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LOL : LE DERNIER QUI RIRA UK

Il y avait dix humoristes…

C'est quoi ?

…et un objectif.

Ne pas rire.

Bon sang.

Je t'emmerde, Joe.

Chacun leur tour…

Non !

Vilain coquin.

…comme la chaise,

ils ont craqué.

Tu viens de te saborder.

Je pense que tout le monde dérape.

Il ne reste que cinq joueurs.

Ça te fait quoi, salopard ?

Qui sera le dernier qui rira ?

Coup de boule !

J'appuie.

LOL : LE DERNIER QUI RIRA
UK

Tout le monde ici à un carton jaune.

Si vous riez, vous sortez.

Je relance le jeu. Bonne chance.

Quel suspens,
les enjeux sont énormes, Jimmy.

Il vous reste 45 minutes.

- C'est fantastique.
- Porte.

Reste là.

Richard reçoit enfin un carton jaune,

et surtout, il fait preuve
d'un peu d'humanité.

Je relance le jeu.

Il reste 45 minutes. On a assuré.

Ça passe pas.

J'ai tenté la raie au milieu,
quand j'avais 15 ans.

- J'ai perdu un an.
- Comment ça ?

J'ai juste voulu…

- Brosser.
- C'est…

C'est pas évident
d'être gothique à Ipswich.

Ouais.

Il dit tout le temps des trucs drôles.

Ils ont tous un peu d'énergie.

- Ils sont dans la partie.
- Sur un pied d'égalité.

Ils pensaient
que Richard était imbattable.

Il a un carton jaune,
ils savent qu'ils sont à égalité.

Tu as un avis sur JLo ?

- Oui.
- Dis-moi.

Mon film préféré de JLo,
c'est Coup de foudre à Manhattan.

Ce que je préfère
dans chacun de ses films,

c'est quand elle joue
une ouvrière de bas étage

et que quelqu'un l'encourage en disant
qu'elle peut diriger l'entreprise.

- Oui.
- Puis elle fait son discours.

On la met en avant.
"Je bosse ici depuis dix ans."

Et ils la rejettent,
car elle n'a pas les compétences.

On les sauve de ses griffes ?

Si on était à une fête
et que c'était nos amies, on dirait :

"Éloignons-les de ce type."

C'est ma vie que tu décris.

Lou ressemble à une victime

à qui on a prêté
une veste de police.

Oui, c'est vrai.

"J'ai eu une année difficile.
Ça a été dur."

"Une tasse de thé ?"

Richard, j'ai affronté…

J'ai affronté un papillon et j'ai gagné,

puis je suis passé aux serpents,
j'ai affronté un python,

et j'ai gagné.

Puis j'ai affronté un alligator.

Le plus effrayant, c'était l'alligator.

Il était furax,
sa queue a frappé un arbre.

Et ça a fait…

Ils sont tellement forts,
mais j'ai dû lui sauter dessus.

J'ai dit "branleur".

Oui.

Puis j'ai fêté ma victoire.

D'accord. Je vais y aller.

J'ai un jeu.

Je vais ramener quelqu'un.

C'était où ?

Une zone de reproduction près d'Ashford.

Je viens de là-bas.

Je connais cette zone.

Porte. Ça fonctionne.

Les portes.

- J'ai pensé qu'on pourrait jouer.
- Volontiers.

Tout le monde sur scène.
Je vous dirai où vous asseoir.

Mon Dieu, je l'apprécie tellement.

- Parce qu'il est grossier ?
- Oui.

Pourquoi tout le monde tolère ça ?

Parce qu'on a tous
des traumatismes de notre enfance.

Je vais vous passer une réplique
d'une célèbre chanson,

et vous devrez la rechanter.

J'ai un bouton sur ma montre.

Un bouton rouge.

Si quelqu'un rit, je peux appuyer,

le jeu s'arrêtera,
et la personne qui rit viendra avec moi.

Voici la chanson.

C'est "Lovin' You", de Minnie Riperton.

Mon Dieu.

Lou.

- Très joli.
- Merci.

Harriet.

Non ! Pauvre Harriet.

Pardon, Harriet. On reprend du début.

Recommence, s'il te plaît.

Attends, je te donne la cadence.

On te donne la cadence, Harriet.

C'était très chouette.

Ouais.

Elle a assuré.

Venez, on va regarder le replay.

C'était trop dur.

Plus que mon accouchement sans péridurale.

- Il est temps.
- C'est moi.

On te donne la cadence, Harriet.

Que c'est malheureux.

Harriet, tu dois venir avec moi,
tu as vraiment bien joué.

- Bon sang.
- Bien joué, Harriet.

Je me suis éclatée. C'était dingue.

Ça a été une tourmente.

Quelle épreuve.

Merci, Richard.

J'ai cru que c'était pour moi.

Il se croit dans Bachelor.

- Oui.
- D'accord.

Tu as assuré.

C'était tellement stressant.

Des balles de ping-pong ?

- Oui.
- Où tu as appris ça ?

Lou n'aurait pas atteint le carré final.

- Non.
- Incroyable.

Lou rigole avant de finir ses phrases,
en général.

Tu n'imagines pas la vie que j'ai vécue.

Bien sûr.

- Merveilleux.
- Mon Dieu.

- C'était dur.
- Bravo, tu as été incroyable.

Mauvaise nouvelle, Harriet est éliminée,

mais bonne nouvelle,
on ne l'entendra plus chanter.

C'est ça, voilà.

Je suis impressionné par ton endurance.

Ça fait six heures que tu es à fond.

"Uptown Funk."

Recommençons.

J'ai froid. Il me faut un thé chaud.

Tu t'en sors, au supermarché ?
Il fait froid.

- Merci de demander. Non.
- Au rayon frais.

Il fait plus chaud dans les animaleries.

Il y fait chaud.
C'est vrai.

On n'a pas entendu le joker de Lou.

Non, c'est vrai.

Allô ?

Allô, Richard.
Lou peut préparer son joker ?

Oui.

Lou.

Elle est sournoise.

Elle a ce petit truc.

Elle vous déstabilise
et elle est effrontée.

On sent le sourire venir,
et là, vaut mieux se cacher.

Faut être sociopathe
pour monter sur cette scène

et réprimer les réactions
et les comportements normaux

de l'interaction et de l'humanité.
Ça fait de vous un sociopathe.

Ça résume bien
les 35 premières années de ma vie,

et ces dernières années où j'ai arrêté.
Retour à la case départ.

- Oui.
- Le départ d'être un sociopathe ?

- Oui.
- Tu tuerais à nouveau ?

Non, ça, j'ai arrêté.

LOGO ICI

Je fais une danse en duo avec ma mère.
La voici.

Bonjour, maman.

C'est Goldie Hawn ?

Non.

On va danser pour vous.

C'est inspiré par les Moor.
Michael, Roger et Broad,

et on a fait ça
pour l'équipe de production.

On leur a soumis,

et ils ont adoré, hein ?

Absolument.

Mais ils ont dit que certains éléments
étaient trop érotiques.

On a dû supprimer les pipes.

Dommage.

C'est dommage.

Qu'y a-t-il, maman ?

Qu'y a-t-il ?

Pardon.

Merde ! Qu'y a-t-il ?

L'oncle Peter est mort.

Mon Dieu ! Comment ?

En marchant.

Il allait où ?

Au restaurant.

Il arrivait d'où ?

D'Alicante.

- Alors, on oublie la danse ?
- Non.

Je ferai pas mon déhanché de salope.

C'était ce que Peter préférait.

Attachons le cordon ombilical.

Ils ont oublié comment on rit.

- Seigneur.
- On regarde quoi, là ?

Quand Lou a fait sa danse avec sa mère…

C'était elle ?

À ce moment-là, Richard, Rob et moi

voulions probablement gagner.

Il faut pas faire danser sa mère comme ça.

Mon bébé.

Elle rigole !

Elle a rigolé.

C'était quoi,
le message de cette histoire ?

Difficile à dire.

C'est bien, quand l'art interroge.

Mais je pense
que ce n'était pas la mère de Lou.

Si c'était sa mère, ça explique tout.
Elles n'étaient pas proches.

Je comprends pas comment ils font.

Dans quel état ils se mettent

pour pas rire face à ça ?

- C'était super, Lou.
- Très intéressant.

De quatre, vous allez passer
à trois. Regardons.

Mince.

- Mince.
- Lou.

- Tu sors avec dignité.
- Oui.

C'est humiliant d'être éliminée
parce qu'on rit

à son propre sketch.

J'ai rigolé parce que j'étais nerveuse.

Bob Mortimer
et Richard Ayoade me regardaient

descendre un toboggan
pour sortir de cette femme…

J'ai été submergée par les émotions.

- Ta carrière est finie.
- Je sais.

C'était du génie.

Ils ont pas craqué.

Ils n'ont même pas souri.

Rien ne fait effet.

Maintenant, dans le pire des cas,
on a au moins le bronze.

Je vois les choses comme ça.

- Tu parles comme un perdant.
- Oui.

Je suis heureux de perdre.

Lou a été incroyable.

Elle a fait rire cinq fois,
dont deux fois elle-même.

Reprenons. C'est parti.

Si vous deviez créer un nouveau biscuit,
il ferait quelle longueur ?

- Un biscuit ?
- Oui.

J'imagine quelque chose
qu'on pourrait ranger à la place

d'une roue de secours.

Il se salirait.
Il faudrait un bon emballage.

De l'aluminium.

J'aime la taille des Ferrero Rocher.

- Répète.
- Ferrero Rocher.

- Avec les dents. Répète.
- Ferrero Rocher.

Ferrero Rocher.

- Bon sang.
- Je mange le chocolat au bord.

Je laisse la boule, je l'ouvre.

Je la sépare.

Je la lèche.

Et la noisette.

Je trouve ça plus excitant que la danse.
C'est mal ?

Mes parents n'étaient pas anglais,
donc ils parlaient de façon particulière.

Il y a des mots
que je ne prononce pas comme il faut.

Comme quoi ?

Je. T'aime.

Oui.

Tu as beaucoup d'outils ?

Tu as une boîte à outils
et une perceuse ?

J'en ai, oui.

Quand je vivais à Ipswich,
j'avais un cabanon, et j'ai construit…

Je le prononce mal. Une pergola ?
Pour mes parents.

Sympa.

Tu bricoles, toi, je parie.

Non. Mais j'ai une fosse d'inspection.

- Ça alors !
- Pour inspecter quoi ?

C'était déjà là.

Sous la voiture.

Tu descends pour regarder ?

Oui, ça m'arrive.

Il faut bien avoir un exutoire.

Si je venais avec une torche
et mes hémorroïdes,

- tu pourrais regarder ?
- Oui.

Je me baisserais et toi…

Je pourrais toucher.

- Les attraper.
- Les remettre.

Merci à toi de penser à la torche.

Faut pas faire ça dans le noir.

Pour moi, un bon proctologue

a toujours son propre matériel.

- Un proctologue ?
- Un docteur du cul.

Tu as déjà consulté pour ton cul ?

Un consul portugais ?

J'ai vu le Dr Crochet, plus jeune.

- Le Dr Crochet ?
- Quel horrible examen de la prostate.

Oui, monsieur.

- Tu comprends ?
- Oui, monsieur.

- Avec un crochet.
- Oui.

Ils doivent se faire rire.

- J'y vais.
- Bonne chance, Jimmy.

On a bientôt plus de temps.

Portes.

- Rob, rejoins-moi sur scène.
- Oui.

On va faire un jeu.

T'as pas encore fait de face-à-face.

Choisis ton adversaire.
Tu veux jouer avec qui ?

- C'est dur.
- Oui.

Je vais choisir Richard.

Bob a été difficile, aujourd'hui.

Richard est très drôle,
mais je le choisis.

- Bref.
- Enlève la casquette.

Je suis moins drôle que Bob.

Bob t'as fait rire. D'où mon choix.

Ça va être dur.

Bob, tu regardes de là, ça te convient ?

Oui, c'est parfait.

On va jouer à "La tête que tu fais quand…"

Bien. Tout d'abord,

je vais mettre ceci.

C'est plus physique que d'habitude.

Je vais vous donner une situation,

vous devez faire la tête que vous feriez.

Quand la planche descendra,

- regardez-vous…
- Avec cette tête.

Avec cette tête.

Bon sang.

Rob, la tête que tu fais au théâtre

quand la pièce va commencer,
sans entracte,

et dure trois heures.

Tu as mangé du son
et bu du jus de pruneau.

C'est une drôle de tête.

Richard, la tête que tu fais
quand tu manges une glace,

et tu te souviens que tu dois aller
aux funérailles de ton père.

- Il tremblote !
- Mon Dieu.

Que faire ?

Mon Dieu !

On n'a pas le droit de parler.

Que peux-tu y faire ?

Dès qu'il a parlé, j'étais fichu.

Tu as été fantastique, aujourd'hui.

Sacrée tronche, Rob.

Tu es le meilleur rieur au monde,
et tu es arrivé jusque-là ?

- C'est un miracle.
- Oui. C'était dur.

J'aurais pu survivre à la grimace,
mais avec la langue…

- Oui.
- Il m'a eu.

Les mots m'ont achevé.
Je pouvais pas tenir.

Que faire ?

- Ce fut un plaisir.
- C'est bon de sortir.

Oui. Je me sens libérée.

Va t'asseoir sur le canapé.

Tu es éliminé. Tu peux rire.

Bob, tu vas affronter Richard Ayoade.

- Bonne chance.
- C'est à Bob.

Bob contre Richard.

Super. C'est à Bob.

Roisin, tu peux relancer le jeu ?

Oui.

Vous le savez,
une erreur et c'est terminé.

Bob, quelle tête ferais-tu

en découvrant que ta partenaire
est aussi ta cousine ?

Mince, alors.

Richard, fais la tête que tu ferais

chez le médecin quand il a
les résultats de tes analyses,

et ils ne sont pas bons.

Non, ils sont excellents !

Tu n'as aucune MST.

Mais attends.
C'était le mauvais dossier.

Tu as la chlamydiose.

Que faire ?

Que faire ?

Mon Dieu.

Encore une tête chacun.

La tête que tu fais
quand tu es dans l'avion,

les toilettes s'ouvrent,

et un gros chauve sort.

Ça pue horriblement.

Le pilote a quitté le cockpit et danse

dans l'allée.

C'est incroyable.

C'est bon ?

C'est quoi, ce bordel ?

Qui l'eut cru ?

C'est quoi, cette merde ?

Allez !

Richard, quelle tête ferais-tu
dans le même cas ?

Merci.

C'est dur de passer en deuxième.

Que faire ?

Que faire ?

- Je sais pas.
- Que faire ?

Je sais pas.

Il arrive à pas rire ?

- Richard Ayoade.
- Merde.

Il reste cinq minutes.

Je repars avec Rob.

Vous avez cinq minutes.

- Arrête.
- D'accord.

- Sinon…
- Bonne chance.

- Allez, Rob. Tu as bien joué.
- Allons-y.

Je suis fatigué, Jim.

Et si jamais on est tellement concentrés
qu'on ne rira pas ?

Vous resterez à jamais.

La porte !

Qu'en dis-tu, Richard ? On fait quoi ?

Je sais pas.

Tu veux m'attraper ?

Ouais !

Salut !

- Merci.
- Ça alors.

- Salut. Ça fait longtemps.
- Chéri.

- Tu as été incroyable.
- Merci.

Bien joué, Rob.

La langue de Richard a eu raison de Rob.

Il tombe au dernier obstacle.

Je pensais pas aller si loin,

surtout la première heure,
où j'étais étourdi.

Mais face à Richard

et Bob, j'étais en bonne compagnie.

Troisième, ça me va.

On va être très stricts.

Au moindre signe,

j'appuie sur le bouton.

- Je vais prendre mon livre de blagues.
- Vas-y.

Il attaque les blagues.

On met un moment à rire à nouveau.

Oui.

Il reste cinq minutes,
et il dégaine le livre de blagues.

Qui va gagner ?

Levez la main si vous pensez
que c'est Richard.

Je pense qu'il va gagner.

C'est unanime.

- Il a joué de façon impeccable.
- Oui.

- Il nous a massacrés.
- Il a attaqué sans cesse.

Tu veux t'asseoir ici ?

Volontiers.

Regardez-moi ça.

Ils sont mignons, ensemble.

Pour moi,
c'était super de finir avec Richard.

C'est mon rival.

C'est un défi parmi les humoristes.
Qui pourra le faire rire ?

Tu aimes les blagues ?

Ou c'est pas ton truc ?

Si, j'adore. C'est super.

Je vais t'en lire.

- On va voir si on peut en finir.
- Oui.

C'est parti.

C'est étrange, hein ?

Kerry Katona n'a pas de chat.

- J'ai fait une vasectomie.
- Oui.

Car je voulais pas d'enfants.

Mais en rentrant, ils étaient encore là.

Il y a eu un enlèvement
à l'école de mon fils.

Oui.

Mais finalement, ils l'ont ramené.

J'ai compris
que j'avais accepté d'aller aux cages

et qu'il tirait pénalty après pénalty.

Je n'avais rien.

J'étais sur un cheval,
et lui avait plein de munitions.

Il reste deux minutes, messieurs.

Deux minutes.

Je vais choisir attentivement.

Tu peux le faire, Bob.

Allez, Bob.

Je suis allé au magasin et j'ai dit :

"Où puis-je trouver une bouilloire ?"

- Oui.
- "Boulanger", qu'il me dit.

Alors, je suis allé à la boulangerie.

Il lutte.

J'étais au cimetière, et un gars
s'est levé, derrière une pierre tombale.

J'ai dit : "Bonjour."
Et lui : "Non, je chiais un coup."

J'appuie.

C'était serré.

Je te maudis.

Je te maudis.

C'était très intense.

C'était comme De Niro et Pacino dans Heat.

Oui.

Je serais De Niro,
comme il se fait descendre à la fin.

Mais physiquement, c'est plutôt moi.

- Je pense…
- T'es plutôt Pacino.

- "Donne tout ce que t'as !"
- Voilà !

- Comme ça.
- Oui.

On a un gagnant.

Salut, Jimmy.

Pas besoin de toi dans mon organisation.

Vous avez été extraordinaires.

Merci, Jimmy.

Venez tous avec le trophée.

Venez sur scène pour la remise du trophée.

Ça aurait été étrange
que Bob ne gagne pas.

Ce serait comme regarder un Rocky,
et que son adversaire gagne.

Parce que je suis vieux ?

Non, parce que tu es
un combattant doué.

Bob, dans une pièce pleine d'humoristes,
tu es le plus mort à l'intérieur.

Complètement, oui.

Félicitations à Bob Mortimer,

Le vainqueur
de LOL : Le dernier qui rira UK.

Les confettis !

Voilà les confettis.

Imaginez être dans le cerveau de Bob

et ne pas rire
à toutes les bêtises qui flottent ici.

Incroyable.

C'est un maître de son art, n'est-ce pas ?

Les blagues dans son livre sont stupides,
mais tellement drôles.

Il méritait de gagner à 1 000 %.

Je suis ravi que Bob ait gagné.

C'est l'homme le plus drôle au monde.

C'était comme quand j'étais jeune,

je cohabitais avec des gens
que j'aimais beaucoup.

J'aurais pu rester là bien plus longtemps.

Je suis âgé.

Je vois peu de gens.

J'ai eu de la chance

d'être ici avec ces personnes.

Ils étaient tous super.

Merci d'avoir regardé. Je suis Jimmy Carr.

Si vous voulez participer à l'émission,

devenez un célèbre humoriste,
et on vous contactera.

Au revoir.

Franchement…

Sous-titres : Mathilde Mazé

Supervision créative
Claire Guillot