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Je rêve que je suis la natation.

Quand je nage dans la mer, je me sens libre.

Ma mère m'a appris à nager.

Ma mère a toujours aimé voyager, prendre des photos, l'enregistrement.

Ma mère et moi sommes allés à Buenos Aires

rendre visite à mon frère qui y travaillait.

Nous serions ensemble une fois de plus, les trois d'entre nous.

Nous sommes arrivés le 24 Décembre 2014, le matin.

Le après jour, au numéro 1326

de la rue Moreno à 05h50

ma mère

a cessé de respirer.

Vous pouvez encore sentir sa chaleur, si vous se rapprocha d'elle.

Je fermais les yeux.

Ce qui a été perdu

Il semble qu'elle dort.

Elle est en train de rêver.

Le nom de ma mère était María.

Elle ferma les yeux

et le monde va encore.

Sa bouche était à moi, elle ne me baiser plus.

Les échos ou son rire fort perdu connaissance,

et cruelle est que le silence qui me fait me sentir si mal.

Cette douceur miséricordieux de ses mains était la mienne,

les mains qui caressaient gentiment mes peines.

Maintenant, je lui rappelle, inmerse dans ma dévastation,

larmes tressées refusant de se produire.

Je n'ai pas le confort de pouvoir pleurer.

Pourquoi vos ailes, si cruelle, la vie brûlée?

Pourquoi ce visage sinistre de la chance?

Je voulais mettre à l'abri, mais sa mort était plus puissant.

Comment la blessure fait mal, l'approfondissement.

Je sais que maintenant les visages étranges

viendra offrir polycopiés de secours à mes angoisses ...

Tout au long de sa vie, ma mère avait de nombreuses photos prises.

J'ai fait moi-même certains d'entre eux.

L'un des derniers, une demi-heure après son décès.

Le dernier, deux semaines après quand son corps était en train de pourrir.

Ni mon frère ou moi peut oublier cette image.

Mes proches, ceux qui forme une partie de mon enfance

ont commencé à mourir et ils ont tous l'ont fait seulement dans une décennie.

Les appels téléphoniques de ma mère:

« Grand-mère est décédée ».

« Tante Regina est mort. Nous la prendrons à Tarancón ».

Mon frère me appelle:

« Papa est mort ».

Et ma mère il y a un an.

Un mois après sa mort, nous jetions certaines de ses choses,

et gardé quelques autres.

En voyant ces objets,

Je me suis immédiatement identifié Regina, ma grand-tante.

Elle était comme une deuxième mère à ma mère.

Mon grand-père avait appareil semblable à celui jusqu'à sa mort.

Et si Regina avait gardé?

J'ai cette photo parmi mes souvenirs d'enfance.

Peut-être était la première photo prise avec cet appareil photo.

Regina, très jeune, appuyant sa main sur la chaise;

mon grand-père, bien habillé, vêtu d'une cravate.

Ses frères et les parents aussi apparaît.

La famille Solera, y compris Quinito, le chat.

1937.

Dans une cour de Tarancon ...

qui n'existe pas de plus;

il a été démoli peu après l'enregistrement de cette image.

J'ai développé des films trouvés parmi les boîtes.

Je découvre une photo de mon père, je l'ai pris moi-même.

Pas même à la fin de sa vie je pu,

sauf pour une occasion, il a été mis sous sédation dans un lit- hospitalier

de tenir sa main fermement et lui dire que je l'aimais.

Mes parents vivaient dans la même rue;

néanmoins, ils ont commencé leur relation dans un hôpital.

Combien de fois seraient-ils endommager

dans l'autre avant cette rencontre?

Est-ce qu'ils se saluer?

Ont-ils prêter attention à l'autre,

en revenant du travail

ou quand ils sont allés faire du shopping?

Leur premier rendez-vous: « Docteur Jivago ».

Ils l'a regardé au « Cinéma España »,

un cinéma auquel mon père fréquentait

après le travail à l'abattoir terminé,

ces doubles factures: un sur les Romains, l'occidentale.

Peut-être est là que réside la passion commune de mon frère et je partage pour les films.

Raúl, parlez-nous de « Dr. Jivago »!

« Docteur Jivago » est au sujet, je ne sais pas!

A propos de révolutions, les batailles, les guerres, il y a un peu de tout

là, des histoires différentes,

mais, surtout, il est de l'amour; c'est la chose importante!

Lara et Docteur Jivago.

Il y a une autre femme, mais ce qui importe est Lara et Docteur Jivago.

Ils tombent amoureux, ils ont des rapports sexuels et ils ont une fille.

Un peu de tout se passe là-bas.

En trois heures, imaginez!

En fin de compte, ils ont perdu contact.

Et cette séquence finale dans laquelle le docteur Jivago

est sur le tramway, il voit Lara dans la rue,

il descend du tram, court après elle,

et meurt juste là d'une crise cardiaque,

Comme c'est terrible! C'est horrible,

il fait pum! et il meurt.

Putain il est triste, triste,

mais, savez-vous quelle est la chose importante?

Il est que ma maman et papa aimé le film,

quand ils sont allés regarder,

et ils l'aimaient tellement que grâce à ce que je suis ici maintenant.

Alors, comment am terre

Je ne vais pas aimer « Docteur Jivago » ?!

Bien sûr, je l'aime! J'adore « Docteur Jivago »!

Mes grands-parents se sont mariés

et vécu à Barcelone pendant la guerre civile.

Je me demande quelles histoires il y a derrière ces photos;

beaucoup d'entre eux ... restera caché.

Ca y est, je vous remercie!

Est-ce que c'est ça? D'accord!

Il est curieux.

Je ne peux pas trouver des photos dans lesquelles la guerre

est représenté avec crudité.

Il était là, mais sur les photos,

il sûrement envoyé à ses parents et ses sœurs,

Grand-père n'a jamais voulu la douleur spectacle, mais l'espoir;

« Méditerranée: les terres soeur ou d'un cimetière pour les pauvres? »

il n'était pas un journaliste, mais un père de famille.

Ensuite, ce fut la première fois

la population civile a été bombardée pendant la guerre.

Les gens couraient vers des abris et se cachèrent

là jusqu'à ce que les avions sont partis.

Mon père est né au cours d'un attentat à la bombe,

en avril 1938,

dans l'usine où Francisco son père a travaillé

comme gardien à Puente de Vallecas.

Regina et José Luis ont vécu très près de là.

José Luis a été le dernier partenaire de Regina.

Quand nous étions enfants, nous sommes allés souvent à leur maison

et a déjeuné avec eux dans les jours fériés.

Ils nous ont raconté des histoires sur la guerre civile et les années d'après-guerre.

Par-dessus tout, José Luis,

qui était un soldat républicain.

Regina mentionné parfois avec désinvolture son premier petit ami, Pepe;

il est mort très vite, juste après avoir été libéré de prison.

« Pour mon bien-aimé Regina ... »

Regina a travaillé comme infirmière dans « el Hospitalillo » pendant la guerre.

« El Hospitalillo » a été l'un des hôpitaux de Tarancón.

Combien il y avait?

On suppose qu'il pourrait y avoir deux ou trois hôpitaux;

il est pas très clair.

Ils sont les hôpitaux de sang; cela existait bien avant la guerre.

Il y a une bataille, il y a beaucoup de blessés

et beaucoup de gens du pays employé ici;

parmi eux, Regina, votre grand-tante.

Il y avait beaucoup de travail du personnel en tant que cuisiniers, infirmières,

et même les médecins du réseau de la santé civile

ont également été incorporées à ces tâches.

Depuis les années nonante, il a cessé d'être utilisé, à la fin des années nonante,

et maintenant il est assez délabré.

Un jour, quand je rendais visite à Regina et les tombes de José Luis,

J'ai découvert que l'un Allan Craig est mort dans « el Hospitalillo ».

Et si elle était avec lui dans ses derniers moments,

quand sa vie glissait si loin de

sa patrie et son peuple?

Allan Craig a été un membre de la brigade internationale

qui ont quitté Dundee, en Ecosse,

avec son frère pour lutter contre le fascisme, ici en Espagne.

Il est mort à cause du feu amical;

il se trouva parmi les lignes de front

et a été blessé par le feu républicain.

Il a été transféré ici pour Tarancón à l'hôpital

et mourut deux jours après.

Allan junior a été soixante-dix ans à la recherche de son père.

A la fin des années soixante-dix

rénovation et agrandissement du cimetière est décidé

de mettre toute cette zone à l'utilisation, des niches de construction, etc ...

Tout a été supprimé.

Je ne pourrai jamais oublier le visage d'Allan

quand il est arrivé et m'a demandé: « Où est mon père? »

et je lui ai répondu: « Ton père a été jeté à la décharge ».

Pour ma mère -Je suis dans ce à cause de ma mère,

il était très important de voir son père et son grand-père dans une plaque.

Gardez à l'esprit que reconnu,

lorsque le juge Garzón compilait des données,

autour de cent mille victimes quelque chose sont sortis,

mais, je vous ai juste dit

que je ne pas savoir combien manquent sur cette plaque,

Je ne pas savoir combien de personnes qui sont mortes dans la capitale Cuenca

sont portées disparues et je ne sais combien sont morts dans les villages en raison de la torture.

Je l'ai dit ce matin, même le deuil a été refusé à ces personnes.

Et c'est délibéré parce que sans deuil,

ils sont vulnérables, stigmatisés, séparés ...

Cette histoire personnelle de la mine va beaucoup plus loin;

il va au-delà des questions personnelles, et se retrouve dans les collectifs,

fondamentalement, parce que je remarqué qu'il y avait des gens

avec un incroyable fardeau de la peur

et il valait la peine de faire un effort pour soulever un peu,

quelques centimètres, que la pierre tombale de qu'ils avaient sur la peur.

Il est une expérience très enrichissante.

Il semble incroyable

qu'en 2016, dans une démocratie européenne

nous sommes réunis ici lors d'une cérémonie de deuil collectif

et de nombreuses années d'hommage postponed-

en mémoire des dizaines de personnes,

Je le stress, les gens,

les gens de propagation, les personnes qui ont disparu dans la décharge,

beaucoup d'entre eux, ici, dans les années soixante-dix:

organismes sans nom

et les noms sans une pierre tombale qui se souvient d'eux.

Une mémoire chuchoté si longtemps, seulement en privé.

Il semble être doesnt vrai, mais nous sommes ici,

affirmant haut et fort leur existence, par leur mémoire.

Voici les noms des victimes,

tous coupables d'un crime de républicanisme

de la pensée, la parole, le travail et l'action,

coupable de transformer une société injuste récurrente

dans un endroit plus accessible et uniforme,

victimes délibérément oubliées,

victimes physiques et métaphysiques d'une dictature

qui a essayé d'éliminer leur corps et leur âme.

Récupérer leur corps n'a jamais été autorisé,

un endroit pour les pleurons pour honorer leur mémoire

n'a jamais été fourni.

Mais cette mémoire ne peut pas être basée sur un mensonge

qui est conscient du déséquilibre de la diffusion

seulement une partie des victimes dans l'espace public,

il ne peut pas être fondée à nier le pain et le sel

à une grande partie des citoyens de ce pays,

il ne peut pas être fondée sur une maladie propagation

du conservatisme espagnol,

la maladie de nostalgy,

malheureusement, la nostalgy d'une dictature.

Une dernière chose que je dois dire est que ce pays, cette démocratie

doit avoir assez de dignité pour honorer tous ses morts,

aussi ceux assassinés

la défense de la légalité démocratique et constitutionnel

de la deuxième République.

« La santé et la République » pour tout le monde!

Joseph Sinde Gómez, Pepe. Qui étais-je vraiment?

Pourquoi a-t Regina garder tant de souvenirs de lui?

Pourquoi ai-je besoin de les mettre à la lumière maintenant?

Si on me avait dit,

Je l'ai cru Ne serait,

qu'ils seraient séparés,

et chacun suivant leur manière, le miel,

votre amour et le mien.

Nous étions deux en un,

dans le chemin de l'éternité,

et que, mon amour, personne ne veut se rappeler.

Chacun suivant leur propre chemin,

oh mon dieu, quelle douleur!

Notre chemin est pas une des roses, mais d'épines.

L'augmentation de la distance, nous mourons lentement,

nous deux sans qu'il semblait importante,

comme si nous étions fous ...

Sur un morceau de papier économisées par Regina, Pepe a écrit quelques dates.

Parmi eux, attire mon attention un.

« 12 Novembre 1939, première date avec Regi ».

Ils doivent avoir rencontré ici.

Elle était une femme de chambre; elle a vécu dans le grenier.

Il, un peintre de la maison, était avec ses oncles, sorte de sa cachette.

Ils pourraient l'arrêter à tout moment,

parce que pendant la guerre en 1937

il a changé de camp à l'Espagne républicaine,

fuyant les nationalistes.

Ils étaient ensemble à quelques mois.

J'ai lu d'autres dates qu'il a écrit sur ce morceau de papier:

J'ai été arrêté Février 1940 10e.

24 février 1940, mon oncle José Gómez Osorio,

a été exécuté, assassiné lâchement.

30 Mars, je fus condamné à mort

et 11 mai 1940, je signé vingt ans et un jour ...

prison Saint Rita. 12 Septembre 1940.

Nous, ceux qui se sont battus pour la liberté des personnes

ont été contraints de céder, céder la place aux meurtriers ...

Sur cette carte postale vous semblez très triste.

Qu'est-ce qui ne va pas?

Oubliez ces visages dédaigneux qui vous regardent avec suspicion.

Je sais que vous souffrez beaucoup;

Je souffre aussi, on n'a pas fait de pierre, mais,

quelle serait la liberté relative,

comme celui que j'avais quand j'étais avec vous, être la peine?

Non mon amour. Je veux une liberté bien définie

pour profiter pleinement des plaisirs de l'amour sans que personne

ayant des raisons de point moi.

C'est la vie!

Nous sommes à la dernière étape et sera bientôt complètement heureux ...

Il est sorti de prison trop tard. En Janvier 1944. Il était malade.

Il est mort du 19ème Juin 1945.

Il a été enterré dans le cimetière « La Almudena » le lendemain.

Ses restes ne sont plus là;

ils se sont retrouvés dans une fosse commune.

J'ai trouvé une autre lettre, mêlé entre Pepe;

il était d'Alejandro, mon grand-père.

Tarancon,

Juin du 19ème

1944.

Chers enfants:

Juste quelques lignes. Nous souhaitons que vous soyez bien.

Je ne me sens pas

tellement bon.

Jusqu'à présent, la douleur ne le ferai pas me laisser à moins d'avoir une aspirine;

donc, j'ai toutes sortes de moments:

plus souvent mal que de bons.

Nous attendrons de voir les effets des injections dont j'ai besoin.

Mon appétit -comme mon souhait pour anything-

va lentement.

La seule chose que je mange avec certaine satisfaction, peu cependant,

sont

pommes de terre étuvées.

Si vous aviez la possibilité

d'obtenir quelques-uns, d'un endroit ou d'une autre,

vous pouvez envoyer quelques kilos, parce qu'ils ne sont pas ici ...

Mon grand-père est mort deux mois après.

L'augmentation de la distance, nous mourons lentement,

nous deux sans qu'il semblait importante,

comme si nous étions ...

fou.

Est-ce que vous vous souvenez quand Regina a été hospitalisé,

après la mort de José Luis?

Je suis allé à l'hôpital et il y avait beaucoup de gens. Ce fut un chaos;

son lit était au milieu d'un couloir.

Elle me disait des choses incohérentes telles que je dois me lever,

Je dois aider les blessés parce qu'ils ont bombardé, je suis une infirmière

et ce fut parce qu'elle pensait qu'elle était revenue

à « el Hospitalillo » à Tarancón, qu'elle était là-bas,

ce fut la guerre civile et elle a dû aider les malades ...

Regina, comme elle ne allez pas avoir des études,

elle ne pouvais pas être une infirmière après la guerre.

Elle n'a pas le choix

mais pour aller travailler comme femme de chambre à Madrid et laisser Tarancón.

Allan Craig, José Luis, Pepe, Regina.

Je ne dois pas les oublier.

Je veux ne pas les oublier.

Maintenant, nous sommes leur mémoire.

Aujourd'hui, Ive a rêvé de maman.

J'étais à la maison de Regina.

Papa était dans son lit, mort.

Regina semblait calme.

Je lui ai dit à voix basse: « Nous devons appeler maman ».

Et elle me regarde et elle répond: « Vous dites des bêtises.

Ta mère est morte aussi bien. »

Soudain, maman apparut derrière nous comme si elle était un vampire.

Et je me suis réveillé.

Oui, je l'ai rêvé d'elle aussi.

Je ne me souviens pas très bien, mais je l'ai vue comme un zombie,

comme marcher dans un état végétatif dans les couloirs

sans parler et sans vous regarder.

Elle était morte;

Je me sentais la douleur de la voir de cette façon parce qu'il était pas,

elle était pleine de vie et que son wasnt.

Je veux ne pas se souvenir d'elle comme ça.

J'ai découvert quelques photos

d'un ami de Barcelone dans un album un dimanche pluvieux.

A la fin de l'album, une lettre

il était son adresse dans les années nonante.

Serait-elle toujours là?

Pourrais-je la contacter à nouveau?

J'ai appelé deux fois l'interphone; ils weren't là.

J'ai décidé de les laisser un message dans la boîte aux lettres.

Quelque chose comme: « Je suis le fils de Mari; ma mère est morte.

Je voudrais récupérer le contact avec vous ».

Elle m'a appelé le lendemain.

Nous avons organisé pour rencontrer le week-end prochain

Je voudrais aller à Barcelone.

Il serait réunion

avec elle, avec ma mère.

Même si nous n'allez pas écrire à l'autre depuis longtemps;

Je vous gardé, regarder,

vous avez la preuve que je gardais cette pièce;

Je didnt veux voir l'autre.

Je suppose que je l'ai enlevé et cassé. Non non Non.

J'étais très jeune.

Une personne, un de vos amis de toujours;

parce que vous avez des amis que, bien avec eux Tu ne est pas,

vous les garder à l'intérieur.

Un jour, nous pourrions nous voir ou non

et étant dit cette personne est morte, eh bien, honnêtement.

Tres difficile...

Mon père est mort quand j'avais trois ans.

Il est mort à l'âge de 37 ans.

Avez vous avez des souvenirs de lui? -Non.

Tout ce que votre mère vous a dit au sujet de votre père?

Oui.

Dîtes-moi!

Ma mère a dit que la passion de mon père était d'avoir une fille

et que les années passaient, il a déclaré:

« Cette fille, si elle aime la danse, elle ne danse avec moi ».

Ce fut la passion, mais des souvenirs, non.

J'ai une photo où mon père m'a emmené à « La Barceloneta »;

l'eau, il était trop profond pour moi

et il portait un seau de zinc,

il l'a rempli d'eau et je suis allé dans avec la pelle.

Voir?

première communion de ma mère.

22 mai 1954.

Regina et les autres sont habillés en noir

parce que deux étaient morts de leurs frères;

alors, grand-père était très malade déjà.

Il ne pouvait pas se rendre à la cérémonie.

Ma mère nous a toujours dit

qu'elle rentra chez lui avec la robe de la première communion

sur afin qu'il puisse la voir.

Elle ne nous dit pas

peut-être parce qu'elle ne se souvenait pas it-

est que mon grand-père a pris la caméra pour la dernière fois

et a pris cette photo d'elle.

Beaucoup de fois, quand on parle comme ça de mon père,

Je ne sais pas pourquoi il me vient à l'esprit;

Je me souviens seulement.

Ce qu'ils appellent l'atterrissage d'un escalier,

qui étaient alors appelés « replanes »,

dans le « Rempl » de l'escalier,

Je suis dans un coin et je vois le passage du cercueil par;

Je ne vois que ça, je suis là dans ce coin,

mais bien sûr, je pense:

«J'avais trois ans. Comment puis-je me souviens que?

Comment une fille si jeune

descendre cinq étapes et être là dans ce coin? »

Il est quelque chose qui vient de mon imagination ou il est vrai ou ...

mais je ne l'ai jamais été en mesure de le savoir.

Ma mère se souvenait d'un père drôle heureux.

Au moins c'est ce qu'elle m'a dit.

Qu'est-ce que je me souviens d'elle à partir de maintenant?

Ma mère voulait toujours avoir une fille.

Elle a fini par avoir trois!

Comment l'as-tu rencontrée? Quel était votre premier ...?

Il est plus facile pour moi, mais je ne savez pas comment

si vous allez pouvoir ... -Elle nous a rencontrés.

Elle nous a rencontré dans le ventre de ma mère,

puisque nous sommes nés. Elle a pris soin de nous.

Quand ma mère est tombée enceinte de mes sœurs,

comme deux bébés venaient,

une grand-mère, ma tante Amina, a déclaré:

« Il y a une femme tout à fait digne de confiance pour vous donner un coup de main ».

Comme elle était plus familière à notre famille,

elle est venue dans notre maison et n'a jamais quitté.

Maman lui a dit que

elle voulait une personne

qui serait là jusqu'à ce que nous serions quatorze ans.

C'est vrai.

Elle était encore enceinte avec nous

et Mari a dit: « Oh, ouais, super. »

Et ma mère a dit: « Eh bien, qu'il est ».

Le jour vous avez tourné quatorze ans, elle a dit: « Je vais ».

Elle avait dit pendant plus d'un an.

« Le jour où vous serez quatorze ans je vais prendre sa retraite pour toujours ... »

Et elle endurait. Elle avait gardé sa parole.

Elle était une personne capable et déterminée,

qui nous a tant aimés.

Mon père a toujours dit que:

« Je ne peux pas vous laisser prendre soin de quoi que ce soit dans ma maison

qui a plus de valeur que mes filles »;

donc, pour moi, Mari est un parent,

Je ne voudrais pas être en mesure d'établir le genre de parenté,

mais elle nous appartient.

Oui c'est vrai.

Il y a beaucoup de choses dans mon vocabulaire,

comme elle était avec nous tout au long de notre enfance ensemble,

qui venait d'elle. Des phrases comme ...

Je me souviens que jusqu'à Novembre elle portait une jupe et dit:

« La chose est que je veux continuer à être chaud.

C'est la raison pour laquelle je porte une jupe,

parce que je veux encore le temps de rester chaud.

L'été ne peut pas finir ».

Et, parfois, je me répète

des choses comme ça à voix haute: « Je veux ... », cela vient de Mari.

Elle portait une jupe d'Avril.

Elle portait déjà ...

Beaucoup, surtout,

Je me souviens de toutes les choses optimistes,

avec de bonnes vibes.

Il est vrai, je ne me souviens pas que. A quel point est ce bien!

Ce qu'elle a attiré comme la chaleur qui ...

Il est l'instinct d'auto-amélioration.

Personnellement, je ne sais pas, ce que nous avons discuté.

Une personne avec ce qui pourrait être des limites culturelles,

qui n'a pas été limité par rien, rien du tout.

Elle a fait tout ce qu'elle voulait et pouvait faire.

Combien de fois nous nous limitons avoir d'autres outils

que nous avons eu la chance d'avoir!

Et vous dites: « Mais, bien, serait-il possible? »

Il est de vouloir faire des choses, de prendre courage

et elle a pour tout courage.

Et non seulement at-elle prendre courage;

elle a pris le courage et l'effort de mettre.

Sans avoir besoin de l'aide de personne.

C'est la chose la plus importante, elle m'a appris, sans nul doute.

On m'a fait apprendre beaucoup à la fois; parce que j'étais très ingénu.

Ma mère m'a toujours dit: « Je l'aurais aimé être un garçon ».

Et je dis: « Pourquoi, si être une femme ...? »

« Pas de bébé, parce que si vous faites quelque chose,

vous débarrasser de celui-ci à la porte et c'est tout.

La femme vient avec le prix ».

Les choses de son temps.

Maintenant, cela est entendu et il est: « Oh » ...

Je suis le genre de personne qui dit à son petit-fils:

« Dès que vous avez une petite amie, un préservatif dans votre poche. »

Lorsque vous avez dit quelque chose comme ça,

inappropriée, elle a dit: « Oh, tais-toi, farceur! »

Le « Tais-toi, farceur » chose est vrai,

mais je ne pense pas que ce soit non seulement quelque chose d'inapproprié,

mais elle était aussi un peu gêné par les questions

qui avait à voir avec des sentiments plus profonds.

Elle ne fut pas le genre de personne qui interférait

dans ce genre de sujets.

Elle avait peut-être son côté blindé.

Elle était gênée à sa vie privée, mais pas pour tout le reste.

Ma mère serait un ou deux ans dans ces photos.

Ils sont les premiers grand-papa a pris.

Au numéro 50 Padre Oltra Street.

Dans cette cour qui reste exactement comme il était à l'époque.

Ma mère et Lorenzo, son frère cadet.

Quand ils étaient petits, en été, ils ont tous deux sont allés à Lozoyuela,

le village de ma grand-mère.

Ils me ont amené ici à cinq ans

parce que mon père est mort quand j'avais cinq ans,

et là je suis resté jusqu'à ce que j'avais sept ans.

Votre mère est venue dans les étés

et passé un mois ou deux ici, parce qu'elle était déjà à l'école.

L'école des orphelins ...

L'école des orphelins de la police.

Et elle est venue avec nous,

parce que je ne pouvais pas aller à l'école jusqu'à ce que j'avais sept ans.

Ici, nous pourrions aller dans le pays et le jeu.

Qu'as-tu joué?

Football dans le village, ou d'attraper des insectes, des lézards.

Avec ces catapultes qui ont été faites avec du caoutchouc vous avez tiré sur les oiseaux,

tout ce que nous pouvions.

La maison, en plus d'être très faible,

si vous remarquez, ce mur qui a la boue et la pierre,

qui a été la paroi de séparation de la maison de la grange,

où elle avait ses animaux,

et, de ce mur, il y avait une petite pièce

qui a atteint le chambranle de cette fenêtre, plus ou moins.

Et la maison avait deux étages; il y avait une chambre à coucher

et les escaliers qui y étaient allés, en quelque sorte devant la fenêtre.

La maison était comme ça.

Mais, regardez ce qui reste: une parcelle de terrain totalement détruit,

il n'a pas été conservé en raison de la mollesse.

Mes étés comme un enfant étaient plage Gandía et la mer.

Quand mon père était enfant, il a perdu Luis,

qui était le nom de son frère aîné.

Il m'a dit Luis est devenu très malade.

Son père l'a frappé, l'a appelé paresseux, lui a fait aller au travail.

Lorsque le médecin est venu enfin, il était déjà trop tard.

Mon père a gardé une photo de son frère toute sa vie.

Il a perdu

peu de temps avant sa mort.

L'enfance est un lieu d'où nous venons

et que nous allons toujours revenir,

et la mémoire prend toujours soin de l'adaptant

à nos rêves et souhaits.

Il fallait toucher le mur

à la fin de la promenade tous les soirs

afin de pouvoir revenir l'été prochain.

Il était très typique de jeux maman make à destin de contrôle.

Oui, comme la chose au sujet de la sous-vêtements rouges,

l'anneau dans le verre de champagne pour le réveillon du Nouvel An

et la pièce de monnaie dans la fontaine.

Ou souffler toutes les bougies sur un anniversaire.

Oui. Et que sur une sonnerie dans votre oreille, vous souvenez-vous?

Non, je ne le fais pas.

Oui regarde,

maman m'a dit que quand

vous avez eu une sonnerie dans votre oreille, ceux qui a duré quelques secondes,

est que quelqu'un pense à vous dans une bonne façon,

et vous avez dû regarder autour

vous et cherchez quelque chose,

un objet qui a attiré le plus votre attention

et la première de cet objet

était l'initiale du nom de la personne qui a pensé à vous.

Cristina ...

Je me rappelle de nombreux moments avec elle quand je viens à Barcelone.

Je suis tombé amoureux de Cristina sur un voyage,

sur le chemin de Saint-Jacques, à Muxía, très proche de Finisterre,

mais les choses changent.

Nous ne pouvions pas continuer d'être ensemble ...

A un moment nous avons parlé de fonder une famille.

Je suis vraiment en manque de

sa vivacité, son énergie, sa joie pour voyager.

Elle aimait voyager, vivre, voulant tout faire,

Elle me manque d'optimisme, sa façon de voir la vie, simple.

Je pense que le premier voyage nous avons tous deux fait notre propre était à Séville.

Ce fut un cadeau de sa part.

Lors de votre anniversaire ... -Pour un anniversaire ...

Je ne sais pas si c'était à seize ans ou à quinze ans, peut-être

à cause de chose: « Mon amour est de quinze ans »,

qu'elle aimait tant ...

Attendez, une chose.

Chante-moi « Mon amour est de quinze ans », trois d'entre vous!

Bien sûr, si vous voulez, nous pouvons aussi danser.

Non, ce n'est pas nécessaire.

Nous savons que les premiers versets ...

« Mon amour est de quinze ans ... »

C'est ça.

Je garderai cela.

Quinze, quinze ans est mon amour,

elle aime la danse rock tellement.

Elle est une divine et enfant extraordinaire;

elle a une façon de voir que personne ne peut résister.

Cette fille est unique

et quand elle danse, incroyable.

Si je lui donne ma main, elle caresse;

si je l'embrasse, je sais ce que le rêve est ...

Votre mère, eh bien, nous avons commencé à envoyer des lettres à l'autre,

expliquant nos affaires quotidiennes.

Puis, elle est venue nous voir avant que mon fils est né.

Nous étions à Madrid quand nous nous sommes mariés en 1968

et elle nous a emmenés au parc du Retiro, pour voir les sites touristiques.

Je l'ai aimé quand j'ai envoyé des photos à elle,

comme je le vois, je lui ai envoyé plus que je continuais,

mais, eh bien, je suis heureux de voir qu'elle les gardait.

Il y a un voyage ici;

elle apparaît dans le Tibidabo. Il doit être Tibidabo.

Oui, avec mon frère.

Votre frère est dans les trois photos ...

Oui.

Et les photos sur la plage.

Ces photos, pourquoi apparaissent elle ne dort?

Parce qu'il fait rire.

Qui? -Lui.

J'ai une qui est la même.

Pourquoi?

J'ai attrapé en train de dormir et, allez, nous allons prendre une photo

Oui. -Et Je leur ai envoyé ...

Ce devait être l'école,

les environs de l'école, non?

Il semble donc. -Oui.

J'ai trouvé cette carte d'identité. Est-ce que cette école existe encore?

Quand avez-vous rejoint l'école des orphelins?

En 1957.

Tout d'abord, vous le savez, mon frère a rejoint.

Quand j'étais là-bas, je l'ai vu tous les dimanches.

Ma vie était là, j'ai rencontré votre mère,

J'ai rencontré plus de gens avec qui je perdu le contact plus tard.

Avez-vous manqué de Barcelone? Ta mère?

Vous le mal du pays toujours au premier abord. Ensuite, vous y habituer.

J'étais seul avec ma mère, je dormais avec ma mère;

tout était avec ma mère.

Et puis, vous le manquez, mais, comme je l'avais là-bas mon frère,

il était pour moi un encouragement ... Il aimait manger beaucoup;

il aimait manger.

Ma mère lui a envoyé des colis. Il a un surnom,

avec Marisa -Maintenant Revuelta, Durillo it- inventé,

ils l'ont appelé « Carpanta »,

en raison de profiter de manger tant.

Ce fut quelque chose, il était toujours

et il est encore aujourd'hui, même dans l'état où il est,

et je lui donne tout rectifiées

et je lui dis: « Il est bon? » et il dit ...

que oui, qu'il est très bon. « Tu as toujours été un gros mangeur ».

Au cours des nuits, ce qui était le moment on pouvait voir ma mère,

où étiez-vous exactement?

Je me souviens qu'il y avait une galerie avec des mosaïques colorées

et il y avait des lits comme celui-ci

et ils vous placent dans la galerie, ou ils l'ont fait dans une pièce.

J'ai été placé dans une chambre.

À cause de cela, je suis sorti de nombreuses situations.

Votre mère était dans le couloir;

Je l'habitude de sortir par la fenêtre et elle était là ...

nous avons parlé.

Nous avons dû faire attention au chapelet,

puis, elle a couvert, et je suis allé dormir.

Le chapelet?

Oui, la religieuse. Elle portait la pendaison chapelet d'ici,

Klin, Klin, et vous avez dû vous couvrir ...

Puis, je l'ai aimé, mais maintenant je me souviens,

s'ils l'ont fait à un fils ou un petit-fils de la mine,

Je l'ai dévoré l'enseignant.

Nous avons tous marché dans une rangée,

ils vous comme soldats,

et nous avons dû marcher à la cantine, marcher pour aller à la messe ...

Et puis, bien sûr, il fallait tout faire:

enfant de chœur, aidant en masse.

Et aussi, le plaisir, bien sûr.

Il y avait des temps de loisirs.

Nous avons joué le football, la piscine.

Ce ne fut pas un mauvais moment;

disons comme ça.

La punition que je subi, et qui vous fait souffrir

est qu'ils semblaient soldats.

Je ne vois personne qui que ce soit de frappe. Je n'a pas été touché; Je ne peux pas dire,

mais quand, par exemple, votre mère et moi,

et parlé comme ça.

« Qui a parlé? » Tout le monde se tut;

nous avons protégé les uns des autres.

Ensuite, il fallait aller à la galerie, en bas.

Vous mettez votre main sur l'épaule de celui devant vous;

celui qui est derrière vous, sur votre épaule, mettez vos bras vers le bas.

Vous pourriez passer deux heures comme ça,

droit debout.

Imaginer!

Mais j'entendu: « quand ils vous frappent sur cette joue,

vous devez activer l'autre », je dis non.

Ils me frapper à ce sujet,

mais la prochaine fois, si je peux, je serai celui qui frappe.

Je suis désolé.

C'est ce que les religieuses ont dit.

Que Dieu a dit que quand ils vous ont giflé,

vous deviez tourner l'autre joue.

Non, cela ne va pas se produire.

Ils pourraient mettre sept, huit ou neuf ans garçon

contre le mur, d'un pouce,

un empan loin de là, sous le soleil.

J'ai vu plus d'une perte de connaissance et de tomber au sol.

Quoi qu'il en soit, ils étaient un peu la punition dure.

vous frapper avec le coup de sifflet sur la tête provoquant une plaie ouverte,

gifles, ils vous giflé à cause de quoi que ce soit.

Je ne sais pas, il serait si c'est l'éducation, doivent être comme ça.

Je pissé sur le lit, puis,

la tâche était la mienne pour eux de ne pas voir les feuilles humides,

de cacher ce que je humidifiées,

parce que les religieuses se promenaient par et à la recherche.

La première chose qu'ils ont dit:

« Toute personne qui fait pipi au lit, va de pair avec les feuilles

aux garçons salle à manger ».

Et ils vous ont emmené à marcher devant eux.

Je voyais les filles marchant, parce que, bien sûr,

ce fut la fenêtre de la salle à manger des garçons

et ce fut la nôtre et vous avez vu

comment la jeune fille a marché autour de la salle à manger

avec sa feuille ou sa petite culotte sur la tête.

Je ne foutais sur les garçons,

parce que c'est ma nature,

mais mon frère; qui était ma peur. S'il me avait vu,

l'embarras qu'il aurait ressenti aurait été terrible.

Puis, j'ai essayé ...

Ce ne fut pas la faute de l'école,

ceux à blâmer étaient ceux qui ont pris soin de l'enseignement ou de l'éducation.

Francisco, le père de mon père, en général a bu.

Il a frappé ses enfants,

il a frappé mon père.

Voilà comment il a fait ses études,

avec la peur.

Il a fait la même chose.

Il ne m'a jamais frappé, mais il m'a dit maintes et maintes fois

que le monde était dangereux;

il m'a enfermé dans la maison.

Il m'a instruit par la peur:

celui qu'il avait appris.

Ta mère et moi, quand nous étions jeunes,

nous avions été ensemble jusqu'à ce qu'ils vous séparés là-bas:

filles d'un côté et les garçons à l'autre.

Votre mère m'a acheté des bonbons

et a essayé de me les donner comme elle pouvait.

Il y avait des repas qu'elle n'aimait pas,

et nous les transmettre par le personnel de service

sur les tables et vous leur dit:

« Pouvez-vous donner à mon frère? » Ou l'inverse.

Et les choses comme ça.

Il était le seul ensemble, nous pourrions joindre à avoir.

Puis, le week-end, oui,

vous avez vu l'autre, rentra chez lui avec votre mère,

mais au cours de la semaine, nous voyons ne pratiquement pas.

Il y avait des problèmes dans ses dernières années, avec un de ses frères,

Lorenzo,

et maintenant, en parlant de ton frère ...

leur relation était très serré.

Je suppose que,

si cela vous était arrivé avec votre frère, il aurait été ...

Horrible.

Et si votre mère était allée à travers elle,

elle doit avoir eu un moment difficile,

parce que je ne ai pas eu aucun problème avec mon frère.

Quand ma mère est morte, je lui ai dit: « Bro,

Je vais vous montrer les bijoux de maman,

parce que vous avez acheté son beaucoup d'entre eux,

et vous avez une fille. Venez ... »,

il a dit: « Tout ce qui se cache derrière cette porte est le vôtre ».

Et il ne voulait rien.

Où allez-vous voir votre frère?

Ici, une maison de pépinière

il est à Hébron Valley, l'hôpital Saint-Georges.

Parce qu'il souffre de ...

Il souffre d'Alzheimer.

Il a commencé avec les choses à sa femme a vu

et a été en baisse depuis. Maintenant, il est désactivé.

Il ne bouge sa main

et sa tête un peu et voilà.

Et il a commencé à ma mère demande:

« Comment se sent maman? » Je l'ai jamais dit ...

Je ne l'ai jamais dit qu'elle était morte,

et il m'a dit: « Pourquoi ne pas venir elle? »

« Parce qu'elle ne peut pas venir, elle est très ancienne ».

Jusqu'au jour où

ma mère aurait été 99 ans, j'osé dire:

« Mère aujourd'hui atteint l'âge de 99 ans ». Il a dit: « Oh, vraiment? »

Et puis, il a cessé de parler d'elle;

Je ne lui parlais pas de son non plus.

Et hier, je suis allé le voir.

Et je lui dis: « Frère, je pars, je dois manger ».

Et il me dit: « Prenez soin de maman ».

Et je lui ai répondu: « Oui, je dois la nourrir,

c'est pourquoi Rafa ne vient pas, parce qu'il prend soin d'elle. »

Nous avons déjà eu un déjeuner dans un marché là-bas,

dans le quartier Guineueta,

et il l'habitude de venir, et nous avons eu ensemble le déjeuner;

même le dernier anniversaire où il a tourné 69:

la veille, j'ai apporté un gâteau

et mon fils, ma fille est venue, tout le monde est venu,

et nous pourrions prendre la dernière photo avec lui.

Et maintenant, rien.

Je suppose que tout cela doit être difficile.

Très difficile, très difficile. Pour le voir là-bas ...

Pour le voir là, il est très difficile.

Il est une photographie que nous avons pris avec un groupe de connaissances,

frères et sœurs, un dimanche, je pense.

Je gardé cette photo comme une mémoire;

il est l'un des rares que nous avions ensemble.

Qu'est-ce que cette photo vous dire?

Eh bien, les années d'enfance,

les années que nous étions ensemble à l'école,

que vous manquez parfois.

Est-ce qu'ils vous font sentir déplacé en quelque sorte?

Un peu.

Combien?

Prendre en considération que vous êtes avec votre mère,

avec votre famille, votre père meurt, et ils vous séparent.

Ils vous séparent de votre mère, de votre sœur.

Et cela...

Ces marques.

Dans mon cas, la mort de ma mère m'a laissé que

sentiment que je l'aurais aimé dire des choses à elle.

Je pense souvent que « si elle était en vie, fuck,

Je pourrais lui dire ceci ou cela », comme le fils que je suis.

Ce fut une mort soudaine, vous savez.

Vous, comme son frère,

auriez-vous aimé dire quelque chose ...

On n'a pas eu une relation étroite au cours des dernières années,

nous avons été un peu distancié;

nous aurions peut-être dû s'excuser à l'autre pour certaines choses

et ont plus communiqué.

Cela pourrait vraiment avoir manqué:

un bit de communication.

Et clarifier certaines choses, mais, de toute façon,

rien ne peut être fait maintenant.

Ça c'est sûr.

Plus vous regardez ces photos que vous font mal ...

C'est le même que je dis à ma fille, quand elle va voir mon frère.

Elle est venue, a commencé à pleurer et elle a dû quitter la salle.

Et la dernière fois, elle ne pleure plus.

En fin de compte, vous le voyez, vous le rappelez,

et vous le rappelez d'une manière différente.

Vous le voyez d'une manière différente. Il fait moins mal.

Ça fait mal,

parce que vous maintenant me parlez de lui et ta mère,

mais, si vous parlez et voyez, il est moins douloureux.

Mes parents ont émigré en Italie et en Suisse.

En Octobre je me suis rendu ici à 2015

aux endroits où ils étaient les suivants: Vérone, Cortina, Brissago, Arosa.

Et à Arosa j'ai rencontré un couple, Francesco et Francesca,

qui a travaillé dans le même hôtel où mes parents travaillaient il y a cinquante ans.

J'aurais aimé demander à mes parents au sujet de leur expérience à Arosa.

Je ne peux pas le faire plus;

Je vais poser ces questions à Francesco et Francesca.

Et comment avez-vous rencontré, un parti?

Nous avions des amis communs

et je les rencontrer arrangeai pour aller à une fête dans leur village.

Et nous avons rencontrés là-bas. Et puis, plus de choses se sont passées ...

Nous avions déjà rencontré un an auparavant.

C'est vrai.

Était déjà -Il y ... certain

Plus de leur côté. -... attraction.

Il a été une expérience que nous avons décidé d'accepter,

pour le bien de l'expérience elle-même,

parce qu'il était le moyen d'obtenir un peu out,

de notre maison, de l'Italie, de voir comment les choses étaient.

Et puis, nous avons décidé: « Ok, allons-y! »

Par-dessus tout, pour nous, les Italiens, et plus encore,

ou les Italiens du Sud, qui sont profondément ancrées;

nous avons un lien fort avec notre pays.

Il est clair que, au début, cela doit être pris en compte,

mais, ensuite grâce à notre optimisme,

nous pourrions l'oublier et déplacé vers l'avant.

Nostalgie est la clé de notre expérience avec notre famille.

lieux familiers.

Nous sommes très attachés aux lieux de notre terre.

J'ai eu l'occasion de se sentir

ces lieux, quand nous sommes loin.

Votre famille veut vous retournerez ...

Ah oui!

Bien sûr!

Ils veulent plus que toute autre chose.

Ils le souhaitent, sans aucun doute.

Je pense qu'il est essentiel

ou apprendre à se connaître et apprécier

ce que tu as;

on est obligé de partir et de nouvelles expériences,

parce que, sinon, on comprendra jamais complètement,

et surtout, demeureraient

un peu vide.

Je ne savais pas que l'amour, que la compréhension mutuelle.

Je ne connaissais pas ces parents.

Nos parents seront toujours un mystère.

Savez-vous, Raúl, pourquoi suis-je fait ce documentaire?

Vous me l'avez dit quelque chose, mais ... Je ne sais pas.

Quand maman est morte, je me souviens que Marcos nous a dit quelque chose comme

nous devons sortir de notre poitrine, à un moment,

que quelque chose allait sortir;

il serait intéressant ou non,

mais il pourrait nous aider en quelque sorte, au moins, moi.

Et vous, pourquoi avez-vous voulu faire ce documentaire?

Je sais que la raison pour laquelle je ne voulais pas.

Je n'ai pas eu besoin de payer un hommage

à mon père ou ma mère.

Je leur ai donné l'amour que je pouvais quand j'étais avec eux.

Je pense que quand ils sont morts, ils savaient que je les aimais

et qu'ils me aimaient. Je n'ai pas eu cette envie;

Je n'ai pas le besoin de deuil non plus.

Je pleure différemment, ne pas faire des films.

Mais, pourquoi travaillez-vous sur ce documentaire?

Ce n'est pas une raison très profonde,

mais il est le seul que j'ai: j'ai un bon temps à faire cela.

Mon père m'a dit un soir, où nous étions tous les deux sans sommeil,

que quelques jours avant de se marier,

une femme téléphone appelé lui.

Il était une collègue avec qui il a très bien.

Elle lui voulait aller chez elle ce même après-midi.

Je ne sais pas si elle lui demandait d'aller en Galice avec elle

ou il pensait qu'elle allait lui demander si.

D'ici là, tout était prêt:

le mariage avec ma mère, le voyage en Suisse.

Sa mère l'a convaincu de ne pas aller à cette date.

Deux ans avant de mourir, je lui ai demandé de cette histoire;

il a répondu

que je l'imaginais.

At-il jusqu'à cette histoire?

Est-il arrivé vraiment?

Savez-vous pourquoi j'ai choisi Arosa?

Quand j'ai rencontré Francesco et Francesca

J'ai eu un sentiment que nos parents se sentaient à la maison là-bas, ils étaient heureux.

Ils ont commencé quelque chose, qui a ensuite effondré.

Je l'ai vu ici un sentiment de bonheur ou de joie

qui apparaît dans les photos de nos parents.

Je ne sais pas si vous êtes d'accord.

Les photos que vous avez choisi,

qui apparaissent dans le film représentent cet esprit,

l'esprit de certains jeunes mariés,

ils sont heureux, ils sont ensemble,

et, même si elles travaillaient,

et le travail ne serait pas une activité très agréable,

Je pense qu'ils étaient heureux

à cet endroit et les deux ensemble.

Quand penses-tu

la relation entre nos parents ont commencé à se détériorer?

Y-as-tu déjà pensé? Je l'ai pensé à plusieurs reprises.

Quand est-ce que ça a commencé?

Je suppose qu'il était peu à peu.

Il était peu à peu.

Je ne sais pas.

Jusqu'à ce qu'ils n'ont rien en commun, je suppose.

Et surtout, notre mère pensait qu'elle n'avait rien en commun

avec la personne qu'elle se marie avec.

Les gens changent aussi;

parfois, ils changent pour le bien et d'autres fois, une mauvaise façon.

Ou, tout simplement, ils prennent des routes différentes.

Et je pense que nos parents,

être marié depuis des années et vieillir,

ils sont devenus des gens très différents,

ils n'ont rien en commun plus.

Quand ils ont divorcé, papa ou maman, je ne sais pas qui,

a dit que papa ne voulait pas nous faire

et je voulais rester en Italie.

Laissant ici était pour lui le début de son processus ...

il ne savait pas comment adapter au revenant, au retour.

Certes, maman ne voulait pas rester en Suisse ou en Italie,

mais, parce que notre mère aimait beaucoup la famille,

elle voulait rester avec sa mère à Madrid,

elle voulait acheter une maison,

mais lui, je ne sais pas. On n'a jamais parlé à ce sujet.

C'est une bonne histoire.

Avons-nous parlé avec notre assez de parents?

Je pense, par exemple,

Je ne parlais pas assez avec le père ...

Papa avait une personnalité curieuse.

Il en lui était quelque chose qu'il ne montrait à personne;

Cependant, tous ceux qui l'ont connu

dit: « Comment joyeux et il est drôle! Il a parlé à tout le monde! »

Et il était vraiment comme ça,

il a parlé avec tout le monde, il a rencontré dans la rue.

Quand j'étais avec lui, il y avait des gens qui l'accueillirent,

mais je pense qu'ils étaient des relations peu profondes;

ils ne sont pas profondes.

Ne pas arriver à nous aussi?

Nous gardons beaucoup de choses, qu'il ya des choses que nous ne sommes pas en mesure de prendre?

Ne pensez-vous?

Je ne sais pas.

Que nous cachons des choses, que nous les gardons pour nous-mêmes;

que nous ne savons pas comment nous expliquer,

pour exprimer ce que nous ressentons,

être assez sincère dire une chose,

sans qu'il soit nécessaire de penser encore et,

parce que nous n'osons le dire, nous avons peur ...

Ce que les choses?

Dans tous les détails.

Par exemple, au lieu de dire une chose tout de suite

nous essayons de l'éviter en obtenant autour de lui.

C'est quand il est mauvais quelque chose.

Et quand il est bon de quelque chose, ne pas le faire?

Quand il est bon, je le fais toujours.

Et pourquoi, quand il est mauvais ...?

Parce que vous avez peur de blesser les gens.

Est-ce que cela vous arrive aussi? -Oui,

Je voudrais dire quelque chose qui me tracasse,

ou il est pas bien fait et il est difficile de le faire.

Mais, ne pas nous faire du mal?

Très probablement, parce que vous parfois garder

les choses pour tant d'années,

si longtemps, des mois, des années, qui, à la fin, ce qui est pire, en effet.

J'ai découvert alors un père que je ne connaissais pas;

ma mère l'aimait,

et il nous a aimés.

Depuis mon enfance a disparu, je me suis déplacé loin de lui.

En une occasion, comme un adolescent,

pendant un argument,

il a pris une hache et m'a menacé avec elle.

Je l'abri dans ma chambre;

ma mère a essayé de me protéger.

Au dernier moment, il a évité de me faire du mal

et a décroché un coup sur la table de nuit à la place.

Je me souviens de l'encoche;

il est resté là-bas des années comme un avertissement

jusqu'à ce que ma mère a jeté le meuble.

L'autre plaie entre les deux d'entre nous, l'un à l'intérieur,

il n'a jamais complètement fermé.

Quatre jours avant sa mort

Je lui ai rendu visite à l'hôpital.

Il avait un tube dans sa gorge.

Il ne pouvait pas parler,

mais il me comprenait parfaitement.

Quand nous avons dit au revoir, je baisais son front.

Je n'ai pas utilisé pour l'embrasser.

Il l'a surpris.

Je ressentais un sourire dans son regard.

Ce fut la dernière fois que je l'ai vu,

vivant.

Il est bien que tu me as amené ici. Je veux dire...

Je l'ai aimé être ici.

Je l'ai toujours vu les photos quand j'étais enfant

et de connaître ce lieu

est quelque chose qui se déplace moi.

Ouais? -Oui, il me déplace vraiment.

Je vois les endroits où ils étaient

et je aime vraiment les voir.

Il est un moyen pour eux d'être, il est un moyen d'être avec eux.

Il est plus que cela,

il est qu'ils étaient là.

Par exemple, ce matin ...

J'ai été très amusé de voir «c'est la salle de danse »,

il a été écrit derrière une photo.

Notre mère avait l'habitude d'écrire derrière les photos.

Oui, je vous ai vu.

Et j'été très amusé de voir que,

parce que vous pensez

qu'un jour, elle viendrait ici pour danser, par exemple.

Ou, comme nous sommes dans l'hôtel, ils ont travaillé ici

ou marcher dans ces rues ou allés faire du shopping,

et, comme il était un endroit que nous avions jamais été à,

il est comme remplir quelque chose qui n'existait pas

qui a été perdu. Nous avions de leurs souvenirs,

mais nous ne l'avions pas.

Ces photos étaient aussi, mais il était un lieu

ce n'était pas notre mémoire et maintenant il est dans le nôtre et le leur.

Ils ont parlé de cet endroit, de l'Italie,

sur ces lieux et une pensée:

« Eh bien, nous ne serons jamais aller ».

J'aurais aimé venir avec eux,

il aurait été amusant de venir ici avec eux

et ils sont venus avec nous à l'hôtel.

Il aurait été beau.

Mais il ne pouvait pas être et c'est tout. Au moins, nous sommes venus.

Plusieurs années après,

Je marche sur ces lieux

où Regina,

Mes grand-parents,

mon père,

ma mère était.

Et j'ai le sentiment étrange qu'ils sont toujours là,

que je pouvais les trouver tout moment.

Papa et maman inquiète pour toi,

dans leurs dernières années, alors que j'installé,

et j'ai aussi cette préoccupation. Je dois admettre que pour vous.

J'ai pensé: « Si je mourais, ce qui se passerait ...? »

Il est absurde, je sais,

mais si je mourais, ce qui arriverait à mon frère?

Si vous êtes resté seul, si vous obtiendriez en, parce que

Je te vois très vulnérable ...

Je sais, je ressens la même chose,

qu'en fait je ne voudrais mourir et vous laisser seul.

Je pense que aussi bien, mais je ne pense pas

que vous êtes plus fragile que moi ou que

Je suis plus fragile que vous. Non.

Je pense que vous rester seul;

vous n'auriez pas un frère plus.

Deux ont déjà disparu; alors, vous êtes le seul à gauche.

Et, quand seulement un reste,

vous perdre, c'est de ne pas avoir une famille plus pour moi.

C'est une famille: papa, maman, mon frère.

C'est ça.

En 2014, en été,

six mois avant sa mort,

nous étions à Ségovie.

Ce fut le dernier voyage que nous avons fait ensemble

avant celui de Buenos Aires.

Nous sommes descendus pour voir l'église de Santa Cruz.

Et elle m'a enregistré.

Qu'est-ce qui ne va pas?

Rien, que j'ai pris une photo de vous et ...

Parfois, j'ai un rêve.

María, regarder l'appareil photo, sourire!

Marie, très bon!

Mais il est juste un rêve.

Ce qui a été perdu

Pour nos grands-parents et nos parents ...