All language subtitles for Les petits slips se déchaînent (1981)

Dépêche -toi, il faudrait pas qu 'il
parte sans nous.

T 'en fais pas, il nous attendra bien.

T 'as pas vu comme il nous couvre des
yeux ? Il te plaît, toi, le prof d

'éducation physique ? Bon, il est pas
terrible.

Puis ça a l 'air d 'être un vieux
cochon.

Comment tu le sais ? L 'autre fois, il a
voulu me coincer dans les vestiaires

pour me faire des choses.

C 'est vrai ? Quelles choses, comme ça ?
Laisse -la tranquille, c 'est ma

copine. Vous êtes vraiment tous pareils,
les hommes. Vous ne pensez qu 'à ça.

Ne te fâche pas, petite sœur. Je suis là
pour te protéger.

Et si quelqu 'un des vieux cochons dont
tu parles veut te faire la même chose,

tu vas faire à moi.

Je suis très capable de me défendre
toute seule.

Bon, je crois que je n 'ai rien oublié.

Il faut espérer.

Je tiens le corps.

Vous allez revenir championne de voile.

Oui, je pense.

C 'est très sérieux, ce stage ? Oui,
bien sûr.

J 'ai une copine qui est partie l 'année
dernière, elle m 'a dit que t 'es très

chouette.

Chouette et sérieux, c 'est pas la même
chose.

Et toi, t 'es sérieux, peut -être ? Moi
? Je suis l 'homme d 'une seule femme,

et elle n 'a qu 'un homme dans sa vie.

Eh bien, nous, on n 'est que des filles,
à part le prof.

Monsieur Castor, donne -moi ma parole.

Allez, allez, allez.

Voyez ce stage.

Et pendant que nous rejoignions notre
professeur d 'éducation physique et

groupe de camarades pour prendre le
train vers la mer et le surcouf sur

nous devions embarquer, mon frère se
mettait au travail pour finir son roman.

Nous étions si heureuses de nous
retrouver en vacances. Le prof avait

de peine à nous contenir.

Le rendez -vous était au port, mais nous
ne savions pas exactement où était

notre bateau le surcouf.

Ah, bonjour ! Oh, regarde ! Où allez
-vous comme ça, les belles ? On cherche

surcouf ! Je

ne connais pas. Vous voulez venir avec
nous ? Oh oui !

Ne vous emballez pas.

Mon bateau, la voile à l 'air, est libre
pour une croisière, si vous voulez.

Vous avez les hommes de bord, tout prêts
à vous servir.

Non, non, non, c 'est surcouf qu 'on
cherche.

Vous avez tort.

Allons, mesdemoiselles, pressons un peu.

On a encore un bout de chemin à faire.

Allez, allez.

On était déçus, surtout ma copine qui
avait une touche avec un des matelots.

Et pendant que nous on cherchait le
surcouf dans tout le port, à Paris, mon

frère profitait de la vie avec sa
maîtresse adorée.

il n 'y avait pas de surcouf.

Il était parti la veille.

Le prof s 'était tout simplement trompé
de jour.

Mais on ne lui en a pas voulu parce qu
'il ne pouvait pas nous ramener à Paris.

Alors, il a été obligé d 'accepter l
'offre du capitaine et de nous emmener

la voile à l 'air.

Les matelots étaient contents de nous
revoir et nous aussi.

On y va alors ? Mesdemoiselles, allons !

Allez, allez, allez.

Ah,

voilà.

Bonjour, capitaine.

Mesdemoiselles.

Les bagages, c 'est très simple.

On va les mettre dans la soute.

Je ne veux voir personne à la mer.

Allez, on ne rebasse pas, on ne rebasse
pas, s 'il vous

plaît.

Mais ne va pas porter tous vos bagages,
ce garçon.

Je voudrais l 'aider.

Il est courageux.

Et là, une fois que je vous enseigne...

S 'il vous plaît, un peu de discipline.

Vous vous déshabillez, mais dans le
silence.

Moi, je vais savoir où est ma cabine,
parce que je n 'ai pas... On va se faire

bronquer.

Pardon, mademoiselle.

Qu 'est -ce qu 'il y a pareil dans le
bateau ? Tiens, ne pousse pas, écoute. C

'est pareil dans votre bateau.

Mais qu 'est -ce que j 'ai là -bas ?
Moi, j 'ai plus de place.

sur le petit pied de mon petit derrière.

Ça fait du bien.

Oh,

mon Dieu.

Oh ben, si il ne veut pas s 'amuser, ça
le regarde.

Mon frère travaillait toujours à son
roman. Il aimait vivre avec ses

pendant qu 'il écrivait.

Ah,

salaud ! Ah,

t 'es mon meilleur chapitre, toi.

Nous nous préparions à appareiller.

C 'était le grand branle -bas sur le
pont. On était vachement excités.

Tous ces voiliers sur la mer, c 'était
beau.

Et puis il y avait le grand matos frisé
qui s 'appelait Nick.

Il me plaisait beaucoup, mais il
regardait que ma copine.

On a hissé les voiles. C 'était amusant,
mais drôlement fatiguant.

Le lendemain, mes deux copines et moi,
on faisait la vaisselle.

C 'était un tour de rôle.

Bonjour, on vient dormir ? Ça va ?

Ouais.

Tiens.

Bonjour.

Salut.

Je suis en pleine forme.

Attention.

J

'en

ai marre.

Ah, c 'est fermé. C 'est vous.

Mesdemoiselles, nous sommes sur ce
bateau pour travailler.

La voile, c 'est un sport, mais ce n
'est pas un jeu d 'enfant. C 'est

Alors, je ne voudrais pas de flotte avec
les matelots.

Tenez -vous bien afin que je ne sois pas
obligé de sévir.

Alors, soyez sages.

Voilà.

Il fait semblant d 'être sérieux.
Flirtez pas, soyez sages.

Mais lui, je suis sûre qu 'il meurt d
'envie de coucher avec l 'une de nous,

même toutes.

Oh, j 'ai une idée. On devrait lui faire
une blague.

On va le provoquer. Je suis sûre qu 'il
va revenir dans deux minutes voir ce qu

'on fait.

Allons -y.

s 'amusait bien.

Mais je pensais à mon pauvre frère qui
pendant ce temps se crevait la santé à

écrire son roman pour me payer des
vacances.

Mouah !

Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Ah !
Ah ! Ah ! Ah

!

J 'espère que tu vas pas pleuvoir pour
maman.

Non, non, c 'est pas possible.

Moi, je préfère m 'occuper de toi.

C 'est chiant, hein ? Oui, c 'est
chiant.

Nous

étions

sur le pont, mais dans la cabine, il
sent pas cette belle.

On avait tiré au sort et la copine qui
avait été désignée avait attiré le prof

dans un guet -apens sexuel.

Naturellement, malgré son supposé
sérieux, il avait succombé.

Ils ne savaient pas que nous étions dans
le secret et que nous étions venus

regarder.

On s 'est bien marré.

Le dernier jour, la mer était grosse.
Nous étions toutes sur le pont pour les

grandes manœuvres.

Toutes sauf une.

Le prof était tellement occupé qu 'il ne
s 'était pas aperçu de l 'absence de ma

copine et de nous.

Nous rentrions au port.

Le prof ne voulait pas nous lâcher sans
nous faire faire notre dernière corvée.

Allons, mademoiselle, un peu de
discipline, s 'il vous plaît.

À vos places.

Le stage n 'est pas encore tout à fait
terminé.

Allez,

barre -toi.

Êtes -vous satisfaite de ce que vous
avez appris pendant cette croisière ? Je

peux y aller.

Bon,

alors vous reviendrez l 'année
prochaine.

Je suis content.

Hé, mademoiselle, restez là.

J 'ai encore quelque chose à vous dire
de très important.

C 'est insensé, ça.

Alors, s 'il vous plaît.

Nick poursuivait ma copine, mais elle
était déjà loin.

Elle l 'avait fait marcher et maintenant
elle le laissait choir comme une

vieille chaussette.

Il était très triste.

Mais moi pas. Je comptais bien le
consoler.

Le soir, avec Micheline, on s 'est caché
dans le bateau et on s 'est glissé dans

sa cabine.

Elle s 'est occupée du matelot du bas
pendant que je glissais ma main dans la

couchette du haut qui était saltonique.

Et Nick ? Nick ? Mais dors ! Mais
réveille -toi.

Oh, mais regarde -moi cette marmotte.

Ça va, toi ? Ben oui.

Je ne suis pas venue ici pour le voir
onfler, dis donc.

Regarde -moi ça.

Allez, réveille -toi.

Et Nick ? Nick ?

Réveille -toi.

Dis -donc, il n 'est pas prêt de se
réveiller.

Manick, tu es là ? Alors, ce n 'est pas
toi qui dors dans la couchette ? Non, tu

vois.

Je croyais que tu ne voulais pas te
réveiller.

Pourtant, j 'ai bien essayé, mais...
Rien à faire.

Mais qu 'est -ce que vous faites là ?
Ben, tu vois, on est venus pour dire

bonjour.

Bon, écoute, viens, je vais m 'occuper
de toi.

Tu ne me fais pas de bébé, hein ? Je ne
crois rien.

Plus que ma copine ? Bien sûr.

Attention, parce que c 'est la première
fois.

Ne t 'en fais pas, c 'est l 'habitude.

Ça te ferait pas mal.

Attends. Vous voyez ? Pourquoi ? Pour
que ça glisse mieux.

Et puis c 'est bon, tu vas voir.

Merci.

Sous -titrage ST' 501

Oui, beaucoup.

On se revoit ? Oui, j 'aimerais bien.

On débarque demain, si tu veux, viens à
la maison.

Si mon frère est là, je dirais que tu
viens pour ma copine.

Sinon, on fera le quai. D 'accord. D
'accord ? Nous

sommes arrivés à

Paris plus tôt que prévu.

Mon frère n 'était pas à la maison.

Par contre, je découvris des choses
bizarres dans sa chambre.

Sa maîtresse bien aimée s 'envoyait en l
'air avec une autre femme.

Salut.

Ton frère est là ? Non, mais viens voir
ce que j 'ai surpris.

Il y a deux filles là.

Ben, la bonne, c 'est la copine de mon
frère.

Tu sais, la femme de sa vie.

Ben, dis -donc, il faut l 'empêcher de
voir ça.

Pourquoi ? Peut -être qu 'il aime avec
deux filles.

Tu crois ? Dis -donc, je croyais pas que
c 'était mon frère.

Ben, tu sais, mon frère, t 'es pas un
petit saint, hein ? Oui, mais enfin,

même.

T 'es amoureuse de lui, hein ? Avoue.

Au revoir.

Commencer avec mon frère.

pour garder là.

Mais rien, on était en train de se dire
que tu étais bien loin à revenir. Je

sais pas. Bonjour quand même. Bonjour.

Alors, ça s 'est bien passé, cette
croisière ? Oui, très bien.

Katia n 'est pas là ? Non, elle est
sortie.

Je te présente Nick, le bateau.

Salut, je vais chanter.

Alice, t 'as l 'air toute effrayée. C
'est moi qui te fais peur ?

Mais s 'il ne soit pas si timide, allez
dans ma chambre. Mais qu 'est -ce que...

Il est tellement violent, ça aurait été
terrible s 'il avait découvert.

Vous vous occupez des rigolos qu 'il y a
là -dedans ? Non, il faut punir cette

salope.

Comment ? Bon, j 'ai une idée.

Il y a eu une grande fête sur le patio
ce soir.

Cathy est amoureuse de jeunins.

Ça fait le matelot, elle osait pas vous
le dire.

C 'est normal à son âge.

Vous êtes pas fâchée ? Moi ? Non, pas du
tout.

Et toi,

tu n 'as pas trouvé de matelot qui te
plaise ? Non, parce que... Parce que

? Parce que tu es amoureuse ? De quoi ?

Vous n 'avez pas peur des vieux comme
moi ? Non.

Ce que j 'imagine que vous avez de l
'expérience, c 'est que vous ne me ferez

pas de mal.

J 'espère même faire du bien.

Moi, c 'est un mystère.

Encore bien sûr que ça peut être ça,
hein ?

Tu veux bien l 'automne sur moi ? C

'est un peu différent.

Regarde, tu fais de l 'idée, comme ça.

Tu serres pas trop fort.

Puis tu bouges de haut en bas, c 'est
très bon.

C 'est très très bon.

Les petits B .C. partout.

Tu es malade ? Non.

J 'ai peur.

Non. J 'ai peur.

Je ne peux rien sentir.

Attends. Tu ne te fais pas peur.

Attends.

Je ne te bouge pas.

Attends.

Attends. Non, tu ne te fais pas peur.

Je suis au bord du sein.

Oui. Ils sont là. Oui. Ils sont là
encore.

Non, je ne te fais pas peur.

Non.

Pendant que mon frère s 'occupait de
Lise et que Lise s 'occupait de mon

Nick et moi, nous avions imaginé de
venger son honneur en châtiant sa

infidèle.

J 'ai envie de s 'accueillir comme vous,
mais...

T 'aimes ça être pour... Hein ? T 'aimes
ça ? Je l 'éteins.

On s 'est bien amusés et puis on les a
bien possédés, elle et son mec.

J 'étais contente d 'avoir débarrassé
mon frère de cette putain.

Il était bien mieux avec Lise. Au moins,
elle était vierge.

C 'est l 'intensité.