All language subtitles for La princesse et la pute 2 - film X en streaming illimité, video porno, sexe vod sur Xillimité

Hector ? Mais qu 'est -ce que vous
faites dans ma chambre ? Ce que je vais

dire ne me fait pas tellement plaisir,
mais la décision vient d 'en haut.

Vous avez cinq minutes pour quitter le
palais.

D 'une heure à l 'autre, j 'avais été
jetée à la rue, sans la moindre

Que puis -je faire pour vous ? Eh bien,
nous aurions une petite proposition à

vous faire.

Des vacances, tout frais payé, ça vous
dirait ?

Mademoiselle.

Oui, voilà.

Laura avait insisté pour me présenter
Zerome le soir même, m 'affirmant que

seul pouvait m 'aider à me tirer des
griffes de M. Fernand. Avant moi, l

'ancienne locataire payait les loyers,
soit en faisant le show sur la scène du

groupe aussi, soit en actuant.

C 'est à ce moment -là que j 'ai compris
quelles étaient vraiment ses intentions

à mon égard.

Toujours occupé, Fernand.

Tu veux boire ? Oui, sers -moi un petit
whisky fond blanc.

Oui, c 'est bien.

Un fond, hein ? Oui.

Rayade.

Elle est excitée, la bouteille est
excitée.

Ne saoule pas, hein ? Trompe bien.

Oh ! Oh ! Oh !

Quand je pense à l 'humiliation que
Jérôme m 'avait fait subir.

Me faire déshabiller, puis ramper comme
ça devant lui.

Mon Dieu.

Et après, ce qu 'il m 'avait obligé à
faire avant de me...

Tu vas bien ?

Alors, je t 'ai entendu pleurer tout à l
'heure. Dis -moi pourquoi.

Tout est pourtant réglé. Je racontais à
Laura ce qui venait de m 'arriver.

Et le plaisir mélangé de honte que j
'avais éprouvé.

J 'étais certainement vouée aux flammes
de l 'enfer.

Raconte -moi ça.

J 'ai pris du plaisir.

C 'est honteux, non ? Tu n 'as pas à t
'inquiéter.

Il n 'y a rien de plus normal.

Elle m 'expliqua que je n 'avais pas à
avoir honte de mon plaisir ou de ce que

'avais fait.

Au contraire, j 'avais de la chance.

Beaucoup de femmes n 'éprouvaient rien
aux choses du sexe et passaient à côté

jouer un temps.

Oui, tu as de la chance.

Crois -moi, c 'est formidable.

Alors ne culpabilise plus.

Tu verras, ils sont gentils comme des
touts. Je me sentais soudain plus

comme si on venait de m 'absoudre de
tous mes PC.

Pour Laura, le sexe était la meilleure
façon de dominer les hommes et de les

mener par le bout de la queue, pour
employer son expression.

Pour parfaire mon éducation, elle me
proposa de prendre sa place avec son

prochain client.

Dépêche -toi.

Allez vite.

Plus vite.

Qui t 'a dit de te lever ? Reste par
terre. Oui.

Tu avances ? Oui, dépêche -toi, allez.

Plus vite.

Plus vite.

Tu as compris ? Avance, chienne.

Magne -toi.

Avance.

Avance.

Arrête -toi, là.

Reste ici.

Voilà, comme ça, ne bouge pas.

Tu veux voir son visage ? Amène -la ici.

C 'est moi qui donne les ordres ici.

C 'est moi la maîtresse.

Regarde -moi, toi.

Je suis ta maîtresse, tu es ma chienne.

Viens ici.

Bouffe -moi le chat.

C 'est moi qui commande.

C 'est bon, lève -toi.

Lève -lui les pompes.

Mieux que ça.

Lève ton pied, toi.

Lève, lève bien, Falken.

Oui, c 'est ça.

Ça suffit, salope, lève -toi.

Te recule.

Ça n 'a plus de poids.

Retourne -toi.

Cambre -toi.

Plus que ça.

Bande pas.

Je veux que tu regardes. Arrête de te
branler.

C 'est moi qui peux la toucher. Mate un
peu.

Tiens. Suis -moi.

Suce -moi, oui.

Dépêche -toi, suce -moi bien, vas -y.

Plus vite que ça.

Allez, salope, sale chienne. C 'est ça,
oui.

Oui, vas -y, suce -la bien, suce -la
bien.

Ouais. Vas -y, tousse -moi, tousse -moi.

Regarde comme elle m 'excite bien, comme
elle sait bien y faire.

Vas -y. Oui, salope.

Vas -y, vas -y.

Voilà. Matelas, toi.

Matelas.

Laisse partout.

Oui. Continue, chienne.

Sors ta lampe.

Mon Dieu, c 'est bien.

Vas -y, suspire, c 'est bon ça.

Plus vite, oui, oui, plus vite, c 'est
ça, oui.

Je suis ta maîtresse, dis -moi bien.

Vas -y, vas -y, c 'est ça, oui.

Elle te plaît ? Tu la veux, hein ? Elle
t 'excite, cette chienne, cette salope ?

Mais elle est à moi.

C 'est mon esclave.

Regarde comme il est beau, ce qu 'il
regarde.

C 'est une vraie chienne. Regarde -moi
ça, quelle belle fesse.

T 'en as envie, hein ? Tu te branles ?
Je te dis de regarder, et rien d 'autre.

Vire cette main, et bêche -toi.

Elle est vendante, pas vrai ?

Ça t 'excite, hein ? T 'aimes ça ?
Regarde -la, cette chienne.

Regarde.

Alors,

relève -toi.

Salope, cette chienne.

Je sais qu 'elle te plaît, cette
chienne.

Viens.

Avant. À genoux. À genoux.

Tant vie qu 'elle te fure, la falope. C
'est bon.

Tiens -toi. Tu fuis.

Tu fuis.

Tu aimes quelquefois, hein ? Elle fait
bien, cette femme -là.

Vas -y, tu me fais le bien.

Allez, vas -y, continue comme ça, c 'est
bon.

Oui, oui.

Ça t 'excite, pas vrai?

Oh, oui.

Elle aime ça, la salope.

Suce, suce bien.

Ah, oui, comme ça, c 'est bon.

Sus encore !

Sus,

sus, salope, éclate -toi !

Bon, oui, continue.

Quelle ne fut pas ma surprise en
découvrant que le client que je léchais

je trompais depuis quelques minutes
était autre que Dimitri Pirozhki.

Constatez ma déchéance de vélicité
encore plus.

Allez, vas -y, plus vite. Plus vite.

Plus vite, t 'aimes ça, hein ? Allez,
baisse -la plus vite.

Oui.

Oui.

Ah,

oui. Ah,

comme ça.

Vas -y, elle adore faire tirer.

Elle adore ça.

Tiens, amène -toi.

Baisse -toi.

Vas -y, vas -y. Appuie sur ma pièce.

Maintenant, c 'est toi qui vas venir me
baiser.

Amène -toi.

Oui, mais moi bien.

Je me sors, oui, oui, je me sors.

Vas -y oui.

Merci.

Dimitri, c 'est pour les bijoux.

Malgré les petites séances qui s
'offraient au Blue Booty, les deux

'ont continué pas moins de gérer la
principauté comme une affaire très

Ben oui, mais combien tu crois ? Faut y
réfléchir.

Comment aurais -je pu imaginer quelque
temps plus tôt que les frères

qui m 'inspiraient une si grande crainte
jusqu 'ici, étaient esclaves de leur

queue, comme le disait ma nouvelle amie
Laura.

Mais tout cela ne devait pas me faire
oublier que c 'était de redoutables

escrocs qui raquetaient littéralement la
principauté de San Chito.

Tout l 'argent qu 'ils arrivaient à
détourner allait sur un compte numéroté

Suisse.

« On n 'est jamais à l 'abri d 'une
révolution ou d 'une nationalisation »,

plaisait à répéter Dimitri.

Sassa, qui était le comptable du tandem,
n 'avait qu 'un défaut pour un homme d

'argent. Il n 'avait pas la mémoire des
chiffres et, à chaque fois que c 'était

nécessaire, il était obligé de consulter
un papier collé sous une statuette de

bronze où se trouvaient inscrits le
numéro de compte et le code citré.

Et comment ça te passe du côté d 'Alga ?
Ah, Eric, ton professeur de maintien, t

'a fait la main ce matin.

Il avait peur de paraître à la hauteur.
Ah, c 'est ton appétit sexuel, je le

comprends.

Cela dit, je lui dirais bien deux mots à
la nouvelle princesse de Sanctito.

Attendons d 'être sûr d 'elle, parce qu
'avec ses pulsions, on ne sait jamais ce

qui peut arriver.

Elle est imprévisible.

Qu 'est -ce que vous faites ? Non,
lâchez ça ! Qu 'est -ce que vous voulez

Tu devines pas ? Toi !

Ça va pas ? Qu 'est -ce qui vous arrive
?

Non, non, non, calmez -vous, ça te
suffit ! Non ! J 'ai dit non, assez joué

maintenant ! Non ! Écoutez, mon
travail...

J 'en suis désolé, mais c 'est de vous
protéger.

C 'est pas de... Je mélange pas le
business et le plaisir.

Y 'a pas à discuter.

C 'est qu 'une excuse, parce que t 'as
rien dans le slip.

Ouais.

Alors n 'insistez pas, c 'est inutile.

Impuissant.

On va voir ça.

S 'il vous plaît, calmez -vous.

Je lis le journal, vous perdez votre
temps.

Tu ne me regardes même pas. Tu ne veux
pas de moi, couille molle ?

Ça

suffit.

Je vais vous donner une bonne leçon.

Je t 'attends, moi.

Mon lésionnaire ! Prends -moi tout !

... ... ...

Oh !

Oui.

Sacha, contrairement à son frère, avait
des fantasmes érotiques beaucoup plus

romantiques et champêtres, dans tous les
sens du terme.

Il se jouait la comédie du chef d
'orchestre.

La nature et la musique classique
avaient sur lui un pouvoir aphrodisiaque

certain.

Merci d 'avoir regardé cette vidéo !

Ah oui, super, super, vas -y, c 'est ça.

Oh, continuez.

Laissez -moi vous répondre à Marquise,
voilà.

Ah oui.

Oui.

Merci.

Oh, mon Dieu !

Ah, oui.

Ah,

oui. Ah, oui.

Ah, oui.

Ah, oui. Ah, oui. Ah, oui. Ah, oui.

Ah, oui.

Oui !

Merci.

Derrière Helga la princesse, il y avait
toujours Helga la nympho.

Lassée de voir qu 'au château personne
ne pouvait la satisfaire, elle avait

décidé de faire un petit pèlerinage au
Blue Pussy pour s 'y envoyer en l 'air

pour de vrai.

Elle avait choisi son partenaire
habituel, ainsi qu 'une petite nouvelle

avait beaucoup de succès dans l
'établissement sous le costume de

Et devinez qui se cachait sous le masque
en vinyle ? Moi, Sophia.

Sans se connaître et sans se
reconnaître, Elga et moi, nous nous

suite. On se découvrit des tas de goûts
communs pendant cette partie à trois.

Oui.

Ah ! Ah

!

Le champagne.

Pauvre loulin.

Bon, dis -moi, je le mets sur ton
compte, le champagne, là ? Tu te fous de

Comme tu devrais être fière de pouvoir m
'offrir le champagne dans ton

établitement pourri. Casse -toi,
cloporte.

Salope.

Quand on se rendit compte que nous
étions toutes deux princesses de San

contre toute attente, ça nous rapprocha
encore plus l 'une de l 'autre.

Je ne pouvais pas en vouloir le moins du
monde à Helga qui, comme moi, s 'était

faite manipuler par les odieux frangins.

Je ne sais plus laquelle de nous deux a,
la première, parlé de se venger.

Mais peu importe.

Ce qu 'il fallait, c 'était savoir
comment.

En tout cas, je me souviens que c 'était
Elga qui a eu l 'idée.

Elle s 'était bien rendue compte que
Sacha et Dimitri n 'étaient pas

à ses charmes.

Et, bien qu 'il ne soit pas du genre à
mélanger les affaires et le sexe, elle

avait fait craquer des plus coriaces.

Bien.

De retour au palais, Elga se mit en
devoir d 'allumer les deux frères dans

bureau. Elle prétendait vouloir les
remercier de l 'avoir mise sur le trône

Sampito.

Merci.

J 'avais affirmé à Elga que si elle
arrivait à me faire pénétrer dans l

'enceinte du palais et à éloigner les
frères Pirochki toute une soirée hors de

leur bureau, je me faisais fort de
retourner la situation à notre avantage.

Pour les alléchés, Elga appuya donc sur
la corde sensible, le sexe.

Elle leur promit une mise en scène digne
de leurs fantasmes les plus

sophistiqués s 'ils se rendaient le soir
même dans un des salons particuliers du

Blue Pussy.

Excité par cette perspective, Sassa et
Dimitri acceptèrent le rendez -vous.

Je te veux.

Tu me laisses faire et ça ira.

T 'as envie de la prendre, cette jolie
petite chatte ? Ah, ah, c 'est bon ça,

oui.

Oui, c 'est ça, bouge bien.

Je veux te dévorer, donne -moi ta
langue. Oui, si tu m 'excites.

Prends bien les beaux louets. Fide -les
dans ta bouche, salope.

C 'est une bonne lutte.

Allez, on y va.

Ne craignez plus rien. Je suis là.

Mais éloignez -vous. Faites attention.

Faites attention.

Venez.

Par ici.

Prends -le -moi, prends -le -moi, vas
-y, oui.

Elle adore sucer, cette putain.

C 'est une bonne pipeuse.

Elle aime trop les pipes, cette pute.

Ça suffit. Allez.

Viens. Viens là.

Par ici.

Je te prendrai bien merci.

Viens t 'empaler sur ma bite.

Salope !

C 'est bon d 'avoir de l 'huile.

Oui.

Ha ha !

Ma chère, vous avez été à la hauteur de
votre réputation. Je vous ai trouvé

remarquable.

Je dirais même mémorable.

Dis -moi, je commence à avoir des
crampes.

Tu ne peux pas me détacher, là ? C 'est
fatiguant. Oui, je te donne la clé.

Je remets mon pantalon.

Tiens la clé.

Ben alors, cette clé ?

Mais vite, ça fait mal ce truc.

Bon, excusez -moi, mais je suis désolée,
je dois m 'en aller.

Au revoir.

Mais enfin, où elle est ? C 'est fou.

Cherche, cherche bien. Mais je fais que
ça.

Qu 'il était doux de se retrouver chez
soi.

Je nageais de nouveau dans le bonheur,
et je le devais à Helga.

Pendant la nuit où elle s 'était
arrangée pour piéger les frères Pirochki

'aide de Laura, j 'en avais profité pour
vider intégralement leur compte suisse.

et pour le virer à un nouveau compte
numéroté dont j 'étais la seule à

le numéro.

Et croyez -moi, je n 'ai pas besoin de l
'écrire pour m 'en souvenir.

J 'ai la mémoire des chiffres.

Les deux frangins étaient en fuite et ne
risquaient pas de revenir de si tôt vu

qu 'un paquet de créances qu 'ils
étaient incapables d 'honorer les

À celle qui n 'aurait jamais dû cesser d
'être princesse de sans cliquet. Eh

bien, c 'est gentil de dire ça, mais je
ne cherchais pas du tout à te chasser du

trône.

Qu 'est -ce que vous faites là ? Excusez
-moi, votre Altesse. Le majordome étant

malade, je me suis permis de vous
apporter le petit déjeuner.

Navrez de vous avoir réveillé
brusquement. Je suis maladroit.

Ce n 'est rien.

Ce n 'est rien.

Hector ?

Le Blue Pussy, vous connaissez ? Oui, j
'ai connu cette boîte, en effet.

Vous dites que vous connaissiez ? C
'était il y a une dizaine d 'années.

C 'était un endroit assez fou de la
principauté.

Maintenant, je pense que c 'est une
boutique de souvenirs.

Il y a une dizaine d 'années ? C 'est
étrange, tout ça.

Très étrange.

Ça ira. Bonne journée.

Allô, Elga ? C 'est Sophia.

Il faut que tu passes ici dans la
matinée, oui.

Tu ne vas pas y croire. J 'ai fait un
rêve vraiment très bizarre. Il faut

Tu étais dedans et c 'était... c 'était
trop fou, mais je vais t 'en parler.

Ok.

Ok, à tout de suite.

Bye bye.