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c'est un grand plaisir d'être à nouveau
dans des rayons qui ne sont pas

par écran interposé,
qui ne sont pas en zoom,

qui ne sont pas optimistes,
qui ne sont pas en visioconférences.

C'est une grande chance de pouvoir être là

et retrouver une partie de la communauté

des bitcoins en de la communauté
des mineurs, la communauté

aussi des investisseurs dans ce domaine,

Et c'est un grand jour aujourd'hui

et donc je suis ravi

d'avoir à prendre la parole pour
pour célébrer ça avec vous aujourd'hui.

Donc je suis portugaise.

Je suis le patron d'une banque d'affaires
qui s'appelle la Volta, qui agit beaucoup

dans le domaine des de la techno
mais aussi dans le domaine de blockchain.

On a fait pas mal de deal dans ce domaine.

C'est un sujet
qu'on connaît depuis quelques années déjà.

J'ai commencé en 2013.

En 2014, on a fait notre premier
deal blockchain en 2014.

On est à la banque d'affaires de Paymium.

Pour les anciens,
ça rappelle des souvenirs et

on a continué.

Et en tous les cas,

aujourd'hui, on va parler

de crypto mining.

Je crois qu'on va surtout parler d'énergie

parce que c'est pas

le cœur, le cœur.

La matière première de ce mining,
c'est véritablement l'énergie.

Et Sébastien et Adrien, aujourd'hui, vont

exposer leur projet

à cette communauté d'investisseurs

et expliquer à quel point l'énergie
et la matière

première de ce processus.

Alors on va demander à la technique
de passer

à la vidéo

du du

du super

bois.

Si on était aux Etats-Unis,
on aurait fait un rond

C'est passé à la mode
et on va le faire en français, on va dire.

Chère Abbie, on est ravi d'avoir sur scène
aujourd'hui le power du bitcoin.

Si on peut l'appeler comme ça, Sébastien

Guyot, qui va nous présenter PPS

merci, merci Philippe.

Merci d'être là parce que c'est
comme l'a dit Philippe, c'est une étape

hyper importante pour nous.

Ça fait trois ans qu'on prépare ce moment.

Ça fait un peu plus de cinq ans
qu'on a démarré nos activités

avec mes associés
Jean-François, Adrien, Thomas

et toutes les personnes
qui nous ont rejoints depuis.

Et le petit film que vous avez vu ?

C'est cinq ans d'expérience.

Nos premières fermes
à Pau, à Odessa, à Nantes.

Et puis après notre exode
vers la Sibérie, Irkoutsk

et puis Alma au Kazakhstan.

C'est un métier
dans lequel tout va très vite.

On a l'habitude

de dire que dans le bitcoin,
tout va dix fois plus vite qu'ailleurs.

Et c'est vrai qu'on a pris un petit coup
de vieux dans ces cinq années.

Le mining professionnel
existe depuis un peu plus de neuf ans.

Nous, ça fait cinq ans qu'on fait ça.

Donc on a connu plein de choses
dans ce métier là.

On fait partie
des mineurs les plus expérimentés.

Effectivement, Philippe l'a souligné,
mais c'est la réalité.

Beaucoup de grosses boîtes de mining
ont moins d'expertise

et moins d'expérience
que nous avons démarré.

Après, nous en tout cas.

Donc nous, on a avancé petit à petit,
d'abord en France, puis à l'étranger.

Et on est parti
d'un besoin d'aller trouver des mégawatts.

Et ce besoin s'est transformé
en certitudes, en conviction

que le mining allait devenir vert et 100 %
vers nous.

C'est notre idée.

On pense qu'à un horizon de 3 à 5 ans,

on aura au -80 à 85 % de mining
qui sera devenu green.

Donc sur de sur de l'extra
capacités du renouvelable.

Et c'est cette conviction qui nous a fait
chercher partout autour du monde

pendant des années ces fameux mégawatts.

Et donc on cherchait des centrales
en extra capacités,

une centrale en extra capacités.

C'est par exemple une centrale
hydroélectrique qui fait 30 mégawatts.

Donc trois turbines de dix mégawatts
chacune de puissance installée.

Et on constate qu'il y en a qu'une
qui tourne la plupart du temps.

La deuxième va servir

quand la première est en maintenance
et la troisième n'a jamais servi.

Enfin, c'est pas exactement comme ça

parce que les turbines et les font tourner
pour caser une usure équilibrée.

Mais la situation économique est là.

Et des centrales comme ça,
c'était notre objectif de les trouver.

Et on a cherché partout,
sur quatre continents.

Et ça ne paraît pas évident.

Beaucoup de gens nous disent
Mais ça existe pas votre recherche ?

l'Extra capacité, c'est non.

Quand on crée une centrale électrique,
c'est qu'on

a un besoin et le besoin est toujours
l'offre, toujours adaptée à la demande.

Ce n'est pas du tout
comme ça que ça se passe en vrai.

Il y a des centrales énormes
qui se créent, qui mettent des années,

des années à trouver leur clientèle
et à distribuer leur réseau.

Et donc on va chercher ces pépites
et on en a trouvé

et on en a trouvé plein
et on en a trouvé des super grosses.

C'est pour ça que vous êtes là ce soir,
c'est que ce niveau de mégawatts là.

Aujourd'hui, on a identifié 900 mégawatts.

C'est juste énorme.

C'est plus qu'un réacteur nucléaire,
un bon gros réacteur nucléaire français,

c'est réparti sur plusieurs pays,
plus d'une dizaine de pays.

Donc là, on va vous en présenter
sept ce soir et on va commencer par

un pays qui est qui pour
nous est une référence parce que c'est

un pays qui qui a désormais
comme monnaie légale le bitcoin.

Et ce pays, c'est le Salvador.

Et pour parler de notre actualité,
dans ce pays,

je vais laisser la parole à l'excellente
madame Tech, un business international

du gouvernement du Salvador,
j'ai nommé Monica TER

Bienvenue Monica

you for having à cirer
le premier de sa plaque

à qui away
from à dessein from the United States.

Un Ça y a des technologies économiques
internationales.

La force air, il y a fort à faire ça.

Et on voit ici que les mines et ZAD,
comme tout

happening, ma country become

arab innovation.

Une date exacte ou dégradable.

Je ne

has been ou non

for buildings
for games for many of all things

there are s'exprime ici.

Pi po s'exprime par les Salvadoriens,
c'est living inside of the country

et très pointu
Million Living in the diaspora

living outside are the

way to learn à tout point.

Seven estate

Je suis désolé,
je vais essayer de récapituler ailleurs.

Je suis allé deux un seul,
mais je sais que vous avez tout compris

ou je traduis quand même

c'est bon.

Je voulais une idée speaking de cette fin.

Si vous avez d'intuition,
je réponds sans problème. OK,

arobase
peut il pointer au milieu de pipeau en

tout point ?

Seven happens
to be in the state in the rest.

In Europe in Latino-Américain.

All over the world maigrichon was

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Échoue

because of properly because
of many économique.

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announced

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Biophilia, qui s'impose

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Rob Ford a Bensebaini pour scène

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histoire ambient house Beechcraft
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Pour The Killing
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small business Walking Dead,
on est pour tout pays de longue date.

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Dix huit pour Nolan Clifford Chance.

Onze.

Dégaine Foley, Nigel rageuse

et onze
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et une scène sur l'Amérique du Nord
américain.

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d'échelles en feu au pouce et nuance
on a placé un bouquet les deux années

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Alors que les Latino-Américains

tuent OpenOffice

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Dans ce volume du market
now opening signale Salvador

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working said, estime

un bloc sub SS tout en.

Because we will take
that this is going to be a campagne

is going to be comme gateway, not barefoot

Welcome

to night

Alors évidemment,
le Salvador a beaucoup à cœur.

On est hyper
content que Monica fait le déplacement

et soit venu pour cette soirée.

C'est un cadeau, merci.

On a d'autres pays et notamment l'Asie.

Vous vous présentez maintenant ?

On parle là en Asie centrale,
on part au Tadjikistan.

Je remercie l'ambassade

qui nous a envoyé son représentant ce soir

et qui est parmi nous
Merci d'être là également

avec art.

C'est une vieille histoire le Tadjikistan.

Cette réunion que vous voyez là

ça date de mi 2019,
donc ça fait un moment qu'on travaille.

Le dossier Juma que vous voyez ici, c'est
le directeur de Pamiers Energy, société

nationale d'électricité du Tadjikistan,
avec son adjoint et son équipe.

Et donc, depuis 2019,
on va aux réunions réunions

d'avancer en reculades et en déception.

Ce n'est pas facile de convaincre
nos interlocuteurs que le mining,

c'est bien et que le bitcoin, c'est solide
comme tous.

Pour peu
qu'ils connaissent un peu bitcoin,

ils ont donc des a priori négatifs
très souvent.

Et donc on a un gros travail
de conviction, à faire, d'explications.

Et quand on a réussi à convaincre ces gens
là, c'est à dire

les patrons de la société d'électricité,
souvent c'est assez facile.

Avec les électriciens, ils comprennent
la logique économique qu'on leur propose.

Il faut convaincre
les autorités de tutelle et là,

en l'occurrence,
de créer une société nationale.

C'est le ministère de l'Énergie
qu'il faut, qu'il faut convaincre.

Et ça s'est fait petit à petit.

On a réussi à convaincre

jusqu'au jour ou le ministre de l'Énergie
de l'époque nous a dit

votre actif.

Là, c'est trop virtuel,
ça peut tomber demain à zéro.

Il y a un banquier français très connu

qui a dit que ça pourrait tomber
à zéro en 2025 et que c'est pas solide.

Et effectivement, quand nos interlocuteurs
regardent le cours

toutes les semaines
et toutes les semaines,

il a perdu encore et que ça dure comme ça
pendant presque deux ans.

Notre argumentaire
devient un peu difficile à soutenir,

mais finalement on y est arrivé
et le cours est remonté tout simplement.

En 2020,
et là ils sont revenus vers nous en disant

vous aviez raison, on aurait dû le faire
plus tôt et beaucoup nous dit ça.

Aujourd'hui, il y a eu un véritable
alignement des planètes.

En plus, dans ce cas, là dans ce pays.

Parce que Zouma, donc le patron de Pamiers
électricité première énergie,

est devenu ministre de l'énergie,
donc ça nous a pas mal aidés.

Parce que c'est un vieux complice.

Maintenant on le connaît depuis longtemps
et donc on vient de conclure les accords

grâce à notre directeur de BTS

ASI Asie Centrale qui était au fils Béraud
qu'on voit ici avec moi.

Ça aussi ça date de 2019.

C'est un dossier
qu'on travaille depuis longtemps.

Théophile est un ingénieur
hydro électricien qui a été

qui a été recruté au Tadjikistan

pour s'occuper du hub électrique
qu'il était en train de construire.

C'est un pays qui produit beaucoup

d'électricité verte,
qui a un énorme potentiel de production.

Et donc

Théophile était l'ingénieur
qui avait été choisi

pour mettre ce hub au clair.

Et il a démissionné de ses fonctions
il y a huit mois pour nous rejoindre

full time.

Parce que les projets grossissent
et il y en a de plus en plus en Asie.

Centrale.

Et donc,
Théophile nous a rejoints complètement.

Donc aujourd'hui, il est directeur
Asie centrale, mais en même temps,

il a été nommé conseiller à Matignon.

Donc auprès

du ministère des Affaires

étrangères comme conseiller commercial.

Et en même temps, il est rentré
au gouvernement tadjik comme conseiller

au ministère de l'Énergie. Pour le Mining.

Donc ça permet de voir que le mining
devient quelque chose de mainstream,

que ça devient une industrie connue

et reconnue dans beaucoup de pays
et pas uniquement au Salvador.

Bien sûr.

Pour le Tadjikistan, je crois que

j'ai dit à peu près l'essentiel,
si ce n'est que c'est petit.

C'est une petite ferme qu'on crée.

Là, on est dans le Pamir,

Cette céréale a la particularité
d'être la plus haute du monde

parce qu'elle est construite
sur la centrale hydroélectrique du Pamir,

à plus de 3000 mètres d'altitude.

L'eau arrive du toit du monde
à 7000 mètres d'altitude, donc c'est

une ferme très spéciale.

Il fait très froid l'hiver,

elle est difficile d'accès comme on en a
l'habitude maintenant.

Mais c'est

un projet qui nous tenait à cœur
parce que c'est un projet national Mining

national, organisé en amont
et qui va apporter du bénéfice au pays,

qui a choisi cette manière
d'utiliser son extra capacités.

Et on est au Nord-Kivu c'est
une région qui connaît la guerre civile,

en fait des événements
assez assez violents.

On nous, on se protège, on travaille
dans des endroits très très isolés.

Il n'y a pas de route
d'accès ou on n'est pas menacé.

Et les machines de nos clients
ne sont pas non plus.

Mais c'est quand même une aventure
de travailler avec ces pays là.

Bien évidemment,
on peut passer à SUD après

je ne sais plus lequel, dans l'ordre
alors on reste en Afrique.

Vous voyez l'éléphant, on est un éléphant
d'Afrique, on est au Kenya.

Là, au

Kenya aussi,
on a trouvé des partenaires régionaux,

on travaille avec la société Schengen,

qui a créé dans cette région, à Kariya,

un énorme pôle de production électrique
sur de la géo thermique.

Et comme souvent, le réseau de
distribution n'est pas abouti.

Aujourd'hui, il y a six
centrales thermiques qui travaillent

dans cette région là.

Et en gros, il y a l'utilité actuellement.

Et les réseaux suffisants
pour deux centrales ennemies.

Donc on a de la marge.

On a capacité là aussi
à installer un gros mining

jusqu'à 120 mégawatts
Donc c'est vraiment énorme.

On est obligé de leur dire là cette année,
en 2022, on va mettre 20 mégawatts

parce que 20 mégawatts,
c'est 20 conteneurs.

C'est déjà une véritable fortune
en termes d'investissements

Mais dans ce pays là,
le Kenya devient une cible aussi

garantie pour nous.

Ça y est, on a nos accords
qui sont certains,

donc on attend de pouvoir y aller
assez vite.

Les transformateurs sont aux commandes,
ça peut avancer relativement vite.

On pense qu'on y sera au mois d'avril
ou au mois de mai

au plus tard.

Les fameux outils de géo terminé,

c'est il y a un potentiel fou,
il pourrait créer.

D'après ce que me dit le patron de Gandja,
il pourrait créer 40 50 centrales

thermiques Ici, il y a un
potentiel énergétique qui est incroyable

parce qu'on ne manque pas d'énergie.

Comme l'a dit Philippe, on manque pas
d'énergie dans le monde entier

de l'énergie verte.

Si on voulait l'exploiter,
allez, allez là, allez présente,

il y a de quoi alimenter
plusieurs planètes,

mais ce n'est pas au bon endroit
et c'est souvent comme ça.

On a des capacités de produire
de l'énergie

à un endroit qui est totalement isolé.

Il n'y a pas de ville à proximité

à alimenter, donc ça ne sert à rien
parce qu'on ne sait pas.

Comme le dit Philippe, on ne sait pas
stocker l'électricité au très mal

à des gros niveau et la transporter
coûte cher.

Les réseaux coûtent très cher.

Et puis, au bout d'une certaine distance,
ce n'est pas très efficace.

Mais je parlais il y a une
quinzaine de jours avec un ingénieur

dont le métier
de prospecter le monde entier

pour aller chercher
de la puissance thermique.

Et il me disait C'est hyper frustrant
comme métier parce que je trouve

des sites incroyablement

prometteurs.

Et puis on sait qu'on ne fera rien
parce que c'est des sites

qui sont trop isolés,
des grands centres urbains.

Voilà pour ce qui est de la Géode du Kenya

et de cet énorme potentiel électrique
qui n'est pas suffisamment utilisée.

On parle on parle souvent de 100 mégawatts
avec le patron NGN.

Là, 100 mégawatts, c'est
plus de 20 millions d'électricité par an.

On va leur donner tous les ans.

Quand je lui dis ce chiffre,
il est tombé de sa chaise.

C'est de l'argent
qui leur fait défaut aujourd'hui. Ils ont

beaucoup de mal à créer les réseaux
parce qu'ils n'ont pas de fonds.

Ils sont toujours en attente
de subventions internationales, de l'ONU,

de l'Union européenne, de privés aussi,
souvent de fondations.

Là, ils vont pouvoir se passer de ces dons
du monde.

Ils vont pouvoir être autonomes
avec ces 20 millions supplémentaires

qui leur tomberont en fin d'année,
qui leur tombera tous les mois d'ailleurs.

L'avantage aussi du client mineur,
c'est que le client mineur paye

le client mineur et captif.

Il est sur les centrales,
donc c'est un très bon client.

S'il paye pas ses équipements,
lui sont confisqués, tout simplement.

Donc on a un bon client
pour pour les électriciens,

il commence dans le monde entier
à réaliser ça.

On part à Saratov en Russie,
et là on passe sur une technologie

totalement différente.

On ne travaille pas sur les surplus
de renouvelables

géo thermiques ou hydroélectricité,
on travaille sur le flash gaz.

En ce qui me chiffre régulièrement savent
que j'en parle depuis un petit moment

parce que ce projet là

aussi, qui est mené par Théophile,
c'est lui qui a trouvé ce projet.

Ça fait longtemps qu'on est dessus.

Ça a nécessité un effort intellectuel
important parce qu'on n'avait pas

toutes les connaissances suffisantes
pour ce type d'activités.

Donc l'offre gaz, c'est quoi ?

C'est les gaz de torchères
et il y en a plein ça.

Ça regorge sur les cinq continents,
les gaz de torchères, c'est

l'exploitation pétrolière.
On extrait du pétrole,

on trouve des nappes de gaz
et il faut évacuer ce gaz.

La solution la plus simple, très souvent,

c'est juste de mettre une torchère
et de brûler ce gaz.

Si on regarde sur Wikipédia,
on verra que les organisations écologistes

dénoncent cette utilisation des torchères.

Parce que si le gaz est brûlé,
ça crée du CO2.

OK, mais ce gaz là qui sort des puits
pétroliers est extrêmement délétère.

C'est un véritable poison
à base de méthane pour l'essentiel,

mais pas que c'est mal brulé
dans les torchères.

Si on regarde toujours sur Wikipédia,
il vous parle de 96 à 98 %

d'efficacité de la combustion,
mais ça c'est s'il n'y a pas de vent

Et c'est les chiffres
qui sont donnés par les pétrolières.

C'est pas les chiffres

constatés par des études indépendantes,
ça n'existe pas par grand vent.

Il y a un moment on

le voit sur la vidéo par grand vent,
les torchères

brûlent pas du tout
98 % du gaz, un brûle 50 % du gaz

et il y a 50 pour 100 de ce métal
et de ce gaz

extrêmement polluant,
très délétère, qui part dans l'atmosphère.

Et c'est comme ça depuis des dizaines
d'années partout dans le monde,

c'est la plus grosse pollution
qui puisse exister.

Le transport aérien à côté. C'est
une petite blague.

Et personne n'en parle
parce qu'il n'y a pas trop de solutions.

Économiquement, c'est souvent compliqué

de traiter ce gaz
pour en faire autre chose,

même si beaucoup de pétroliers s'y mettent

une technique
qu'ils ont trouvé qui est très efficace

et transformer ce gaz, le nettoyer,
le transformer en électricité

et injecter cette électricité
sur les réseaux.

Vendre ça
aux compagnies nationales d'électricité

à vil prix ?

Peu importe.

En tout cas,
ça évite de prendre des amendes

des organisations internationales
parce que elles sont,

elles sont pénalisées
pour utiliser ces torchères

et donc ça fonctionne
quand il y a un réseau.

Mais comme souvent

sur les exploitations pétrolières,
il n'y a pas de réseau électrique

à proximité parce que c'est des régions
totalement perdues.

Il y a une
plateforme de forage en mer du Nord.

Vous risquez pas de réinjecter
de l'électricité sur le réseau.

Il est sur les côtes,
il est très très loin.

Donc la solution du mining,
c'est d'utiliser.

C'est déjà la même chose
de mettre des génératrices

qui vont transformer ce gaz, le nettoyer
et l'utiliser pour faire de l'électricité.

Et cette électricité est forcément
à la limite de nos containers.

On fait du mining dessus.

C'est une solution
qui économiquement tient la route,

qui permet aux pétroliers
d'enfin dépolluer leur production.

De plus payer les amendes.

Donc ils ont ils s'en fout un peu

de la pollution, mais en tout cas le fait
qu'ils paient plus pour certains.

Mais en tout cas le fait
qu'ils payent plus les amendes.

On les comprend assez facilement

de l'intérêt de cette solution là.

Et là c'est
ce qui se passe sur ce site là.

On a jusqu'à 35 mégawatts,

l'équivalent de 37 mégawatts de puissance
installée en gaz.

Et bon, c'est énorme.

Et ce n'est qu'un début parce que
des chantiers comme ça, on en a partout.

On en a identifié plusieurs.

C'est une compétence technique
que peu de gens ont à deux confrères,

aux Etats-Unis
et au Canada, qui savent faire ça.

Ils s'occupent de l'Amérique actuellement.

Nous, on a toute l'Europe, l'Afrique
et toute l'Europe

de l'Est, de l'Asie centrale.

Pour pouvoir travailler.

On a un très, très fort développement
possible dans ce domaine là du gaz.

Et là,
c'est vachement encore plus vertueux

que de juste
racheter de l'électricité perdue.

Parce que évidemment,
ça a du sens de rachat de l'électricité

perdue à des sociétés d'électricité
dont la mission est d'amener l'électricité

aux populations,
c'est leur ramener la lumière et bon,

on ne se rend pas compte de ce que c'est
que ce confort que d'avoir l'électricité.

Mais au Congo par exemple,

le pays dont je vous parlais
tout à l'heure, c'est

8 % de la population de l'électricité
chez elle.

Et au global, dans le monde,
c'est une personne sur dix qui n'a

pas l'électricité
et toutes dans les mêmes pays.

Donc leur acheter l'électricité
à ces compagnies

pour qu'elles puissent développer
leur réseau,

amener l'électricité aux populations
ça a du sens.

Mais d'éteindre les torchères, oui.

Sait, c'est beaucoup plus fort en termes
d'impact écologique positif.

Alors évidemment, vous le savez,
ça m'énerve beaucoup que j'entends

les attaques anti-balaka, comme quoi
ça serait une menace écologique.

Parce que c'est tellement
tout le contraire,

c'est tellement tout le contraire.

Cette industrie, c'est la toute première
qui peut arriver comme ça.

Et dire aux électriciens
on est en capacité de racheter votre ex.

Votre extra capacity, il le découvre
souvent avec beaucoup de doutes.

Ce qui est encore une fois
ce qui les retient, c'est

la solidité du bitcoin et le fait qu'il
n'ait pas encore intégré cette solide.

Mais en termes

d'équilibrage des réseaux électriques,

de l'offre et de la demande,
c'est une opportunité incroyable pour eux.

Ils le découvrent et se disent Wow,

mais comment ça se fait
ou ne savait pas ça plus tôt ?

Et il y a un électricien,
un patron d'une compagnie d'énergie

qui, l'année dernière, ou au fin 2020, M.

Euros
que c'est le patron de hacker en Norvège.

C'est aussi le milliardaire le plus riche
de Norvège, ce qui le rend peu

populaire.

Et du coup,
sa parole est écoutée dans son pays,

mais chez les
chez les électriciens du monde entier.

Et lui,
il a fait une lettre à ses actionnaires

pour dire qu'il investissait
dans le bitcoin et en 2021,

pour leur trésorerie, mais surtout qu'il
allait s'intéresser au mining.

Et il a trouvé deux formules
que je n'avais pas trouvées moi même.

Je cherchais depuis longtemps.

Il a dit que le bitcoin était une batterie
économique pour les électriciens green.

Et il a dit aussi que

c'était le maillon
manquant à la transition énergétique.

Et pour un énergéticien comme lui
qui fond au fond du pétrole, du charbon,

ils font des centrales hydroélectriques
qui font des centrales à gaz.

Vraiment,
ils font de l'exploitation pétrolière,

ils font beaucoup de solaire
beaucoup d'éolien,

donc sont des généralistes
et eux ont compris l'intérêt du mining

et tous les électriciens sont en train de
le comprendre.

Dans le monde entier,
on change de pays le sultanat

d'Oman

a un projet encore

complètement différent.

C'est un projet de Green City
qui est monté par l'Etat d'Oman

avec des entreprises, des entreprises

et enfin une entreprise spécialisée
dans l'énergie, l'électricité.

Et le responsable de ce projet, c'est
un Français.

On a de la chance Olivier.

Et c'est un ami de Théophile
dont je vous ai parlé tout à l'heure.

Et donc on a été choisi.

Enfin, en tout cas, on est le consultant
pour Mining pour ce projet.

Donc on pense que évidemment,
on sera les premières

pour y mettre nos containers,
même si on partage avec des confrères.

Parce que là, c'est tellement énorme
qu'on ne pourra pas tout prendre.

400 mégawatts, c'est certain,
Donc là, on est sur des sargasses aussi.

Et sur du solaire.
Il prévoit de faire quinze

kilomètres carrés de panneaux solaires
à cet endroit là.

Il prévoit aussi de refroidir la ville
avec l'eau froide

il y a une faille énorme sur le point
qu'on a vu en zoom.

Il y a une femme,
une faille qui descend extrêmement profond

et on a de l'eau glaciale et qui compte

utiliser ce refroidissement
pour refroidir la ville.

Vous savez, à Oman, il fait chaud.

Bon, c'est un projet technique
très, très complet, très complexe.

Nous, on travaille

dessus et ça peut sortir dès la fin

de ce quadrimestre.

Donc ça,
c'est un chantier qui nous tient à cœur

parce que là aussi,
on va monter en compétence technique

et c'est extrêmement ambitieux
et on n'est pas

peu fier d'avoir été choisi
pour être les leaders de ce projet là.

En terme de mining,

ça va jusqu'à 400 mégawatts.

C'est vraiment énorme, énorme.

On a un demi

réacteur nucléaire rien qu'ici à Oman,
qui est disponible pour faire du mining.

Alors là, on est au Kazakhstan.

Alors ce soir, pour représenter
le Kazakhstan, on a notre avocat

qui est ici Vladimir Schuster.

C'est un pays qu'on connaît bien.

Là, on y était dès 2018,
on y a pas mal souffert dans ce pays.

On commence à comprendre
comment ça fonctionne déjà.

On commence à avoir le bon avocat
parce que Vladimir, ça fait deux ans

qu'on travaille avec lui
et ça nous a changé la vie.

Avant,
on n'avait pas les bons interlocuteurs.

Ça, c'est certain.

Et puis c'est un pays qui s'est compliqué.

Quand on était arrivé en 2018,
on était tout seul.

On était les seuls mineurs
étrangers avec Bituriges.

Et puis ça, c'est sûr
qu'on arrive à obtenir des conditions de

l'électricité peu chère.

Et nous, au départ,
on était sur des centrales

hydroélectriques avec des surplus.

Et puis, très vite,
les autres mineurs sont arrivés.

Ils ont pris tout le charbon et le gaz
qu'ils ont pu trouver.

Donc c'est un pays ou il y a une
forte compétition minière

et c'est un pays qui nous intéresse moins.

Mais malgré ça, on est dans le pays
depuis suffisamment longtemps

et on a suffisamment de connections
pour avoir des bons plans.

Et là, on est sur un plan
sur de l'hydroélectrique, cité

qu'on va peut être réaliser.

Peut être pas parce qu'on a fait
notre demande de statut de mineur blanc.

C'est que au Kazakhstan,
il y a un statut officiel.

Maintenant,
pour les mineurs qui disent qui est donné

par le ministère de l'énergie
il y a actuellement 54 mineurs blancs.

On veut être le 55ᵉ et on a notre dossier
en attente et on espère bien.

Là, voir un Théophile,

ça devrait arriver.

Donc on renonce pas au Kazakhstan,
même si c'est pas un pays

qui est le plus important
pour nous aujourd'hui, on y a nos bases,

on a déjà plus d'un mégawatt qui
travaillent là bas et donc on va y rester

On a connu les évènements récents

qui n'ont absolument pas touché
la plupart des fermes,

même si on a eu plus d'Internet
pendant quatre jours.

On voit le Kazakhstan, on y reste présent
et on espère bien pouvoir

s'y développer, même si c'est
moins prégnant pour nous aujourd'hui.

Parce que évidemment, vous l'avez vu,
on a plein d'autres projets.

On va là,
vous l'avez. Vous l'avez compris.

Pour nous,
cette industrie est une industrie

qui devient très importante
dans le monde de 2022.

C'est
une industrie qui est de plus en plus

reconnue par le gouvernement
comme quelque chose d'utile.

Donc pour nous, c'est une industrie extrêmement vertueuse, une industrie propre

Maintenant, pour vous

investisseurs, l'important c'est de savoir
si c'est une industrie qui est valable.

On va attaquer la deuxième partie
et on va.

Je vais essayer de vous expliquer
rapidement

pourquoi cette industrie là
est très différente

de ce qu'on
connaît dans le monde traditionnel.

Elle a deux avantages.

Elle a deux particularités
qui vont pour nous, c'est l'industrie

la plus sûre, l'industrie
la plus tranquille, la plus pépère.

Ça vous parait bizarre ?

Parce que l'actif, on le sait, connaît
une volatilité importante.

Mais on s'en fout.

Nous Royal, actuellement,
on voit le cours baisser.

On est hyper content parce qu'on va
pouvoir acheter des machines moins chères

donc quand on est mineur, quand ça monte,
on est content.

Et quand ça baisse, on est hyper content
parce que

on a accès à des
stocks beaucoup moins chers.

Là, du coup, on voit bien.

Alors on pourrait se contenter pour
vous dire que c'est une activité valable.

Regardez ce tableau là,
c'est le revenu par an

des mineurs et vous voyez qui progresse
le revenu des mineurs malgré la LOVING

qui fait que la récompense en bitcoins
diminue tous les ans

en dollars,
ça augmente énormément pour les mineurs.

Mais alors ce n'est pas ça
qui nous fait dire que c'est solide.

l'Industrie la plus sûre,

c'est le fait que dans cette industrie là,

quand on a son parc, son outillage,

il n'y a pas de problème de débouchés,
on a 100 % de débouchés assurés.

J'explique.

On a vu les centrales hydroélectriques,
par exemple,

ou une centrale électrique,
même nucléaire.

Vous avez une capacité de production
et une capacité,

une puissance installée de 100 mégawatts
par exemple.

C'est pas pour ça que vous allez produire
100 mégawatts heure

peut être que vous aurez une turbine
sur deux qui va tourner ou deux sur cinq.

En tous les cas,
la puissance installée n'est pas

proportionnelle à l'utilisation
que vous allez en avoir.

Pas forcément.

Il y a des critères économiques
qui feront que ça tournera.

Peut être pas à fond

dans le mining que vous installez

100 machines, 1000 machines,
10 000 machines ou 100 000 machines.

Le réseau Bitcoin
utilise cette puissance de calcul

et nous garantit,
quand elles vont servir à quelque chose,

ces machines, ça,
ça n'existe pas ailleurs.

Je cherche
et ça fait quatre jours que j'essaie

de trouver des contre exemples
dans l'industrie réelle.

Si vous en trouvez d'ici

la fin de la présentation, n'hésitez
pas dans la question à me le dire,

je n'en ai pas trouvé.

Donc cette certitude de débouchés,
ça change tout.

Un bon industriel,
c'est juste vous imaginez.

Autant que je puisse produire, c'est
à dire

autant que je puisse acheter de machines,
je suis sûr de pouvoir les connecter

et je suis sûr qu'elles ont la même
récompense que les autres sur le marché.

Et ça c'est une particularité aussi,

c'est à dire que c'est des machines
qui se bagarrent entre elles.

Et il n'y a pas de prime
au premier entrant.

Il n'y a pas de prime de réputation,
il n'y a pas de connivence,

il n'y a pas de bakchichs,
il n'y a pas moyen

de prendre l'avantage
par rapport aux autres machines

parce qu'on aurait une expertise ou
on aurait plus de moyens que les autres.

C'est la même chose pour nous
qui démarrerons de plus 50 pour le mineur

qui est là depuis dix ans.

Et le prochain qui arrive dans six mois
va avoir la même chance

avec chacune de ces machines
de générer du beacon que nous.

C'est une industrie
qui en ça est hyper intéressante.

Et puis la deuxième caractéristique
qui fait que pour nous,

on est certain de pouvoir durer ad
vitam aeternam dans cette

Dans cet écosystème, c'est la règle
que mon ami Richard d'Etampes a appelé.

Comment j'appelle
ça la règle du dernier survivant.

Et il va bien expliquer lui même parce que
c'est lui qui a conceptualisé et.

Et ça vaut la peine de l'entendre
sur ce sujet là.

Mais c'est ça

Bonsoir à tous.

Donc pour ceux qui me connaissent
pas, moi j'ai un média, plusieurs

médias
grand angle éco et grand angle crypto.

Et c'est vrai qu'on discute beaucoup avec
Sébastien depuis depuis six mois, un an

et que ce qu'on a remarqué tous les deux
c'est que l'industrie du mining

est particulière en elle même.

Tout à l'heure,
je voyais sur la présentation de Philippe

qu'on pouvait mener un bitcoin à 20 000 $,
alors j'imagine,

c'est une moyenne dans le temps, etc

Mais ce qu'il faut comprendre
de plus en plus pour vraiment s'approprier

le business model, c'est
quand il faut comprendre les dynamiques

qui font qu'il y a des gagnants
et des perdants dans le mining.

Et pour ça, on a réalisé une vidéo
justement avec des infographies

qui vous expliquent pourquoi

Sébastien est content quand ça monte
et pourquoi il est content que ça baisse.

Parce qu'il a un positionnement
très particulier avec BB GS

qui fait que justement,
il est parmi les derniers survivants.

Et c'est ça justement
qu'on vous présente dans cette vidéo.

Et si vous avez des questions,
on en parlera tout à l'heure.

Un mineur gagne
sa vie en mettant à disposition du réseau

une puissance de calcul spécifique
afin de sécuriser le réseau Bitcoin

et permettre son fonctionnement
pour rémunérer les mineurs.

Le protocole Bitcoin émet de nouveaux
bitcoins en récompense du travail fourni

et fait payer des frais de transaction
en bitcoins aux utilisateurs du réseau

pour faire du ménage
si on se met du point de vue du mineur.

Côté charges, il vous faut
des machines spécifiques de l'électricité

pour les faire tourner,
des infrastructures containers,

transformateurs,
etc et une main d'œuvre limitée.

Ensuite, du côté des gains,
votre chiffre d'affaires

est intrinsèquement lié
à la puissance de calcul que vous possédez

par rapport à l'ensemble du réseau
et au prix du Bitcoin.

Si vous avez 1 % de la puissance totale,
ce qui est déjà beaucoup,

vous recevrez 1 % des bitcoins générés
et des frais prélevés.

Vos gains dépendent

donc de votre puissance de calcul
et du prix de revente des bitcoins.

l'Industrie des minage, c'est 900
bitcoins minés chaque jour aujourd'hui.

À terme,
BBA GS prévoit d'en miner une cinquantaine

et de devenir le premier mineur mondial
sur les surplus énergétiques verts.

Pour modéliser ce business,
on peut classer les mineurs

en fonction de leur structure de coûts.

Plus elle est faible,
plus la rentabilité est élevée.

Et en fonction de leur potentiel
de développement, plus il est élevé,

plus le business du mineur
peut monter en puissance à l'avenir.

Lorsque le prix du bitcoin monte,
la récompense augmente

donc pour chaque bloc
et cela attire de nouveaux mineurs.

On voit alors apparaître des producteurs
d'énergie qui commencent à acheter

des machines pour miner sur leurs propres
surplus de production

dont ils disposent gratuitement.

La structure de coûts est faible.

Par contre,
leur potentiel de développement

dans le mining est faible également.

Car ils n'ont pas vocation

à se développer au delà des capacités
qu'ils ont en gestion.

C'est ce que j'appelle
le modèle du rentier.

Ensuite, il y a des mineurs
qui bénéficient de tarifs préférentiels

de par leur activité industrielle
traditionnelle

qui commence à miner
sur leur surplus de puissance disponible.

Par exemple, cela peut être une scierie
ou une cimenterie

qui n'utilise pas l'intégralité
de son tarif jaune en France par exemple.

La structure de coûts est donc moyenne
dans les sept à 0,10 € de dollars

et leur potentiel de développement
est d'autant plus faible

que leur activité de minage

rentre en concurrence
avec les besoins de la population.

Souvent, les producteurs d'énergie font
donc la chasse à ces activités

pour les fermer.

Ensuite viennent des groupements de minage
sur des surplus d'énergie fossile.

Leur structure de coûts est moyenne
et elle a vocation à se dégrader

en fonction des règlementations
sur le carbone

et de la hausse des prix
des énergies fossiles que l'on attend.

Leur potentiel de développement
est potentiellement élevé.

Certes, à court terme,
mais très faible à long terme.

Pour les mêmes raisons
la chasse aux énergies fossiles.

Enfin, il y a tous les particuliers
qui mine chez eux, dans leur garage

Leur structure de coûts est affreuse
et leur potentiel de développement

peut être élevé à court terme,
mais très faible sur le long terme,

car les fournisseurs d'énergie
leur font également la chasse.

Enfin, il y a BB GS
qui se veut être un mineur professionnel

exclusivement sur les surplus

d'énergie verte, inexploitables autrement
qu'avec du mining.

Comme ces surplus
sont inexploitables pour d'autres usages,

la structure de coûts est très basse.

Quant au potentiel de développement,
il est immense car ce mining là

résout des problèmes économiques
comme dans le parc des Virunga,

mais aussi des problématiques
environnementales comme éteindre

des torchères pétrolières
au beau milieu de nulle part.

C'est pour ça que nous pensons
que BB, GS peut prendre le leadership

mondial
sur le mining, sur des énergies vertes.

Donc le seul mining politiquement
et économiquement acceptable.

La structure de coûts évoluera
légèrement à la hausse

car les premières affaires de BB GS
ont été particulièrement bien négociées

dans le contexte du marché
baissier de 2008

et d'une absence de concurrence
sur de nombreux pays comme le Congo.

C'est une des bonnes raisons
pour investir aujourd'hui.

Maintenant, regardons comment
évolue cette matrice en face de marché

haussier du Bitcoin

Dans ces phases de hausse,
tout le monde pense être un génie

puisqu'il y a toujours plus d'argent
pour toujours plus de joueurs.

Vous connaissez tous la magie des marchés
haussiers.

Ces périodes ou les nouveaux entrants
supportent sans broncher

des coûts de production
de plus en plus élevés.

Les nouveaux mineurs s'installent

dans des endroits cosy, plus accessibles
ou l'électricité plus chers.

Ils ne recule pas devant l'achat de
machines de mining à des prix exorbitants.

Car oui, les fabricants profitent
de ces périodes de hausse

pour adapter leurs prix
à la valeur de court terme.

Du Bitcoin.

Par exemple, un ASIC à dix neuf coûte
probablement dans les 800 $ à produire,

mais il s'échange actuellement
aux alentours de 10 000 $.

Car les fabricants prennent en compte
la rentabilité à court terme du minage.

Ces nouveaux mineurs acceptent également
de payer des salaires plus élevés.

Les structures de coûts

des derniers entrants augmentent
parallèlement avec le prix de Bitcoin,

car tout est facile
quand le bitcoin monte.

Mais après l'été vient l'hiver du marché
baissier.

Là, c'est le phénomène inverse
qui s'amorce.

Les récompenses diminuent

et ceux qui supportent
les structures de coûts

les plus élevées doivent éteindre
leur machine en premier

dans l'ordre déclarent d'abord forfait.

Ceux qui payaient l'électricité
la plus chère,

puis ceux
ayant acheté leur machine à crédit.

La purge va d'abord toucher

les projets de type Mornay,
comme on l'a vu dans La Matrice.

Comme les mineurs proches
des grands centres urbains.

Dans les pays occidentaux,

ces mineurs paient
jusqu'à 0,20 € de dollars le kilowattheure

Puis le mouvement s'étend à des pays
dont l'électricité est réputée

pourtant bon marché.

Progressivement,
il devient non-rentable de minerai,

avec une électricité à 0,15 €,
puis 0,10 €, puis 0,07 € de dollars.

Ce sont les fausses bonnes idées
qui sont progressivement éliminées

de son expérience du marché baissier
de 2018 qu'il a vécu sur le terrain.

Sébastien Godspeed You !

A conclu que seules les femmes de ménage
disposant d'un prix de l'électricité

inférieur à 0,06 € de dollars
pouvaient survivre aisément.

Toujours selon ces informations,
les concurrents de BP GS ne mine pas

en dessous de 0,05 € du dollar
sur un mix fossile renouvelable.

Rappelez vous que le business
model du minage sur le fossile

va être fortement élagué dans les années
à venir par la réglementation

et la hausse attendue des prix
des énergies fossiles.

A la fin de l'histoire,

les seuls survivants à l'avenir,
et à fortiori en cas de marché baissier,

seront les mineurs de type rentier
et de type pépite dont BB, GS fait partie.

Alors pourquoi investir dans Big Block
bien service aujourd'hui ?

Parce qu'en moyenne la société mine
ses bitcoins à 0,04 € de dollars

le kilowattheure.

C'est incroyable

et cela positionne BB GS haut dans le
classement des derniers survivants,

juste après les producteurs d'énergie
qui n'ont pas de potentiel

de développement élevé sur le mining
puisque ce sont des rentiers.

Et si le PGS est profitable ?

Face à la hausse des prix
des énergies fossiles, qu'il est

favorablement exposé à la réglementation
contre les émissions de carbone

et qu'il est capable de prospérer
pendant les marchés baissiers,

je vous laisse imaginer ce qui se passe
pendant les marchés haussiers.

Eh oui, c'est le jackpot.

Et ça pour trois raisons.

Premièrement, les bitcoins de BB GS Miner
pendant le marché

baissier voient leur valeur exploser
parce qu'on le sait, tous

les hausses du bitcoin
sont exponentielles en marché haussier.

Deuxièmement, la concurrence
reste faible en sortie de marché.

Le minage est une activité industrielle
et il faut du temps à la concurrence

pour revenir.

Pendant tout ce temps,

BB GS profite d'une position forte
sur la part des récompenses gagnées.

Il est le dernier à capter la valeur
et le premier à s'enrichir.

Ça, c'est le deuxième effet qui s'écoule.

Enfin, dernière raison
BB GS investit constamment dans son

parc de machines de mining
grâce à son exposition internationale.

Elle profite de coûts d'achat très bas.

Souvenez vous,

les fabricants de machines ajustent
leurs prix aux variations de Bitcoin.

Les prix des ASIC
sont aussi tirés vers le bas

par la revente des machines
des mineurs de type mort né et fausse

bonne idée qui ont fait faillite
car ils ont des coûts de structure

trop élevés
pour survivre au marché baissier.

Pour toutes ces raisons,
l'activité de mining offre

un niveau de récompense disproportionné
jamais vu au dernier survivant

Merci, merci Richard.

Je découvre.

Elle est super,
c'est extrêmement grave en grand

nombre.

Avez peut être lu

mon regard, elle était parfaite.

J'espère qu'elle vous a plu.

Richard pourra remonter à la fin.

Il y a une question,
il y a une séance de questions réponses.

Si vous avez des questions spécifiques
pour lui, évidemment, il faudra pas

hésiter à les lui poser.

Alors voyez cette vidéo, cette vision

d'une industrie solide
et une industrie importante.

Aujourd'hui,
on n'est pas les seuls à l'avoir.

La semaine dernière, il y a Intel

qui a annoncé

qu'il allait se lancer
dans la fabrication de puces ASIC

Donc on n'est pas les seuls rêveurs
à se dire que cette industrie là

a du sens.

Aujourd'hui, il y a d'énormes industriels
qui rejoignent le mining.

Pas nous en particulier.

On peut voir par exemple
qu'aux Etats-Unis,

on va aux Etats-Unis et au Canada.

En Amérique du Nord,
il y a six compagnies minières

qui sont cotées en Bourse
et c'est pas des petits c'est

pas des petites cotations à 1 milliard
mais à 800 millions de dollars

et le plus gros d'entre eux
est à plus de 3 milliards de dollars.

Je crois que c'est Marriott
Mining, donc ils sont six.

Je peux vous les citer

Mara Rio de blockchain arrive
high tech et big pharma

à 800 millions de dollars chacun.

On a de meilleurs prix d'électricité
que tous ces gars là.

Et donc, si la règle du dernier survivant
s'applique encore un jour,

ce qui est fort probable, ça sera nous.

Ça ne sera pas

parce qu'effectivement ils payent leur
électricité plutôt dans les 500 ou 600.

Voir cette scène.

Pour le Canada, c'est le cas.

Et puis, les coûts de structure au Canada
sont hyper important parce que

le gouvernement a imposé

un nombre de salariés par mégawatt
qui est un peu trop important.

Et puis,

les salaires au Canada,

évidemment, ne sont pas les mêmes
que ceux du Kazakhstan ou du Congo.

Donc, oui, cette règle, elle existe,
cette règle du dernier survivant.

Et on fait tout depuis 2018
pour être celui là.

Parce qu'en 2018, on ne faisait pas
partie des derniers survivants.

Nos usines en France, on a dû les fermer
parce qu'on n'était plus rentables

à cause des Père-Marquette.

Donc on a appris de cette erreur
et on la fera plus.

Ça, c'est certain.

Donc, vous l'avez vu ?

L'activité a pour effet

d'amener de l'argent dans des pays
ou il y en a besoin, bien sûr.

Donc on participe du développement
de ces pays, mais ça ne vous suffit pas ?

Il faut savoir que les propriétaires,

les actionnaires de Big Block
Green Savings à sept CO

vont reverser 1 %
de la production de leurs containers

dans les différentes régions pour
alimenter des projets éducatifs sociaux.

Dans ces régions là,
on veut que les populations sont pauvres

et accès aux bitcoins ne produit pas
uniquement à l'achat de l'électricité.

Et pour 100 mégawatts ?

Je ne vous ai pas donné chiffre
mais 100 mégawatts.

Si on fait le calcul aujourd'hui,
c'est 6200 bitcoins produits à l'année.

Donc si on leur en donne un pour ça,
ça fait plus de 60 bitcoins.

Donc je vous laisse faire le calcul,
mais avec 1 million à 100 1 000 $, c'est

plus facile et on a bon espoir

que d'ici la fin de l'année,
ce soit ce niveau là de valorisation.

Bref, on a plusieurs projets.

On a déjà commencé à en identifier
certains et à s'engager sur certains.

Donc on arrive au bout.

Vous l'avez compris, le mining change
la donne de la carte electrique mondiale.

C'est vraiment une opportunité incroyable
pour les électriciens.

Ils la découvrent à cette opportunité,
ils commencent à la faire leur

et c'est pour ça
qu'on a de plus en plus de demandes.

Il n'y a pas une semaine qui se passe
sans qu'on a un contact

avec un électricien d'un pays
ou d'un ministère de l'énergie, d'un pays

qui nous contacte et qui nous dit ça
y est, on est prêt, on a compris.

On voudrait que vous vous veniez
nous expliquer tout ça.

Donc j'ai tout dit sur sur la conclusion.

On a envie que vous veniez

participer avec nous à cette aventure
parce que c'est une sacrée aventure.

C'est la grosse aventure industrielle
de ce siècle, à mon sens,

et on a beaucoup de choses à partager
avec vous.

On fait de très bons rapports
très régulièrement,

tous les mois de notre activité
et ça devient un vrai roman d'aventures.

Donc on a hâte de vous voir de vous voir
arriver.

Maintenant, prenons le temps de clarifier
quelques points

afin que vous compreniez bien pourquoi.

C'est réellement intéressant
d'investir aujourd'hui dans BB GS à A7 Co.

Tout d'abord,
qu'est ce que le terme à cette CO signifie

dans le cas de BB, GS, A7 Co.

La société est uniquement destinée
à détenir les machines de minage

et les infrastructures
La valeur de l'entreprise

est donc toujours connue
précisément à chaque instant,

puisqu'elle est constituée
de la valeur des machines,

des infrastructures et du cash
qu'elle possède.

Il ne s'agit donc pas
d'investir son argent dans une startup

dont vous espérez

que son cours de bourse explose
grâce au talent de l'équipe dirigeante.

Pour faire simple, acheter des parts de BB
GS à cette CO revient à acheter

du matériel de minage via

une structure collective
pour obtenir de meilleures conditions.

Ensuite, les actifs de cette société
seront gérés par la société

BB GS, détenue par Sébastien Guyot
et ses associés.

Pour cela, BB GS facture 15 %
des revenus de BB, GS, A7, Co.

Afin d'assurer toute l'exploitation
et la maintenance des.

GS aura également en charge
de conclure des contrats

avec tous les pays dont Sébastien
vous a parlé BB, GS

à cette cause sera le bras armé de BB, GS
en quelque sorte.

OK, mais combien peut
on espérer gagner avec cette structure ?

Pour faire une estimation
des gains potentiels,

il faut faire des hypothèses

sur les évolutions du prix du bitcoin
et sur l'évolution de la concurrence.

Car je rappelle que plus
le nombre de mineurs augmente,

plus les récompenses offertes
sur le réseau diminuent.

Pour chaque mineur.

Donc, en admettant que toutes les machines
soient achetées au prix actuel,

que le prix moyen de l'électricité
utilisé par BB GS à cette cause

soit de 0,04 € de dollars,
et en faisant l'hypothèse

que la concurrence
soit multipliée par environ trois

dans les trois prochaines années,
voici la rentabilité

attendue sur trois ans
en fonction du prix du bitcoin en 2025.

Si cela vous paraît compliqué,
vous pouvez retenir

que l'objectif de BB GS à cette cause
est de miner des bitcoins pour environ

10000 à 12 1 000 $
dans les conditions actuelles,

alors que le bitcoin s'échange aujourd'hui
à environ 45 000 $.

Donc en gros, compte tenu du business
model de PGS et BBJ laisse assez de CO.

Vous n'êtes pas censé perdre de l'argent
si Bitcoin

retombe à 20 000 $ d'ici 2025.

Par contre, s'il
est au dessus de ce seuil critique,

c'est le jackpot, comme vous pouvez
le voir sur ce graphique.

Si Bitcoin était à 50 000 $ dans trois
ans, ce qui est relativement conservateur

à mon avis, vous aurez doublé
votre investissement de départ.

Pas mal, non ?

On verra bien

si les équipes de BB GS ont été
plutôt optimistes ou plutôt conservateurs.

Mais voilà deux façons de se représenter
le retour sur investissement de bébé

à cette cause.

Enfin, dernier point important
pourquoi prendre des parts

maintenant plutôt que d'attendre
pour rentrer plus tard ?

Comme vous l'avez compris,
les futures entrant dans la structure

bénéficieront des mêmes conditions

puisque la valeur de la société
est toujours comptablement connue.

Maintenant,
il est quand même à notre avis, avantageux

de saisir l'opportunité
lors de cette première levée de fonds.

Et cela pour deux raisons principales.

La première est que la concurrence arrive
vite sur Bitcoin et qu'il est possible

que les conditions futures de marché
soient moins bonnes.

Comme vous le voyez sur ce graphique,

la concurrence sur le minage augmente
structurellement sur le réseau Bitcoin.

Le seul gros trou dans cette progression
en 2021 s'est produit à l'occasion

de ce que l'on a appelé le China Bank,
qui a obligé une grosse part du mining

chinois qui représentait plus de 60 %
de la puissance mondiale.

Du réseau, à aller se relocaliser ailleurs
avec seulement un an de recul.

On a même l'impression que cela n'a même
pas ralenti la tendance de long terme.

Il vaut donc mieux miner aujourd'hui
si la concurrence continue d'augmenter.

Ensuite, deuxième raison
les investisseurs qui investissent

aujourd'hui bénéficieront
de meilleures conditions pour pouvoir cash

out, c'est à dire
retirer leur investissement à la base.

Une période de lock up,
à savoir de blocage de trois ans,

est prévue pour tout investisseur
qui rentre dans BB GS à cette cause,

car cela correspond à la durée
d'amortissement comptable des machines.

Et bien les premiers investisseurs
bénéficieront de plus de souplesse

pour commencer à toucher des revenus
avant cette période.

Dès la fin de la première année,

du merci, merci.

Mais évidemment,
tout ça n'aurait pas été possible avec moi

parce que moi, je suis un homme
du marketing et du management.

Mais tout ça, l'électricité
et la technique, les mégawatts le mining,

les machines, c'est pas mon truc.

Et donc

évidemment,
je vais demander à mes associés de venir.

Adrien, Jean-François, Thomas,
les trois ingénieurs de l'entreprise

les trois historiques

si vous voulez parler.

Merci Sébastien pour cette présentation et
pour nous rendre aussi ce petit hommage.

Même si nous, on est plutôt
les gars de l'ombre dans la technique.

C'est vrai que Sébastien, le grand leader
c'est Lucas, qui a les idées, tout ça.

Et et nous, on est fiers de participer

à cette aventure

à intellectuellement

se dépasser à chaque fois
qu'on adresse un nouveau site. Et

on est aussi très fier de vous avoir
ce soir.

C'est
un très grand honneur et merci beaucoup.

Merci

Alors

Théophile va nous rejoindre aussi.

Théophile Bien sûr, il est hyper important
pour notre développement.

On est hyper fier qui nous a rejoints
à nous et qui nous a fait confiance

Patrick Patrick Bernier,

qui s'occupe de développement en Afrique
aujourd'hui,

et nos deux Belges de l'étape qui
développent pour nous en Afrique beaucoup.

Laurent et Hugues,
venez sur scène s'il vous plait.

Alors là, il y a une

belle brochette de gens hyper intelligents
qui comprennent la technique et tout ça.

Je suis hyper admiratif, Vincent.

On n'arrivera à rien de tout ça.

On se complète et on fait comme on peut.

On en avance et on avance certainement.

Et on

On a beaucoup de confiance qui nous unit,
une grosse amitié et ça marche pas mal.

Merci à tous.

On a fini par s'asseoir

Alors là, Philippe va me rejoindre
pour les questions réponses.

On est à votre disposition, on les attend.

Est ce que quelqu'un a des questions
dans la salle ?

Allez, le plus dur, c'est
la première question.

Ah ben voilà ce qui s'est encore

Yorick dans mon billet.

Merci de te lever.

Question très simple sur la Russie,

mais peut être d'abord
un petit mot aussi pour féliciter l'équipe

parce que c'est
une série de magnifiques projets.

Moi je suis vraiment très épaté
par tout ce que j'ai vu

le minage de mauvaise réputation,
le minage de bitcoins encore mauvaise

réputation.

On dit toujours que le bitcoin
utilise trop d'énergie.

Moi, j'espère
qu'il va en utiliser de plus en plus

parce que ça voudra dire
que mes bitcoins seront plus sécurisés.

Et donc c'est quand je vois vos projets.

Je suis ravi.

Et en plus, évidemment,
c'est l'énergie qui n'est volée à personne

et c'est de l'énergie
qui est de plus en plus verte.

Et donc ces projets ont tout
pour être enthousiasmant.

Alors cela dit, il y a quand même.

Ce sont des pays compliqués
et ma question porte sur l'un d'eux

qui défraye la chronique
en ce moment qu'est la Russie.

On a des échos un peu contradictoires

de ce que veulent
les autorités russes en matière de crypto.

Récemment, je crois que c'est
la banque centrale qui a dit

que les crypto, c'était très vilain
au début de la semaine et ensuite ?

Poutine est

peut être le ministre de l'économie,
mais si, s'il les crypto c'est bien,

il faut s'y intéresser.

Les Russes sont quand même très doués pour
entretenir l'ambiguïté et pour en jouer,

il le prouve régulièrement.

Comment comme vous, vous vous interprétez
ces messages contradictoires ?

Comment vous gérez cette ambiguïté ?

Comment vous voyez
la situation en Russie ?

On se laisse pas impressionner par

le fait. On a l'habitude.

Là, en l'occurrence,
quand la nouvelle Russie est tombée

parce que la semaine dernière, c'était

la Russie
va interdire le mining en Sibérie.

C'est ça la nouvelle.

Et Philippe d'envoyer l'article
et j'ai répondu à Philippe immédiatement.

Je le dis tant que Poutine sera président,

il sera vivant dans ce pays
avec de l'influence.

Le mining ne sera pas interdit. Pour nous,
c'est une évidence.

Ce projet à Saratov,
c'est un projet d'Etat.

C'est
un projet qui est totalement officiel

pour Poutine qui a un ministre
de l'énergie qui lui dit les mineurs

sont extrêmement hostiles aujourd'hui
à l'équilibre électrique de la Russie.

C'est sûr
qu'on ne va pas couper le mining.

C'était pour nous une évidence.

Et tu remarqueras Youri que il y a une
dizaine de pays, voire

onze pays qui ont pris des mesures

hyper sévères contre l'échange
et la possession de bitcoins,

notamment la Macédoine du Nord.

Je crois que c'est onze pays
ou quasiment interdit.

Il n'y a pas un seul pays qui a interdit
le mining si le Kosovo il y a quinze jours

et ils n'ont pas eu tort de l'interdire
parce que le Kosovo ne produit pas

d'électricité en ou très peu.

Ils achètent de l'électricité à l'étranger
et essentiellement sur du charbon.

Donc que le président du Kosovo
ait dit stop les mineurs.

C'était cohérent.

Mais à part ça, dans le monde, même
les pays grandissent bitcoins c'est très

très très sale parce qu'ils se sont laissé
guider par leur banque centrale.

Mais ils continuent à miner.

Il se laisse la possibilité de miner.

Même la Chine qui nous a fait un gros show
on banni le mining, continue à miner.

On estime qu'il y a entre quinze et 20 %
des ménages chinois

qui sont restés dans le pays qui mine
toujours parce que ça a tellement de sens.

On l'a vu l'année dernière,

il y a des dizaines de centrales
hydroélectriques qui se sont retrouvées

à la limite du dépôt de bilan,
en cessation de paiements.

Et tout ça parce qu'on leur avait enlevé
cette clientèle de mineurs

et ne voulaient pas qu'on leur enlève
parce qu'ils en avaient vraiment besoin.

Ils sont sur des extra capacités.

Donc il y a une discussion
qui se fait actuellement en Chine

et le mining va y revenir. Faux.

On n'a pas perdu ce concurrent
il est toujours là, il reviendra fort.

Voilà, pour le moment,
tout commence à jamais

impressionné par les nouvelles comme ça,
qui sont mauvaises parce que

on ne connaît que ça depuis 2016
et on a l'habitude de les filtrer

maintenant et de voir que souvent, c'est
juste un effet de manche des journalistes.

Il y a un article du Monde qui dit
que l'énorme coupure kazakh qui entraîne

une coupure électrique
dans toute la région

est peut être due au mining de Vitol.

Quand on lu l'article,
il n'y a pas une ligne

qui justifie ce titre,
mais c'est dans le titre. Voilà.

Donc nous ça ça nous passe au dessus
maintenant et on continue à avancer.

Mais merci pour ta question,
j'aurais dit oui.

Bonjour.

Bonjour,
j'avais trois questions différentes

Tout d'abord, est ce que les opportunités
de développement en Europe,

à part, hormis

la vision politique de la chose

qui va sans doute
vous mettent des bâtons dans les roues ?

Mais est ce que techniquement

et économiquement
il y a des opportunités en Europe

alors ?

Est ce que, à terme,
le développement des réseaux

dont j'entends bien que maintenant
il y a énormément d'opportunités

dans ces pays, dans les pays
en voie de développement ?

Est ce que, à terme, ça va rester le cas ?

Et puis, est ce que

tu as jamais eu l'envie ou en tout cas

l'incitant de centraliser ta production

et donc de construire toi même
ta centrale électrique ?

Est ce que finalement est ce que là
il y a un potentiel développement ?

Ou est ce que le système ne fonctionne
que sur les surplus et que jamais

produire sa propre électricité
pourrait être une option ?

Merci beaucoup que ces deux questions

pointues

pour l'Europe.

Oui, bien sûr,
il y a du développement possible en Europe

et notamment en France ou en Inde.

On a un parc

micro aussi, on a un parc nucléaire
qui est énorme en France.

Et évidemment il y a de l'extra capacités
sur le nucléaire.

Il est conçu pour pouvoir répondre
aux pics ce parc

et la plupart du temps
on n'est pas en peak.

Donc ça fait longtemps que j'essaie
de convaincre le gouvernement français

qu'on doit essayer le mining en France
sur les centrales nucléaires,

ça aurait beaucoup de sens.

Il y a un électricien dans la salle
qui tient à rester discret,

mais il travaille pour un groupe, un
très gros groupe français d'électricité.

Lui, ça m'intéresse beaucoup.

Son équipe travaille sur du mining,

ils ont des sites d'exploitation ailleurs
qu'en France.

Bien sûr, et on est en train d'essayer
de réaliser un POC,

c'est à dire mettre un container sur
une centrale hydroélectrique qu'ils ont.

Ça reste secret
parce que comme ça, a été dit,

il y a des bâtons dans les roues
pour ces gens là.

Quand des initiatives comme celle là
en France et en Europe en général.

Mais on a d'autres projets, notamment
avec un électricien allemand actuellement,

qui lui aussi. En cette époque,
on a vraiment des demandes de partout.

On a une grosse demande en Espagne.

Il y a John ici
ce soir, qui est un mineur basque

avec qui on travaille depuis longtemps
et un ami qui lui installe vient

d'installer des conteneurs en immersion
sur un énorme

parc solaire au sud de l'Espagne.

Donc il y a des projets en Europe
et ça va venir.

On est bien sûr.

Et donc fabriquez nous même des centrales.

Pour moi, c'est c'est une aberration
car souvent on propose ça.

Pourquoi vous acheter
pas une centrale existante

si elle est à vendre

et que on fait plus que du minage là
dessus, ça n'a pas de sens.

On y a tellement d'extra capacités.

Il y a tellement de compagnies
d'électricité à les aider dans le monde

que d'acheter une centrale
pour mines ou non.

Pour moi c'est c'est pas cohérent,
ça n'a pas de sens, mais ça

ça se fera certainement par d'autres.

Merci.

Je vais répondre à ta question

Merci.

La reconnaissance de paternité de

cette capacité sur la Libye

Oui, dans les 20 à 30 ans, c'est certain.

Parce que, comme l'a dit Philippe,
on va avoir besoin de plus

en plus de cette électricité décarbonée,
cette électricité durable.

On a tous espoir d'arriver à des méthodes
comme la fusion nucléaire

qui nous permettront de nous passer
de toutes ces sources durables.

Mais on ne l'envisage pas avant 50
ou 60 ans.

Donc il faut développer énormément
l'hydro et terminaux solaire

et évidemment au delà,

ça laissera beaucoup
d'opportunités aux mining

et le mining va beaucoup
aider au développement

de ces énergies renouvelables.

C'est ce que disait Rocard, le patron de
Hacker C'est le maillon manquant.

Et là, maintenant, ce maillon manquant,
il est identifié par les électriciens.

Donc oui, il y a une
profondeur de marché qui est énorme.

Merci.

Une question sur la gauche, mais

on se jette quand même à la capitale.

Ecoute, moi, je suis là
je te suit depuis longtemps.

Je voulais d'abord
commencer par se féliciter encore une fois

pour ce que tu fais.

Moi, je te suivais sur le verglas
et là, sur ce que j'ai vu ce soir,

c'est vraiment fabuleux.

Merci.

Du coup,
je pense qu'on partage tous nos sentiments

et je me propose de

organiser un comité
pour te donner la Légion d'honneur.

J'ai regardé, il faut 50 signatures.

C'est tout le monde

ce soir.

Ce soir,

on peut y arriver.

Ça a été vraiment

merci.

Maintenant ce cd c'est quand même
une question business.

Donc en fait la question c'est

en diversifiant les risques
parce qu'on les augmente pas.

Ça veut dire qu'on n'est pas

sûr que

va y avoir un pays ou y avoir un problème.

Et du coup techniquement ça va augmenter

les coûts de kW
par rapport à d'autres producteurs.

Je sais pas si c'est clair.

Ben je ne suis pas sûr.

En fait, quand tu vas sur des pays risqués

que tu a plus de chance, qu'il y en ait un
qui pète, que c'est un sur un.

Et du coup en diversifiant quelque part,

t'es sûr que tu augmentes ? OK,

Oui, avant un incident

ou des problèmes quel qu'il soit.

Et du coup ça fait que ton prix

ajusté du risque augmente.

Puiser c'est comme pour les c'est
comme pour les Asics.

On dit à nos clients
ne pas acheter un seul ASIC

parce que s'ils tombent en panne

ils n'ont plus rien
et le temps qu'on le fasse

réparer ou encore envoyer en Chine
et ne plus produire pendant six mois.

Donc on explique depuis longtemps
aux clients que ça devient

un sport de riches.

Il faut beaucoup de Asics pour diluer
ce risque de panne.

Ce risque mécanique là, c'est un peu
la même chose avec les différents sites.

D'abord, on n'est pas que sur des sites
dans des pays sensibles.

On est accueilli de manière
extrêmement officielle.

Dans les trois premiers pays que j'ai cité
à Oman, on est dans une sécurité totale.

En revanche,
c'est l'équivalent en France, c'est sûr.

Comme la Suisse par chez nous. Donc,

là aussi, on est protégé dans la mesure
on est accueilli par l'Etat.

Et sur les autres pays ?

Oui, il y a du danger. On en a conscience.

Mais jusqu'à maintenant,
on s'est jamais fait voler une machine.

Dans ces pays là, on sait sécurisé.

C'est des pays qu'il faut connaître.

Alors nous, on n'est pas des spécialistes
de l'Afrique, mais nos partenaires

le sont.

Des gens qui sont là
depuis très longtemps.

Laurent
Il a vu son père créer son entreprise,

donc il était tout petit,
il connaissait déjà l'Afrique.

Voilà, on se protège comme ça.

Mais effectivement,
la question est pertinente.

Il ne faut pas que des pays

extrêmement dangereux, sinon on est sûr
d'en perdre un tous les emplois.

Et ça serait trop dangereuse parce qu'il
faut mixer, parce que je peux dire un mot

sur la diversité Richard veut dire un mot
sur la diversification.

Justement, sur moi, là, j'interviens
en tant que

financier investisseur, parce que je suis
totalement en conflit d'intérêts.

Puisque je vais investir chez Sébastien

et avec Didier Darcel notamment,
qui est là,

qui travaille chez Gasquet
à L'intelligence Software,

donc des gens qui font
de la gestion de portefeuille.

La notion de risque d'un
point de vue financier, elle est très liée

à la décorrélation du risque.

Et là, je regarde, il faut Fati
qui est là aussi et qui gère des fonds.

Un fonds s'appelle Tobam, des fonds tobam
Et en réalité, plus vous avez

de risques décorrélés les uns des autres
et plus vous êtes solide.

D'autant plus que les rendements
sont assez indécents

parce qu'on est sur une stratégie
du dernier survivant.

Donc, si je dis n'importe quoi,
vous avez 15 % de rendement.

Vous avez dix silos business
qui sont décorés les uns des autres.

S'il y en a un qui pète pour une raison
ou pour une autre, je m'en fiche.

Et au final, vous avez perdu 10 %.

Vous allez mettre moins d'un an à assurer
vous même votre risque.

Donc, en réalité,
on peut même calculer un taux d'explosion.

On va dire ça comme ça

sur un des silos et c'est beaucoup

plus résilients que si vous avez
mis tous vos œufs dans le même panier.

Si le risque se matérialise,
il est absolu.

Parce que c'est votre business
qui, englouti dans un trou noir.

Et là, moi, je n'aurais pas mis.

Et c'est ça.

En fait, la force, c'est de dire
on n'a même pas besoin de calculer

entre guillemets.

En tant qu'investisseur,
le risque par pays,

le plus important, c'est la décorrélation.

Et là, globalement, quand j'entends
parler du Kenya, du Salvador,

du Tadjikistan et de pays
dont je ne savais même pas

qu'ils étaient
ou ils étaient sur la carte,

je sais que si ça pète au Kenya,
ça peut être a pas en Russie.

Forcément,
je vois pas le lien de cause à effet.

Donc c'est au contraire,

pour moi c'est une propriété diversifiée
comme dirait Eve qui fait oui de la tête,

qui est au

contraire très importante
et très précieuse.

Est ce qu'il y a d'autres questions ?

Marc Delpierre, pilote de course
donc ça va aller vite,

ça va aller vite.

Oui, parce que vous avez en plus répondu
à une partie

de la question que je voulais poser
pour ce qui était du risque.

Parce que je pense que dans l'assemblée,
la majorité des gens

connaissent le bitcoin.

Les risques qui y sont affectés.

Mais je pense qu'il y en a aussi
qui ne le sont pas.

Ou il y en a qui vont devoir,
entre guillemets, vendre le projet

pour que des gens investissent dedans.

Alors pour ce qui est du risque,
vous avez très bien répondu à la question.

Évidemment, puisque ça permet de le lycée.

Et dans le business model
que vous avez établi, comme bien

d'expliquer Richard, de toute façon,
les risques devaient être diminués.

Mais comme tous les investisseurs privés,
ce qui les tracasse souvent, c'est

les risques qu'ils courent

embrayent
sur le court et sur la volatilité.

On est en Père-Marquette,
tu as le dernier survivant.

Alors il y en a toujours un qui va dire
oui, mais bien au moment ou tu vas mourir

quand même, alors que tu pourrais
les rassurer pour donner un argument.

Quand on commence à plonger jusqu'au
ou on peut plonger pour que tu t'en sorte,

encore puisque 20 4 h sur 24 presque,
on se réveille à 3 h du matin.

Quand on reçoit une alerte sur une market
cap, on voit le bitcoin

qui est à 20 000 et plonge à 15 000
et il va plonger à 12 000.

Et puis là, toi,

tu peux couper ton téléphone
parce que je pense que tu dormira

pas de la nuit tellement
tu vas recevoir des messages d'alerte.

Donc de ce que tu peux
donner, un point de repère

Je vais une partie de la réponse
évidemment sur le court,

qui est un peu naïf
mais qui est quand même un point important

pour les investisseurs privés,
mais sans expérience de18

Oui, bien
évidemment, c'est un risque identifié.

C'est pas pour nous, c'est pas un risque.

La chute de cours parce que le protocole
Bitcoin à cet avantage

d'avoir d'abord
une à s'adapter aux forces en puissance.

Dire que si le cours chute beaucoup,
comme l'a expliqué Richard tout à l'heure,

on a pas mal de concurrents
qui coupent les plus chers, les moyens

chers, les pas trop chers
et ainsi de suite.

Donc ce serait tombe quand ça tombe,
la difficulté descend, quand la difficulté

descend on gagne plus de bitcoins,
alors il y va le moins cher.

Mais notre but ici à tous, c'est
d'accumuler

les bitcoins que BP, GS
à cette CO crée des bitcoins.

Tous les ans et les cumuls

on dépense le moins possible,
on va en dépenser très très peu.

Donc si on se met à en créer
plus, c'est le jackpot

parce qu'on n'est pas pressé de
les vendre.

En fait,
il suffit d'attendre que ça remonte.

J'ai bien répondu Richard.

Tu voulais en rajouter une juste
une petite chose là dessus.

C'est intéressant
parce que si vous vous achetez du bébé

GS, vous achetez du bitcoin miner
plutôt que du bitcoin de marché.

Et si vous achetez du bitcoin,
vous savez qu'il y a un risque

plus que s'il n'y avait pas de risque,
le cours serait déjà stable.

Ce qui fait qu'il n'est
pas encore à son sommet stabilisé.

La volatilité, c'est la courbe d'adoption
et ça, ça matérialise un risque.

Peu importe de quelle nature qu'il
soit, c'est un raisonnement financier.

Donc, si vous achetez du bitcoin,

vous savez qu'il y a une
probabilité non nulle, même si petite que

disparaisse
pour une raison ou pour une autre.

Donc vous avez

un risque intrinsèque à Bitcoin
Ce qui est intéressant avec Sébastien

Bébé, j'suis pas tout seul à chaque fois.

Je dis Sébastien, mais ils sont nombreux,
c'est que là vous avez du bitcoin

moins chère et du bitcoin,
un meilleur industriel, du bitcoin de gros

et au final que lui ne partira pas avant
Bitcoin.

Si, si, BB GS meurt.

Ça veut dire que Bitcoin a une
drôle de tête

parce qu'il sera le dernier
dans les derniers derniers mineurs.

Et comme il y a 200000000
d'utilisateurs dans la crypto aujourd'hui,

pour que bébé GS ou des mineurs à 0,04 €

disparaissent, il faudrait vraiment
que ce soit très très très mal en point.

Donc en fait,

on peut dire que le risque est le même
sur BB, GS existentiels que sur Bitcoin.

Et après chacun appréciera
la capacité de Bitcoin à survivre.

Bravo !

J'ai vu qu'Alex s'est posé une question
Ça risque d'être vendu.

Et puis il s'exprime très bien en plus.

Alex.

Salut, je vais,
je vais me joindre aux félicitations.

Franchement, c'est top ce que vous faites

et je pense qu'on gagnerait

même au delà de ça,
le médiatiser plus on le dit,

on a tous un problème sur l'image
de ce genre de choses en France.

Pas qu'en France d'ailleurs,
mais en France particulièrement.

On est dans un temps

que tout le monde connaît,
qui est un temps politique important

et donc je pense que ça peut être un
des leviers

à très court terme de médiatisation,

de parler même du nombre d'emplois
qu'on crée, de la valeur qu'on apporte,

mais vraiment bravo pour tout
ce que tout ce que tu présente là.

Tout ce que vous présentez là, parce que,
comme disait Richard, vous êtes beaucoup,

parce que c'est fou, c'est vraiment,
c'est vraiment top.

J'ai quand même une question

c'est une

question plus d'ordre d'appréciation.

Entre les coups d'avant vente,
les coûts de négociation, les coûts

de mise en place
sur un pays de démarchage, l'achat

des machines de contact
à la centrale, etc,

combien de temps tu mets en moyenne
ou tu penses

mettre en moyenne pour rentabiliser
un site à prix de bitcoins constant ?

Je ne suis pas 30 000 aujourd'hui.

Les coûts d'infrastructure en fait
sont presque insignifiants

par rapport au coût du hardware
par rapport au coût des ASIC.

Mais vraiment c'est de l'ordre de toute
l'infrastructure, c'est de l'ordre

d'à peine entre huit et dix actuellement,
ça peut être beaucoup plus en 2018.

C'est beaucoup plus.

Quand on voulait installer des esclaves
qui valait pas très cher,

on avait des conteneurs qui valaient aussi
cher qu'aujourd'hui.

Aujourd'hui, un conteneur,
je dis n'importe quoi à 100 000 $.

Si l'intégralité du hardware cotait
5 millions de dollars,

c'est une goutte d'eau.

Mais quand ça valait 100 000 $
et que les machines tu vas, les 150 000 $,

c'était très important.

Donc non, aujourd'hui les infra
franchement

le câble a énormément augmenté,
les transfo enormement augmentés.

Il y a des allongement des délais
qui sont dingues,

ça nous pose de vrais problèmes.

Le transport aérien a explosé en prix,
le transport maritime aussi.

Ça fait maintenant dix huit mois, deux ans
qu'on est confronté à ça,

donc on connait ces problématiques là.

Mais pour le reste

non. En

revanche,
je reviens sur sur la communication.

C'est aussi pour ça
qu'on a fait cette soirée.

Parce que tu sais,
ça fait des années que je réagis

parce que je sais ces chantiers là,
je les vois depuis des années.

Je ne peux pas les dire parce
qu'on est obligé de garder un minimum

de secret pour ne pas se faire piquer
les projets essentiellement.

Donc nous ça nous fait bouillir.

Évidemment, à chaque fois qu'on entend

parler de catastrophe écologique
ou de truc comme ça.

On a voulu faire ça aussi
et c'est pour ça que Raphaël est là.

Et d'autres journalistes
pour que il puisse se rendre compte

que ce n'est pas une vue de l'esprit,
ce qu'on raconte.

Il y a vraiment des excédents incroyables
dans le monde

parce que nous, on a trouvé 900 mégawatts.

Mais je suis très très loin
d'avoir fait le tour du monde.

Et puis, on est une petite équipe
quand même.

Donc il y en a évidemment
beaucoup, beaucoup, beaucoup plus.

Et oui,
plus on pourra communiquer là dessus.

Peut on entendre le coup
à cette espèce de légende urbaine

qui voudrait que le mining
soit une menace écologique ?

C'est tout le contraire.

Merci.

On a une question ici de l'Etat quelle
bataille donc à hauteur de Bitcoin ?

La monnaie acéphale, avec Jacques Favier,

et le célèbre
Bravo pour le chemin parcouru.

C'est que je me souviens de quand j'étais
venu à Nantes dans la mine.

Et petite question à une période

comment dire les fabricants d'Asie
qui étaient un vrai cartel ?

Là, ça l'est un peu moins.

Ça, c'est un peu d'écarter, disaient
on va dire,

parce que les Ricains commencent
à se pencher dessus. Les Japonais aussi.

Ce genre de choses,

tu l'évalue
comment ce risque opérationnel ?

Un cygne noir des des asiatiques
soit de problèmes de patterns,

soit de problèmes de de fabrication
des terres rares, de la supply chain.

C'est une industrie en tant que telle
qui impacte directement et comment.

Du coup, comment tu la vois et comment
tu vois ton risque par rapport aux ASIC ?

Et là on ne

parle que du primaire, là tu parles
que du primaire, de la chasse primaire.

Mais il y a aussi aussi
un marché secondaire

qui rentre aussi en ligne de compte

exactement.

Bon, déjà,
on en a du confort pour les douze mois

qui viennent parce qu'il y a encore
énormément de machines sur les étagères.

On a vu qu'après le banc chinois,

on avait eu une chute importante
de plus de 50 % du fret mondial.

Il est revenu au même niveau.

Mais pendant ce temps là,
il s'est passé neuf mois

et pendant neuf mois,
les fabricants ont continué à construire.

Donc ça veut dire que aujourd'hui,
on est revenu au même niveau

qu'avant le man chinois.

Donc il y a peut être un neuf.

Dis moi, je sais plus alors que les usines
ont continué à construire.

Donc il y a encore
un potentiel de machines

sur les étagères, que ce soit en en neuf
ou en occasion qui est énorme.

On peut presque doubler le rachat encore

avec les machines
qui existent sur le marché.

Ça, c'est une donnée.

Donc on est tranquille pour douze
ou dix huit mois

et après c'est la même chose
que dans tout matériel électronique.

Peut être qu'il n'y aura plus
assez de terres rares pour les fabriquer.

Il faudra trouver d'autres technologies.

En tout cas, l'offre aujourd'hui,
c'est vraiment, comme tu l'a dit,

d'écarter, c'est à dire que il y a dix
huit ou dix neuf fabricants d'Asie.

Aujourd'hui,
ça me laisse l'embarras du choix.

Et puis évidemment, comme tu l'a dit,
les Américains s'y mettent.

C'est pour ça que j'ai présenté
le partenariat avec Black Stream

parce que pour nous, c'est
hyper important.

On a tout de suite le vélo en disant
on va être votre premier client

et ça, ça me sonne, ça me sonne
mots, m'a dit On va aller plus loin

que juste ce partenariat
ou tu seras notre premier

gros client rachète sa première commande
et on fait du buzz dans les journaux.

On va faire mieux que ça et on prévoit
six mois d'essai pour nos ASIC

pendant ces six mois là,
on met les machines,

on met un gros lot de machines
dans nos propres fermes

et on les tests du bloc
va partager ces tests.

Donc dès le début des six mois,
on va vous envoyer un stock de machines

et vous allez faire les tests
en même temps que nous

et on va publier nos tests en même temps.

Bref, tout ça pour dire,
quand on en a la possibilité

aujourd'hui, de ne plus travailler
qu'avec les Chinois.

Et déjà ça c'est une ouverture
qui est intéressante.

On a des projets avec le Salvador
pour déplacer la fabrication des ASIC au

Salvador parce que le pays est volontaire
et que c'est facile à faire.

Ça fait des années que je le dis.

Richard m'avait interviewé à ce sujet là.

On peut tout à fait fabriquer des ASIC
en France.

Apparemment,
la France ne veut pas de notre industrie,

donc on va la créer ailleurs.
Mais ça, on peut le faire

Est ce
que j'ai bien répondu à ta question ?

Allez donc, on a

ou est
ce qu'ils font ce qu'ils font déjà ?

Parce qu'ils font déjà beaucoup moins.

Justement, depuis la restriction
minière en Chine, beaucoup moins

alors que les premiers ont été contraints
de dégager ces bits.

Même expédie plus de machines de Chine.

En gros, tout son business.

Ils l'ont délocalisé à Hong Kong.

Voilà

Et tu aurais pu citer aussi
le projet de Jack Dorsey.

Le blog

Road MAP est un avenir néanmoins.

Et Intel qui sont de nouveaux participants
de ces acteurs.

En tous les cas,
il y a des investissements énormes

sur ces sujets
pour produire et produire ces ASIC

puisque des investissements des usines
pour fabriquer des ASIC se comptent

plutôt
en centaines de millions de dollars.

Vers, il y a Laurent
Bénichou qui veut poser une question.

Je le vois depuis un moment Laurent
en tentant

de faire des crocs à Laurent

je donne mon micro.

Allez,

on va commencer par Laurent Ruquier

qui s'impatiente
et qui prévaut sur sa chaise la

depuis tout à l'heure pour avoir un micro
comme il est devant moi.

Président débat.

C'est juste que comme ça rejoignait
la question

d'Alexandre, je voulais

parler à ce moment là.

En fait,

j'ai pas très bien compris et je vous pose
la question est ce que c'est peut être.

Je ne suis peut être pas

le seul dans la salle et c'est peut être
parce que j'ai pas reçu le document.

En fait, est ce qu'avec Bibi GS
vous changez de business model

et que du coup, en faites vous remonter
le capital au niveau de l'entreprise

et que c'est l'entreprise
qui va aussi acheter les machines,

ce qui n'est pas le cas aujourd'hui.

Non, j'ai ajouté une machine.

Ou est ce que vous continuez avec
le business model ancien que de dire ?

En fait non, on est opérateur de service
et on permet à des gens d'acheter

les Asics.

OK, et du coup, parce qu'en
tant qu'investisseur aussi, tu te dis

est ce que je mets
tout mon enveloppe dans BB, GS

ou est ce que j'en garde 50
pour acheter des actions aussi ?

Alors ni l'un ni
l'autre, mais mieux que ça.

En fait, ce qui est créé, c'est

une société de financement
qu'on appelle donc BB, GS

à sept CO et dans lequel,
au lieu d'acheter des machines, j'achète

des parts de cette société

qui achète des machines, ce qui permet de
faire ce que j'ai présenté tout au début

et dont on a parlé plusieurs fois,
qui est la mutualisation des risques.

Qu'en fait, tu n'es pas propriétaire
de la machine qui est propriétaire

de parts d'entreprises
qui elle même achète une machine.

Donc ça c'est classique
dans les financements d'infrastructures.

On a donc une A7 Co
qui ne porte que les A7.

Les A7, c'est quoi dans ce business ?

Ces deux machines ?

Donc ces machines ensuite
se constituent un peu comme toi,

tu es client de BB, GS devient client WGS.

Si le contrat de métayage avec BB, GS
achète

la machine chez BB, GS
ou une filiale de BB GS peu importe.

En tous les cas achète
la machine à travers PGS

et ensuite reçoit en fait
la production depuis B, GS c'est clair.

Voilà.

En gros, avant les clients
nous achetaient des machines,

ils ont plus cette possibilité là.

Donc maintenant notre seul client
va de bébé GS à sept Go.

Alors là pour répondre simplement à ça.

Merci d'abord pour la présentation.

Je suis experte et a des aventures
depuis un certain temps.

Et puis je suis content d'être aussi à
Virunga avec toi en machines en tout cas.

Et j'avais deux questions.

Une très technique que vous avez
que Philippe a mentionné

au début d'après vous avez pu parler,

c'était ce que vous faisiez
avec les bitcoins qui étaient récupérés.

Tu parlais de les réutiliser
aussi dans la nouvelle finance

et avoir un peu plus de détails là dessus.

Et puis après une question
d'ordre géopolitique, parce que pour moi,

le maillage de Bitcoin,
ça va être géopolitique et géopolitique.

Déjà, en fait.
Et puis ça va devenir de plus en plus.

Et à quel moment le prix de l'électricité
va être pressé en Bitcoin ?

Oui, le principe est simple.

En fait,

la trésorerie
qui est en bitcoins à l'intérieur

peu, éventuellement en fonction
de ce que décideront de ce que décideront

les actionnaires Pouvoir être placé
pour pouvoir, comme toute entreprise,

de placer sa trésorerie
pour pouvoir la faire fructifier.

Et c'est ce qui est proposé d'être fait
en utilisant en fait des principes

extrêmement simples et surtout des experts
du sujet de façon à faire fructifier.

C'est un placement de trésorerie
assez classique, certes,

en utilisant les principes
de la décentralisation et donne

donc probablement à penser Bitcoin
et puis en

les placer dans des protocoles

sur On va essayer
d'avoir des principes de gestion

rassurant pour les investisseurs,
mais en tous les cas de placements

de trésorerie assez classiques
mais ce qui permet d'augmenter.

On l'a montré d'ailleurs dans le business
plan qu'on a fourni à certains

qui l'ont demandé, qui permet d'offrir
un retour sur l'equity qui est quand même

assez intéressant et qui crée un levier
qui n'est pas à négliger.

Et de pas en fait
que la production baisse au fil du temps

d'un batch

de machines En fait, ces principes
de placement de la trésorerie

permet de diminuer, diminuer
en fait la baisse de production.

Par ce surcroît de de bénéfices.

Quant au paiement de l'électricité
en bitcoin, c'est Alexis qui parle.

Voilà

si la monnaie légale
et le bitcoin opèrent en bitcoins.

En revanche, que l'électricien nous fasse
payer une partie de notre production

plutôt que de nous faire payer son
électricité en dollars Oui, on va y venir.

C'est une idée que j'avais

avait donnée au ministre de l'Énergie
en Géorgie en 2017.

A l'époque, j'avais été reçu,
donc pas par ce ministère.

Par le ministre lui même.

Et il me disait On commence à avoir
trop de mineurs à un moment.

Vous arrivez vous en 2017 ?

Et je leur avais expliqué
que leur politique

n'était pas la bonne qui devait avoir
et parce qu'ils me disaient

pour arrêter

l'invasion des mineurs,
on va augmenter le prix à distance.

Mais vous allez tous les perdre

et ça va créer un déséquilibre énorme
sur votre réseau.

Ce qu'il faut faire si vous voulez
être attractif pour les mineurs,

c'est prendre un tout petit bout
de la production en bytecode,

mais pas écouté à l'époque.

Mais j'en ai parlé avec Monique à terre
et à eux au Salvador.

Ça, c'est
une idée qui commence à faire son chemin.

Donc je pense que oui, très rapidement,

dans cinq ans,
dans dix ans, on verra notre électricité

sur une partie de notre production,
je pense.

On prend deux dernières questions
parce qu'après,

il y a un planning et je voudrais répondre
à une question qui n'a pas été posée.

Ça, c'est original, mais ça va dans
le sens de ce que tu disais à l'instant.

C'est qu'on propose aussi
aux investisseurs

d'avoir un retour
qui est un retour, effectivement.

Une clause de liquidité
qui leur permet de retrouver le cash

qu'ils ont mis dans leur permet
d'avoir ce retour également au bitcoin.

Donc pourquoi ?

Parce que dans le schéma

initial, lorsque vous achetez des machines
chez BB GS, vous envoyez des euros,

vous avez votre machine
et vous recevez des bitcoins.

Dans le schéma, vous achetez des titres,
vous achetez avec des euros, des titres.

Lorsque vous on vous rachète ces titres,
vous avez des euros.

Là, on va mettre en place
une clause de légitimité

grâce à des avocats de travers les mines
que je vois au fond de la salle.

Il y a une clause qui vous permet
également d'avoir la possibilité

de retrouver en fait plutôt du bitcoin

à la hauteur de ce qui a été produit par
le pour centage de votre investissement.

Une dernière question just inside

Quand on sort cette statue,

on voit très rarement le biogaz utilisé
dans le mix énergétique des mineurs.

Quelle est la raison Deuxième question

est ce que vous comptez valoriser
la chaleur émise par les mineurs

pour chauffer des bâtiments
ou pour un autre usage ?

Pour ce qui est du biogaz, c'est
une très bonne question.

C'est proportionnel
à cette offre de biogaz.

C'est une production d'énergie qui est
plus petite dans le monde aujourd'hui.

Mais alors c'est peut être un scoop
pour toi, mais on mine déjà sur du biogaz

parce que on a créé une petite ferme
sur une usine

de méthanisation agricole chez nous,
dans le 44, avec mes copains agriculteurs.

Ca fait partie de l'aventure
dès 2017, donc ça fonctionne très bien.

C'est très simple,
il produit de la bonne électricité.

Au Salvador, par exemple, il y a la.

Il y a de la production de biogaz.

Donc là, on va miser sur du biogaz.

Au Salvador,

c'est certain, c'est que c'est peut être
3 % de l'énergie produite au Salvador.

Aux 4 %, je crois.

Donc ça ne sera jamais que trois ou 4 %
de notre mining dans ce pays là.

Mais c'est cette proportion là.

La deuxième question, c'est

utiliser la chaleur

qu'il faut avoir.

Il faut avoir un marché
pour cette chaleur.

Et comme l'a expliqué Richard
tout à l'heure, on se voit.

Les premiers mineurs qui coupent, c'est
ce qu'ils ont

dans les grands centres urbains ou à côté.

Il y a une équation à trouver.

Pour l'instant, la personne n'a trouvé

la problématique de chauffer,
c'est que c'est pratique

d'avoir des mineurs qui chauffe
l'hiver à la place des radiateurs.

Mais qu'est ce qu'on fait de sa chaleur
l'été, quoi ?

Et en ce moment là,
retournez dans tous les sens.

Alors il y a des cahots.

D'abord, la chaleur est maintenant très
facile à manager parce que dans le temps,

on travaille avec du refroidissement
par Air Shop à la sortie de conteneurs.

Un air qui est à 55 degrés, c'est
rien d'enfer ou très peu de choses.

C'est pas facile tu peux chauffer
des serres, c'est à peu près tout.

Ne sert pas tomates
avec les chaînes cooling.

Il y avait des images qui tournaient.

Quand j'ai montré au Mans,
je voulais faire un petit focus du Japon.

J'ai oublié avec les meilleurs.

Je ne savais pas faire de refroidissement
par eau, du trompe des machines

dans un liquide refuge et dans un échange
thermique avec de l'eau.

Donc tu peux chauffer de l'eau
et de là, de manière extrêmement précise,

régulière et tu peux la régler,
tu peux régler ton thermostat.

Donc là, tu peux t'en servir.

Pour chauffer des bâtiments,
il faut les marchés.

Là, on avait travaillé pas mal

avec des boites françaises avec énergie,
notamment dès 2017 sur ce sujet là.

Dès qu'un market, tout s'arrête
au niveau recherche et développement.

Donc ils ont laissé tomber
cette histoire là.

Et puis on en a plus besoin nous.

Mais oui, je suis convaincu que le mining
chauffera les bâtiments un jour.

Ce que fait Wise Mining,

on va voir, ça les amène,
mais l'expérience est très intéressante.

Alors pour les investisseurs
qui n'ont pas le dossier,

ce qui est certain.

Personne ne va, moi, mes clients,
non pas pour aller pour les investisseurs

qui n'ont pas le dossier
on a à votre disposition bien sûr

avec Sébastien, pour vous fournir
le dossier qui comprend tout un tas

d'informations précises que vous posez
probablement

sa compagnie également.

Donc je vous le signale à fort vouloir
envoyer un exemplaire dont je plaisante.

Vous prenez le temps de lire, de bien,
de bien considérer tout

ce qui est à l'intérieur, de nous donner
des feedbacks si vous en avez

et ont à votre disposition
pour répondre à toutes ces questions là.

Voilà, c'est fini.

On va aller boire un verre

juste cette première levée de fonds
et la clôture est au 3 mars. Donc

il n'y
a pas de limite en termes de montant,

mais une limite de temps
qui est très courte.

Donc vous faites partie des

ça ça veut dire des privilégiés,
des gens qui savent avant les autres,

avant que la presse ne s'en empare
et qu'on soit hyper sollicités.

Je vous remercie de votre attention.

C'était long et j'espère que c'était bon.