All language subtitles for expandables1

Sous -titrage FR ?

Sous -titrage

ST'

501

... ... ... ... ... ...

Trois mois.

Il y a trop longtemps, quelqu 'un ici
doit payer.

Maintenant, votre compagnie a eu le
temps de payer.

Vous n 'en avez rien à faire de vos
hommes.

Vous ne voulez pas d 'eux ? On n 'en a
rien à faire ! Le

sang qui va couler est

pour vous !

C 'est qui, ça ? Voilà ton fric. Relâche
les otages.

Combien il y a ? Trois.

Trop tard.

On veut 5 millions de dollars.

Tu sais quoi ? Il est cupide, ce pirate.

Dernière chance.

Apprendre où est l 'essai.

On veut nos 5 millions.

Tout de suite.

Tire de sommation. Non.

Oh, trop bas.

Je vais les tuer ! Je vous jure que je
vais les tuer !

Lâchez vos

armes ! Aucune chance.

Ouais, fume.

Dernière chance, laissez les otages
partir, ou vous mourrez.

Apportez l 'argent ici, congravé ! Je me
prends les quatre sur la gauche.

Non, prends les deux sur la droite,
laisse -moi les autres.

Je vais les tuer tous ! Ils vont crever
! Je te réponds que les deux à droite, t

'es plus aussi rapide qu 'avant.

Y a que l 'éclair pour être plus rapide.

C 'est ce qu 'on verra.

Les balles vont plus vite que les lames.

Apportez l 'argent, ici, maintenant ! Tu
veux ton argent ? Viens le chercher.

C 'est quoi, ça ? Un SMS.

Un quoi ? Tuez -les ! Allez,

on va dire égalité.

C 'est ça, rêve.

Ces mecs, ils ont vraiment pas été
finis.

Un peu de compassion, les mecs.

Moi, j 'en ai exécuté un.

Je ne vois aucune lame qui brille.

Comment ça va, les gars ? Qu 'est -ce qu
'il fout, lui ? Il pend un pirate.

C 'est pas ridicule.

Guenard !

Qu 'est -ce que tu fais ? Je pends un
pirate.

Il est sérieusement atteint, ce mec.

Ça sent pas bon.

À toi de jouer.

Merci. C 'est bon d 'avoir des amis.

Guenard ! Oui ? On fonctionne pas comme
ça.

Arrête, tu veux ? Pourquoi ? Il nous
aurait fait pareil.

Guenard, dernière chance.

Alors lâche -le ou on va te lâcher
aussi.

Ça détend de pendre des pirates.

Tu parles de cette manière ? Ah oui.

C 'est pas assez raffiné pour toi.

Lâche -le, Guenard.

Comment ça va, Barnet ? Plutôt bien.

Mon copain, là, m 'a défiguré avec des
bottes en bout d 'acier. Tu peux le

croire, ça ? Tu l 'avais mérité.

Il va falloir me recoudre. T 'es bien ?
Je déteste ça.

Comme tout le monde.

Lâche -le, Guenard.

Que je le lâche ? Lâche -le.

Mais chaque fois que je sors, je peux
faire plus de choses. Je n 'ai toujours

pas de soucis.

Jusqu 'à ce que je me réveille.

Mon chéri, mon bébé. N 'oublie pas que
mon amour n 'est pas un chef. Je ne suis

pas un chef.

Oui. Non,

regarde -la.

Tu sais apprécier des bonnes larmes.

Alors, ça va ? Oui.

Cette vie, il lui a tourné l 'esprit.

Elle me dort à douceur.

Un jour, tu trouveras un homme qui sera
heureux rien qu 'en te regardant dormir.

Je ne savais pas que tu étais de retour.
Ça va, ma belle ? Je viens d 'arriver.

Ça va ? Tu es super belle.

Je pensais que tu aurais appelé.

Je ne suis pas doué pour le téléphone.

Je n 'avais pas tes nouvelles depuis
plus d 'un mois.

C 'est vrai.

Le temps passe à une vitesse.

Ça ne se reproduira pas, désolé.

Je ne suis pas venu les mains vides du
champagne rosé, ton préféré.

Et j 'ai un autre petit cadeau.

C 'est un petit présent que j 'ai acheté
en Birmanie.

C 'est un rubis.

C 'est une jolie couleur, mais on ne la
voit pas bien sous cette lumière.

En fait, il était beaucoup plus brillant
sous les spots dans la boutique.

Laisse !

Tout va bien ? Oui ? Qui c 'est ?

C 'est un ami. Il est tard.

Comment tu t 'appelles ? Un ami, elle
vient de te le dire.

Lise, s 'il te plaît, ne sors pas comme
ça.

Je suis désolée.

Je croyais que ça marchait entre nous.

Je pensais que tu ne voulais pas entrer
dans ma vie ou que je partage la tienne.

Attends ! Bien sûr que si.

Non, on se connaît depuis plus d 'un an
et demi et je ne sais même pas ce que tu

fais comme travail.

Mais ce n 'est pas important, je suis là
pour toi, c 'est ça qui est important.

Ce qui est important, c 'est que quand
tu es là, tu n 'es jamais vraiment là.

Tu es un mec bien, je t 'aime et tout,
mais... Laisse ! Je déteste savoir.

Tu as dit quelque chose, toi ? Ne laisse
pas m 'approcher.

S 'il te plaît, dis -moi que tu
comprends. Il faut que tu comprennes. Je

comprends.

Fais gaffe à toi.

Lis.

C 'est pas allé bien.

Eh putain, mec, tu dors jamais ? Je te
présente mon ami...

Comment tu t 'appelles déjà, ma belle ?
Cheyenne.

Cheyenne. Cheyenne, Arapaho, Cherokee,
Paoni.

Un petit verre ? Non, c 'est bon.

Tu devrais monter me préparer un petit
truc à m 'envoyer.

Six olives dans le martini, ma belle.

Tout ce que tu veux, mon bébé. T 'as
tout compris.

Elle est dingue de moi.

Comme les 50 dernières. Ah, mon frère,
qui est -ce qui compte ? T 'as l 'air en

forme.

Ouais. Eh ben, t 'as toujours du béton à
la place des abdos.

Ouais, un peu.

Bon, allez, mon pote.

Faut finir ton travail.

Pas de problème, mon frère. Ça fait deux
ans que ça traîne pour terminer

quelques lettres.

On a dû se séparer de Gunnar.

Ouais, je sais, il est devenu barbe.
Fallait que tu réagisses.

Ouais, tu veux le remplacer ? Je vais te
dire un truc.

Tu te rappelles, la dernière fois ? Où
est -ce qu 'on était ? On pataugeait

le sang et la bourgne, j 'ai rien.

Ouais, et t 'avais les mains qui
dégoulinaient.

Tu pissais le sang. Moi aussi, je
pissais le sang.

Tu sais ce que j 'ai fait ? Je me suis
fait une promesse.

Je veux pas mourir tout seul en me
vidant de mon sang dans la bourgne.

Je veux mourir auprès d 'une femme.

Je veux mourir à côté de quelqu 'un qui
tient à moi, tu vois ? Mais je veux pas

mourir pour une femme. Je veux juste
mourir à ses côtés, c 'est ça que je

Les Christmas, on dirait. Oui, je peux
le sentir d 'ici.

Mais ça, Christmas, comment ça va, mon
frère ? Ça va à tout.

Tiens, regarde, qu 'est -ce que t 'en
dis ? C 'est toujours un poulet noir.

Un poulet noir ? Un poulet noir ? T 'as
fini ? Oui, ça y est. C 'est encore

beau.

Ça fait plaisir de te voir.

Tu sais quoi ?

Pour toi.

J 'ai une super idée.

Pourquoi est -ce que tu me laisserais
pas faire un truc genre... Tu vois, un

truc genre... Genre toile d 'araignée
sur la tête, sur le haut de ton crâne.

Ou un truc sexy, parce que t 'as le
crâne parfait pour les tatouages. Je

pourrais même te tatouer sur le haut du
crâne.

Un truc marrant, genre, je sais pas,
moi... Une grosse araignée qui sort de

oreille, qui picore, qui empêche les
mouches de rentrer.

Avec de longues pattes des deux côtés du
cou.

Ouais, ça serait sexy, hein ? Très sexy.

Ça te filerait du mystère, plus de
caractère. Ça serait... Ça serait sexy,

Jean. Ça ferait sensation.

T 'as l 'air emballé.

Bon, moi, je vais vous dire.

Je me sens en veine, ce soir.

Et je me sens très, très précis.

Non, une autre fois, s 'il te plaît.
Allez, vas -y, accepte. C 'est bon,

Christmas, une petite partie.

N 'encourage pas, s 'il te plaît. T 'as
jamais battu, alors t 'as peur de quoi ?

Allez, si tu perds, y a pas de honte.

Je vous propose un choix.

Une balade de santé ou une virée en
enfer.

J 'ai besoin de rester un peu seul. Eh,
on garde le moral.

Toi, organise le rendez -vous.

Sous -titrage Société Radio -Canada

Maintenant, on peut lire dans sa tête.

Et ce que je vois, ce sont des
mensonges.

Il ne vous volait pas vous.

Il nous volait tous les deux.

Vous voulez qu 'il vous respecte ? Tuez
les deux autres.

On va la faire courte. Si on est bien
payé, peu importe où se passe la

c 'est clair ? Arrêtez de me la jouer et
revenons à ce qui nous intéresse, ok ?

Je sais que votre vrai nom n 'est pas
Barneros.

Vous n 'avez pas à savoir le mien.

Tout ce que vous avez à savoir, c 'est
que le job est bien réel et la paie

aussi. Mais puisqu 'on est dans ce
magnifique endroit, vous n 'aurez qu 'à

'appeler Monsieur Chappelle.

Ok, Chappelle, qu 'est -ce que je peux
faire pour vous ? Une minute.

Nous attendons encore quelqu 'un, ok ?

Vous connaissez ? Ouais, on était dans
la même équipe avant.

Qu 'est -ce que mon plus vieil ennemi
fait ici ? Vos deux noms sont arrivés en

haut de la liste.

C 'est un problème ? Ouais, j 'aurais dû
le tuer quand j 'en ai eu l 'occasion.

Le grand Barneros.

Le très grand Trench Mars.

Qu 'est -ce que tu fais là ? Tu prie
pour avoir du boulot ? C 'est possible.

T 'as été malade ? T 'as perdu du poids.

C 'est vrai ? Bah, ce que j 'ai perdu, c
'est toi qui l 'as pris, mon pote.

Bon, vous allez pas vous renifler le cul
comme des chiens.

Revenons au business.

Voyons qui veut cette mission.

Vous connaissez une île qui s 'appelle
Vilena ? Non.

Oui.

C 'est une île dans le Golfe. Tout à
fait.

Tu ne dois pas lire plus.

J 'y penserai.

Il y a des ressources sur cette île qui
intéressent beaucoup ceux pour qui je

travaille. Mais un général du nom de
Garza a renversé le gouvernement en

C 'est exact.

Mes employeurs ont un problème avec ce
fanatique de Garza.

Vous voulez qu 'on le dégage ? Je veux
qu 'il meure.

Pour ça, il faudra une armée. Faut être
idiot pour accepter cette mission.

Combien ? Ah, qu 'est -ce que je disais
? Je suis un peu surbouqué, alors

refilez ce job à mon ami, car il adore s
'éclater dans la jungle.

Pas vrai ? Si. Très bien. Bon.

Si on allait dîner ? Ouais, quand ? Dans
un millier d 'années.

C 'est trop tôt.

C 'est quoi son problème ? Il veut
devenir président.

Avant, il faut que j 'aille en
reconnaissance.

Nous avons un contact pour vous sur l
'île.

Bon, d 'abord, j 'ai comme l 'impression
que tout le monde a refusé la mission,

alors ce sera 5 millions.

5 millions ? La moitié tout de suite, et
l 'autre moitié sur un compte offshore.

Ça pose un problème, ça ? Non.

Ce qui me pose un problème, c 'est les
mecs qui essayent de me baiser.

Alors si vous prenez les millions,

vous faites pas la livraison, ou que
vous essayez de m 'enculer de quelque

que ce soit vous et vos copains, moi et
mes hommes, on vous traquera toi

et tes copains, et on vous dépitera en
toute petite croquette pour chier un

chien.

Ça pose un problème, ça.

Vilena ? Oui, Vilena.

C 'est une mission.

C 'est bon.

Tu ne devrais pas te trouver ici.

Ne me remplace pas.

Je suis un bon.

Je suis toujours un bon.

Tu es surtout défoncé. Je ne peux plus
te faire confiance.

Tu n 'as plus confiance en moi.

Non.

Tu n 'as plus confiance en moi.

Fais attention.

Une menace, Guénard ? Non.

Tu as entendu ?

Bon alors, d 'après les infos que m 'a
donné ce mec -là, Chappelle, il y a

environ 6 000 personnes, ça s 'est dit.

Combien de soldats ? Je me dis environ
200.

Ça devrait pas prendre trop de temps
pour prendre le contrôle du lieu. Ben

voyons, ils ont une petite armée.

Et nous on est quoi ? 4 000 000.

Ce n 'est pas drôle.

Je veux être augmenté. En quoi ? J 'ai
besoin de fric pour mon fils. Je veux l

'envoyer dans une meilleure école.

Depuis quand Ying Yang a une famille ?
Aucune idée.

Vous n 'avez pas demandé ? Je n 'ai rien
dit.

Enfin bref, les parts restent les mêmes.

C 'est comme ça.

Notre cible sur cette île est un général
de Général Garza. C 'est quoi le

problème ? Qu 'est -ce qu 'on en a à
foutre de c 'est quoi le problème ? On a

assez de problèmes ici, de toute façon.

Si on ne se débarrasse pas d 'eux, c
'est eux qui se débarrasseront de nous.

Dolorod, c 'est quand la dernière fois
que tu as vu ton psy ? Ce matin.

De quoi vous avez parlé ?

De trouble de la personnalité, évident.

Tu réfléchis trop.

Tu sais quoi ? T 'es un mec pas banal.

Et quand t 'as un problème, il est pas
banal.

Pas banal ? T 'es en train de me parler
de mon oreille ? Au savoir, commence pas

avec ton oreille. Oh non, pas l
'oreille. Arrête, on en a ras la

minute, on peut pas se concentrer sur la
mission ? Eh oh, sans déconner, c 'est

vous qui avez commencé.

Vous savez tous qu 'à la fac, j 'ai fait
du catch.

Ouais. Il y a une blessure très courante
dans ce sport.

C 'est la blessure à l 'oreille.

Un caillot qui a été maltraité.

Il y a eu contraction du cartilage et j
'ai l 'oreille en chou -fleur, voilà.

C 'est quoi le bled ? C 'est dur d 'être
un légume vert.

Bon, moi et Christmas, on va aller à
Villena en reconnaissance pour voir si

accepte l 'émission.

On va toucher combien ? Il me coûte plus
de prix que pour ma famille.

Quelle famille ? Ma famille.

Mais cette fille, elle était pas pour
toi.

Tant pis pour elle, hein.

J 'aurais dû bousiller la gueule de ce
con. T 'as peut -être de la chance, il

aurait pu bousiller la tienne.

Impossible.

Réfléchis, Christmas.

C 'est douloureux, mais... C 'est vrai
que t 'aurais pu t 'amuser une heure ou

deux, tu te serais éclaté avec elle, c
'était super sensuel, mais après ça, t

penses, qu 'est -ce que t 'aurais fait
le reste de ta journée ? T 'as sûrement

rendu service.

Maintenant, t 'as plus de temps pour t
'apitoyer sur ton sort.

T 'es vraiment qu 'un enfoiré.

... ... ... ...

Bonjour. Bonjour.

Vous parlez notre langue ? Mais la vie,
on veut.

Ouais, on fait du transport d 'animaux
blessés.

Qu 'est -ce que vous faites ici ? On est
ornithologues. On vient photographier

les oiseaux exotiques.

Vous êtes nerveux ? Nerveux ? Non.

Pourquoi ? Vous avez l 'air nerveux.

Je suis pas nerveux.

J 'ai l 'air nerveux ? Ah, t 'as la peau
un peu sèche. Faudrait que tu voles

avec la fenêtre fermée.

C 'est l 'altitude. Ouais, c 'est l
'altitude. Ça vous fait pas ça, vous ?

T 'as l 'adresse ? Ouais, dans la tête.

Tu veux pas me dire où c 'est ? C 'est
le Gloria Cantina.

Oui, c 'est la Cantina Gloria.

En espagnol.

En espagnol. Non mais t 'es qui toi,
Zorro ? Merde ! Viens par là.

Sous -titrage

Société Radio -Canada

Regarde -moi ces clowns, macaques triés
sur le volet.

Amanos.

Bon, qu 'est -ce qui cloche ? Tout
cloche.

Eh bien, on se casse.

Le truc, tu vois, c 'est que tu crois
connaître la personne et en fait, tu la

connais pas.

Et non, c 'est pas toi qui disais, le
mec qui s 'entend avec les femmes, c

le mec qui peut vivre sans femmes ? C
'est des conneries.

Franchement, elle était pas pour toi.

J 'avais pas envie d 'arrêter. Ça vous
rend peut -être liberté.

Ouais, on verra quand ça t 'arrivera.

C 'est déjà fait.

Vous voulez quelque chose, messieurs ?
Non, merci.

Le contact est en retard.

Alors on se casse.

Calmos.

Tu t 'es déjà fait narguer ? Là, tu

pousses un peu loin les frontières de
notre relation, tu sais ça ?

Je me concentre.

C 'est vous le contact ? Je m 'appelle
Sangre.

Comment vous vous appelez ? Bouddha,
Peste.

Suivez -moi, s 'il vous plaît.

Bouddha et Peste, je le nomme.

C 'est vous qui faites ça ? Oui.

Prenez -en un.

Je vous le donne.

J 'accepte jamais quand c 'est gratuit.

Comment ça coûte ? Rien. Je n 'accepte
pas l 'argent quand je fais un cadeau.

Il faut savoir accepter les cadeaux.

C 'est toujours comme ça ici ?

Avant, c 'était un endroit magnifique.

Mais ils sont venus avec tout leur
argent et le général Garcha a vendu son

au diable. Et tous ceux qui osent
résister sont tués. Vous avez dit qu

venus avec leur argent qui s 'intime ?
Ce sont des Américains, c 'est tout ce

que je sais.

Mais un jour, tout redeviendra comme
avant.

Vous y croyez, vraiment ? Oui.

Le plus beau jour sera celui où nous
dirons enfin que nos vies seront

comme avant.

Vous avez de la famille, Sandra ? Ma
mère est morte quand j 'étais petite.

Et mon père... Je l 'ai perdu aussi.

Est -ce que vous pouvez vous approcher
du palais ? Le palais ? Pourquoi ? Juste

pour admirer la vue.

Il n 'y a pas de vue.

Ça, c 'est pas grave. On y va quand
même.

Où sont mes plantations ? Où sont vos
ouvriers ?

Est -ce que vous savez le temps que met
la

coca pour pousser ? Bien sûr que non. Je
vais vous le dire, nous avons huit

semaines de retard, mon général.

Remuez le cul de vos paysans. Je veux ma
production.

Quand vous me parlez de cette manière
devant mes hommes, ce n 'est pas bien.

Général, c 'est moi qui assure votre
sécurité.

Je suis celui qui coordonne tout ce
foutoir.

J 'ai fait de vous un homme riche, et si
bien d 'être un homme très riche.

Parce que ça permet au peuple de vous
lécher le cul comme sa nature commande

le faire.

Oui, mais parfois, il y a des choses que
l 'on ne peut pas acheter.

C 'est encore loin ? De l 'autre côté de
la colline.

Arrêtez -vous, s 'il vous plaît.

Où est -ce que vous allez ? Où est -ce
que je vais ? Eh bien, comment dire... J

'aime bien voir les choses sous
différents points de vue.

Ne perds pas ma casquette.

Il vaut mieux s 'en aller.

Il est très émotif.

Qu 'est -ce que vous cherchez ? Sandra,

comment je sais que vous n 'essayez pas
de nous piéger ? Pourquoi voulez -vous

que j 'essaie de vous piéger ? Vous ne
ressemblez pas aux personnes avec

lesquelles on traite. Comment avez -vous
été impliquée là -dedans ? Un Américain

a débarqué ici.

Il voulait que mon ami vous accompagne,
mais mon ami a eu peur, alors c 'est moi

qui suis venue. Et vous, vous n 'avez
pas peur ? J 'ai super peur.

Mais il a dit que vous pourriez peut
-être nous aider.

Non, je pense que non.

Écoutez, si j 'étais vous, je m 'en
irais d 'ici.

Allez -vous.

Surtout, ne dites rien. Laissez -moi
parler.

Ils m 'ont dit que vous n 'allez jamais
venir ici.

Pourquoi ? Vous n 'êtes pas les
propriétaires de Vilena. Vous avez été

Vous pouvez tirer sur la fille du
général.

Et vous n 'êtes pas mon propriétaire.

Prenez -la à votre père ! Vous vous
restez ici.

C 'est malade ! T 'as failli me buter !

Si on t 'entend, c 'est un miracle.

Elle vient avec nous, non ? Comment on
va partir ? On a un avion.

Non, moi je reste ici.

Vous n 'avez pas vraiment le choix.

Si, j 'ai le choix.

Ne mettrons pas une heure pour vous
trouver. Peut -être, mais je reste.

Pour quoi faire ? Il n 'y a rien ici.
Pour vous, il n 'y a rien.

Si elle reste, elle est morte. Elle
vient avec nous.

M 'occupe des sentinelles. Fais -moi 60
secondes. Ok, go, go, go.

Donnez.

Montez.

Non,

je suis désolée.

Il le faut. Ma vie est ici, je suis
désolée. On n 'a pas tant monté. Non,

vous montez.

Allez, partez.

Allez.

La dernière main.

Sous -titrage Société Radio -Canada

Où est la fille ? Partie, elle n 'a pas
voulu venir. Elle n 'a pas voulu venir.

Mais comment on peut avoir envie de
rester ?

Tu

te rends bien.

Tu te rends bien.

Grimpe, mon beau, allez, grimpe. Comment
elle a pu rester ?

On y retourne ? Ouais.

Voler et mourir ! Voler et mourir, pense
!

Juste une fois !

Votre travail.

Ça, c 'était une déclaration.

Comment deux professionnels qui se
repèrent à des kilomètres ont pu passer

barrages de sécurité et tuer 41 soldats
avant de repartir ?

Qui a aidé ces hommes à s 'enfuir ? Tout
est sous contrôle, à l 'exception d 'un

petit détail.

Une fille qui veut la mort de son père.

On dirait du mauvais Shakespeare.

Je ne sais pas comment ces parasites de
l 'âge ont pris contact avec elle, mais

c 'est un fait. C 'est tragique.

Mais malgré les liens du sang, elle doit
disparaître.

Ce sera le prix à payer pour continuer.

On n 'aide pas sa famille.

Venez donc passer vos vacances chez moi
et vous verrez.

Avant tout, sachez que je n 'aime pas
parler business avec un géant qui s

avec un fusil.

Monsieur a refusé de nous le remettre.

Bon, vous voulez savoir qui ils sont ?
Je vous écoute.

Je bossais avec eux.

Pourquoi les trahir ? Querelle d
'amoureux.

Je traite à 50.

Non, monsieur le mateux.

Je fais rien à moins de 100 et je les
veux d 'avance dans ma poche.

Ça y est, il nous joue les méchants.

Mais il a l 'air d 'un bouffon. Je
rigole. Vas -y, rigole, mais ferme -la !

tu veux pas que le méchant te défonce
qui te sert à mâcher tes chewing -gums,

écrase et fais preuve d 'un peu de
respect ! Dégage.

Hé, gentil.

Tu veux un lifting ou pas ? Ça suffit,
Ben.

Je vais le buter. On a besoin de lui.

Ça suffit !

Voilà ce que je pense de la situation.

Ce type qui se fait appeler Chapelle est
une couverture pour la CIA.

Alors on bosse pour la CIA.

Ouais. Il nous a engagés pour éliminer
le général, mais la vraie cible, c 'est

James Monroe.

Avant, lui aussi bossait pour la CIA.

Mais la cupidité a poussé ce salopard à
s 'associer avec le général pour

détourner l 'argent de la drogue.

Sacrée perte de gain pour l 'agence,
mais elle peut décemment pas envoyer les

forces spéciales pour éliminer un des
leurs.

Ça ferait mauvais genre, alors on nous a
engagés pour le tuer.

Ensuite, ils reprendront leur business.

Et on se débarrassera de nous. On ne
manquera à personne.

Il s 'agit quand même de 5 millions.

On n 'aura pas le temps de dépenser. Je
vais décliner leur offre.

Vous êtes d 'accord ?

Faut pas vous inquiéter.

On est avec toi.

Si l 'autre s 'approchait, on lui
foutait de la tronche.

Qu 'est -ce que tu veux ? De faire la
peau.

C 'est un truc qui me botterait. C 'est
vrai.

Mais voilà, j 'aime les grands espaces,
alors la prison, c 'est pas trop mon

truc.

T 'aurais pas dû la frapper.

Ah ouais ? Ouais, j 'aurais préféré qu
'on en reste là.

Mais reprends -la, t 'as plus de
journée, rien à foutre !

La prochaine fois, c 'est les couilles
que je t 'explose.

L 'ami.

Maintenant, tu sais ce que je fais dans
la vie.

Je ne suis pas parfait, mais t 'en as dû
attendre.

J 'en valais la peine.

Alors votre fille va elle aussi.

Ça commence comme ça.

On s 'en va. Il faut que ça finisse
comme ça.

Qu 'est -ce qu 'il y a, Barnet ? Tu dors
jamais ? Non. Et ta copine, où elle est

passée ? Encore une qui se fait la
malle.

J 'avais envie de peindre ça pour elle.

Je vais quand même le terminer.

Et puis après, je le détruirai. Ça me
soulagera un peu.

Tu veux rester seul ? Non, pas vraiment.
Raconte.

Sur cette île, il y avait cette fille.

Oui, il y en a souvent.

Oui.

Elle nous a fait faire le tour de l
'île.

C 'était la fille de la cible.

On lui a donné une chance de partir,
mais elle a refusé.

Elle a eu du grand.

Pourquoi je n 'arrive pas à me l
'enlever de la tête ? Cette fille se bat

quelque chose.

Tu vois, Barnet, nous, on se bat pour
rien. Avant, oui, mais... Maintenant, on

'a plus de cause à défendre. On se
dessèche.

On est comme cette peinture. On va
devenir tout sec.

De quoi tu parles ?

Je parle de la foi, de la foi en l 'âme
humaine, tu vois.

Je trouve qu 'il n 'y a plus d
'humanité.

Tu te rappelles l 'époque où on était en
Bosnie ? Quand on éliminait les

méchants serbes ? Tout autour de nous,
nos copains se faisaient massacrer.

On voyait plus que du sang.

J 'étais sûr que je n 'allais pas m 'en
sortir, je ne sais pas pour toi.

Tu pensais pareil ?

D 'ailleurs, en fait, je me sentais déjà
mort. C 'est drôle, ma tête était

enfouie très profondément dans les
ténèbres.

Je ne croyais plus qu 'en cette espèce
de Dracula de merde.

Je me souviens que j 'avais une
bouteille de leur putain d 'alcool

Slimovitz, un truc comme ça.

Ouais, je crois que c 'était sale, non ?
Et je ne sentais plus la douleur.

Je suis arrivé près de...

Je suis arrivé près de ce vieux pont et
j 'ai vu cette... Et j 'ai vu cette...

J 'ai vu cette femme qui se tenait là et
je l 'ai regardée.

Je me suis arrêté net, elle m 'a vue,
elle m 'a regardé dans les yeux.

On est resté là, se regarder, ton bras
dans les yeux.

Je savais ce qu 'elle allait faire.

Elle me fixait et je savais qu 'elle
allait sauter.

Et tu sais ce que j 'ai fait ? J 'ai
tourné les talons et je suis parti.

J 'ai entendu un grand plouf.

Elle avait disparu.

Après... Après toutes ces vies qu 'on
avait prises, il y en avait une

que j 'aurais pu sauver, mais j 'ai rien
fait.

Et j 'ai réalisé que plus tard que...

Si j 'avais sauvé cette femme, peut
-être que... Peut -être que j 'aurais

pu sauver ce qui restait de mon âme.

Un sage qui est mort d 'ailleurs depuis
m 'a dit qu 'un homme, un vrai, ne

frappe jamais une femme.

Il la bouscule s 'il y est obligé, mais
jamais ne la frappe.

J 'ai été élevé ainsi.

Mais cet homme -là ne partage pas cette
façon de penser, non.

Cet homme -là ? Eh bien,

alors voici la question que je te pose.

Pourquoi ces Américains étaient là ?

Arrête de te débattre ! Dis -moi, espèce
d 'idiot !

Bon, alors, qu 'est -ce que les
Américains t 'ont dit ? Après qui ils en

Continue.

Je vais retourner à Villeneuve.

Ah bon ? Y 'a eu du changement ? Quel
est le plan ? Y 'en a pas.

Attends, attends, attends, attends.

Il faut une stratégie. Non, moi j 'y
vais, pas vous.

Quoi ? J 'ai dit que j 'y allais, mais
pas vous.

Qu 'est -ce qu 'il y a ? T 'es malade ?
Non, c 'est perso, c 'est tout.

Tu lui dois rien à cette fille. Je dis
pas le contraire. Tu veux te faire tuer

Vas -y, super, c 'est ton choix.

Arrête, je veux pas me faire tuer.

Bon allez les gars, faut que je le
fasse.

Mais attends, attends ! Quoi ? Tu dois
pas nous faire culpabiliser, on ne

pas ça. Il s 'agit de ma décision, alors
arrête.

Culpabilisez pas.

Allez, salut.

Merde, c 'est le faux choix.

J 'ai dit que j 'y allais seul.

Non, je viens aussi.

S 'il te plaît, on descend.

Tais -toi et conduis.

Ne parle pas ton calme.

Ne parle pas, sale caveur.

Pourquoi tu fais ça ? Les amis, ça meurt
ensemble.

Hé, rends -moi mon porte -bonheur,
déconne pas.

M 'oblige pas à te frapper, Don.

La vitesse vaut mieux que la chance.

Oui, alors ? C 'est difficile.

Quoi ? Ma vie, elle est difficile. Il me
faut plus d 'argent. Pourquoi ça ? Je

bosse plus dur que les autres ? Pas du
tout. Si, c 'est évident.

Mais ils sont plus grands.

Alors ? Tout est plus dur pour moi.
Quand je suis blessé, la blessure est

grande. Parce que je suis plus petit.

Et quand je voyage, je dois aller plus
loin. Parce que t 'es plus petit, c 'est

ça ? Oui.

Ma vie est plus dure que tu ne le crois.

Il me faut plus d 'argent.

Je sais, tu me l 'as déjà dit.

Pour ta famille, c 'est ça ? Je n 'ai
aucune famille. Je sais.

Mais j 'en aurais peut -être une.

Fais -toi !

Pourquoi moi ? Parce que je le sais !

Oh

! Recommencez, copine !

C 'est un insecte.

C

'est un

insecte.

Là !

Yang ! La

pointure, c 'est quoi, du 33 ? Vas -y,
frappe -t 'y !

À mon tour !

Gunnar

!

Tu m 'as flingué.

Dis pas ça, t 'allais le tuer.

Non, je voulais juste te faire peur.

Me la joue pas, tu l 'as jamais aimée.

Je vais mourir.

La balle est passée au -dessus du cœur.

Ça veut dire oui.

Que là, quitte embrouillé, quitte
engagé.

Accorde -toi une faveur.

Pars pas comme un gros con.

Coopère pour une fois dans ta misérable
existence.

Alors fais -moi enterrer.

Accordé.

Vas -y, dis -le.

La fille est encore en vie ?

C 'est pas de la tarte d 'être ton ami.

Ça c 'est sûr.

On est tous prêts à mourir avec toi,
mais elle demande pas deux fois.

J 'ai un plan.

Je vous l 'expliquerai en vol.

Qu 'est -ce qui t 'est arrivé à toi ? T
'es trop triste de pouvoir parler.

Bon allez, on y va.

Un truc qui est sûr, c 'est que l
'ennemi a toujours peur du bruit.

Surtout celui des fusils mitrailleurs.

Avec ce bébé qui crache ses 250 pales à
la minute, dis -moi qui peut supporter

ça.

Absolument personne.

Dis -moi si j 'ai saisi.

Gunnar a essayé de te tuer. Il a tiré
dessus et aux portes de la mort, il

le morceau. Oui, c 'est à peu près ça.

J 'aurais gagné. Oui, ça va, je sais.

Tu sais quoi ? Je te fais confiance.

Je vais te présenter ma copine.

Omaïa. Tiens, boum.

Je te suis pas, là.

Quand Omaïa est touchée, elle libère une
gifle miniature qui s 'arme toute

seule.

Et quand ça arrive, tout ce qui se
trouve sur sa trajectoire se transforme

'instant en sauce rouge. Tu vois le
genre ? Et si ça fonctionne pas ?

Sa petite sœur débarque.

Tu devrais voir mon psy.

Trop tard.

3h36, on a 20 minutes pour tout faire
sauter. Je prends la cave.

On a de la visite.

Ça va, je m 'en occupe, foutez le camp.

Il y a une raison pour que vous
ridiculifiez les soldats que cet homme a

entraînés ? Ils ressemblent à des
guerriers.

Des guerriers loyaux envers moi.

J 'ai cru que le peuple de Vilaine avait
engagé ses mercenaires pour me tuer.

Et puis je me suis dit que ça devait
être un de vos plans.

Parce que vous n 'arrivez pas à me
contrôler. Et torturer Sandra, c 'est ce

vous avez trouvé.

Vous voulez la tuer uniquement pour me
faire souffrir.

Un homme n 'est dû jamais son enfant.

Mais vous, vous pouvez.

Faites venir Sandra.

Faites -la venir.

Ou je vous jure que je vous tue.

Allez la chercher.

A ver qué tenemos.

Nadie en aquí. Ándale, mira.

No hay nadie en aquí, mira.

Ay, ay, bonita.

¿Cómo estás, mi amor? Qué bonita. ¡No me
toques!

¡No me toques!

Te voy a enseñar algo caliente, mira.

Hey, c 'est moi.

Sandra. Sandra, c 'est moi. C 'est moi.

C 'est moi.

C 'est moi.

Plus personne ne te touchera. Ça va
aller.

Qu 'est -ce que tu fais ici ? Il fallait
que je revienne.

Tu vas pouvoir marcher ? Oui.

Ok.

Allez, il ne faut pas traîner.

Ça fait 20 minutes. Où est Barney ? On
fait quoi ? On cherche dix minutes et on

repart comme on est venu. Pas question.
C 'est ce qu 'il voulait.

Dix minutes.

Allez, go.

Fais tomber ! Derrière !

et verrouiller les portes. Il y en a un
à toi.

Tu te crois ? Dans ta veste en kevlar,
tes entrailles vont être de la bouillie

pour ça.

Ça donne envie.

T 'es un petit vénère. Non, c 'est toi
le vénère.

Non, non, c 'est toi, je te promets.

Il veut qu 'on le garde conscient.

C 'est vrai.

Super.

T 'es un vrai dur, toi, je suis sûr.

Quoi ? Est -ce que t 'es un vrai dur ?
Regarde -moi, espèce d 'ordure ! Combien

t 'adommes avec toi ? Que ta mère !

Bonjour

la

dernière fois.

Donne -moi la bonne réponse.

Et je te brise la nuque.

Si tu ne me donnes pas la bonne réponse,
tu vas crever très doucement dans la

douleur. Est -ce que tu piges ? Est -ce
que tu piges ? Qui t 'a envoyé ? Laissez

un peu.

Qui t 'a envoyé ? T 'as quoi peur ?

C 'est parti !

... ... ... ...

C 'est pour votre petit Noël ! C 'est un
fou grand truc. Et toi, t

'étais où ? Je me suis fait exploser.

C 'est bon, file -moi une arme, on se
tire.

Qu 'est -ce que c 'est ?

Vous n 'avez apporté que du malheur sur
Villaine.

Reprenez votre argent !

Il n 'y a que la mort avec vous.

Reprenez tout et foutez le camp ! Je ne
foutrai le camp nulle part. Vous n 'avez

plus rien à faire ici. Vous n 'arriverez
à rien sans moi. C 'est moi le chef ici

! Une marionnette avec un béret ! Dites
la meilleure ! Non !

Tu

es ce que j 'aurais voulu

être.

On y va ! Allez ! Au cœur !

Jetez

vos armes ! Vous êtes cernés !

Putain de merde, non ! Ton porte
-bonheur, il craint. Je sais.

Faut rebousser chemin. Le bâtiment va
sauter, fais la soliste.

Qu 'est -ce qu

'il dit ? Qu 'on est morts, mais avec un
accent.

On n 'est pas morts.

Faut tout faire sauter. Pas encore.

Nous allons éradiquer ces fléaux
américains !

Faites

-vous sauter ! Elle est encore dedans,
le tric !

C 'est fou qu 'on fait !

Elle est sortie

! Fais sauter ce putain de gentiment !

Sous -titrage ST'

501

Donc, on y va ! Donc, on se démontera !

Viens te battre !

Sous -titrage ST' 501

C 'est trop lourd ! Dis -le -moi ! Qu
'est -ce que tu m 'en fais ? Maintenant,

je vais super loin !

Veuillez sauter les entrepôts ! D
'accord !

Lâche ton arbre ou je lui tire une balle
dans l 'œil.

Ne me tente pas.

Tu la fermes ou je te descends.

Quoi ? Les parasites de l 'agence t 'ont
engagé, n 'est -ce pas ? Je t 'aurais

payé deux fois plus.

Pour aller à la pêche.

Tu es complètement idiot si tu as cru
que j 'allais me rendre.

Pourquoi je le ferais ? C 'est moi qui
ai créé tout ça.

Tout est arrivé grâce à moi. Et ensuite,
ils ont voulu m 'éliminer. Pourquoi ?

Parce que j 'avais compris leur
business.

Arrête d 'avancer.

Pourquoi on ne traite pas l 'équipe ? Au
fond, on est un peu pareil.

On est tous les deux des mercenaires,
morts à l 'intérieur.

Alors pourquoi t 'es venu tant après moi
? J 'en ai pas après toi, pauvre merde.

J 'ai mieux pour elle.

Là -bas ? Là,

on est à égalité.

Ouais, c 'est sûr.

Tu vois que t 'es plus aussi rapide ? Je
commence à le sentir, ouais.

Mon numéro de compte est marqué là.

Prends ce qu 'il te faut pour tout
recommencer.

Non, je refuse.

Tu as déjà fait tellement.

Toi aussi.

Un cadeau pour un cadeau.

Accepte -le.

Est -ce que tu reviendras ? Je te
promets de ne jamais être loin.

Prends soin de toi, Sandra.

Tu veux que je sois franc ? Oui.

J 'ai jamais cru que c 'était une fille
pour toi.

Alors, la mort a pas voulu de toi.

Comment ça va ? Bien.

Surtout que t 'aurais pu me dire.

Je te pardonne.

Ok.

Mais je vais en gagner.

Bien sûr.

Hé, que y a -t -il ? Ce qui ne te tue
pas te rend plus fort. C 'est une

thérapie.

Tom marque un point.

Tu sais quoi ? Je vais te faire une
faveur, Toon.

J 'ai connu un mec qui s 'appelait Toon.
J 'adore la poésie.

Et pour moi, c 'était bien le plus cool.

Doué pour les lames.

Mais nul avec les femmes.

Ça fait mal. Mais pensez pouvoir me
battre.

Rêvez de pouvoir m 'abattre.

Mon cher Tool, ça, tu vois, c 'est pas
cool.