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- Ah, le voilà. - Bonjour.

Pardonnez mon retard.

Comment allez-vous ? Tout le monde est là ?

- Oui, tout le monde est là. - Allons à l'intérieur.

- Qui est ce tribun ? - Macarius Califanus Urbanus.

Quelle est la raison de cette rassemblement de personnes ?

- Il vient de rentrer à Rome. - Mais pas pour longtemps, seulement pour une semaine.

Il doit retourner en Gaule le plus vite possible.

Comme il a l'air fier et magnifique.

- Il nous regarde. - Je ne crois pas qu'il t'aime bien.

Allons-nous-en.

Merci.

S'il y a parmi vous quelqu'un qui ne maîtrise pas encore l'art de l'amour,

lisez mon poème.

Et avec cette expérience, qu'il découvre un nouvel amour.

C'est prometteur, non ?

Ce n'est pas moi, Apollon, qui vais mentir, en disant que vous m'inspirez.

Ce que j'ai à dire ne m'a pas été soufflé par le chant d'un oiseau.

C'est de l'expérience pure, alors écoutez l'enseignant,

car ce que je dis est la vérité.

Et toi, mère de l'amour

accorde ta faveur à ce qui est, ce que j'essaie d'enseigner.

Finis les foulards et les écharpes, qui, par pruderie, couvrent même le pied.

Je parle de certains d'amour et de vols légitimes,

Par mon discours, aucun crime ne sera commis. Crime sera commis.

La première tâche que tu dois accomplir, toi, nouveau soldat de l'amour, est,

chercher celle que tu veux aimer.

Alors, essaie de les soumettre à ta volonté par tes demandes de se soumettre à ta volonté.

Assure-toi finalement que ton amour dure longtemps !

Telles sont les limites que je fixe.

Voici le champ que mon char labourera.

C'est le but que mes roues en feu effleureront.

Tant qu'il t'est permis d'avancer

librement et à bride abattue,

choisis la femme à laquelle tu

peux dire : "Il n'y a que toi que j'aime".

Elle ne tombera pas du ciel pour se jeter à tes pieds.

Tu dois la chercher, avec tes yeux.

Le chasseur sait où placer le filet pour le chevreuil.

Et celui qui lance la ligne connaît l'eau où se trouvent les poissons.

L'eau dans laquelle nagent les poissons.

Viens !

Cornelius.

"Cor. Cor... Cornelius" Cornelius ! Cornelius ?

Quelqu'un vient-il d'appeler Cornelius ?

C'est notre téléphone. Il est fou, il ne sait pas ce qu'il dit.

Moi aussi, j'en ai l'impression.

Ma... Macarius ! Maca...

Tu entends ? Notre bon vieux Telefo est maintenant guéri.

Oui, quand il voit ton épée, il revient toujours à la raison.

Tiens, n'aie pas froid.

J'ai rêvé que Parilius brûlait dans son four de bronze.

Ce n'était qu'un cauchemar.

Tu dois quitter la maison plus souvent. Va te promener dans la nature.

Respire de l'air frais.

Que les dieux te protègent, ma chère.

Et sois bon avec ma mère.

Bien sûr, ma chérie. Nous nous entendons très bien tous les deux.

Clio !

Adieu à toi.

Deux C, Claudia et Clio.

Je ne l'avais jamais remarqué.

Oh ! Bonjour !

Arrête ! Arrête de faire ça !

Viens ici.

Quel beau soldat !

Viens ici ! Viens !

Tout d'abord, enlevons ce casque hideux.

Mon beau petit garçon !

Sois bonne avec ma femme, maman, s'il te plaît.

Ne t'inquiète pas, nous filons notre laine en parfaite harmonie.

Mon petit chéri.

Et s'il te plaît, occupe-toi de Telefo. Sa mémoire est encore très bonne.

- Il pourrait nous être utile. - Oui, ne t'inquiète pas.

C'est le destin d'un soldat, c'est qu'il ne sait pas quand il va revenir.

C'est mon destin.

Et le destin des humbles matrones est d'attendre et d'attendre.

C'est mon destin.

Que les dieux soient avec toi, ma mère.

Que les dieux soient avec toi.

Adieu à toi.

Adieu à toi.

Le Seigneur a ordonné à sa mère, de garder un œil sur Telefo.

Cet oiseau est complètement fou.

Oui ? J'en ai assez !

Macarius ! Macarius !

Macarius ! Mac...

Mac... Macar... Ma...

Assez, mouchard !

- Nous disons que ce n'était pas notre faute. - Oui, le chat a ouvert la cage.

Et puis un faucon l'a attrapé.

Quelques plumes.

C'est tout ce qu'il reste de Telefo.

Ces oiseaux font beaucoup de bruit, mais ils sont bêtes comme des poules.

- Sepora !

Oh ! Priape : la matrone m'appelle.

Sepora !

Oui, j'arrive, maîtresse !

Ah ! voleur ! Vilain !

Sepora ! Ma perruque ! Sepora !

Voleur ! Vilain ! Salaud !

Je suis ici, maîtresse !

- Rufus. - J'arrive, maîtresse.

- Rufus, à qui appartient cet oiseau ? - C'est le perroquet de notre voisin.

Hé !

Ne lui fais pas de mal, s'il te plaît !

C'est un cadeau de Macarius Urbanus à sa femme !

Arrête avec ça !

Il appartient à ton ami.

Non, Laurentius ! Je t'en supplie !

Laisse-le tranquille ! Il ne t'a rien fait !

- Tais-toi ! - Non ! Non Laurent !

Maudite bête païenne ! Je vais te couper la tête et la queue !

Comment oses-tu !

Sale vache ! Dans ma maison ?!

C'est une honte ! Ici, dans la maison des aigles !

Tu comprends ? Aigle ! Attends un peu !

Espèce de sale garce ! Tu l'as bien mérité !

A l'intérieur !

Dedans !

Tu pleures ?

Je vais t'apprendre à aboyer aussi !

Macarius Urbanus le saura !

Oh, bien sûr ! bien sûr ! Nous savons quelques choses sur lui. Il écrit des poèmes.

Et il mange peut-être trois fois par semaine.

- Un poète ! - Le pauvre !

- La nuit, il doit avoir froid. - Les étudiants savent se réchauffer.

- Il a toujours l'air fiévreux. - Qu'est-ce que tu trouves à ce Cornélius ?

Il n'a pas l'air bien, il n'est pas riche.

Peut-être. Mais je l'aime bien. Je l'aime beaucoup.

Vécu dans un trou étroit et glacé, qu'il appelle fièrement sa maison.

En plus, ces étudiants ne savent pas se taire, et c'est agaçant.

Vous qui cherchez une femme pour une longue période d'amour,

choisissez d'abord les endroits où vous trouverez des femmes en abondance.

Rome peut vous offrir des femmes si nombreuses et si différentes qu'on

peut dire que tout ce qu'il y a de beau dans le monde s'y est rassemblé.

En été, quand les journées sont chaudes, allez

vous promener sous les portiques de Pompeo.

Tu pourras y admirer des admirer des peintures.

Regarde les Danaïdes et leur père, qui se lève, une épée

à la main, alors qu'ils planifient la mort de leurs cousines.

N'oublie pas les Sabines, qui ont été enlevées par Romulus.

Et Léda avec Jupiter sous la forme forme d'un cygne.

Un cygne ? Vous croyez que c'est possible ?

Il faut demander à la veuve de Néron, notre voisine, à demander.

Elle garde un cygne dans son jardin.

C'est terrible !

Les Romains ont enlevé les Sabines et les ont forcées à les épouser.

Mon défunt mari, le conseiller Néron, m'a enlevée quand j'avais 16 ans.

C'était un vrai homme.

Le mien est toujours vivant, mais c'est comme s'il était mort depuis dix ans.

C'est l'endroit où tu peux réaliser tes désirs.

Tu y trouveras une beauté, qui te séduira.

Une autre qui sera un plaisir éphémère.

Caprice sera pour toi.

Et enfin celle qui, celle avec laquelle tu veux rester. Tu n'as pas honte ?

Approche-toi d'elle, aussi près que possible.

Rien ni personne ne peut t'arrêter.

Et lorsque vous vous rencontrez, trouvez une occasion

d'entamer une conversation, mais contentez-vous d'abord de banalités.

- Oh ! je suis désolé. - Ce n'est pas grave.

Si tu remarques un grain de poussière sur son cou

ou son épaule, enlève-le en touchant à peine sa peau.

Et s'il n'y en a pas, fais semblant, comme s'il était là.

Mademoiselle, un grain de poussière est tombé sur votre épaule.

Je vous prie de me permettre de l'enlever.

Tout doit servir de prétexte à des politesses galantes.

Les femmes viennent ici ; pour voir, mais surtout pour être vues.

Il est impossible de citer tous les domaines de chasse aux femmes.

Il serait plus simple de compter les grains de sable au fond de la mer.

Jusqu'à présent, je vous ai donné donné des indications sur les endroits

où vous pouvez trouver les femmes, celles que vous voulez aimer, celles

que vous devez aimer et comment vous pouvez Jeter des filets pour les trouver.

Maintenant, je vais vous dire comment vous

attacher à la personne que vous aimez le plus.

Cela nécessite l'utilisation de méthodes un peu plus subtiles.

Hommes, qui que vous soyez, où que vous soyez, écoutez-moi bien.

Écoutez-moi attentivement, ce que je peux vous promettre.

Tout d'abord, soyez sûrs de vous, qu'il n'y a pas

de femme au monde qui ne puisse devenir la tienne.

Tu l'auras si tu sais comment tu poses tes pièges.

Les oiseaux au printemps et les cigales en été se tairont bientôt

avant qu'une femme ne rejette celui ou celle qu'elle aime, qui la caresse.

Elle cède, même si elle est intransigeante.

Comme l'homme, la femme apprécie les plaisirs éphémères.

Si ce n'était pas nous, qui demandent des baisers,

la femme vaincue les demanderait bientôt elle-même.

Dans les vallées ombragées et sur les pentes du Mont Ida vivait autrefois un taureau blanc.

Il était la fierté du troupeau, avec une touffe de

poils noirs entre les cornes. Poils entre ses cornes.

C'était la seule tache noire, le reste de son corps était blanc comme neige.

Pasiphaé brûlait d'un amour adultère pour lui.

Par jalousie, elle détestait les jeunes païens bien faits.

Regarde comme elle court devant lui dans l'herbe, elle se croit séduisante.

- Vous avez appelé, maîtresse ? - Non, ce n'est rien.

Emportée par la passion, rien ne peut l'arrêter.

Regardez, le roi Minos est vaincu par un taureau.

Finalement, trompé par la cible en forme de forme d'un bovin, le taureau la couvre.

Par la naissance, le père a été révélé !

C'est ce qui déchaîne l'amour d'une femme.

Il est beaucoup plus chaud que le nôtre.

Il est plus vivant.

Eh bien, soyez courageux et ne doutez pas.

Vous pouvez compter sur toutes les femmes du monde entier.

- Quittez cette maison immédiatement ! Va-t'en ! - Ce n'est pas ce que je voulais dire.

Si, tu l'as fait !

- Il m'a insulté. - Insulté ?

Merci, tu es très gentil.

Ce soir, tu trouveras la lettre sous la porte.

Il m'a dit que je n'étais pas en mesure de comprendre

le sens profond du comprendre le discours d'Ovide.

Fous le camp !

Qu'est-ce qui se passe ici ?

C'est un des admirateurs de votre belle-fille a laissé.

Elle est fidèle à mon fils, n'est-ce pas ?

C'est une vraie sainte, une femme gracieuse.

Vous devez la tenter,

si elle pleure sur la faute d'un amant.

Vous devez être prêts.

Grâce à vous, elle obtiendra sa vengeance.

Marcia à Claudia.

Ne te mêle pas de notre relation. Cornelius m'aime.

Cornelius m'aime.

Et j'aime Cornelius.

Cette vérité sera connue dans tout Rome,

Marcia.

Non, ce n'est pas vrai. Je le jure par Priape, maîtresse.

Cornelius ne ment jamais. Ce n'est qu'une invention de cet idiot.

Je vous assure que Cornelius ne ment jamais, il vous aime définitivement.

Alors il doit se venger !

Il doit la tuer !

Priapus, fais en sorte qu'un autre homme amant sache comment plaire à ma maîtresse,

et que Cornélius soit à moi.

Je l'aime bien, il est fait pour moi.

Je vais faire un sacrifice aujourd'hui pour cela

et jeudi prochain aussi.

Oh Priapus ! Tu es tout-puissant !

Je n'aime pas marcher dans des ravins ou sur des rochers escarpés.

Et je ne veux pas que quiconque tombe dans un piège sous ma direction.

Mais si elle vous donne des nouvelles ou en reçoit de vous, cela

éveille en vous le désir, non seulement parce qu'elle est fidèle

et travailleuse, mais aussi belle et appétissante, prenez

d'abord plaisir à sa maîtresse, ensuite d'elle, et ce dans cet ordre.

Ne commencez jamais un nouveau amour dans le giron d'une servante.

Cornélius !

Ovide a raison quand il dit qu'on n'aime plus sa femme

parce qu'on peut la voir, quand on veut.

Mais ce n'est heureusement pas le cas chez nous.

- Tu as entendu ce que j'ai dit ? - Eh ?

Ah, oui.

Heureusement qu'il y a Telefo.

Les hommes trichent plus souvent.

Il est rare qu'une jeune fille jeune fille se souille par l'infidélité.

Qu'est-ce qui se passe ?

Je te le dis, ce ne sont que des mots,

auxquels tu ne crois pas toi-même.

Ou alors, explique-moi pourquoi tu as laissé ta femme

avec une chienne comme tutrice et non avec un chien.

C'est précisément parce que j'ai confiance en ma femme, mais à aucun homme qui s'approche d'elle.

Il est étrange que tu aies choisi comme

protecteur un perroquet et non un cygne.

Cygne, comme le veut la tradition.

Nous pouvons voir les tours de Lugdunum, général.

Nous ne nous arrêterons pas à Lugdunum Nous nous arrêterons, nous continuerons à marcher.

Nous marchons vers Mediolanum, Rome.

Oui, général. ' Sepora ?

- Jures-tu ? - Par Priape, maîtresse.

Jure-le !

Je jure par le glorieux membre de mon Dieu préféré.

- De garder le secret. - Garder le secret

- jusqu'à la mort - jusqu'à la mort.

Et de me frotter le dos avec une brosse en paille de riz dès que.

Et me laver le dos avec une brosse, dès que.

J'ai dit : "de paille de riz, dès que."

Mais une telle brosse fait mal.

Avec une brosse en paille de riz de paille de riz, répète !

Frotte mon dos avec une brosse en paille de riz, dès que

- dès que j'ai rempli ma mission. - Dès que j'ai rempli ma mission.

Avant d'aller à Cornelius, achète de la farine.

La plus pure et la plus blanche, que tu peux trouver.

Si tu la saupoudres dessus, l'écriture apparaît blanche comme de la craie.

Comme toujours.

Salaud, si tu ne fermes pas ton bec, je te vendrai au marché aux volailles.

Bien sûr, tu te laveras trois fois.

Ce qui est juré est juré, est juré, maîtresse.

Je peux t'écrire en secret.

Je t'attends, mon amour.

Il y aura une réception pour fêter célébrer le retour des soldats de Gaule.

Tu seras présenté à mon mari.

- La mère dort-elle ? - Mais bien sûr !

J'ai doublé la dose.

La vigilance de mon tuteur sera alors détournée.

Ne bouge pas !

Ça me chatouille, ça me fait rire.

Ma passion a atteint son apogée.

C'est fait !

Et votre signature ? Vous ne signez pas ?

Non ! Non, j'ai peur.

D'ailleurs, maître Cornelius sait très bien à qui appartient Sepora.

Il n'y a personne ici, j'ai bien fermé toutes les portes.

Surtout, tu ne dois pas mentionner mon nom. Ne jamais mentionner son nom.

Non, maîtresse, ne vous inquiétez pas. Et je vais me laver le dos quatre fois.

Cornelius ! Cornelius ! Cornelius ! Cornelius !

Oh, Flavius ! Flavius !

Et regarde-la profondément dans les yeux avec un regard affectueux.

Ton regard exprime plus, que les mots ne peuvent le dire.

Et chaque nourriture qu'elle touche avec les doigts,

tu la prends aussi, touche cette nourriture avec elle.

La méthode est aussi vieille que sûre : tu te fais

passer pour un ami de la personne, que l'on veut dénoncer.

Un moyen simple et sûr, même si ce chemin est pavé de sentiments de culpabilité.

Si tu pars après avoir débarrassé la table,

la foule t'autorisera à de t'approcher d'elle.

Traverse la foule, Approche-toi d'elle autant

que possible, puis effleure son côté avec un doigt.

Effleure son pied avec ton pied.

Plus fort ! Plus profondément. Plus bas, je te dis !

La caresse militaire !

Vieil ivrogne !

Fais attention à la bonne quantité en buvant.

Ne bois que juste assez pour que ton état et ta raison ne vacillent pas.

Ne te mêle pas des querelles, qui peuvent facilement s'envenimer à cause du vin.

Et ne te lance jamais dans une bagarre.

Êtes-vous heureux avec votre perroquet ?

Êtes-vous vraiment heureux avec votre perroquet ?

- Oh, c'est un oiseau comme les autres. - Oh, je comprends.

Vous aimez les cadeaux de votre mari, quel qu'il soit.

S'il vous plaît, excusez-moi.

Veuillez m'excuser, s'il vous plaît.

Euritione, le fou, est mort après

avoir bu tout le vin qu'on lui a offert.

La nourriture et le vin sont des moyens appropriés moyens de s'amuser et de plaisanter.

Chante, si tu as de la voix. Danse si tu en as envie.

Demande à ton amant de toutes les manières possibles.

Est-il vrai qu'une fois, en Égypte, tu as

eu un amant qui devait utiliser l'eau du Nil ?

Pour te séduire ? L'eau du Nil ?

Quel est son effet ? Il remplissait de grands récipients avec de l'eau du Nil, et ensuite il utilisait l'eau pour.

Cornelius ! Cornelius !

Il est enfin temps de Il est temps de lui parler.

Finie la modestie stupide.

Vénus, avec la chance, aide ceux qui osent agir.

Où est mon mari ? Macarius.

Celui qui prétendait aimer tombait souvent amoureux.

Il pensait que c'était un

jeu, d'être un amant, et puis il l'est devenu.

Non !

Qui, à moins d'être un imbécile, ignore l'art de l'amour ? l'art de mêler les baisers aux mots ?

Elle pourrait refuser.

Alors n'hésite pas à prendre ses baisers de force.

Si elle résiste te traite

d'impudique, elle finira par vouloir être vaincue.

Oui.

Oui.

À genoux ! À genoux !

J'ai rêvé de Carthage.

Ah oui, et tu as gagné la bataille ?

Non, pas du tout.

C'était un combat trop inégal.

J'étais seul.

Toi tout seul ?

Si le général me trouve, il va me castrer.

Oh non ! Je ne le laisserai pas faire.

Jamais ! Je vais te défendre.

Vite ! Vite ! Sauve-toi !

Tu n'es pas habillée. Il ne fait pas si chaud ce soir.

Je me suis déshabillée, pour te recevoir.

Ah ! tu sais sacrément bien que je déteste ça.

C'est quoi ce torchon sale ?

Je l'ai trouvé dans la rue.

Je connais cette odeur.

De l'ail mélangé à de la sueur de mouton.

C'est celui de Rufus.

Hein ?

- Espèce de salope ! - Je ne connais personne qui s'appelle Rufus !

Non ! Non !

Non !

Non ! Non ! Non !

Laissez-moi tranquille ! Je ne le connais pas !

Non ! S'il vous plaît, non ! Je t'en supplie !

Non ! laissez-moi partir ! Tu me fais mal !

Non ! Au secours ! Au secours !

Non, non ! Non ! Non !

Ne me tue pas !

Au secours !

Non !

Espèce de bête ! Bête !

Non !

Non, non !

Écoutez ! J'ai une affaire à régler Dénoncer un complot !

Je connais la vérité ! C'est lui ! C'est lui !

- Il veut - Arrête ! Tais-toi !

Il planifie la mort d'Auguste ! Il veut tuer l'empereur !

Il a déjà fait fabriquer une armure impériale !

Je sais où elle se trouve !

Ce n'est pas vrai ! Ce n'est pas vrai ! Elle est folle !

Ferme-la, putain ! Ferme-la ou je te la fais bouffer.

Je vais te tuer, espèce de pute.

C'est fini.

Maintenant tout est fini.

Selon la loi

le mari n'a pas le droit,

mais il a le devoir, de tuer une épouse infidèle.

Oui, ma chère,

le droit romain, le meilleur de tous système juridique du monde,

oblige le mari à tuer sa femme infidèle.

Tu as entendu ? Tu ne peux plus parler ?

Eh bien, ta voix s'éteint,

mais peut-être que tu peux encore entendre et voir.

Pauvre petite chose ! Pitoyable créature !

Tu avais raison. Un jour, je serai empereur,

et très bientôt.

Voici l'armure impériale.

Divine, vénérée par les rois.

Je serai empereur.

Je suis empereur.

Regardez ! Regardez ici !

Je suis l'Empire !

Je suis l'Empereur !

Je pourrais m'arrêter maintenant,

mais comme aucune femme ne ressemble à une autre, je veux vous en dire plus.

On peut conquérir mille cœurs de mille manières différentes.

Des terres différentes ne produisent pas toujours les mêmes fruits.

L'une porte la vigne, l'autre le blé.

Olivier, et sur celui-ci pousse le blé.

Il y a autant de visages en ce monde qu'il y a de cœurs.

Seuls le sage et l'érudit pourront les comprendre. Je t'aime comme moi-même, Cornélius !

Et comme Prométhée, il se transformera au besoin en une

douce vague ou en un lion ou en une plante ou en sanglier.

Tu ne dois pas non plus agir de la même manière à chaque agir de la même manière à tout âge.

Si tu te comportes comme une personne expérimentée face à une

innocente ou si tu harcèles trop vivement une timide, elle aura peur de toi.

Ainsi, il est souvent arrivé qu'une femme que l'amant honnête avait

effrayée, tombait dans les bras de quelqu'un d'autre, qui était pire que lui.

Sois affectueux si tu veux être aimé.

Mais une bonne apparence et une bonne La beauté ne suffit pas pour cela.

Si tu veux voir le bien en ta femme et ne pas la

voir te quitter, ajoute à la beauté la force de l'esprit.

La beauté est une chose fragile Elle ne dure pas éternellement.

Elle se fane avec le temps et s'épuise par sa durée.

Sois toujours prêt à lui tenir le tabouret, quand elle sort du lit.

Et n'oublie jamais de lui enlever sa d'enlever la sandale de son pied.

Je te conseille de donner à ta de ne pas offrir de

cadeaux de valeur à ta bien-aimée, mais seulement

des cadeaux modestes. Mais même s'ils sont modestes,

choisis-les soigneusement et présente-les de manière appropriée.

S'il est assez riche, même un barbare gagnera l'amour d'une femme.

Et si elle danse, admire son corps.

Loue sa voix quand elle chante.

Et quand elle s'arrête, dis-lui : "Oh ! comme c'est dommage".

Loue toutes ses étreintes.

Loue ce qui te rend heureux et ce qu'elle a à offrir la nuit.

Même si elle était plus terrifiante que Méduse, elle

est douce et pleine de douceur. bonté envers son amant.

Souvent, en automne, quand l'année brille de mille

feux et que les raisins dégoulinent de jus, on sent

la fraîcheur des premières gelées, encore dans la

chaleur du corps desséché, et l'air flatte encore le corps.

J'espère que ta femme va bien, mais si elle est malade

à cause de changement de climat tombe malade,

montre-lui que tu t'en soucies et veille sur elle avec ton amour.

C'est le moment de semer ce que tu récolteras ensuite en abondance.

Ne montre jamais de colère ou d'intolérance face aux soins pénibles,

lui apporte un soutien de première main, fais tout ce qu'elle me permet de faire.

Elle est là, en bas.

Laisse-la te voir souvent pleurer, offre-lui volontiers ta

bouche et laisse-la boire tes larmes avec ses lèvres desséchées.

Apporte-lui souvent une vieille femme qui, d'une main

tremblante, avec du soufre et des œufs, nettoie sa chambre et son lit.

Dans ces actes, elle verra les signes de ton véritable amour.

Son cœur s'enivrera de bonheur

et n'en connaîtra plus la mesure.

De cette façon, le cœur devient paresseux

et ralentit ses battements vers un amour sûr.

Cornélius !

Assure-toi toujours qu'elle a peur de perdre ton amour.

Rallume son cœur

chaleureux, fais-la douter de toi.

Heureux l'homme dont la femme, si elle

croit qu'il s'est détourné d'elle, est jalouse de lui.

Et si elle entend, à contrecœur qu'il l'a trompée,

elle se jette par terre et perd son sang-froid.

Si seulement j'étais celui dont ils tirent les cheveux,

dans la joue duquel ils enfoncent leurs ongles acérés

ou vers lequel elle lèverait les yeux, pleine de larmes et sombre d'indignation.

Si seulement j'étais l'homme sans lequel elle ne pourrait ou ne voudrait pas vivre.

Non. Non !

Celui qui est sage et intelligent, vaincra en amour et

obtiendra tout ce qu'il veut, ce qu'il désire grâce à mon art.

Je méprise la étreinte de l'homme qui ne se

réjouit pas en même temps lui-même et sa bien-aimée.

Je méprise la femme qui cède, parce qu'elle

pense qu'elle doit le faire, sans sensualité.

Le plaisir que procure un tel accouplement ne me procure aucun plaisir.

Je ne veux pas qu'une personne se sente femme se sente obligée envers moi.

Le cri de l'amour doit s'enfanter lui-même.

Son giron, ce sont les lèvres de la dame amoureuse.

Je veux qu'elle me dise que j'accélère ou que je ralentisse.

Et je voudrais voir l'expression de son visage, complètement hors de lui de joie.

Je veux la voir au sommet de son entendre crier au

sommet de son plaisir : "Arrête ! Arrête ! Ne me touche plus".

Arrête ! Arrête ! Je n'en peux plus !

Les doigts sauront d'eux-mêmes, comment ils doivent bouger,

où vise la flèche acérée de l'amour.

Crois-moi, ce n'est pas agréable, de s'approcher de l'extrême plaisir,

mais tu dois atteindre le sommet du retarder lentement le bonheur.

Ne permets pas à une modestie inutile de retenir le charme de tes caresses.

Tu verras comment les yeux de ta femme de l'amour avec l'éclat des

et de plaisirs délicats, lorsque les rayons du soleil

reviennent de la surface de l'étang tranquille.

Je ne poursuis rien d'autre que l'amour lascif.

Et je n'initierai les femmes qu'à l'art d'aimer. L'art de se laisser aimer.

La femme n'a jamais su comment se protéger des flèches de l'amour.

Ces flèches rebondissent souvent sur l'homme.

L'homme est plus souvent infidèle.

Rarement, notez bien,

la jeune femme se souille de la culpabilité de l'adultère.

Et pensez dès le début que la vieillesse vient vite,

afin que vous ne passiez pas votre temps sans fruit.

Alors que vous êtes au printemps de votre vie, profitez de la vie.

Car les années passent plus vite qu'un fleuve qui coule.

La vague qui est passée ne revient pas, ni les heures passées.

Profite de la vie.

Les années passent vite, et la suivante ne

sera jamais aussi belle que la précédente.

Le jour viendra où tu toi qui rejettes aujourd'hui tes amants

vieux et seul dans ton lit.

Personne ne frappera à ta porte la nuit

et tu ne trouveras pas de roses le matin.

Des pétales de

roses devant ta porte.

Comme ton visage se fane et se ride vite, comme la couleur qui t'a rendue belle s'estompe rapidement.

Alors ne renie pas tes charmes devant le jeune homme qui te désire.

Même le fer perd de son tranchant, et avec le temps, la pierre s'use.

Mais ta passion est constante, ne crains pas de l'avouer. Qui croira que la mer puisse être vidée de ses eaux ?

Qui d'entre vous prétendra que l'amour passionné est interdit ?

Commencez par prendre soin de votre corps.

La beauté est un don de Dieu, mais

combien de femmes peuvent en être fières ?

La majorité d'entre vous ne peut pas prétendre, avoir reçu ce cadeau.

Comme Mère Nature est bonne pour que, même si elle vous fait

du tort, elle vous donne aussi beaucoup de moyens, pour le réparer.

C'est en vain que les hommes essaient se cachent.

L'âge impitoyable nous arrache les cheveux, ils tombent comme les feuilles en automne.

Avec des herbes de Germanie, on peut Les femmes font disparaître les cheveux gris.

Et lorsque leurs cheveux sont colorés, ils sont souvent encore plus beaux que les vrais cheveux.

Mais l'être aimé ne devrait jamais te trouver avec des pommades ou des crèmes.

L'art de te rendre belle, devrait être un secret.

Attendez ici, maîtresse, je le dis au Seigneur.

Je ne veux voir personne.

Qui ne serait pas dégoûté de te voir avec de la boue sur tout le

visage, dégoulinant fortement et de manière dégoûtante entre tes seins ?

Je suis désolé, mon maître, mais ma maîtresse ne reçoit personne.

Tu peux à la rigueur porter tes cheveux détachés,

s'ils sont si brillants qu'ils couvrent tes épaules.

Je vous l'avais pourtant dit !

Qu'elle n'était pas là !

Non, ce n'est pas vrai, je suis là ! Sois douce !

Encore plus doux ! N'embête pas ton esclave.

Je déteste ceux qui le font, qui la battent et la

maltraitent parce qu'ils ne peuvent pas se voir dans le miroir.

Et apprend à marcher avec autant de grâce, comme on l'attend d'une femme.

Votre attitude a beaucoup à voir avec votre grâce.

Elle peut attirer l'homme ou le repousser loin de vous.

Laissez la partie gauche de l'épaule l'épaule et le haut du bras.

C'est tentant.

Surtout quand votre peau est aussi blanche que la neige.

Cette vue me séduit, à couvrir cette

épaule de baisers, sur toute la peau nue.

Car ce qui est caché reste inconnu et indésirable pour tout le monde.

Une beauté inconnue n'a jamais porté de fruits.

Ma mère !

- Bienvenue à la maison, mon maître. - Retourne dans ta chambre.

Je t'ai dit de retourner dans ta chambre !

Cache-toi, vite !

Oh ! tu es là !

Bouge-toi !

Macarius ! N'oublie pas, Macarius !

La honte publique est pire que la vengeance et la mort.

Cornelius ! N'aie pas peur, Cornélius !

Nous n'avons commis aucun crime !

Arrête !

Va te coucher.

Au lit ! Va au lit !

Oh ! Priapus !

Et maintenant, j'ai honte de continuer, mais la divine Vénus l'a ordonné.

Car ce qui nous fait rougir, c'est notre plaisir tout particulier.

Alors, apprends à bien te connaître.

Ne prends que la posture qui convient, qui correspond à ta silhouette.

Tous les styles ne conviennent pas à tout le monde.

Allongez-vous sur le dos, si votre visage est beau.

Et offrez vos épaules, quand elles sont belles et gracieuses.

Et vous, dont Lucine a marqué le ventre de ses rides,

imitez les Parthes, quand ils fuient à cheval.

Tu devrais monter à cheval, si tu es de petite taille.

Car Andromaque, qui était grande, ne montait jamais le cheval d'Hector.

Et elle, qui a de belles et longues jambes et une poitrine sans défaut,

devrait s'allonger sur le bord du lit et se montrer à l'homme.

N'aie pas honte de porter tes cheveux détachés, comme le font les femmes de Thessalie.

Et si tu portes tes cheveux détachés, incline légèrement ta tête sur le côté.

Si ce que je sais depuis longtemps est vrai, fais-moi confiance.

Mon poème t'en donnera la certitude.

Le plaisir devrait sortir de chaque pore de la.

Femme et se répandre lentement dans le sang de l'homme.

Et parle d'une voix douce voix l'un avec l'autre.

N'ayez pas peur d'être clairs d'utiliser des mots.

Des mots d'amour et des halètements de plaisir devraient montrer votre désir à votre bien-aimé.

Mais je ne peux pas continuer. Il y a des choses que je ne peux pas dire.

Je surveille cette sortie.

Fermez les portes et sécurisez-les. Venez maintenant !

Une femme mariée devrait craindre son mari, il

devrait toujours avoir un œil sur elle. - Allez ! Par ici !

La loi, la modestie et la justice l'exigent.

Qui va s'occuper de toi maintenant, puisque la verge du préteur t'a délivrée ?

Laissez-moi partir ! Laissez-moi partir ! Vous ne pouvez pas faire ça !

C'est la vérité ! C'est un homme sans pudeur !

Je le jure sur l'enfant ! Que je porte en moi.

Arrête de t'agiter ! Reste calme !

Bon sang ! Arrête de t'agiter ! ai-je dit !

Arrête tout de suite !

- Où est-elle allée ? - Par là, allez !

Poussez ! Voilà, c'est bien fait ! Encore une fois !

Vous devez pousser !

Vous n'avez pas le droit de le faire !

La loi ne le permet pas !

Deux garçons adorables !

Attention ! Elle s'enfuit ! Arrêtez-les !

Brûlons-les tous !

Toi ! Ne bouge pas !

Je prêche l'amour et la passion. Je n'ai commis aucun crime !

Publius Ovidius Naso !

Au secours !

Sepora ! Aide-moi !

Au secours !

Corneille !

Cornélius...

Au secours !

Au secours !

Cornelius au secours ! Au secours !

Avez-vous appelé à l'aide ?

Je suis désolée.

J'ai fait un cauchemar, j'ai conduit toute la nuit.

Vous avez dormi ici ?

J'ai passé la nuit à partir de Rome en voiture.

1600 km, tout seul.

- De Rome ? Vous voulez un café ? - Oui, s'il vous plaît.

Vous ne devriez pas voyager seule si loin. Pour une femme.

- Je n'ai pas encore pris de décision. - Tenez !

Merci !

- Qu'est-ce que c'est ? Un perroquet ? - Oui, un cacatoès.

Telefo !

- C'est un drôle d'oiseau. - C'est un cadeau pour mon professeur.

Vous faites des études ?

Je participe à une expédition archéologique.

Ah ! à la recherche du passé.

J'ai l'impression de vous avoir déjà vu quelque part.

C'est impossible. Je ne vais jamais me confesser.

Insolent !

J'ai fait mes études à Rome, nous nous sommes peut-être déjà croisés.

Oui, votre visage me dit quelque chose aussi.

Mais d'un autre côté, il n'y a que 80 types morphologiques sur la Terre.

Je suis réveillé maintenant. Merci pour le café.

- Vous avez eu un accident ? - Non, non. C'est juste un pneu crevé.

- Vous voulez que je vous ramène chez vous ? - C'est gentil. Merci beaucoup.

Je vais chercher mes lys.

- Non, mettez-les à côté de moi. - D'accord. Vous avez beaucoup de matériel.

Je dois rendre le manuscrit demain à Paris.

- C'est le dernier jour avant la date limite de remise.

- Pompéi ?

- La villa des noces d'argent. - Une très bonne photo.

Les photos ont été prises par le professeur D'Orbesson ont été faites, elles sont pour mon livre.

Quel sera son titre ?

Les peintures murales des villes autour du Vésuve.

Ah ! vous lisez "II Messaggero".

Je l'ai acheté hier, je voulais aller au cinéma.

Mais je ne l'ai pas encore lu.

- Vous pouvez l'avoir, si vous voulez. - Je vous remercie.

Des nouvelles de notre capitale.

N'oubliez pas vos lys !

- Merci ! - Il n'y a pas de quoi.

J'apprécie beaucoup.

- À bientôt, donc. - Au revoir !

Au revoir.

- Trois lys ! - Un nombre impair, ça porte chance !

- Merci ! - Au revoir à tous !

Viktor !

Pompéi : un professeur de la Sorbonne assassiné par son assistant jaloux.

Claudine Cartier, la jeune collaboratrice du professeur D'Orbesson.

Elle est connue pour son livre "Peintures murales de Pompéi".

Le corps du professeur Paul D'Orbesson a été

retrouvé dans la "villa des Noces d'argent" a été retrouvé.

Henri Corneille, un jeune historien, a avoué une

heure après le crime et s'est rendu à la police.

Claudine Cartier, la belle archéologue de la Sorbonne,

objet de l'amour et de la jalousie de ses collègues ne

sait toujours rien de la mort du professeur D'Orbesson.

Elle est actuellement en train de rentrer en France dans un 4x4.

"Il était mon père spirituel".

"Je lui dois tout, mais je l'ai tué".

"J'ai commis un crime par jalousie".

"Je voulais détruire les rêves de Claudine".

"Le professeur avait pris trop de place dans son imagination".