute.

Ils ne sont pas. Emballeurs de tabac femmes.

Bo�tes � cigares.
- Tu es aveugle comme un �il aveugle.

- Peut-�tre que je vais essayer les filles locales.
- Tu finis comme Shanker.

Shanker a plong� dans le mauvais bassin.

Lorsque le journal aveugle est ivre,
vous ne pouvez rien redresser.

Est-ce que quelqu'un d'aveugle est ivre?
Beeno.

Ne plaisante pas.

Un vieil homme du village le fait.
Je pense que cela provient de feuilles de coco.

Si c'est de la pisse de bison. Donne moi �a.

Voir la saillie au bout du canon

et fermez les yeux, celui-ci � l'arri�re.

Ce sont ceux que vous voulez tuer

quand il est en ligne,
vous appuyez sur la g�chette.

- Et s'il court vers toi?
- S'il court vers toi

Crier des mal�dictions am�ricaines,

s'il est pr�t � vous abattre
comme un cochon, debout sur ses pieds

jusqu'� ce que les saillies
soient align�es, puis tirez

et laissez l'homme mourir.

- Sont-ils en train de crier quand ils attaquent?
- Ils ne sont pas humains.

Vous devriez porter une amulette forte avec vous,
une amulette pour vous prot�ger.

La vierge erre sur mon coeur.

Quand aurons-nous un fusil?

Locsin a d�j� quitt� le camp avec une machette

un fusil espagnol et un tas de couteaux

avec le sang des chinois.

Pourquoi d�teste-t-il autant les Chinois?
Il s'appelle chinois.

Vous avez r�pondu � votre question.

Il �tait un bandit avant la guerre.
Il avait un prix en t�te.

La r�volution br�le avec ce qu'elle nourrit.

Allez. Essayez.

Les fusils ne sont jamais charg�s dans le camp.

Sois patient, neveu.
Nous allons attaquer demain.

- Peut-�tre que nous n'avons pas � creuser.
- Je me fiche de creuser.

Apr�s la guerre
- Il empire.

Ils nous utilisent comme des �nes,
mais les �nes ne creusent pas
de trous pour les morts.

Les Am�ricains disent de ce c�ble,
comme des feuilles mortes

sur une rivi�re, d'ici � Manille.

Et bient�t les c�bles se r�pandront
sur toute l'�le.

Alors, qu'est-ce qu'il a � dire?

Ici sur le terrain, nous sommes ouverts.

Ils ne veulent pas que nous soyons
connect�s � la ligne principale.

Donc, tout ce que nous envoyons
ou recevons se fera par Santa Ana.

Tu dormiras � c�t�.

Et quand le message arrive
- �a fait un bruit.

- Assez pour te r�veiller?
- Comme un seau d'eau froide.

Si vous avez assez de terres,
vous dormez toute la journ�e,
d'autres personnes...

y travaille. Et ce gouvernement
oblige les gens � devenir des soldats,

vous payez quelqu'un d'autre
pour prendre votre place.

Mais si cet homme est assassin�,
son �me ne l�chera pas.

Mieux que de mourir toi-m�me.

Quand je rentre � la maison,
je vais acheter une terre.

Vous jouez beaucoup.
Vous jouez et vous perdez.

Mais un jour, j'aurai une chance.

Si je ne joue pas, sans argent
pour acheter des terres

ihtiyarlar�m.
- Tu n'as aucune chance.

Si votre chance change,
cela ne fait qu'empirer.

Calme-toi. Je rigole.

O� est-ce que tout le monde est all�?

- n�erlandais? N�erlandais, es-tu l�?
- Je suis all� sur la route.

C'est mauvais si �a pousse.
- Je suis venu parce que tu y es all�.

Est-il toujours l�?

- qui?
- Amigo avec le buffle d'eau.

Depuis combien de temps �tes-vous l�?

C'est assez loin ici.

- Je connais le chemin.
- Il le veut.

- Quelque chose?
- Je l'ai test� hier soir.

Mais vous ne pouvez pas
obtenir une r�ponse de Santa Ana.

La ligne doit �tre coup�e quelque part.

Allez avec ceci � la bosse de la route.

Si vous voyez les Am�ricains arriver,
tirez et courez.

Monsieur. Que vas-tu faire?

Les soldats ne posent pas de questions,
ils suivent les ordres.

D�placez-le!

Le lieutenant et le sergent sont
chez moi avec l'homme de radio.

Il y a quatre chez Telesforo
et quatre chez Nakpil.

Le t�l�gramme est-il attach�?

Quand je suis parti ce matin,
ils travaillaient dessus.

Que veux-tu de moi?
- Vous collectez des taxes.

Nous voulons dix sacs de
riz de chaque village.

Puisque tous les hommes sont partis,
nous nous rendons la t�che difficile.

- Des temps difficiles.
- Les Am�ricains aussi.

Ils diront que nous payons.
- Les vendras-tu?

Comment puis-je ne pas vendre?
Ils surveillent chacun de nos mouvements.

Pouvons-nous les laisser payer,
vous apporter l'argent?

- A quoi sert l'argent ici?
- Alors nous aurons du riz

nous le mettons dans l'entrep�t,
vous venez le voler.

Et nous avons �t� mis en
place par les Am�ricains.

Vous travaillez d�j� pour eux.

Donnez-moi un fusil et
je vous rejoindrai au combat.

Vous avez besoin de nous avec les Am�ricains.

Faire semblant d'�tre un ami de la r�volution.

Comment �a s'est pass�?

Les Am�ricains ne vont pas dormir ce soir.

Tu as fait quoi

- Je ne comprends pas ta logique.
- Vous avez vu une batterie, non?

Il y a un m�lange de sulfate de
cuivre au fond et de sulfate de zinc au sommet.

Arr�tez. J'ai dit que je ne comprenais pas,
je n'ai pas dit que je voulais.

Yati!

En deux, ramper.

Regardez vous-m�me.

Dieu.

Ne dites � personne qu'Amigo s'est
�chapp� sous ma surveillance.

Nous les avons trouv�s � trois
kilom�tres au sud.

Nous avons connect� la ligne,
mais ils la coupent � tout moment.

Murderers.

Demandez-lui ce qu'il savait � ce sujet.

Ben non!

Je suis Amigo.
Je ne tuerai pas les Chinois.

- Qu'est-ce qu'il dit?
- C'est un menteur.

- Qu'est-ce qu'il dit?
- �a n'a rien � voir avec �a.

Dites-lui d'aider � les enterrer.
Vous avez une c�r�monie.

Ces gars sont irr�ligieux.
Que puis-je faire pour eux?

Inventer quelque chose.

Whatley!
- Oui monsieur.

Votre prochain puits sera le v�tre,
Amigo.

- Long message.
- Termes militaires, monsieur.

- Que disent-ils?
- Ils disent que nous devons garder notre position.

Es-tu bless�, Rafael?

J'en ai marre de creuser.

Les Am�ricains ont besoin de vous pour
g�rer le village, pas pour faire la f�te.

Je parlerai au p�re Hidalgo

L�chez cette personne.

Il suffit de parler � Dieu.
Et ayez piti� de notre fils.

Mercy pour quoi?

Pour ce qui est arriv� aux hommes chinois.

Nous sommes entour�s!

D�gage! D�gage! Tout le monde recule!

Arr�tez le feu! Arr�tez de tirer
jusqu'� voir leurs visages!

Tout le monde compte.

- J'ai trouv� ton fusil!
- Aide-nous � bouger.

- O� a-t-il �t� abattu?
- Je ne sais pas, aide-moi � le d�placer!

Laisse moi voir. S'il vous pla�t.

Ils l'ont tu�! Ils ont tu� ma fille.

�tends-toi ici, Trini,
laisse-moi voir o� il est bless�.

Ils l'ont tu�!

- C'est par derri�re.
- Les n�tres ou les leurs?

Mauser bless�.
Les n�tres font un plus grand trou.

Reste avec lui.

Aling Rosaria est toujours l�!
D�p�che-toi! Nous pouvons sauver le reste.

- Est-ce s�curitaire?
- A quoi �a ressemble?

Elle s'appelle Esperanza Banaag.

Son p�re �tait avec les insurg�s,
tu� il y a quatre ans.

Tu as tu� ma fille!

Eulalio, notre camarade, ..

en tant que fils de cette nation,
vous avez donn� votre vie.

Et Dieu, Dieu,
qui sort de la bouche des moines,

mais Dieu, qui r�gne sur nous tous

le tiendra dans ses bras mis�ricordieux.
Amen.

Tu devrais �tre un pr�dicateur, Simon.

Je l'ai lu pour �tre.

Si quelqu'un, un homme,
tue un autre homme pendant la guerre

est-ce un p�ch�?
- Le meurtre est un p�ch�.

Mais P�re, tu b�nis tous les guerriers

avant que je parte et tue.

Si quelqu'un se bat pour une cause sacr�e,
il n'y a pas de p�ch�.

Comment savons-nous que la cause est sacr�e?

Les chr�tiens ont toujours raison
lorsqu'ils combattent des non-chr�tiens.

Eh bien, si les deux camps qui se battent
sont chr�tiens, mais les assassin�s

pas les gars?
- Si vous, ..

si vous parlez d'insurg�s,
ils vont tous en enfer.

Mais p�re

Tu parles d'�mes perdues, mon enfant.

Ne gaspillez pas vos pri�res.

Essuyez cette personne de votre coeur.

Belle maison.

Tout le monde parle de chasser
les rebelles sales � Cuba.

Mon ami Tom et moi avons �t� enregistr�s,
mais il est tomb� malade dans
un camp � San Francisco.

Ils ne l'ont pas mise sur le bateau.
Ou ce serait un voyage mis�rable.

Trois lits superpos�s dans une rang�e.
Et c'�tait la nourriture qu'ils ont donn�e.

Si nous n'avions pas arr�t� � Hawaii

Avez-vous d�j� �t� � Hawaii?

Bien s�r que non.

Tu es bizarre, donc pour l'un d'entre vous.

Vous ne savez pas de quoi je parle, n'est-ce pas?

Les filles hawa�ennes �taient belles,
la peau sombre comme vous,
peut-�tre un peu plus sombre.

Mais ils �taient vraiment gentils.

Plusieurs fois, j'aurais aim�
rester � la maison � Lubbock.

Le petit homme qui poss�de cet endroit
est tr�s populaire aupr�s
de son propre gouvernement.

Nous l'avons envoy� � Guam.

Colonne avec poutre.

Le toit repose parfaitement
sur les appuis d'angle,

donc il n'y a pas de fardeau sur les murs.
Tremblement de terre ville natale.

- Quel �tait ton quartier?
- San Isidro.

- Deuxi�me zone.
- Oui monsieur.

- Les Indiens faisaient-ils des affaires?
- Ils attaquent g�n�ralement la nuit.

Ils coupaient leurs fils de t�l�grammes
une fois par semaine.
- Ils ont tu� nos travailleurs, monsieur.

Quand on s'empare d'une ville,
si on n'�tablit pas de garnison,
le lendemain

ils continuent.
Quand la garnison s'installe,
ils s'installent dans la for�t.

Il est difficile de faire la distinction
entre les Indiens et les Indiens, monsieur.

Le g�n�ral MacArthur, prenant la rel�ve

et il veut que nous suivions
le commandement g�n�ral 100.

Les gants sortent, messieurs.

Apr�s cela, viens si facilement,
tu ne partiras pas.
Prenez la population sous contr�le

nous isolerons les rebelles � la campagne.
- Contr�le, monsieur?

Sans le soutien des humains,
les bandits meurent de faim.

Nous simplifions les choses pour eux

ou sous contr�le am�ricain,
sous contr�le am�ricain

ou arm� ou non arm�, vous �tes un ennemi.

Il n'y aura pas de passage entre
les villages sans les papiers de
transmission s�curis�s n�cessaires.

Les exigences en mati�re de transport
et de sant� seront satisfaites
par les commandants de garnison.

Apr�s le coucher du soleil,
le couvre-feu viendra,

ceux qui ne correspondent
pas seront tir�s.

Nous en avons fini avec les carottes,
messieurs

maintenant c'est la chauve-souris.

Et maintenant?

S'il ne pleut pas, je me tire une balle.

Allez-y.

Je vois.

- R�v�rend.
- Oh merde!

Tu ne peux pas jouer.
- quoi?

Au moins jusqu'� ce que vous me
payiez ce que vous me devez.
Donc je pourrais

Je peux effacer le sourire sur
le visage de cet enfoir� de radio.

Qu'est-ce que je vais faire si
je ne peux pas jouer?

Le plan de suicide �tait bien.

Utilisez mon fusil. Le canon
contenait une toile d'araign�e.

Fiert�. Toutes les g�n�rations de Dacanay

le p�ch� d'orgueil. C'est ce
que Nenong appelle la maladie.

Mais je ne peux pas ouvrir la bouche
� ma s�ur � ce sujet

La raison pour laquelle il ne s'entendait
pas avec les Am�ricains

prendre les terres de leur
famille et nous les donner.

C'est la d�mocratie, m'a dit Nenong,
qui est le prochain?

Tu m'as fait peur en venant si doucement.

C'est pour toi.

C'est quoi ce caf�?

Une sorte de soupe.

Il fait chaud

Tu as fait �a pour moi?

C'est charmant.

Ce n'est pas �pic�, n'est-ce pas?

Comme tes yeux sont bleus.

C'est bien.

J'aime les �pices dans ce que je mange,
mais certains des plats que vous mangez

Ils disent que les fant�mes sont blancs
et ont les yeux bleus,

mais vous n'�tes pas un fant�me.
Peut-�tre que tu l'es.

Si le sergent Runnels vous attrape ici,
ils me cloueront la t�te au mur, mais

Je m'en fiche.

Je suis d�sol�,
nous avons abattu tous vos buffles.

O� �tais-tu?

C'est comme si j'avais entendu
Josefa arriver.

Votre soeur gagne
quand elle joue aux cartes,

et quand il gagne,
les autres ne mentent pas avant.

Peut-�tre que c'�tait Nenong.

Nenong est en train de sucer une b�te.

Il veut une place au premier rang au paradis.

Nenong est un homme plus
compliqu� que vous ne le pensez.

Mon fr�re, depuis qu'il a pass�
Nenong � l'examen du minist�re

il nous d�teste.
- La jalousie n'est pas de la haine.

Il bat ta soeur.

Ivre juste.

Et le p�re Hidalgo l'a sauv� de cela.

Il ne boit plus parce que j'ai dit
� Jos� de ne pas lui vendre de boissons.

Vous l'avez fait?

Je ferai la m�me chose
pour chaque femme du village.

Joaquinito est sorti.
Il fait froid, humide et affam�.

Jusqu'� pr�sent,
ils se sont retir�s dans les grottes.

Les plus grands supporters.

Quand les Am�ricains veulent
que quelque chose soit fait,

ils vont � lui en premier.
- Mais ils le forcent.

Ils donnent des ordres, il saute.
Et les autres

notre peuple, comme lui,
a commenc� � le faire.

Simon

vous perdez des gens
dans le village.

Si vous voulez faire quelque chose,
donnez un exemple--

Joaquinito!

Va prendre la place d'Eloy.

- comment
- Il ne se plaint jamais.

Je suis le suivant.

- Pourquoi parlent-ils?
- De mon p�re.

S'il est vraiment un collaborateur

Il dit aux Am�ricains qui peuvent
et ne peuvent pas acheter la nourriture.

Quand ils ont tendu le fil barbel�,
il a tir� le premier pieu.

Tous les jours � leur si�ge

Il voit ses t�l�grammes.

At-il d�j� partag� cette
information avec vous?

Selon nos ordres, nous ne pouvons
pas avoir piti� des collaborateurs.

C'est mon fr�re.

Nous ne nous attendons pas
� ce que vous le fassiez.

Tu es trop tard, Saturnino.

Y a-t-il un probl�me?

Parlez-moi encore de l'arm�e de Dieu.

RTA mise en page.

Vous savez que nous sommes en
guerre et pendant la guerre

nous devons faire des choses,
des choses qui

Que dites-vous, mon oncle?

Qu'est-ce que tu �cris?

- compte.
- Quel compte?

Les Am�ricains nous devaient.

Ce qu'ils ont pris, ce qu'ils ont pris.

Pourquoi?

Pour leur offrir quand ils sont vaincus.

- Et s'ils sont invincibles?
- Alors c'est leur pays

et nous sommes des citoyens,
ils doivent donc nous payer.

Quand la mousson arrive,
votre mari a perdu la raison.

Mon mari n'a pas besoin
de pluie pour devenir fou.

Je n'ai pas besoin de ton aide
pour aller aux toilettes, fiston.

Vous avez perdu les escaliers
et �tes tomb� dans l'eau.

Je viens de la famille de colons
tr�s prosp�res.

- Le lieutenant te veut.
- pourquoi

Qui sait?

Les Am�ricains n'expliquent pas,
ils ne font que donner des ordres.

"Je le veux, Amigo."

Avant d'aller au lit,
nous allons investir dans le lit.

Mon Dieu, tu es d�sastreux
si tu bois tout ce tuba.

Baisse ton pantalon.
- Le sol n'est pas debout.

Drop dans le foss�, se noient.

Gil, prend ma main.

Il y a quelqu'un dans le camp

Gil!

Arr�tez l�!

Ne bouge pas!

Tout le monde en garde. Alarme!

C'est qui?
- Qu'est-ce que �a faisait?

D'apr�s ce que je vois,
il dirigeait l'autre homme vers vous,
lieutenant.

Un homme avec une machette?

Peut-�tre que c'est le guindeau
laiss� dans les bois.

- Remets-le en prison.
- Oui monsieur.

Viens.

- Faites entrer le reste des gens.
- Oui monsieur.

- Lynch!
- Je le fais, sergent.

Allez, allons-y. Allons-y.

Quelqu'un a �t� abattu.

Que s'est-il pass�?

- Ils ont tu� Locsin.
- Et le pr�sident?

- Ils l'ont mis en prison.
- Fin de l'histoire.

Ce sont dispersant.

Cinq semaines de pluie?

Pourquoi plus de gens dans
ce pays ne sont-ils pas fous?

Qui a dit que non?

Rafael. �tes-vous r�veill�?

Tu ne m'as pas oubli�

- Ne sois pas stupide
- Perla a-t-elle eu son b�b�?

Pas encore. Le b�b� ne veut pas sortir.

Moi aussi

Yankees chez nous, cuisinant
dans des bo�tes de conserve.

J'ai demand� au p�re Hidalgo
de parler au lieutenant.

Eh bien, qu'a-t-il dit?

La douleur est bonne pour l'�me,
a-t-il d�clar�.

Je ne comprends pas, pourquoi ne
choisissez-vous pas quelqu'un
comme vous l'avez d�j� fait?

Comme Saturnino.

Il est aussi bon que les autres.

Le but est de les habituer
� la d�mocratie.

Ce sont des enfants.

Et les enfants, ils doivent
apprendre ce qui est bon pour eux.

Dans votre arm�e, les officiers
sont-ils choisis?

La commande vient d'en haut.
Les votes auront lieu.

Il y aura des �lections dans
les municipalit�s, villes et villages, ..

tous les citoyens de sexe
masculin de plus de 21 ans

est �ligible pour courir et voter.

C'est ce que dit le lieutenant.
- C'est quoi ce genre de tour?

Qu'est-ce qu'il demande?

Ils ne sont pas s�rs que leurs
pr�f�rences seront accept�es.

Dites-leur qu'en Am�rique,
la volont� des gens est sacr�e.

Il dit de voter avec votre conscience.

Combien de personnes ont plus de 21 ans?

Qui a plus de 21 ans?

- pas beaucoup.
- Finissons-en.

- Laissez les femmes voter.
- Ne sois pas ridicule.

Je parie trois contre un,
ils vont choisir William Jennings Bryant.

- On compte � l'�glise.
- Comptons ici.

OK.

Un spectacle �tonnant d'hommes illettr�s.

- Est-ce que c'est ce que je pense?
- Tu vois �a maintenant?

Vous allez vous cogner devant eux.

La volont� des gens est sacr�e.

Sors.

- Ils sont venus me tirer dessus?
- Il y a eu un vote.

Vous avez �t� r��lu.

- Voter?
- Am�ricains.

J'�tais tr�s inquiet.

- Quel mois du jour?
- Treize.

Nous avons beaucoup � faire.

Nous ne pouvons pas le laisser
transmettre la maladie � tout le monde.

Ne peut-il pas rester
o� il est maintenant?

Dis lui.

- Elle tousse. Tuberculose?

Oui, �a.

Dacanay demande la permission
de reconstruire sa maison.

Dis-moi, s'il nous prot�geait
comme il l'avait promis

tu n'aurais pas � le faire.
- Ne manque pas de respect.

Demander qui?

Laissons nos enfants aider.
- Oui monsieur.

Entre ici et Manille,
j'en ai br�l� des centaines.

Je n'aurais jamais pens� le planter.

Je ne savais pas que ces
petits singes feraient �a.

Ce sont des gens tr�s intelligents.

Ils sourient m�me quand ils travaillent.
- Ce n'est pas une mauvaise chose.

Vous ne devriez pas oublier ce
qui se cache derri�re ce sourire.

- Parlez-lui de San Isidro.
- Pas de manque de respect.

- Demande moi!
- Que veut-il?

Il est de coutume de c�l�brer
avec la f�te le jour du saint,
qui porte le nom de notre village.

Une f�te

Partiellement religieux, partiellement immoral,
comme tout le reste dans ce pays pauvre.

Il serait peut-�tre bon
de laisser les gens s'amuser.

Montrez-leur vos affaires.

Le batteur venait nous voir une fois par mois.
Le magasin vendait des produits, lamp oil

- Qu'est-ce que tu crois que c'est?
- Ne touche pas �a.

Il a attendu toute la journ�e
dans le noir pour aujourd'hui.

Ce serait irrespectueux de le d�cevoir.

- Qu'est-ce que c'est?
- Santa Clara

- Ils disent que nous pouvons abandonner.
- Ils mentent.

- C'est tout ce qu'ils m'ont donn�.
- � qui as-tu parl�?

Valentin. Il a entendu le
g�n�ral Aguinaldo s'�chapper � nouveau.

- C'est bon.
- Les Am�ricains

S'ils nous disent o� nous sommes.

Valentin ne sait pas o� nous sommes!

Un train arrive � Santa Clara
avec une cargaison.

Aujourd'hui?

Je ne sais pas si �a va,
mais je les ai vus vendre

et j'ai pens� que cela vous conviendrait.

Pour vous Prenez-le.

Pouvez-vous le porter? Le portez vous?

N'est-ce pas trop risqu�?
Vos parents sont probablement tr�s en col�re.

Merci C'est beau

Regarde, je viens

donc je sais que ce n'est
pas devant tout le monde.

Je vais rester pr�s de toi, d'accord?

Si je vous ennuie,
vous me dites de sortir.
- Sors.

J'ai bu de la bi�re de p�che,
de la bi�re de pomme, du ma�s,
de la canne � sucre

mais ce tuba est terrifiant.

C'est tr�s puissant. Allez retenu.

Quoi que tu dises, Joe.
Envoyez-le simplement.

Qui est saoul, toi ou ce poulet?

Ce n'est pas du poulet, mon vieux,

La mort elle-m�me, � plumes.

Ma vengeance. Ma vengeance.
Regarde bien, ..

la couche que tu tueras demain.

Pas une mauvaise m�lodie.

Nos soldats partent en guerre avec ce morceau.

- C'est gentil de leur voler �a pour toi.
- Ils sont super imitateurs.

Et ils aiment une m�lodie--

Bien s�r que ce sera d�licieux,
j'ai nourri votre cochon avec tous mes produits.

Puis-je avoir du riz?

Non, non! Pas de sauce sur le barbecue!
D'o� venez-vous, mec?

- Caroline du Sud.
- Roger �a.

Salut, comment vas-tu?

C'est qui?

Le cou a grandi de dix centim�tres
quand j'�tais � l'int�rieur.

Aucun feu d'artifice?

Cela d�range les Am�ricains.
Peut-�tre l'ann�e prochaine.

La d�mocratie n'�tait pas si mauvaise.

Pas mal.

Si les Am�ricains s'en vont,
j'aimerais bien essayer.

- O� ont-ils appris �a?
- Comme je l'ai dit, imitateurs r�ussis.

Vous devez vous lever.

- Pourquoi enl�vent-ils leurs chapeaux?
- Ils pensent que c'est votre hymne national.

Vous �tes en �tat d'�bri�t�.

Je ne suis pas de service, sergent.

Il est dix heures et vous
avez une montre � l'entr�e sud.

Il n'y a pas de bandits l�-bas.

Si je te surprends en train de
dormir, tu te r�veilles en prison.

En K�p�r.

Je reprends toutes les bonnes
choses que j'ai dites pour vous.

Je priais San Isidro de m'envoyer un ange.

Marcher dans la boue jusqu'au genou.
- Oui, bien s�r.

Comment cela se peut-il quand le b�uf
est fatigu�, c'est ce que j'�tais.

La chose est

quand vous �tes responsable
de beaucoup de gens

les ordres d'un c�t�,
les gens de l'autre.

Leurs vies.

Vous ne savez pas de quoi je parle,
n'est-ce pas?

Peut-�tre que vous savez. Belle f�te.

Qu'a-t-il dit?

C'est de l'argent mexicain,
utilis� par les Espagnols.

Mais deux d'entre eux sont un or

gagner de l'argent am�ricain.

Je me souviens quand j'�tais petit

combien j'�tais fier de mon
grand-p�re en tant que pr�sident.

Et puis mon p�re.

Mais Simon a toujours
eu de grandes passions.

Il voulait �tre l'archev�que de Manille.

Vraiment?

Il m'a fait jurer de garder le secret.

Et maintenant, un voyou dans les montagnes.

S'il est un bandit, notre fils l'est aussi.

Que Dieu b�nisse les deux.

Tout ce que je voulais,
c'�tait �tre pr�sident de ce village.

Vous �tes un homme chanceux.

Bonne chance m'inqui�te.

Bon sang.

� votre poste de garde!

Vous �tes de retour t�t, monsieur.

Il y a un garde sur le dos qui
br�lera si vous lancez une allumette.

C'est quoi tout �a?
- Festival.

- Le Saint des Ouvriers, Saint Isidro
- Je vois que vous �tes � l'aise ici.

C'est assez calme, monsieur.
Pas de conflit, pas de vol.

Ils attaquent San Juan une fois par semaine.
Ils ont br�l� la moiti� de Rosario.

Les deux villages ont une
garnison deux fois plus grande.

Pourquoi pensez-vous que c'est arriv�?

Nous avons essay� de comprendre
les gens, monsieur, nous

Parce que les insurg�s ont
des hommes � l'int�rieur.

Il leur donne de la nourriture
et des informations.

Nous recevons un t�l�gramme une
fois par semaine, parfois
ils ne savent pas quoi

Hier, un train de mat�riel a �t�
attaqu� au sud de Santa Clara!

Ils ont tu� le chauffeur,
poursuivi les �nes et jusqu'� l'arriv�e
d'une �quipe de Macapal,

ils ont ligot� tout le monde
et vous organisez une f�te pour les indig�nes!

Qu'est-il arriv� au pr�sident?

Juste l�-bas, monsieur.

Je parie une bouteille de bourbon
que ce singe sait o� ils se cachent.

Chef! Zuniga!

Tu sais quoi faire.

Une fois de plus

Assez.

Gastric.

�tes-vous pr�t � parler?

Une garnison autour du monde

quand il n'y a pas grand chose
� faire, vos comp�tences militaires
vont devenir aveugles.

J'ai pass� cinq ans dans un camp indien,

j'ai vu mes hommes se transformer
en ivrognes courir apr�s des femmes.

Une petite chasse au lapin
est bonne pour vous.

Des nouvelles?

- O� est Creighton, bon sang!
- Il a avou� le gars.

Il savait o� se cachaient les insurg�s.

- Tu es toujours l�.
- �a l'est.

Vous pensez qu'il dit la v�rit�?

J'ai entendu beaucoup d'hommes confesser,
colonel.

Mais il les torturait pour leurs propres p�ch�s.

Rafael!

Rafael!

Que lui as-tu fait?

Que lui as-tu fait?

Dit.

Je ferai ce que tu veux.

Ce n'est pas une torture, mon p�re.

Cinq minutes � pied, c'est mieux qu'avant.

Tu penses qu'il va trahir son fr�re?

S'il ne le fait pas,
les Am�ricains le tueront.

Et ensuite, ils reviendront
et nous tueront tous.

- Alors que devrions-nous faire?
- Assistez au rituel.

Priez pour son �me, puis

continue � faire ce que
tu fais chaque dimanche.

Ensuite, nous nous en tenons � notre date.

- L�ve-toi.
- Je dois me reposer.

L�ve-toi ou je te tire dessus!

Vous me tirez dessus,
vous ne les trouverez jamais.

Quel est le probl�me?

Ce chien ne chasse pas.

- Peut-�tre qu'il a soif.
- Il en a assez ce matin.

Il a besoin d'un coup de feu.

J'esp�rais faire �a.

Par ici

Il est pr�f�rable d'avaler comme m�dicament,
plut�t que de go�ter ce plat.

- Il s'occupe de nous.
- quelques jours

Quand Aguinaldo revient--

Quand Aguinaldo reviendra,
il sera dans un chariot en or.

J�sus d'un c�t� et Jos� Rizal de l'autre.

- Vous avez du mal.
- viande d'�ne.

P�re!

- Que s'est-il pass�?
- Nous avons �t� trahis!

O� nous emm�nes-tu maintenant?

Les Am�ricains sont trop gros
pour ce pays, si vous les escaladez

transpirer, l�chez-vous.
Donc, vous vous cachiez ici.

Si c'est le num�ro un,
tu vas mourir loin de chez toi.

Ceci est la propri�t�
du gouvernement, soldat.

Ensuite, le gouvernement
devrait venir le chercher.

Il ne faut rien faire d'autre
que dormir dans cette chaleur.

Les bandits le font en ce moment,
au bord d'un courant froid, dans leurs hamacs.

- On y va?
- non

Nous n'allons nulle part toute la journ�e.
- Tu le penses?

Ce petit Amigo ne peut
m�me pas marcher sur un chemin.

Les hommes l'ont bien entra�n�.

Il nous jouera quand il
aura sa premi�re chance.

Et ce sera la meilleure chose
qui nous soit arriv�e aujourd'hui.

Nous sommes de tr�s bons amis, Jose,
�a me rend tr�s triste, mais

ta queue de sac � puces existe
depuis si longtemps

casseroles.

Ils sont rest�s ici.

Ils ont d� nous voir arriver.

- C'est leur endroit secret.
- C'est tout ce qu'il dit.

On fait le tour, bon sang.

M�me s'ils sont rest�s ici,
c'�tait il y a longtemps.

Et m�me s'il y a quelqu'un ici,
s'il n'est pas aveugle

il nous a vu venir.

Votre fr�re ne les am�nera pas
dans notre camp.

Peut-�tre.

Emmenez-le quelque part,
il dit qu'ils sont partis.

De toute fa�on,
ils reviendront � San Isidro.

Terre de r�ves,
paisible Philippines

Les habitants errent jour et nuit

Les soldats am�ricains meurent,
vol�s et couch�s

Ensuite, vous entendez les soldats dire que

Des insurg�s philippins aux yeux louches

Entra�nons-les sous le drapeau
�toil� avec un b�ton

Alors rentrons heureux � la maison

Ce n'est pas juste le village.

Je suis ici sous le soleil,
mes genoux ne tiennent pas.

- la diarrh�e?
- Il est l� depuis Manille.

C'est une chose tr�s diff�rente.

C'est pourquoi Shanker a �t� renvoy�

- Sors de l�!
- Je ne peux pas bouger.

Ils n'ont pas de munitions pour continuer.

Pr�parez les ba�onnettes pour attaquer.

Nous sortons avec la marque du
lieutenant et les d�truisons tous!

Pr�t! Offense!

Eloy!

N�erlandais?

O� ai-je �t� abattu?
Je ne ressens rien.

Ne vous inqui�tez pas.
Ne vous inqui�tez pas.

Joaquinito!

Joaquinito

Bon sang!

Laissez-les partir.

Colonel, ces hommes ont
des familles de ce village.

Ensuite, demandez-leur de bien regarder.

- Ont-ils tu� notre fils?
- Il est en vie.

Colonel?

�a marche. Obtenez quelqu'un dessus.

Monsieur, il nous a peut-�tre promen�s
toute la journ�e, mais le raid

Nous en avons perdu trois aujourd'hui,
lieutenant.

Notre guide et deux enfants am�ricains.
Et nous n'avons tu� que cinq ennemis.

Si on laisse ces singes partir comme �a,
ils n'abandonnent jamais.

Je dois vivre avec ces personnes.

Non, lieutenant.
Vous devez combattre ces personnes.

Laissez les c�urs saignants
gu�rir apr�s notre d�part.

- Comment �a va, mon fils?
- Je ne peux pas sentir ma taille.

Vous avez une balle dans la hanche,
elle est sortie nette, mais elle a d�
endommager la moelle �pini�re.

Pourriez-vous le faire taire?

- Les gars, ils disent qu'il se bloque.
- � la maison.

Nous avons accroch� un n�gre
qui a poignard� un homme blanc.

Alors cet honneur est � vous.

Rafael!

Rafael Dacanay!

Oui, mon p�re.

Ils vous ont condamn� � mort.

Je suis vraiment d�sol�
que cela soit arriv�.

Pour chacun de nous qui est mort,
deux d'entre eux doivent mourir.

Cinq personnes sont mortes aujourd'hui.
Votre propre fils

Nous allons nous battre
jusqu'au dernier homme!

Et si les villages tombent
entre les mains des Am�ricains,

nous les br�lerons!

J'ai besoin d'un volontaire.

Qui sera volontaire?

Je vais le faire

Je vais prendre soin de lui.

Matin. Les deux avec des fusils.

Il s'est bien battu.

Les poulets sont plus nobles
que les humains. Ils n'abandonnent jamais.

Il est tr�s important que
vous �coutiez votre conscience.

Peu de gens ont cette chance

...la chance de se racheter de leurs p�ch�s...

juste avant sa mort.

Je suis un homme chanceux,
comme dit ma femme.

Pas de regrets?

Je suis d�sol� de ne pouvoir
les emp�cher de d�truire nos champs.

Quand les Am�ricains partiront,
notre peuple mourra de faim.

P�re?

Ils ont dit que nous pourrions
la faire habiller.

On ne va pas gagner, n'est-ce pas?

Nous avons � peine �chapp� � Cavite en 96.

Cette fois, nous nous sommes
r�pandus dans toute l'�le et

nous nous sommes tenus sur
les murs de Manille. � vous de jouer
ensuite les jeunes.

- Laisse-les tranquilles, Nenong.
- M. Saturnino.

Vous m'appelez M. Saturnino
� partir de maintenant!

- Des nouvelles de Manille?
- La premi�re chose que j'ai regard�e �tait propre.

Reste avec lui.

- Si le colonel d�couvre
- Il ne le fera pas.

- Amigo nous a tra�n�s au raid, monsieur.
- Peut-�tre.

Ils ne peuvent pas nous battre.
Je ne sais pas pourquoi ils essaient.

C'est leur pays, monsieur.

Lieutenant, je dois vous faire
savoir que je dois partir.

Apr�s tout, je suis espagnol.
Vivre sous les ordres des autres

Avant de partir, mettez
vos v�tements de c�r�monie

et fais ce que tu dois faire pour Amigo.

C'est le pr�sident maintenant.
Dis-lui de surveiller son pas.

Je t'ai apport� �a.

Je pensais que je te surprendrais dormir.

Je pensais que tu �tais d�j�
de retour en Am�rique.

- Ils ont dit que je me remettais?
- Est-ce que ta taille s'est refroidie?

C'est plus gros que lorsque
nous avons attrap� Aguinaldo.

- Tu te moques de moi.
- Je viens de recevoir un t�l�gramme de Manille.

Nous avons Aggy? Waouh!

Il a demand� � nos petits
amis marron de quitter le jeu.

MacArthur a publi� une amnistie,
lib�rant les prisonniers.

Chaque assureur qui veut partir
recevra 30 pesos en �change de ses armes.

Ils peuvent prendre le mien. C�l�brons.

Vous voila
- J'aurais des lunettes juste l�.

Si tu avoues ou t'excuses

P�re peut te sauver.
- Avouez quoi?

- Que tu as aid� ton fr�re.
- mon fr�re

qui a envoy� un homme pour me tuer?

J'ai �t� maudit quand
les Am�ricains sont venus.

Peu importe ce que j'ai fait,
�a finirait comme �a.

Quand tu vois Joaquinito

dis moi c'est vrai.
Suivez votre coeur

Comment les deux c�t�s peuvent-ils avoir raison?

Je ne peux pas croire que
je ne peux plus �tre avec vous!

J'ai accroch� des Apaches dans le pays.
Ils pensent que c'est une mort tr�s humiliante.

Donnez l'exemple aux autres.
Avec ces gens, qui sait.

Allez, commen�ons le spectacle.

Nous devons abaisser les m�ts,
mais nous avons des patrouilles de cavaliers.

Je peux monter.

La loi militaire sugg�re la
destruction directe d'ennemis arm�s.

Les gens arm�s contre les autres
ont perdu leur valeur morale

l'un contre l'autre et contre Dieu.

La guerre est une d�ception,
mais elle n'accepte pas la trahison.

Et puisque le pays occup�
doit ob�ir au gouvernement victorieux

Rafael Dacanay, pr�sident de San Isidro

� mort.

Tu n'aimes pas �a ici.
Vous devriez voir San Isidro.

- Dernier combat.
- Quelqu'un est mort?

Quelques uns des deux c�t�s.
Ils ne nous ont pas donn� de noms.

Ils pendent un indig�ne.
Mais maintenant, ce message est arriv�.

Bon sang! Je pense que je devrais
envoyer cette bonne nouvelle tout de suite.

J'appellerais �a une esquive pas ch�re.

Dieu nous pardonne.

J'�tais juste dans la foule.
Je n'ai pas attach� la corde.

Six mois plus tard

Jeter votre signature ou signe.

Jeter votre signature ou signe.

Cette chose fonctionne.

C'est ton jour de chance, amigo.