All language subtitles for The Dirty Outlaws ( el desperado ) - 1967.fre

Qu'est-ce qu'on attend?

Obtenez-le maintenant!

Allez!

Allez, bougez !

Ça fait mal!

- Tirez.
- Allez!

Aller!

Arrêt! Arrêt!

- Qu'a fait cet homme ?
- Il a pincé un cheval.

Il a volé un cheval.

- Ne vous offensez pas, pasteur.
- Tu ne peux pas faire ça ! Il n'y a aucun frais.

Ce n'est pas nécessaire ! Nous l'avons arrêté.

Vous ne pouvez pas le pendre pour avoir volé des chevaux.

Tu vois, desperado.
Le pasteur vous défend.

Qui aurait cru qu'un homme de Dieu
défendre voir quelqu'un comme toi.

Que le pasteur prie pour ce salaud.

Mais nous le pendrons d'abord !

Va avec Dieu, mon fils.

Vous serez bientôt face à face avec lui.

Priez pour son pardon !
Pour toi!

- Et pour eux.
- Sortez d'ici, prédicateur.

Je ne veux pas prier.

Il ira bien en enfer quand j'en aurai fini.

Cela ne peut pas être pire qu'ici.

Allez, finissons-en.

Tu ne voleras,
n'est-ce pas ce que dit la Bible ?

Prédicateur?

Une minute, pasteur.

- Donnez-moi la Bible.
- Merci à Dieu !

- Au bon moment.
- À temps!

Ça ne sert à rien de vivre ça.
C'est juste une perte de temps !

Très bien, faites vite, prédicateur. Je dois
pends-le quand même, salaud, commence à prier.

Alléluia!

Louez le Seigneur en vous montrant
le chemin du salut.

Le Tout-Puissant entendra
vos prières et soyez avec vous

dans vos heures de besoins.

La corde se resserre,
Alors repens-toi, mon fils.

Repentez-vous et Dieu vous sauvera !

Oui, repentez-vous !

Afin que vos péchés vous soient pardonnés.

Dans un instant, vous serez en paix.

Et connaissez les joies de la vie éternelle.

Procéder...

Est-ce que tu fumes une Jonathan ?

Qu'avez-vous fait ces deux dernières années ?
Où étais-tu?

- Ici et là...
- Quelque chose d'intéressant?

Je viens de vivre.

Où vas-tu maintenant ?

Loin d'ici.

- Toujours seul, hein ?
- Bien sûr, j'y vais toujours seul !

Ce ne sont que les Confédérés qui battent en retraite.

Pourquoi ne pas venir avec moi à Calin ?

Certaines églises y sont remplies
avec de l'or qui attend que nous le prenions.

Non.

Ici.

Réfléchir.

Tu ne vivras pas longtemps si tu pars
risquer sa vie pour un cheval.

Je pourrais mourir, mais je le fais seul.

Révérend, avec tout le respect que je vous dois, le
Major serait obligé si vous veniez avec nous.

- Certains de nos garçons sont grièvement blessés.
- Bien sûr...

- Je n'ai pas le bon livre avec moi.
- Un peu de réconfort, c'est ce dont ils ont besoin.

Bon voyage, prédicateur !

Donne-moi... ton cheval.

Enterre moi.

Ne me laisse pas aux buses.

S'il vous plaît, monsieur.

Je n'ai pas le temps.

Vous n'aurez pas à attendre longtemps.

Prends mon arme.

Si jamais vous arrivez à un endroit appelé Overton,
donne-le à mon père.

Il est aveugle...

mais il voit avec ses mains.

Sam Flannigan... est mon père.

Overton est...

... à environ 75 miles au nord.

C'est désormais une ville fantôme.

Seul mon père y habite.

Nous allions... acheter
un ranch avec cet argent.

Vous avez dit Overton ?

Père! Quittez Overton !

Achetez le rancho !

Utilisez l'argent que je vous ai envoyé.

C'est à ça que ça sert.

Le ranch.

Achetez le rancho.

Je te veux...

faites bien... n'est-ce pas pour moi...

Il n’y a pas d’âme à l’intérieur.

Bien sûr, ils nous ont envoyés dans une ville fantôme.

Ils nous ont envoyés parce qu'il n'y avait personne et
tu n'es surpris par personne ici ?

Eh bien, jetons un coup d'oeil.

Cet endroit, ce sont les villes occidentales de la ruée vers l'or.
ils en ont parlé dans les journaux de leur pays.

Allez, tu me dis comment lire maintenant ?

Eh bien, peut-être que quelqu'un me lira les histoires.

Là-bas!

Vous entendez cela?

Deux soldats de la cavalerie.

Pourquoi tu ne les appelles pas ?
Je voudrais peut-être parler avec nous !

Mais ils ne se sont pas arrêtés, ils ont continué.

Et en plus, ils étaient tous les deux si laids,
aucun d'eux n'aurait pu être Bill.

Peut-être que j'ai exagéré.

Tu en as marre que j'entende
tu parles de lui, n'est-ce pas ?

Non, je pense que c'est merveilleux d'entendre
quelqu'un parle de la personne qu'il aime.

Je pense toujours...

si l'un de nos soldats a des nouvelles de Bill.

Dis-moi la vérité, Katy.

Est-il vrai que le Sud a été vaincu
et ils veulent arrêter les combats ?

Maintenant, dis-moi tout.

A Tolville, Sam, quand j'ai livré les deux
des revolvers, ils disaient qu’ils ne valaient rien.

Et que maintenant tu ferais mieux
sécurisation et haies.

Certainement.

Ils peuvent donc obtenir ces armes à 10 $ de moins.

Si nous avions Bill,

ils nous respecteraient davantage.

Vous avez dû choisir la pire maison où séjourner ?

Ce n'est pas pire que les autres.

Mais si l'épidémie de choléra était terminée,
pourquoi il n'y a personne ici maintenant ?

Parce que les Yankees arriveront bientôt,

et cela fait plus peur que le choléra.

Vous allumez le feu.
Je vais chercher les fusils.

C'est nul.

Ce n'est pas une ville, c'est un marécage.

Sam ! Sam !

Sam Flannigan !

Sam !

Sam !

Sam Flannigan !

C'est moi! Facture!

Hé, Bill ?

C'est toi, Bill ?

Facture!

- Pourquoi tu ne réponds pas ?
- 'Oui. C'est moi ici.

Mon fils.

Bon retour, mon fils.

Entrez dans votre maison.

Vous êtes de nouveau à la maison !

Tout est comme avant.

S'il te plaît, Katy.

Dis-moi, pourquoi es-tu si différent ?

Je veux entendre parler de tout ce que
cela vous est arrivé toutes ces années.

Je te connais à peine.

Ici. J'ai toujours ce que tu m'as donné.

Oui.

Vous savez Bill, trois ans, c'est long.

Merci.

Je suis Katy.

Je t'ai souvent écrit à son sujet, Bill.

je n'ai reçu aucune lettre
loin de chez moi depuis longtemps.

Katy est mon bras droit.
Elle fait tout pour moi.

Prend mon travail et
se déplace pour faire des ventes.

Ses parents sont tous morts du choléra.

- Vous n'êtes pas blessé, n'est-ce pas Bill ?
- Non.

Dis-moi la vérité, Katy.

La vérité.

Non, il n'est pas blessé.

Tu vois, j'avais raison de ne pas partir
Overton avec les autres.

Je savais que j'aurais dû t'attendre.

Si je n'avais pas eu comme prévu,

Je préférerais mourir ici, dans notre maison.

Qu'est-ce que je mange ?

Tu ferais mieux de ne pas le regarder.

Combien d'or y aura-t-il sur ce chariot ?

Je ne sais pas. J'ai entendu dire que c'était
salaire de deux mois de la division.

Comprenez-le. Je ne peux pas.

Deux rats rebelles comme nous.

Et tout cet or.

- Est-ce que la guerre va mal pour nous, mon fils ?
- Oui.

Ce n'est pas. Ça va très mal.

Dès que c'est fini, nous achetons le ranch.

- Tu te souviens de CA.
- Oui, le ranch.

Vous ne l'avez pas dépensé, n'est-ce pas ?

Quoi?

L'argent.

Comment peux-tu même dire une chose pareille
quelque chose pour ton père, mon fils ?

Tout est là !
J'ai même ajouté un peu de moi-même.

Est-ce dans un endroit sûr ?

L'endroit même que vous avez choisi.
Ce moulin à farine à Russels.

Mais un endroit en vaut un autre. OMS
chercherais-tu autant de choses à Overton de nos jours ?

Mais ça suffit.
Parle-moi de toi, mon fils.

Je veux entendre tout ce qui s'est passé.

Pas maintenant. Cela rappelle de mauvais souvenirs.

Et maintenant... maintenant je suis fatigué.

Nous en reparlerons davantage demain.

Bonne nuit.

- Bonne nuit, mon fils.
- Bonne nuit.

Peut-être que je suis injuste envers lui.

Je ne sais pas.

- Il a vraiment changé.
- C'est la guerre.

C'est la guerre qui le rend ainsi.

Quand tout sera fini, il sera
comme c'était avant.

Es-tu toujours réveillé?

Quand je suis vraiment fatigué,
Je ne peux pas dormir. Et toi?

- J'ai vu la lumière...
- Je voulais m'assurer que l'argent de ce père...

était toujours là où je l'avais caché.

Je sais. J'ai gardé l'argent.

Suis-je comme tu m'aurais imaginé ?

Dis-moi la vérité.

Je comprends.

Je suis différent.

Mais...

Mieux ou pire?

Je ne sais pas.

Allons-y.

Rappelez-vous, pas de meurtre.

C'est vrai, ils sont plus utiles vivants.

Attachez-les.

Alors c'est vous... ceux qui sont envoyés à
recevoir l'or ici ?

Es-tu l'élu?

Y a-t-il plus de soldats en ville ?

D'accord.

Les chevaux!

Confédérés.

Je suppose que nous ne sommes pas les seuls en ville.

J'ai vu deux militaires passer aujourd'hui.

Mais je ne m'attendais pas à ce qu'ils s'arrêtent.

Écouter.

Récupère l'argent de mon père.

Tu vas l'enlever ?

Ce sera plus en sécurité avec moi.

Sortez de là !

Jetez votre arme et sortez.

Toi et la fille, dehors.

Vous restez hors de vue.

Jetez-nous votre arme et sortez de là !

Le desperado....

Steve Belasco. La terreur du Texas.

Tout va bien, c'est un ami.

Hé, tu avais tellement d'amigos, Lucy
comment peux-tu te souvenir de tous ?

Je le connais bien.

Très bien. C'est une mouffette.

Nous avons fait équipe pendant un moment.

J'étais en équipe avec lui.
Je le connais donc très bien.

Alors, ce n’est pas un vrai soldat.

Steve, un soldat ?

Donc tu es le fameux desperado.

Tu n'es pas seul.

Qui est là avec toi ?
La fille là-dedans ! Qui est-elle?

À quoi tu tiens?

Prends son arme, Togo.

Cherchez là.

Aller!

Rien. La fille n'est pas là.

Personne.

Je juge par cette mascarade que
vous attendez aussi ce chariot militaire.

C'est vrai, Steve ?

Quoi d'autre?

Nous sommes tous dans le même bateau.

Dommage que je doive rompre avec toi.

Emmenez les soldats à l’intérieur.

Il devrait y avoir un aveugle en ville.

C'est exact. Là-bas.

Tu ferais mieux de laisser l'aveugle tranquille.

Et pourquoi?

Si les soldats arrivent et le découvrent,

ils se demanderont où il est.

Steve a toujours le dernier mot.

Vous feriez mieux de vous y habituer.

Si tu veux y aller, tu
il faudra d'abord me tuer.

Elle vit avec l'aveugle.

Elle va rester avec nous maintenant.

C'est donc ce que vous faisiez au moulin.

Tu veux toujours mélanger
affaires avec plaisir.

Qu'est ce qui ne vas pas chez toi?
Pourquoi tu ne me parles pas ?

Dis-moi quelque chose de doux, ma fille.

Allez, laisse-moi entendre ta petite voix.

Même si tu parviens à obtenir l'or,
ils vous attraperont après.

Tu veux pendre ?

Vous serez tous pendus à ce moment-là.

Où l'as-tu trouvé ?

Quelle différence cela fait?

J'avais besoin de quelqu'un.

Pourquoi as-tu disparu de cette façon, Steve ?

Et sans un mot !

Tu ne peux pas toujours choisir le chemin
Tu dois faire quelque chose.

Tu m'as manqué.

James! Jacques ! L'un de vous se dirige vers le nord de
la ville, l'autre se dirige vers le sud. Aller.

Ce ne sera pas long maintenant.

Restez éveillé.

Et surveillez ce chariot.

Katy !

Katy !

Éloignez-le.

Et pas de trucs ici.

- Katie ?
- Oui c'est moi.

Je les ai écoutés.
De qui parlent-ils ?

Des fauteurs de troubles ? Je me demande de quoi ils parlent ?

Tu penses qu'on devrait réveiller Bill ?

Non, on ferait mieux de laisser Bill dormir.
Rentrons à la maison, Sam.

Ce sont des musiciens qui
passer la nuit au salon.

Étrange. Cela fait des mois depuis
nous avons vu un animal errant ici.

- Et maintenant, tout d'un coup...
- Sam, essaye de te reposer.

Je retourne au saloon et
rendre les visiteurs à l'aise.

Tu m'as acheté ce peigne, tu te souviens ?

- Non.
- Tu ne te souviens pas ?

Ai-je trop vieilli ?

Dis-moi la vérité. Dis la vérité.

Non!

Non!

Non!

Vous n'auriez pas à vous embêter,
J'aurais pu le tuer avec ça.

Calme-toi, Togo. Attends.

À Redrock, il y aura
plein de dames pour toi.

Ce chariot se dirige dans cette direction, Asher.

Vite, détache-les.

Donnez-leur un coup de main.

- Il va y avoir une tempête ici.
- Cela explique ton caractère.

La journée devient plus chaude.
Mais c’est le meilleur climat depuis longtemps.

L'année dernière et aussi à cette heure de la journée,

un putain de Yankee a pris
ce bras d'un seul coup.

Vous pensez qu'ils ont eu un
Un enterrement chrétien pour mon bras ?

Ce doit être la ville là-bas.

Ils ne tiendront pas longtemps s’ils tentent quoi que ce soit.

Nous ne nous attendions à aucun officier, monsieur.

La zone est pleine de déserteurs.

Ils ne veulent pas perdre ce wagon.
J'ai été envoyé pour commander cette escorte.

C'est votre affaire, monsieur, mais
J'ai peur que nous ne puissions pas rester.

Nous devons rentrer directement
camper à Rivière Noire.

Nous avons également besoin de votre
chevaux pour le retour.

C'étaient les ordres du colonel, monsieur.

Droite. Prenez les chevaux.
Il n'y a eu aucun incident ?

Cette route aimait nous faire rebondir la cervelle.

J'espère que rien d'autre n'a rebondi.

Il y a eu un changement, la charge
est dans des sacs et non dans le cercueil.

Bonne chance, monsieur.

Bonne chance!

Déchargez-le.

C'est votre travail.

Mettez-vous au travail, soldats.

Bravo, Steve.
Là, tu vois comme c'était facile ?

Les soldats étaient intelligents.
Qui irait voir à l'intérieur ?

- Asher, je vais me débarrasser du chariot.
- Droite.

Pas de trucs pour le moment.

Ouvrez l'autre !

Dépêche-toi!

Il faut que ce soit ici !
Je ne peux pas comprendre !

Où est cette feuille de paie ?

Cet or doit être ici !

Peut-être que ces deux-là savent quelque chose.

Où est cet or ?

Eh bien, où est cet or ?

Dans le sac vert pour les chevaux.

Bon sang!

Où est ton ami?

Où est-il allé?

J'ai dit : Où est-il !

Allons-y!

Ne tirez pas encore.

Regardez les sacs.

L'or est là, les dollars !

Tu as pensé à tout.

Tu es vraiment intelligent...

Mais tu n'as pas compris...

comme je connais bien cette partie du pays.

Bien mieux que toi.

S'il vous plaît, laissez-moi revenir vers le vieil homme.

- Est-il ton père?
- NON, mais il a besoin de moi.

Et Steve ?

J'ai vu comment tu le regardais.

L'oublier. C'est fini pour lui maintenant.

Tu peux rejoindre le vieux coyote
dès que nous partons.

Votre ami n'est pas un homme de parole.
Il est également prêt à prendre votre part.

Descendez.

Je vous apprendrai...

Maintenant, essaye de te lever, desperado.

Que fait-on de ces deux rouges ?

Détachez-les.

Laissez-les aller.

Faites des traces !

Une bande de sales chiens...

- Bill, quelque chose ne va pas ? Où es-tu?
- Retour à la maison.

Sam...

Retourner...

Qu'est-ce qu'ils t'ont fait, Bill ?
Où es-tu, Bill ?

Réponds-moi! Que se passe-t-il?

Qu'as-tu fait à mon fils ?

Je te tuerai si tu le touches !

Quel fils ?

Non! Non!

- Où es-tu?
- Allez! Tirer!

Je suis là, grand-père ! Tirer!

- Où es-tu?
- Allez!

- Tire, mon vieux, tire !
- Des meurtriers !

- Allez, mon vieux. Tirer!
- Non, laisse-moi partir !

Lâches!

- Tirer!
- Non, Sam ! Non!

Katie ?

- Katy, va-t'en !
- Nous voilà!

Je t'entends.

Laissez-moi partir !

Où es-tu?

Sam !

Facture.

- Facture.
-Sam !

-Sam !
- Facture.

Sam...

Ils paieront pour cela.

Sam !

Je veux le tuer.

Je ne peux pas oublier ce qu'il m'a fait.

Aux chevaux.

Vous pouvez rejoindre votre ami. Elle doit t'aimer
beaucoup si elle a le courage de faire cette scène.

Elle a fait du très bon travail.
Je pensais qu'elle t'avait tué aussi.

Laisse cette arme. Il appartenait à Sam !

Je le ramène.

Après.

Il a essayé de te défendre
et ils l'ont tué !

Ceux qui l'ont tué
vont payer pour cela.

Vous ne les retrouverez plus jamais !

Ou est-ce seulement pour l'argent ?
C'est pour ça que tu les cherches ?

Si vous allez vers le nord, ils captureront
toi dans cet uniforme.

Mais j'en suis devenu friand.

Steve... ils vont te tuer.

Cette fois, c'est à mon tour de tuer, Katy.

Whisky.

Amis! Un soldat confédéré.
Vous applaudiriez cet officier héros.

Je suis fier que tu sois parti.

Qu'avez-vous contre la cavalerie ?

Rien. Ils sont rapides quand
il s'agit de battre en retraite !

Ils fuient le
Yankees directement chez nous.

Ne t'inquiète pas. Un porc comme tu le serais
faire affaire avec eux en un rien de temps.

La guerre est une vilaine affaire.
Les soldats meurent jeunes.

Mais les lâches continuent leur chemin !

Heureux de te trouver, ma fille.

Nous passerons beaucoup de temps ensemble ce soir.

Hey vous! Réveillez-vous! Allez, réveille-toi!

Quel est ton problème?

On dirait qu'il est mort.

Il est mort comme un clou de porte. Allons le chercher
sortir d'ici, donne une mauvaise réputation à l'endroit.

Maintenant, croyez-moi mes amis, dans des moments comme ceux-ci
vous ne devriez pas investir votre argent dans les banques.

Vous devriez investir votre argent. Investir!
C'est seulement 0,02 $ par action.

- Et toi? Juste deux centimes.
- Excusez-moi.

- Qu'est-ce que c'est, madame ?
- Pouvez-vous expliquer combien par an ?

Tout est ici en noir et blanc.

Le chemin de fer Western Union
double votre argent.

- Je pense que je prendrai 10 $.
- Cela fait maintenant 500 actions.

Félicitations, madame!
Vous faites désormais partie du chemin de fer.

Les dollars de l’Union, pas l’argent confédéré. Que
prendrait 10 000 $ en argent confédéré.

Qui d'autre veut monter sur les rails
Des progrès avec Western Union ?

- Mille dollars.
- L'Union monétaire ?

- Confédérés.
- 50 quotas.

- Je veux aussi des quotas.
- Ici, madame.

Parlez fort, les amis. Ne manquez pas l'occasion de
participer au chemin de fer Western Union.

Seulement 2 dollars pour 100 actions du chemin de fer.

Rappelez-vous, l'avenir de ce pays
réside dans les chemins de fer.

- Alors, je reviens dans quelques jours.
- Je vous enverrai ces mandats dès qu'ils arriveront.

Excusez-moi monsieur.

Bonjour, je serai avec vous.

- Que puis-je faire d'autre pour vous, juge ?
- NON, shérif. Merci.

- Passe une bonne journée.
- Merci salut.

Parlons à l'intérieur.

Attends-moi en bas.

Je viens d'apprendre que Jim a été tué
dans une bagarre au saloon.

Personne ne sait qui l'a fait.

Ne me dis pas que tu
sont tous déchirés par leur mort.

Non, j'espère juste que personne ne l'a fait
découvert cet or.

Je n'aime pas du tout cet endroit.

Je vous l'ai déjà dit.

Pourquoi voulais-tu t'arrêter ici ?

Nous devons sortir d'ici rapidement.

- La mort de Jim... Je n'aime pas ça.
- C'est dommage.

Penses-tu que tu me fais remonter sur ce cheval
et parcourir des centaines de kilomètres juste pour te faire plaisir ?

Non. Cette fois, nous procédons par étapes.

Non merci! Je reste ici.

- Tu ne peux pas m'obliger à t'accompagner.
- Ne dis pas ça, Lucy ! Ne parle pas de cette façon !

J'ai dit que je ne voulais pas y aller, je...

Tu viendras! Que vous le vouliez ou non !

Eh bien, juge ?

Il y a une petite confusion dans
justice aujourd'hui, mon ami.

Mais je pense que les militaires doivent
encore plus confus, non ?

- Ce serait trop long à expliquer.
- Je comprends... Asseyez-vous.

Tu sens le parfum par ici aussi ?

Cet endroit sent l'or.

Il y a quelques minutes

un homme est parti d'ici.

Oh oui!

Il voulait des places sur ma scène.

Pour lui et sa dame,
et deux amis à lui.

Que lui as-tu dis?

J'ai dit d'accord.

je ne pense pas qu'il voyage
avec les poches vides.

- Vous voulez faire le travail ensemble ?
- Non.

Non, l'or ne m'intéresse plus...

Écouter.

- Il fait si chaud ici!
- La dame n'est pas à l'aise ?

Pourquoi ne viens-tu pas t'asseoir ici ?

Dans peu de temps, je veux faire
un arrêt des affaires.

Nous préférons ne pas nous arrêter, juge.

Je suis désolé, mais c'est important.

Parce que je dois attendre...

pour un fonctionnaire qui apporte les mandats
pour l'arrestation du gang Asher.

Mes amis ici pourraient vous être utiles.

Ils repartent plus tard, si les chevaux
peut être trouvé pour eux.

Là où nous nous arrêtons, il y aura un agriculteur.

- Vous n'avez pas vu le juge du tout ?
- Non.

Deux de ces messieurs
je l'attendrai ici.

Je dois y aller. Ils peuvent aller chercher
les documents s'ils sont là.

Tout est réglé ?

Bien sûr. Quand recevrons-nous notre part ?

Quand tu auras fini ton travail ici.

Ensuite, nous partagerons tout.

- Eh bien, je veux juste récupérer mon cheval.
- Naturellement.

Dans trois jours, je vous retrouverai à Fort Worth.

- Merci de collaborer avec la loi.
- Au revoir, monsieur.

Ce gentil monsieur
livrera les chevaux.

Je suis désolé madame, mais
il n'y a pas de rafraîchissements ici.

Qu'à cela ne tienne, ce n'est pas important.

Je veux te remercier aussi,
pour votre coopération.

Si longtemps.

Non!

Non!

Non!

Non! Non! Non!

Desperado... mais tu étais mort !

Prier.

Pardonne-moi, Seigneur.

Seigneur, pardonne-moi mes nombreux péchés.

Je suis un misérable pécheur.

J'ai volé et tué, mais jamais je
tués... des hommes non armés, des hommes non armés !

Pardonne-moi!

Pardonne-moi, Seigneur !

Pourquoi? Nous faisons demi-tour.

Peut-être que le conducteur a pris le mauvais chemin.

Tu n'as rien fait d'autre que regarder
par cette fenêtre depuis notre départ.

Le tenir!

Si vous êtes juge,
Je suis le président de la Confédération.

Il veut me voler, lui ?

D'abord, vous vous êtes débarrassé de mes hommes.

Vous n'attendez que le bon moment.

C'est ça, n'est-ce pas ?

- Pourquoi se sont-ils arrêtés ?
- Je pense que nous sommes arrivés.

Vous avez tort!
Nous ne sommes pas de l'autre côté de la frontière du Texas.

Asher!

Hé, reviens !

Reviens ici, salaud !

Asher!

Asher!

Cette arme ne t'aidera pas.
C'était ta dernière balle, Asher.

Je ne voudrais pas que ce soit si facile pour toi.

Tu as encore le temps de mourir comme un homme.

Parce que tu regardes la mort en face.

Es-tu prêt?

Tu n'aurais vraiment pas dû faire ça.

Vous considérez-vous comme un homme ?

Tu as encore des balles, Asher.

Essayer à nouveau. Continue.

Vous voyez mieux avec de la boue dans les yeux ?

L'arme est juste là. Tirer!

Maintenant, tirez dessus !

Je suis là.

Ici!

Le vieil homme non plus ne voyait pas.
Souviens-toi?

Bonne journée Monsieur.

Il s'enfuyait avec notre or.
Nous l'avons poursuivi pendant dix jours.

J'ai peur que tu aies fait une erreur.
Cet homme est un juge, capitaine.

Il m'aidait, il
gardait l'or.

Voilà le voleur que vous cherchez.

- C'est aussi un meurtrier.
- Tu veux dire...

Il disait donc la vérité.
C'est vraiment un juge !

Détachez-le. Dépêchez-vous!

Votre Honneur, s'il vous plaît, tendez vos mains.

Il semble que mon destin soit
être juge. Au revoir, Steve.

On n'y va pas ensemble, Steve ?

Non, Lucie.

Je te déteste, Steve.

Ce n'est pas vrai.

Tu as raison.

Steve... bonne chance.

- Capitaine, voudriez-vous les escorter jusqu'à Delmar ?
- Oui, ce sera avec plaisir.

Bonne chance, monsieur.

Bonne chance à toi.
Allez! Avant!

Prends l'argent qui appartenait à Sam.

Achetez votre propre ranch.

J'aimerais que tu y réfléchisses.

Là, au-delà de la montagne.

C'est une bonne terre.

C'est ce que le vieux Sam aurait voulu.

Pourquoi tu ne restes pas ?

Je ne peux pas maintenant.

Je dois encore me réconcilier.

Est-ce qu'on se reverra ?

Bien sûr, nous le ferons.

Je t'attendrai, Steve !