All language subtitles for Age of Uprising The Legend of Michael Kohlhaas (2013)

C 'est quoi cette barrière ? C 'est
nouveau ? Les villages accordés par la

princesse ou le jeune marron.

Le vieillement ? Oui.

A vous les chevaux.

Vous avez un permis ? Un permis ? Je
suis passé ici 20 fois sans permis.

Personne passe sans permis.

Vous avez un permis ou vous retournez où
vous venez ?

Je les emmène à la poire.

30.

Les chevaux les laissent.

C 'est déjà baissé.

C 'est déjà acheté 20 livres, il y en a
6 mois.

Il ne peut pas passer, il n 'a pas de
permis. C 'est sérieux, cette histoire

permis ? Alors il laisse quelque chose.
Des chevaux, les deux noirs, les moraux.

Il les reprendra en retour quand il aura
un permis. Les chevaux, c 'est idiot.

Tu dois les vendre.

D 'accord.

Laissez -moi.

Occupe -toi de chez vous jusqu 'à mon
retour.

Où sont mes chevaux ?

Les

deux noirs qui étaient là.

Il est superbe.

Mais il est vraiment exceptionnel. Je ne
comprends pas comment tu fais.

N 'importe quel marchand le regarde pour
lui, mais toi... Tu vas m 'insatiner, n

'est -ce pas ?

Qu 'est -ce que tu fais là, toi ? Qui t
'a autorisé à aller sortir ?

Voleur !

C 'est pas la Bible.

Vous lisez pas à voix haute ? C 'est la
Bible, mais pas au matin.

J 'aimerais lire.

travers le verre sombre.

C 'est une image.

Une façon de voir le monde.

Sombre.

Quelque chose que tu vois, mais que tu
ne reconnais pas.

Un ennemi.

Un ennemi.

Un ennemi.

C 'est quelque chose pour toi.

C 'est à quoi j 'ai pensé la première
fois que je t 'ai vue.

Si je pouvais toucher cet homme.

Vous allez faire l 'amour ?

Maman

dit que je n 'ai pas le droit de faire
semblant de dormir quand je vous

Je vous ai entendu.

Qui a fait ça ? Où est mon valet ? Il
est parti.

On s 'est occupé des chevaux nous
-mêmes. On lui a fait travailler pour

'entretien.

Qu 'est -ce qui s 'est passé avec lui ?
C 'est en fuite, avec les chevaux.

Voilà ce qui s 'est passé.

Alors, on a rattrapé les chevaux, mais
lui, c 'est sauvé.

Je crois pas à ce qu 'il me dit.

Vous croyez pas ?

Au revoir.

Je cherche mes chevaux, Seigneur.

Les chevaux de sel, noirs, qui étaient
chez vous en garantie. Ils sont à l

'écurie.

Viens les voir.

Fais toute une histoire parce qu 'ils
sont sales. On les a fait travailler.

Ce ne sont pas mes chevaux.

Je vous ai laissé deux bêtes
magnifiques, bien nourries, en bonne

Je vais mes chevaux comme ils se
tiennent.

Seigneur, la princesse ne donne plus de
privilèges de bien.

Vous vous êtes moqué de moi.

Maintenant, je veux mes chevaux.

J 'irai en justice, Seigneur.

Pourquoi exactement tu me donnes cet
argent ?

Je veux que tu déposes une plainte au
tribunal.

Demande réparation des dommages.

Supplie par César et par moi.

Le droit de pièce n 'existe plus.

La chancellerie l 'a confirmé.

César est à mon service depuis toujours.

On a lâché les chiens sur lui.

Je te laisse estimer la valeur du
préjudice.

Il dit que j 'ai vu mes chevaux comme
ils étaient, bien nourris et en

parfaite santé.

C 'est un brûlard.

C 'est ton chemin.

Regarde.

Il va se mettre debout.

Je reviens du tribunal.

Ta plainte est rejetée.

C 'est la troisième fois. Il n 'y en
aura pas d 'autre.

Le baron t 'a fait du tort et est parent
avec un gentilhomme de la cour.

Je te conseille d 'aller reprendre tes
chevaux.

Pourquoi tu n 'es pas de chez moi ? Je
ne peux pas rester.

Je dois repartir.

Tu n 'es pas mon monsieur qui a des
choses ?

S 'il te plaît, n 'insiste pas.

On t 'a menacé ? Colas, l 'équilibre de
ton commerce est si fragile

qu 'il ne peut supporter la perte de tes
chevaux. Pourquoi tu ne les prends pas

? Va chercher tes chevaux, on te les
rendra. Quels chevaux ? Des pédes à

mortes que j 'ai laissées il y a plus de
trois mois.

Je préfère que tu me laisses en dehors
de ça

Maman, viens voir.

les envoyer chercher ou indiquer au
Seigneur où il doit les amener.

Des boutons Michel Collas pour
procédures impulsives et téméraires et l

'information qui ne doit plus importuner
la chancerie avec tel plan sous peine d

'incarcération.

Ils vont le domaine.

Si tu achètes maintenant, je discute pas
le prix.

Tu donnes combien pour le tout ? Tout
quoi ? Tout.

De terre, de maison.

C 'est vrai ce que dit César ?

Que

tu veux porter ta plainte à la princesse
?

Que tu vends la maison ?

Tu te débarrasses de nous ?

Monsieur Duda ?

Dieu m 'a donné une femme, des enfants,
que j 'aime plus que tout.

Je veux que je le regrette pour la
première fois de ma vie.

Qu 'est -ce que je dois faire ?

Présenter mes excuses au bureau ?

Donne -moi la plainte.

Laisse -moi y aller.

Judith, il y a un cercle autour de la
princesse. Tu comptes franchir comment ?

Un coup d 'épée ? Le cercle autour de la
princesse, c 'est une cour.

Si tu veux vraiment que la plainte te
parvienne...

Esmaïl.

Rentre à pied avec la jumeau.

J 'irai plus vite sur le poids.

Seigneur, Seigneur de tous les
seigneurs, toi qui connais les pensées

créateur de tonnerre, de la foudre, du
brouillard,

du vent, de la neige, de la pluie, toi
qui

fais les êtres qui passent, les
maintiens, les anéantis,

Reçois l 'âme de Jésus.

Donne -lui la rosée de ta grâce

sous l 'ombre de tes ailes.

Seigneur, j 'ai beaucoup de peine pour
Jésus.

L 'esclavité chez toi.

Amen.

Je peux rester dans la maison, moi, ici.

Quand tout sera fini, je reviens te
chercher.

Je te promets.

Allez. Allez.

La Bible dit de pardonner à nos ennemis.

Je prie Dieu de ne jamais me pardonner
comme nous allons pardonner aux

jeunes seigneurs.

Abîme -vous.

– Sous -titrage FR 2021

OK.

On va tout faire.

Sous -titrage ST' 501

Le baron est absent, il ne peut pas être
loin.

Il demande à nous suivre.

Dis quoi ?

Je suis venu, monsieur Colas, et je vous
présente une recette.

Seulement un homme et son cheval contre
toute la terre.

C 'est un monstre.

Moi aussi.

Moi aussi, j 'ai violé les lois.

Bon, bon, bon.

Ecoute, écoute. Moi aussi, j 'ai violé
les lois. Enfin, parfois, comme tout le

monde. Je veux dire que si j 'avais un
droit de justice, je ne suis pas sûr de

ce qui se passerait.

Je veux dire, si je posais en balance ce
que j 'ai fait et l 'autre

plat, ce n 'est pas ce que j 'ai fait.

C 'est pour vous.

Ça a disparu un peu, mais ça ne le sera
pas.

Tu vas payer combien ? Non, non, c 'est
un régal. Voilà, t 'acceptes pas les

cadeaux. On te payera.

C

'est

ce bat ?

Qui a déjà fait la guerre ?

Vous savez ce que le

Seigneur fait aux paysans qui se
révoltent ? On te coupe les doigts.

On te crève les yeux.

On te pend lentement.

Ça dure, une journée.

La mort d 'un paysan, c 'est une blague
? J 'étais soldat.

Je sais de quoi je parle.

Toi, le grand, tu viens avec moi. Les
autres, rentrez chez vous.

Montre.

Je veux apprendre.

Je dois voir le Seigneur Polas.

C 'est important.

Tu as amené le cochon. Je n 'ai pas
oublié.

Alvaro.

Alvaro, je suis né.

Quand j 'étais enfant, une révolte a
éclaté dans une province voisine

très éloignée. Et voilà qu 'un jour, un
mendiant qui avait traversé la province

en question apporte dans la maison de
mon père un manifeste des révoltés.

C 'était un jour de fête, des invités
dans toutes nos pièces.

Le prêtre au milieu déchiffre le premier
article et tous éclatent de rire.

Mon père déchire le manifeste.

Un coup de bâton chasse le mendiant.

Pourquoi les paysans se plaignent en
douze articles de compter moins que nos

chiens ? J 'avais dix ans.

La grande révolte des paysans a eu lieu
un mois plus tard.

Mon père a perdu la vie. Trois châteaux
de notre famille ont été brûlés et

démolis.

Qu 'est -ce qui t 'attend ? Dépêche
-toi.

La tourne de Judith et Florine.

Merci.

Le voisin ne veut plus de la maison.

Il te la garde.

Tu peux racheter le terrain quand tu
voudras.

Tu sais, je ne peux pas rester avec
vous.

Je sais.

Qu 'est -ce que tu veux que je fasse ?
Rentre.

Comment tu vas faire avec elle ?

C 'est ma fille.

Des nouvelles de chez nous ? Personne ne
te juge.

Pas un mot contre toi.

Et toi ? Comment tu me juges ? D 'abord,
on vient de sortir la baie.

C 'est pour maman, là -dedans.

Tu es domme.

Maisonne.

On ne prend pas.

On achète.

On paye.

À qui ça appartient ? Et on n 'accepte
aucun dos.

Les gens donnent parce qu 'ils ont peur.

La guerre donne pas le doigt.

Le pillage, le bol, c 'est le Seigneur.

C 'est pas nous.

Avance.

On a pillé ta maison.

Montre qui t 'a fait ça.

Tu veux dire quelque chose ?

C 'est ça ton idée de la justice ?

Pendre tes propres hommes.

C 'est pour ça que tu brûles ? Que tu
massacres ?

Il

paraît que tu t 'apprêtes à ravager une
ville entière.

Tous ces gens que tu entraînes dans la
guerre, ils savent ce qui les attend ?

Qu

'est

-ce que tu leur as raconté ? Que Gola, c
'est le team d 'une grande injustice.

Tu es marchand.

Ton commerce est prospère.

Pour toi, la vie est douce.

Quel effort tu as fait pour obtenir
justice.

Moi, je vois que ton cœur est mauvais.

Que tu entraînes tous ces gens dans une
guerre qui ne les concerne pas.

Je vois que l 'épée que tu portes n 'est
pas l 'épée de la justice, que tu n 'es

pas un soldat de Dieu.

Dieu a été très largement oublié dans
toute cette histoire.

Colas, ce qui t 'attend sur terre, c
'est l 'échafaud.

Et vous tous, vous savez très bien ce
qui vous attend là -haut.

C 'est un honneur pour moi de faire ta
connaissance.

Tu me connais ? Je lis ta Bible.

Et je la lis à mes enfants.

Si tout se faisait comme toi, il n 'y
aurait plus ni ordre, ni justice.

Toi -même, qu 'est -ce que tu ferais si
dans ta propre troupe, chacun voulait

être indépendant, se faire justice et se
venger lui -même ?

Tu dirais que c 'est au supérieur de
juger que nul ne peut être juge

de sa propre cause.

Dieu t 'aiderait si tu savais souffrir
comme il le demande,

si tu apprenais à endurer.

à supporter l 'injustice.

Tu ne sais pas encore qu 'il ne convient
pas aux chrétiens de combattre avec l

'épée et l 'arc -buse, d 'avec la croix
et la patience.

Que sans triomphe, ni domination, ni
pouvoir, ni

soumission et humilité.

J 'ai passé ma vie à convaincre l
'Église et les princes.

Tu n 'avais pas de raison de nous
craindre.

Que tout ce que nous demandions, c
'était de pouvoir vivre et prospérer à

côté.

Ta révolte a fait reculer notre cause d
'une façon.

La femme que j 'aimais.

Qui a porté mes enfants.

est allé au palais de la princesse.

Supplie que me rende la justice à
laquelle j 'avais droit.

Dépose les armes.

Si le baron soigne mes chevaux, au nom
de ta foi, de celle de tes enfants, de

ses propres mains, de tous les enfants
élevés dans nos principes,

si me rendent les chevaux en bonne
santé, je t 'épouse les armes.

Sinon...

Tu dis

que tu pleures la perte de ta femme.

que tu es inconsolable.

Tu ne sais pas qu 'il y a des moyens de
vaincre la mort.

Chaque espèce vivante en a de la fourmi
à l 'homme.

Toi, tu es le plus simple.

Qui ne tue pas ne meurt pas.

Ce qu 'il faut que tu considères aujourd
'hui, ce n 'est pas ta force qui est

grande. Ce n 'est pas le tort de ton
adversaire qui est indéniable.

Je te demande seulement de regarder si
ce que tu t 'apprêtes à faire est selon

la justice.

C 'est une belle chose de dire aux
malheureux des mots qui partent comme

flèches. Est -ce qu 'il t 'arrive
parfois de penser à ta propre fin ? A l

'enfant que tu laisseras ? Aux pensées
qui ne t

'habiteront plus ? N 'oublie pas, on
meurt seul.

Vous aviez ça depuis le début.

La princesse l 'a eu aussi.

Pas moi.

Je ne demande rien d 'autre que ce qui
est écrit là.

J 'aurais préféré que tu te ranges à l
'esprit des écritures.

plutôt qu 'aux arguments de la
princesse.

Est -ce que tu accepterais ma confession
?

Mets -toi à genoux.

Tu es prêt à pardonner à ton ennemi, à
aller chercher tes chevaux, à les

chez toi pour les soigner.

Je suis prêt à pardonner à ceux qui m
'ont fait du tort, sans le savoir.

Laisse -moi exiger qu 'il rétablisse mes
chevaux de ses propres mains.

Pasteur ? Tu me refuses la paix ? Avec

Dieu, oui.

Avec la princesse, c 'est entre tes
mains.

Princesse d 'Angoulême, reine de
Navarre, sœur du roi, accordons à

Michel Collas de laisser passer aux
nouvelles instructions de son affaire.

À condition qu 'il dépose les armes.

Au cas où le tribunal le débouterait de
sa plainte, le dit Collas,

subirait la loi pour s 'être fait
justice lui -même.

Mais au cas contraire où le tribunal lui
donnerait raison, disons que lui et sa

troupe seront graciés et que l 'amnistie
courira les exactions

dont il s 'est rendu coupable dans le
pays.

Je vais en justice.

C 'est pour ça que j 'avais pris les
armes.

On rend les armes.

On ne sait pas plus.

Chacun le rend aujourd 'hui.

Aujourd 'hui, personne ne va mourir.

Et ceux qui sont déjà morts ?

Et César ?

Amnestie !

On

rend les calmes ! On rend les calmes !

Tous !

Tu as rendu les armes ? J 'ai tout
rendu.

Tu as des enfants ? Non.

Une femme ? Non.

T 'as rien gardé, tu es sûr ? J 'ai plus
rien.

C 'est bien.

Je sais pas où elle est.

Tu sais où est Jérémy ? Tu

sais où il va ?

Michel Colas.

Majesté.

Tu sais qui je suis ?

Mon père vous a dit majesté.

C 'est dans mon palais que ta mère a été
blessée.

Tu me crois si je te dis que je suis
désolée ? Tu crois que c 'est de ma

La ville que tu t 'apprêtais à détruire
lorsque tu as rendu les armes.

J

'avais

à peine autant d 'hommes que toi.

Tu aurais pu obtenir par toi -même
beaucoup plus.

C 'est pourquoi tu as rendu les armes.

Je ne veux pas beaucoup plus, Majesté.

Seulement ce qui me revient.

Tu es un fanatique ? J 'ai des
principes.

Un parent du baron a usé de sa fonction
pour faire disparaître ta cliente.

Tu le savais ? Oui.

Tu es comme moi.

Tu vis autant de l 'amour que de la
crainte que tu inspires.

Si tu n 'inspires que la crainte, tout
le monde te déteste.

Que l 'amour, c 'est signe de faiblesse.

Sauf qu 'aujourd 'hui, tu es seule,
désarmée.

Tu es un enfant.

Je voudrais que tu acceptes une garde.

Deux hommes.

Pour ta sécurité.

Jusqu 'au procès.

Le baron a peut -être trouvé tes
chevaux.

En mauvais état, mais vivant.

Va les reconnaître.

Le tribunal te les fera rendre dans leur
état d 'origine.

Tu auras ce que tu voulais.

Au revoir.

Tu en as encore quatre ? Il y en aura
quatre.

Des jumeaux, des poulains.

C 'est pour ça que tu fais atelier, on
va à la foire.

On attend les nouveaux, ils viennent
avec nous.

Vous avez peur pour moi ? Je sais pas, c
'est les hommes.

Les autres, tu les connais ?

Je fais comme je veux.

Un de vos valets n 'a pas rendu les
armes. Deux seigneurs ont été tués. Leur

bien volé.

C 'est distribué aux paysans.

Mais j 'ai plus de valet.

Il y a une enquête.

La princesse m 'a donné sa parole.

La princesse considère que l 'amnistie
est rompue.

Est -ce que ça fait de moi un prisonnier
?

Oui, la maison.

On va exactement dans l 'autre sens.

Mange.

Je crois pas que je vais aller aller
chez ma tante.

Tu ne peux pas vivre seul, Lisbeth.

Je connais Mendo.

Moi, je le connais.

À la maison.

Quoi, à la maison ? Si je reviens là

-bas.

Des pommes.

Des chitras.

Le voisin a donné son accord.

J 'ai parlé avec lui.

Il t 'a écrit une lettre pour les
détails.

Ici, à n 'importe quel moment, les gens
se mettent à prier.

La clochonne, elle se met à genoux.

Tous en même temps.

J 'avais oublié.

Il n 'y a que les juifs et nous qui
restons debout.

Ce qui vient, c 'est

difficile.

J 'ai du mal à trouver, je ne sais pas,
un

mot.

L 'apprentissage est temps, c 'est venu.

Merci beaucoup.

Tu veux encore quelque chose ? Oui.

Ce que tu veux me dire ?

Le pire, c 'est l 'incertitude.

Je compte.

Chaque jour, je me rapproche de Judith.

Je me loignais d 'Élisabeth.

C 'est pas la mort, mais la mort, je m
'habitue.

Je crois.

Mais la certitude absolue, Des jours, de
l 'heure, de la manière.

C 'est le plus difficile.

Sous -titrage ST' 501

Colosse. Au nom de Marguerite, princesse
d 'Angoulême,

reine de Navarre,

sœur du roi, c

'est aujourd 'hui que je te rends la
justice.

que tu as sollicité.

Je te rends ce qui t 'a été pris par
force, tes chevaux.

L 'argent des réparations de ton

valet.

Je n 'avais pas de famille.

Il y en a quelqu 'un qui en a besoin.

L 'argent des réparations, c 'est pour
toi ?

Deux ans de prison pour ce qu 'il t 'a
fait.

Tu as ce que tu voulais.

Les mots rouges sont pour tout.

Je sais que tu es en colère.

Je te demande un pardon.

J 'ai de la chance avec toi.

Tu es courageuse.

Tu me fais mal aux doigts.

Je voudrais y aller.

Gloire à Dieu.

On attend quelque chose.

Non.

Michel Collas, toi, qui de la façon qu
'on a vu a été restauré dans tes

droits, tiens -toi prêt de ton côté pour
avoir violé la

paix civile à restaurer ceux de sa
majesté le roi, dont le

représentant légal est ici présent.

Jusqu 'à ce qu 'il pleure.