All language subtitles for 1951_The_Mob-Dans_la_gueule_du_loup_VOSTFR.7.0

LA PUISSANCE INVISIBLE

- Qu'en penses-tu ?
- Ils ont été extraits de la mine avec un cure-dent.

Vous vouliez quelque chose
d'une valeur de 150 $.

- Mais je ne veux pas d'échantillons.
- Est-ce que je t'ai montré quelque chose de 250?

Je voudrais quelque chose de 500,
mais en payant seulement 150.

C'est beaucoup mieux.

- 685 dollars.
- Et la réduction pour la police ?

Pourquoi devrais-je faire une réduction ?

Vous pourriez essayer de me soudoyer,
de nombreux agents sont soudoyés.

J'ai plus d'amis influents
dans les Boy Scouts que toi.

Allez, donnez-moi un rabais. Tu connais
Mary, tu devrais me laisser en deux.

Je connais Mary depuis qu'elle
a huit ans, mais c'est 685.

- Comment dors-tu la nuit ?
- Très bien merci.

- Combien en espèces ?
- Combien as-tu ?

- Environ 300.
- C'est à toi.

Je le prends.

Derrière !

Tirez le pistolet.

Ne pas se retourner et jeter le pistolet.

Je suis le lieutenant Henderson,
j'ai l'insigne dans ma poche droite.

Sortez-le

Tirez-le ici.

C'est bien. Je suis Johnny Damico,
détective du sixième district.

- Qui est la victime ?
- Tony Rogers, il a tué un de mes hommes.

- Hey, que s'est-il passé ?
- Avez-vous un téléphone ?

- Oui
- Je vais appeler.

- Viens, sors d'ici.
- Qu'est-il arrivé ?

Derrière. Toi aussi, mon ami.
Avez-vous tiré sur cet homme ?

Non, c'était le lieutenant Henderson.
Je suis Johnny Damico, du sixième district.

- Gerrity, Bill Gerrity. Êtes-vous...?
- Oui, ça l'est.

- Vous avez hâte. Nous avons un homicide.
- C'est bizarre qu'ils n'aient pas prévenu à la radio.

- Je comprends, comment étiez-vous ?
- Nous patrouillions.

Donnez-moi le rôle,
maintenant je suis de retour.

- Hey, que se passe-t-il ?
- Et le gars qui est venu faire un appel ?

- L'appel ?
- Un mec grand et fort avec un imperméable.

Oh, ça... il est entré par la porte
d'entrée et par la porte arrière.

Lieutenant Banks ?

- Le lieutenant Banks.
- Je suis Damico.

- Dites - Un tir
sur la 63e rue ..

Je viens de l'entendre à la radio.
Que fais-tu là ?

J'ai tout vu. Un grand gars en a tiré un
autre et j'ai pointé mon arme sur lui.

Comme toujours.

Il m'a montré une plaque, au
nom du lieutenant Henderson,

Il dit que la victime était Tony Rogers
et qu'il venait de tuer un policier.

J'ai enregistré le mort.
C'est Edward Jenson, de Inland Avenue.

- Répète le nom.
Edward Jenson.

Où est le lieutenant Henderson ?

Il est allé téléphoner au restaurant
mais il est sorti par la porte arrière.

- Tu plaisantes ?
- Oui, on dirait une blague idiote

Mais la plaque était réelle et
il avait un revolver de police.

- Viens ici tout de suite.
- Est-ce si grave ?

- Immédiatement.
- C'est bien.

Tu lui as rendu son arme. Pourquoi
n'avez-vous pas payé pour le train ?

- La plaque était vraie, je le jure.
- Bien sûr que c'était vrai.

Elle a été arrachée du corps de Meary par
le gars qui l'a tué trois heures plus tôt.

- Je ne savais rien, je n'étais pas en service.
- Sais-tu qui était Edward Jenson ?

- Non - Tu devrais savoir.

Il était le témoin principal du Grand
Jury à propos de la mafia des docks.

Et le lieutenant Meary, l'enquêteur
spécial affecté à l'affaire.

Et le type de la plaque ?

Sa description coïncide avec celle que
Meary nous a donnée avant de mourir.

J'aurais dû aller pêcher.

J'ai téléphoné au commissaire
et au procureur de district.

Ils t'attendent demain matin.

- Qu'ont-ils dit ?
- Ne comptez pas sur votre pension.

Je peux retourner à l'armée.

- Je ferai ce que je peux, Johnny.
- Merci.

- Où vas-tu ?
- Je reste avec Mary.

Plus maintenant Un dessinateur vous attend pour voir si vous
pouvez obtenir quelque chose qui ressemble à votre ami.

- Nous ne serons pas en retard. Je vais
l'appeler - Ce soir, je te veux ici.

- Pour que ?
- C'est un ordre.

- Demain, nous irons ensemble voir le commissaire.
- Comme tu veux.

Pesé environ 72 kilos,
hauteur environ 1,80 m.

- Ce sera une aide précieuse.
- Désolé, commissaire. C'est tout ce dont je me souviens.

Il faisait noir et quand il a montré la plaque,
je ne me suis plus inquiété à ce sujet.

Je devrais retourner
patrouiller dans les parkings.

Un homme commet un crime devant
son nez, tu enlèves ton chapeau

Il nettoie ses chaussures et le renvoie avec
son pistolet encore chaud dans ses mains.

- Il sera suspendu 60 jours.
- Oui monsieur.

Mais ce ne sera que pour le publier.

Au lieu de le suspendre, nous lui
donnerons la possibilité d'être tué.

Nous voulons cet homme à tout prix.

Et vous êtes la seule solution, puisque
vous étiez la seule personne à l'avoir vue.

- Vous n'avez pas de fichier ?
- Pas d'onglet, ou de photos, ou empreinte, ou quoi que ce soit.

Meary a parlé de Blackie Clegg,
il est très connu sur les quais.

- Asseyez-vous, Damico.
- C'est bien.

- Que sais-tu des escroqueries sur les docks ?
- Très peu.

Je ne suis pas du tout surpris, mais votre
travail sera de chasser Blackie Clegg.

Nous vous informerons afin que vous soyez à jour,
mais Radford est responsable de l'extorsion.

Il y a environ trois mois, le
syndicat nous a demandé de l'aide

se débarrasser des gangsters qui
s'infiltrent dans les docks.

Meary, qui a été assassiné la nuit
dernière, et Radford avait l'affaire.

- Comment sont-ils organisés ?
- De nombreuses manières.

Commissions des dockers,

Des vols hautement organisés qui
rapportent 50 millions par an.

Et les contributions. Je pourrais
continuer à en parler pendant des heures.

Nous commençons par les déclarations
des camionneurs et des débardeurs.

Ils sont suffisants pour convaincre le
jury et aller devant les tribunaux.

Et puis ils ont cherché un autre
homme pour le mettre en avant.

Les choses ont empiré, mais nous
avions encore assez à suivre.

- Jenson était le témoin principal -
Et Meary l'un de nos meilleurs agents.

- Jusqu'où allait Meary ?
- Je ne sais pas, on n'a pas travaillé ensemble.

Mais près du sommet, je suppose,
quelqu'un a dû avoir peur.

- Que Blackie Clegg est le nouveau patron ?
- C'était ce que croyait Meary.

- Tu n'as rien à son sujet ?
- Nous avons quelqu'un qui peut vous identifier.

- Qui ?
- Toi.

- Comment vais-je travailler ?
- Tout est prêt.

Vous serez Tim Flynn, un ruffian à
mi-chemin de la Nouvelle-Orléans.

Nous avons demandé à la police de la
Nouvelle-Orléans de faire un faux dossier.

- Quel était mon crime ?
- Crimes mineurs et accusation d'homicide.

Volera à New Orléans ce soir.

Il retournera travailler sur un bateau.
Cela prendra une semaine.

Et remarquez sur le bateau, ces gens
vérifient tout ce qui semble suspect.

Demandez de l'aide si vous en
avez besoin, mais informez-en

Pour être remplacé s'ils vous tuent.

- Ne continue pas à m'encourager.
- Ce n'est pas une promenade dans le parc.

Et n'oublie pas que Clegg t'a vu
la nuit dernière autant que toi.

J'ai déjà réfléchi et
j'ai pensé autrement.

- Il y a un autre homme qui l'a vu mieux que moi.
- Qui ?

- Le propriétaire du restaurant.
- Il ne peut pas aider.

Il a été retrouvé mort dans une
ruelle à 4 heures du matin.

Clegg ne marche pas avec la contemplation.

Rappelez-vous quand vous
vous promenez la nuit.

Oui, commissaire.

Témoin mort !
Le détective laisse échapper le tueur.

Qu'est ce que ça signifie ?

C'est le vieux Heathcliffe
Damico, un de mes oncles.

Il dirige une fabrique de
bandes à Pompton Lakes.

- Je ne suis pas vraiment suspendu.
- Et de quoi parle cette histoire ?

- Des astuces de détective.
- Vos amis sauront que ce n'est pas votre photo.

Ce ne sont pas eux qui m'inquiètent.

- Il est tard, je dois y aller.
- Attends.

C'est beau, Johnny.

- Votre budget doit avoir ressenti.
- J'ai vendu certaines de mes actions pétrolières

- Je t'aime.
- Et moi.

Allons-nous nous rencontrer ce soir ?

Je ne pense pas qu'on puisse se
voir pendant quelques semaines.

Parce que ?

Je dois agir dans la clandestinité,
comme les taupes et les communistes.

- Cela a-t-il un rapport avec ce que la presse publie ?
- Oui

- Tu ne peux rien me dire ?
- J'ai préféré ne pas.

Ne t'inquiète pas

- C'est bien.
- Si tu m'aimais, tu t'inquiéterais.

C'est aussi beau que celui que tu as
promis quand on nous a promis au début.

C'est juste un cadeau,
maintenant tu me dois 685 $.

Ah oui ? Fred m'a dit qu'il
l'avait laissé pour 300 $.

Mary, pour qu'un
mariage se réalise,

la femme doit laisser
le mari mentir.

Ne commençons pas avec le pied gauche.

- Dis ?
- Est-ce John Damico, du sixième district ?

- Oui, je suis Ted
Karpel du Herald.

Si vous allez dans votre maison, je
pourrais aller discuter avec vous.

- Sur quoi ?
- A propos d'un article. Il va être ?.

- Oui, je serai à la maison.
- Eh bien, je vais tout de suite.

- Héraut du soir.
- Mettez-moi par écrit.

- Rédaction.
- Je voulais parler à Ted Karpel.

- Qui ?
- Ted Karpel, journaliste.

- Dans ce journal, non.
- Êtes-vous sûr ?

- Bien sûr. Qui êtes-vous ?
- Merci.

- Le lieutenant Banks.
- Le lieutenant Banks.

J'ai reçu un faux appel téléphonique.

Des gars armés viendront
chez moi envoyé par Clegg.

Envoyer une voiture dès maintenant pour voir
s'ils peuvent obtenir des informations.

Attendre Préparer une voiture
Parle, Johnny.

Je vais attendre leur arrivée
et j'irai à l'aéroport.

C'est bien.

Je ne sais pas qui t'a laissé grimper,
mais tu ferais mieux de ne pas revenir...

Je préférerais avoir la fièvre typhoïde.

Vous avez provoqué tout le monde,
j'aurais dû vous laisser enfermé.

- Donc je n'aurais pas eu à te voir -
Rappelle-toi que tout le monde le saura.

- Je n'oublierai pas ton visage.
- Je vais essayer d'oublier le tien.

Long.

Arrêtez de travailler et
obtenez l'alarme rouge !

Un gars dur de la
Nouvelle-Orléans est arrivé !

- Qui sont-ils ?
- Ce sont des débardeurs, connard.

Je pensais que c'était un groupe
de choristes qui s'étaient perdus.

- Voulez-vous une chambre ?
- Non, je suis venu admirer la décoration.

C'est trois dollars par jour.

- Qu'est-ce que cela inclut ?
- Les draps.

- Pas d'inscription ?
- C'est très drôle.

- Prenez mes affaires.
- Ce n'est pas le Waldorf, mon ami.

Combien de temps a-t-il
fallu pour le savoir ?

- Regardez-le, je vais boire un verre.
- Un autre ordre, "Princesse"?

Je m'appelle Tim Flynn.
Quand le maire arrive...

avec la clé de la ville, dites-lui
que je suis dans la salle des orchidées.

Imbécil.

- Qu'est-ce que ce sera ?
- Vin blanc et bière.

- Comment dites-vous ?
- Vin blanc et bière.

- Ensemble ?
- Non, un verre de chaque.

Vous devez être ennuyé.

Une fois, un fou m'a demandé un verre de
gin et de chocolat, mais c'est nouveau.

J'ai rencontré des gens qui buvaient du
vin et de la bière à la Nouvelle-Orléans.

J'étais là pendant un moment.
Prendre quelque chose

Merci .. Une bière, Smoothie.

- Je m'appelle Clancy.
- Tim Flynn.

Grande ville de la Nouvelle-Orléans.

J'avais une petite amie qui
jouait du piano avec ses dents.

Avec les dents ?

Oui, il avait de
grosses dents brunes.

- Je suis tombé sur certains d'entre eux.
- Combien de temps était-il sorti ?

- Je suis arrivé il y a 20 minutes.
- Je l'ai vu quand il a débarqué.

Certains gars voulaient se casser la
gueule à cause de la blague qu'il a faite.

Ils ne devraient pas être si sensibles.

- Restez-vous ici ?
- Oui, comment ça ?

Les expulsés des
baraques viennent ici.

- Ce n'est pas si mal non plus.
- Je préfère un sac de couchage dans un égout.

- Serez-vous ici un moment, Clancy ?
- Oui, pourquoi ?

Garde ma boisson, je
vais dans ma chambre.

- Appelez cette salle de chose ?
- Prends quelque chose pendant que

- Vin blanc et bière.
- Ne sois pas surpris, Smoothie.

J'ai rencontré un gars qui buvait
de la vodka avec du lait de chèvre.

Prenez une autre bière à la table.

Avoir des banques.

- Ici, Banks.
- Je suis Damico.

Je suis à l'hôtel Royal. Avez-vous reçu quelque
chose de ceux qui étaient dans mon appartement ?

Alors je les ai fait suivre,
mais ils ont quitté la ville.

Demain, je vais demander un permis de travail. Faire
tout son possible pour qu'il n'y ait pas de problèmes

A partir de maintenant, enregistrez mes appels. Si
je suis pressé, je ne répéterai pas les choses.

Et pourquoi avez-vous choisi la Nouvelle-Orléans ?
Je déteste le vin blanc avec de la bière.

Et j'ai dit à cette dame :

"Nena, si vous cherchez un millionnaire,
vous avez creusé dans la mauvaise mine."

"Alors prends ce regard de
champagne dans tes yeux."

- Comment l'a-t-il pris ?
- D'aucune manière.

Il est allé au Canada, avec mes jumeaux

et un manteau de fourrure que j'ai
acheté pour lui à Atlantic City.

Cela me coûtera-t-il beaucoup de
trouver du travail sur les docks ?

Êtes-vous affilié au syndicat ?

Oui, à la Nouvelle-Orléans.

Vous pouvez obtenir une licence
temporaire, mais j'en doute.

Pouvez-vous faire quelque chose ?
Cela signifierait beaucoup pour moi.

Parce que ? Que cachez-vous ?

- Un peu d'argent fixe tout.
- Pas ici.

Qu'est-ce qui est différent
à propos de ça ?

L'environnement est plus fermé
qu'une cellule de sécurité.

- Et ils n'aiment pas les étrangers.
- Je veux juste travailler.

Peut-être.

- Tu ne m'aides pas ?
- Disons que c'est difficile ici.

Pourquoi tant de mystère ?

Parlons mieux des femmes.
Je connais un chocolat de Detroit...

J'ai besoin de travailler.

C'est étrange que vous vouliez un travail
qui va casser votre colonne vertébrale.

- J'aime travailler dur.
- Vous n'avez pas dit que vous étiez irlandais ?

C'est bien. Je suis tombé dans un désordre
à la Nouvelle-Orléans, rien de grave,

Mais je veux disparaître
quelques semaines.

- Ici, ils vont vérifier tout ce que vous dites.
- Qui va le faire ?

J'ai rencontré une fille en Alabama. J'étais
un danseur exotique dans un bazar de charité

Avec une autre bière je te dis, et
avec deux je te donne son adresse.

Dock équipage numéro 12,
présentez-vous à Miriam,

Numéro d'amarrage 145 à 08:45.

Patron, où est demandé
le permis de travail ?

- La dernière fenêtre.
- Merci.

L'équipage du navire numéro
14, présentez-vous à Portus,

Amarrage 147 à 10h30.

J'ai une carte de la Nouvelle-Orléans,
je voulais une licence temporaire.

- Comme c'est drôle.
- Qu'est-ce qu'il y a de drôle à vouloir travailler ?

Ici nous n'avons rien.

- [Protester]
- Peut-être qu'il n'a pas bien entendu, nous n'avons rien.

Il y a trois mois, aucun
permis n'est délivré.

Eh bien, il est temps de commencer,
c'est en vigueur et je suis arrêté.

Es-tu sourd ?
Nous ne voulons pas de problèmes. Marcher

J'ai dit marcher.

Travailleur 50, présentez-vous
à l'équipage numéro 12,

Miriam, amarre 145

à 08:45.

- Hey, toi, celui de la Nouvelle-Orléans.
- Quoi ?

Numéro d'équipe 22,

venez dans la boîte

- Oublie ton cahier.
- Merci pour rien.

Vous devez être un Irlandais et un membre
du Congrès pour obtenir la permission.

Un dollar par jour prépare le chemin.
Qu'est-ce qui se passe maintenant ?

- Que Willie Alessandro casse une jambe.
- Et que signifie ?

Vous allez le voir.

Vous pouvez partir, il n'y a pas de travail
pour vous aujourd'hui ou n'importe quel jour.

Qu'est-ce qu'il passe ?

Ce sont des fauteurs de troubles. Ils veulent une
journée entière de salaire sans commissions.

Têtes creuses, ferme
ton bec et écoute-moi !

J'ai besoin de 40 hommes forts

pour deux jours de travail. Téléchargez
aujourd'hui et téléchargez demain.

Heures supplémentaires, demain et
aujourd'hui à partir de 8 heures.

Nous n'avons pas besoin de
cerveau pour ce travail.

Ceux qui ne peuvent pas supporter
la dure tâche de sortir.

- C'est très confortable, non ?
- Je veux que les travailleurs coopèrent.

Et en parlant de collaboration,

Vous savez que Willie Alessandro
s'est cassé la jambe ce matin.

C'est la quatrième étape de Willie
qui commence cette semaine.

Willie est un homme bon, et il
a une femme et quatre enfants.

Mais avec la jambe cassée, vous ne
serez pas capable de travailler.

Lorsque vous collectez vos étiquettes,

Je demande à ceux d'entre
vous qui veulent travailler

de contribuer quelque chose pour Willie.

Je ne veux pas de protestations !

Joe sera heureux d'aider
ceux qui n'ont pas d'argent.

- Qu'est-ce que c'est pour aider ?
- Il vous prête 4 $ pour Willie ce matin.

- Et vous lui rendre 5 quand vous payez cet après-midi.
- Une allumeuse.

De l'argent pour les
enfants, pour le tabac.

- Environ 200 000 dollars par an.
- Qui l'administre ?

- Qu'est-ce que ça t'importe ? Voulez-vous travailler ?
- Bien sûr. Viens

N'oublie pas Willie, ou ils
te traîneront chez toi.

Cinq dollars pour Willie, il
a eu très mauvaise chance

- Êtes-vous membre du syndicat ?
- Oui

- Tim Flynn. Est-ce nouveau ici ?
- Je viens d'arriver.

D'où venez-vous ?

De la haute société, je
veux travailler dur.

- Qui vous a donné la permission ?
- Qui m'a dit de fermer la bouche.

- Qui t'a dis ça ?
- Cet homme m'a dit.

- Quel homme ?
- Celui qui m'a parlé de la bouche fermée.

- Était-ce Joe Castro ?
- Peut-être qu'il était le patron de Joe Castro.

Prends soin de ça. Allez, Flynn.

- Savez-vous ce que vous dites ?
- Je sais seulement que je veux travailler.

Le patron de Castro, hein ?
Le travail au quai est très dur.

- Savez-vous comment gérer cela ?
- Oui, j'en ai conduit un dans l'armée.

C'est mieux que de faire
glisser des boîtes. Culio !

Tu ferais mieux de ne pas mentir.

Flynn sera responsable de votre travail aujourd'hui,
télécharger pour télécharger avec d'autres.

Comment ? C'est mon travail

- C'était avant.
- Mais toi qui...

Tais-toi ! Si tu veux travailler,
très bien. Sinon, il disparaît !

- Toi, je vais en parler.
- Tu me fais peur, je ne sais pas ce que je peux te dire.

Viens avec moi Il disparaît.

Et cela fonctionne bien pour
recevoir le plein salaire.

Flynn

- Vous avez cherché un très bon travail.
- Je ne sais pas comment tu as eu.

Demain je ne veux pas te voir ici.

Vous n'aurez pas à regarder très
fort parce que vous m'aurez ici.

- Vous devez être illustre.
- Je vais chercher le garçon illuminé.

Tu as de la chance de ne pas te casser le
cou. Si vous en voulez plus, levez-vous.

Dites à votre ami Castro que je n'aime
pas qu'ils enlèvent un bon travail.

Je peux parler à certaines personnes.

Prends cette petite soeur d'ici, je pense
qu'elle a eu une journée très difficile.

Alors vous terminez votre journée
avec un combat de rue, hein ?

Je l'ai fait pour aiguiser mon appétit.

Que proposez-vous Flynn ?
Où trouvez-vous vos prises ?

Les gens aiment ma personnalité.

Vous posez beaucoup de questions, mais vous semblez
avoir plus de réponses que n'importe qui d'autre.

Je ne sais rien.
Je n'ai qu'un boulot

et je me suis débarrassé d'un
imbécile qui a essayé de l'arrêter.

Peut-être.

Tu as peur d'être vu avec
moi, de changer de place.

Non, je n'ai pas peur
Seule la curiosité.

Ils ne donnent pas de
bons emplois sans raison.

Cet homme m'a posé une question stupide sur
un certain Castro, je ne sais pas qui il est.

Vraiment ?

Bien sûr, je lui ai donné une réponse stupide et
un bingo, je me suis assis dans un lit de plumes.

- Peut-être que tu devrais essayer.
- Non

Je travaille dur, mais j'ai la santé.

Je suis pauvre, mais je suis vivant.

Les mots rien de plus.

Si c'est ce que tu penses

Invitez-moi à un autre verre, maintenant
vous pouvez dépenser de l'argent.

Bonjour, Flynn. Vous êtes invités
à une fête en votre honneur.

- Quelque chose de spécial.
- Bien sûr, je vais rentrer à la maison pour changer.

C'est une fête informelle.

Viens

- Y aura-t-il une fille pour moi ?
- Non, c'est seulement pour les hommes.

- Est-ce que je connais les hôtes ?
- Vous les rencontrerez.

- Est-ce qu'ils vont me plaire ?
- Bien sûr, ils sont géniaux.

- Tu ne me banderas pas les yeux ?
- Vous avez lu trop de bandes dessinées.

Tout droit.

Ouvrez-le

Vous arrivez à l'heure.

C'est lui ?

Oui, c'est celui-ci.

Inscrivez-le

Enlevez mes mains.

Vous êtes très drôle, nous ne faisons
pas confiance aux mots d'honneur ici.

Quelle est la façon de
s'habiller pour une fête ?

Regardez Chief, un pistolet à eau.

Allez, s'il fait même du bruit.

Laissez-le partir Asseyez vous

- Qui êtes-vous ?
- Que tu ressens !

Restez immobile et
répondez aux questions.

Vous parlez depuis deux jours.
Qui vous a envoyé pour utiliser mon nom ?

- Il doit être le patron de Castro.
- Je suis Castro et je n'ai pas de boss.

Pas même une femme, M. Castro ?

- Nous ne voulons pas que tu nous divertisses.
- Dites-moi, Castro !

- Et si non, quoi ?
- De quoi s'agit-il ?

Oui, j'ai perdu ma langue !
J'avais besoin de travailler !

J'ai entendu quelqu'un utiliser son nom
et je l'ai utilisé, je suis désolé.

- Donne-moi une bière.
- C'est fini, patron.

Eh bien, allez en trouver plus.

- Je veux cette arme quand je pars.
- Bien sûr, quand tu pars.

Je n'aime pas que certaines joues
se querellent dans mes quais.

Et maintenant, d'une façon ou d'une autre,
vous allez répondre à quelques questions.

Ce ne sera pas difficile pour toi.

Il a fallu une demi-heure

Je devais aller à 18th Street pour
apporter de la bière fraîche.

- Comment est le joker de Flynn ?
- Ouvrez-le

Flynn va bien.
Il a dû fuir la Nouvelle-Orléans.

Et tu le crois ?

Oui, il a fait une erreur, mais je
doute qu'il en commette une autre.

Pas vrai, Flynn ?

Non, si ce n'est pas une
erreur qui éclate ce type.

- Il suivait juste les ordres.
- Un jour, il trébuchera avec moi sans aide.

J'aime ça, ça a du caractère.
Une bière ?

- Je préfère aller dormir.
- D'accord, vous pouvez y aller.

Sans rancune.
Donne-lui son arme.

Sûr L'utilisez-vous dans votre
chambre pour effrayer les mouches ?

- Un jour tu les verras avec moi
- Avec toi et avec qui d'autre ?

- Oublie ce soir, Flynn.
- C'est bien.

- Quoi ?
- Tout est arrangé.

Nettoyez cette pièce
et réparez le trou.

Bière froide

Je t'apporte un cadeau !

- Vous serez épuisé ce soir.
- Laisse l'essence travailler pour moi.

- Et daignez-vous parler à ceux qui sont à pied ?
- Attention, ne tache pas ma machine.

À plus tard.

- Salut, c'est Tim Flynn ?
- Oui

- Vivez-vous à l'Hôtel Royal ?
- Oui

- Rejoignez-nous.
- Que se passe-t-il ?

- Hier, il s'est battu avec un Culio.
- C'était juste une escarmouche.

- Tu m'as rapporté ?
- L'avez-vous vu aujourd'hui ?

- Non.
- Pas étonnant, ils l'ont tué hier soir

avec un pistolet
automatique de calibre 32.

Il était dans sa chambre.
Une balle est manquante

Allez, pas de problèmes.
Nous n'admettons pas ces choses ici.

Viens

Ecrivez tout.
D'accord, Flynn, déchaîne-toi.

- De quoi parlent-ils ?
- Je ne veux pas perdre mon temps.

Je suis prêt à aller quand tu veux.

Vous pouvez simplifier ou
compliquer les choses.

Pour moi c'est indifférent.
Pourquoi at-il tué Culio ?

- Je ne l'ai pas tué.
- Il s'est battu avec lui.

Peut-être que c'était après toi.
Était-ce une défense légitime ?

Je ne l'ai plus revu après le combat.

Lève toi.

Penchez-vous sur le
mur sur les index.

Tiens.

Ce ne sera pas très amusant.

Bientôt, il va demander de l'aide.

- Sauvez-vous les mauvais moments et parlez.
- Je n'ai rien à dire.

Peut-être qu'il l'a rencontré à la
Nouvelle-Orléans. Est-ce à partir de là, non ?

Mon nom est Timothy Flynn
et je veux un avocat !

Cette commande vient d'en haut. Nous devons
être implacables avec les extorqueurs.

Je veux te parler seul.

- Tu n'aimes pas mes amis ?
- Je pourrais te dire quelque chose qui t'intéresse.

- Eh bien, ça va commencer maintenant.
- Seul.

N'y pense même pas.
Je ne fais pas de faveurs,

Il a été harcelant depuis
qu'il est venu à la ville.

Voulez-vous dire Castro ?

Cela n'a pas d'importance.

Avez-vous comparé mon arme à
la balle tirée sur Culio ?

- Nous le ferons quand il confesse.
- Vérifiez-le, car il ne rentre pas.

J'ai une bonne information,
ce n'est pas comme ça.

Dites-leur que je ne suis pas si mémorable
que de laisser quelqu'un porter mon arme !

Qu'avez-vous prévu ?

Dites-lui que la balle
et l'arme ne vont pas.

Mandad analyse l'arme.

Je ne voudrais pas être à
sa place s'il a menti.

Je n'ai pas menti. Dites à vos
amis qu'ils ont joué pire qu'un...

Laisse mes amis.
Doigts contre le mur !

Nous n'avons pas encore commencé avec vous.

- Le rapport de district est arrivé.
- Tout va bien ?

Assez calme. Les 15 ont arrêté
un type pour le délit des docks.

- Le connaissons-nous ?
- Non, il est un étranger de la Nouvelle-Orléans.

Cela prend une heure comme ça.
Vous n'en avez pas assez ?

- Attendez le rapport balistique.
- Je veux entendre ce que tu as à dire.

Il fait déjà une brèche.
Allez à droite

Laisse-le tranquille.
Ça n'arrivera à rien, sergent.

- Donne-lui du temps.
- Oublie ça, je t'emmène à la caserne avec moi.

- Lieutenant, cette détention est la nôtre.
- Je veillerai à ce qu'ils mettent le laurier.

Le rapport balistique.
Ce n'est pas la même arme.

Voulez-vous toujours le laurier, sergent ?

Laver avant de l'emmener et le signer pour
avoir porté une arme sans permission.

Avez-vous apprécié vos jeux ?

Je suis désolé, je n'arrive pas
à être pressé de vous sortir.

Commande de regarder le sergent
Bennion, il est en ligue avec la mafia.

- Tu crois ?
- C'est pourquoi je te dis de le suivre.

- Tu as bien fait de te débarrasser de l'arme.
- Pas un tout-petit tomberait dans ce piège.

J'ai tiré à ce moment-là
avec cette arme à tromper.

- Et le premier fusil ?
- Je vous l'ai envoyé.

- Et le meurtre ?
- C'est ce qu'a fait un petit gars nommé Gunner.

Pourquoi Culio a-t-il été tué ?

Il a menacé de parler.
Ils voulaient l'expédier avec moi.

- Johnny, si tu veux des renforts...
- Non, non.

Je vais traquer Gunner. Aussi, je
commence à aller quelque part.

- Où ?
- Enquêter sur un Thomas Clancy.

- C'est bien.
- Avez-vous quelque chose à propos de Joe Castro ?

Peu, il doit être le cinquième
dans la hiérarchie.

- Je pense que c'est plus important.
- Et Blackie Clegg ?

Je n'ai même pas entendu son
nom, tout le monde a peur.

Si nous attrapons ce sergent, le
laisserez-vous pendant quelques minutes ?

Si c'est pourri, jusqu'à dix jours.

Un policier corrompu ternit la
réputation de tout le corps.

- Quand vais-je te laisser partir ?
- Déjà Je suis fou de chasser ce sergent.

- Prenez-les, Russell !
- Wow, qu'en penses-tu...

Je lisais sur vous dans le journal.
Je pensais que vous étiez condamné à mort.

Je vais prendre un verre. Vous avez le temps de
retourner ce que vous avez pris dans ma chambre.

- Il n'y avait rien de valeur.
- Renvoie quand même.

- Payer la maison.
- Merci.

- Bennion s'est amusé avec toi ?
- Je vais te baiser seul.

Ces personnes sont toujours accompagnées.

- Vous entendez beaucoup de choses derrière le bar.
- Je ne fais pas attention.

Sûr De ce que tu as entendu ?

- Ils disent qu'ils vous ont tendu un piège.
- Et aussi, très mauvais.

Passez le mot afin qu'il soit connu. Je suis
en colère contre les gars qui l'ont fait.

- Savez-vous qui ils étaient ?
- Oui, mais je ne sais pas où les trouver.

- Vendez-vous habituellement de l'information ?
- Non.

Je vous donnerais cinq dollars si vous me
disiez où trouver une certaine personne.

- Demande à un autre.
- Dix dollars.

- Cela ne compense pas.
- 20. Ou changement de magasin.

- Qui est l'individu ?
- Un gars nommé Gunner.

L'étudiant universitaire,
tout le monde le connaît.

Il va tous les soirs dans un
club appelé The Black Kitten.

Sur la 18ème rue
20 dollars, s'il vous plaît.

- Tu ne me trahiras pas ?
- Je ne trahis personne.

- Ça te ferait rebondir comme une balle.
- Je t'ai donné de bonnes informations.

Ne reviens pas pour moi

- Ce soir c'est ma fête.
- J'ai entendu que tu étais parti.

- Et ça ressemble beaucoup à un policier.
- Traversons la rue.

Je ne discute
jamais avec l'hôte.

Castro aurait dû me
laisser te tuer.

Il a plus de cerveau que toi.

Retournez

- Veux-tu me finir ou m'arrêter ?
- Ni l'un ni l'autre.

- Je veux te poser quelques questions.
- Demander

- Blackie Clegg.
- Que veux-tu savoir ?

- Le lieutenant Banks parle.
- C'est moi, Damico.

Parler

Celui qui a tué Culio est ligoté
dans un travail sur la 18ème rue

Attends, Johnny.
Préparer une voiture Suivre

La détention doit être confidentielle,
ne pas leur permettre de vous libérer.

- Sinon, je mourrai à dix minutes.
- Nous ne le libérerons pas.

- Y a-t-il quelque chose à
propos de Clancy ? Rien.

- Peut-être utiliser un faux nom.
- Demandez-leur de le regarder. Je vais dormir.

Flynn ! Ici.

Je pensais que tu avais une
position fixe dans le donjon.

- Je n'ai pas passé les tests.
- Qui t'a laissé partir ?

- Ma mère.
- Vous devez avoir de bons contacts.

Vous devez voir comment vous sortez
des bons emplois et des prisons.

Si vous voulez me faire sortir, vous
devrez utiliser de meilleures tactiques.

Je ne veux que la formule, si elles me
plaisent je suis condamné à la prison à vie.

- Il n'y a pas de formule. Ils ont découvert que ce n'était pas moi.
- Eh bien, ne sois pas sulfureuse.

- Vous êtes très potins.
- Viens, j'ai préparé une fête pour ce soir.

- Ce qui me manquait.
- Tu n'aimes pas les fêtes ?

- Dernièrement, je suis allé à certains très robuste.
- Cela pourrait tourner comme ça.

- J'ai lié deux super filles.
- Et tu veux les partager avec moi ?

- Eh bien, je ne vais pas aller avec vous deux.
- Pourquoi est-ce mon tour ?

Tu as beaucoup d'amis.
Dans ce cas, j'ai beaucoup souffert.

- Qui sont-ils ?
- Saurez-vous plus si je vous dis leurs noms ?

- Ce sont des filles. Que veux-tu de plus ?
- Ça va être bon pour moi. À quelle heure ?

Au Pine Gate sur
la 4e rue à 21h30

Je ne me suis pas assis, je
ne pouvais pas avec les deux.

Clancy veut que tu sois
saoul, pour être gentil,

- Prends ce que tu peux.
- Et qui est-ce ?

Clancy ne l'a pas dit, il dit
juste que ça peut être dangereux.

- Et qu'est-ce que je dois savoir ?
- Tout.

Que fais-tu dans les docks,
quels contacts as-tu ?

Je travaille souvent pour une soeur.
Pourquoi tu ne le fais pas ?

Parce que ce n'est pas un travail pour une
femme, tu sais à quel point Clancy est jalouse.

- Et tu vas prendre ton alliance ?
- Non, merci de me le rappeler.

Ils sont déjà.

Salut les filles, désolé pour le retard.
Je présente Tim Flynn.

Ils sont Peggy et Doris.
Doris est à toi.

- Et si j'aime mieux Peggy ?
- Calme-toi.

Vous ne serez pas étiré avec moi.

- Les blondes sont ma faiblesse.
- Et le mien.

Oui, mais c'est ma fête de bienvenue.

- Tu ne vois pas à quel point Doris est jolie ?
- Bien sûr, tu vas passer un bon moment avec elle.

Clancy, qu'est-ce que ça te donne d'autre ?
Doris vous l'aimez

- Et il est très attirant.
- Pourquoi n'aimes-tu pas Doris ?

- Pourquoi je n'aimerais pas quelqu'un ?
- Asseyez-vous

- Nous allons passer un bon moment, magnifique.
- Oui bien sûr.

- Dis-moi ta vie, Tim.
- Ma famille était normale

Ma mère était riche et mon
père conduisait des zeppelins.

Se sont-ils mariés ?

- Tu nous as fait sécher.
- Oui, prenons quelques verres.

- Qu'est ce que vous voulez ?
- Qui invite ?

Je

- Bourbon bon marché et l'eau du robinet.
- Qu'il y en ait quatre.

- Quel plan avons-nous pour ce soir ?
- On pourrait prendre quelques verres et aller chez toi.

- Essayez-vous de continuer à économiser ?
- Nous prendrons une bouteille.

- Qu'en penses-tu, Tim ?
- Tu conduis et je te suis.

As-tu vu comme c'est gentil ?
Nous allons très bien nous entendre.

Cela m'a déjà traversé l'esprit.

Maintenant, dis-moi quelque chose.

Comment ça va ?

Pourquoi ne deviens-tu pas folle
ce soir et prends un taxi ?

- Parce que mon grand-père était satisfait du tramway.
- Mais je suis beaucoup plus mince.

- On ne va pas dîner ?
- Dîner ? Qu'est ce que c'est ?

- Qui ne boit pas, mange.
- Allez, il y a un taxi.

- Cette fille te connaît.
- Il va penser qu'il me connaît.

Il doit y avoir peu de
travail à l'hôpital.

Tu ne veux pas me parler de toi ?

Pourquoi parler si je
suis si bien accompagné.

- Avez-vous des escroqueries, Timmy ?
- Parlons de questions banales.

Clancy, oui, et il gagne beaucoup d'argent.

Tu devrais essayer.

Si vous convaincre
Clancy de me lancer...

Tu te moques de moi.
Vous avez sûrement de meilleures affaires.

- De quelle couleur sont vos yeux ?
- Tu ne le vois pas ?

Blues Où sont Clancy et Doris ?

Dans la cuisine, laissez-les tranquilles.

Tu n'es pas débardeur comme tant
d'autres, n'est-ce pas Tim ?

- Non.
- Qu'est-ce que tu es ?

Une soif

Je t'aime

Vous ont-ils présenté ?

Vous avez de très belles
façons de passer la nuit.

A partir de maintenant, vos
soirées ne manqueront pas.

Allez dans la cuisine
et préparez-en deux.

Prenez, mon cher.
Ne me laisse pas derrière.

Nous avons bu la même chose.

- Il n'a pas beaucoup d'endurance.
- Nous avons eu ce que nous voulions.

J'étais fatigué de vous
mettre vos griffes sur vous.

- Jaloux ?
- Je ne vois pas la grâce.

- Hors combat.
- Demain ça ira.

- Je dois avoir des hallucinations.
- C'est ce que tu veux.

- Cette arme est-elle chargée ?
- Voulez-vous savoir ?

- Non, je m'amuse à deviner.
- Où est Gunner ?

- Qui ?
- Tu sais de qui je parle !

- Si tu veux dire cette brute qui m'a traité...
- Où est-il ?

- Qu'est-ce que je sais, c'est ton problème.
- Tu ne l'as pas vu ?

Non

Et comment cette arme a-t-elle
atteint un tiroir de votre poitrine ?

Avec ça tu m'as
fait un bon voyage.

Je ne suis pas venu pour te parler.
Dites-moi, où est-ce ?

- Les gens qui me traitent mal ne m'aiment pas.
- Tu l'as tué ?

S'il est là, je devrais remercier après
le piège stupide qu'il m'a tendu.

Vous êtes très dur, n'est-ce pas ?

Avec cette gueule de bois, non.

Lève toi.

- Je ne veux pas.
- C'est bien. Je te tue juste ici.

- Tu vas faire beaucoup de bruit.
- Personne ne s'intéressera à ce qui vous arrive.

- En cela, je lui donne la raison.
- Où as-tu eu l'artilleur ?

- Il flotte dans les égouts.
- Je l'ai imaginé.

Viens, marche.

Maintenant qu'il me manque, je pourrais
faire votre travail à l'Organisation.

Je t'ai dit ça en marchant !

Je serais un bon garçon avec toi, Castro.

J'ai la voiture derrière
moi, dans cet escalier.

- Où allons nous ?
- Ça ne vous dérange pas.

Il s'intégrerait dans son groupe,
il pourrait mutiler qui il voulait.

Marcher !

Castro fait une grave erreur,
je ne vais pas le servir mort.

- Il y aura eu un coup à la tête.
- Oui

- En haut à droite.
- Emmenez-le, nous allons l'emmener dans votre chambre.

Vous devez être un fusilier,
vous apparaître au bon moment.

J'ai écouté derrière la porte.
Dieu merci, je n'ai pas appelé.

La dernière tasse que vous m'avez donnée
hier soir devait être radioactive.

Oui, la recette est à moi,
je l'appelle "vieux bikini".

Je suis désolé de ce qui
est arrivé, Damico.

Maintenant, Damico, parlons clairement.

Vous êtes un flic du sixième district
qui dirige l'affaire Blackie Clegg.

N'essaie pas de faire quoi que ce soit,
je suis rapide avec la matraque.

- Montre-moi.
- Parce que ? Je suis de ton coté

Qui es tu ?

Comme le disent les programmes de
télévision superficiels, enquêteur spécial.

Et la barbe ?

Hier soir, c'était à vous de laisser vos empreintes
dans un verre et de les envoyer à Washington.

Je n'ai jamais pensé que
tu étais un policier.

Je ne sais pas pourquoi ils ne nous informent
pas au lieu d'enquêter les uns les autres.

Clancy

Je n'ai pas eu l'occasion d'envoyer vos impressions.
Il y a deux jours je vous ai fait suivre.

- Je sais, c'est pourquoi je voulais savoir qui tu étais.
- Et tu devais m'empoisonner pour ça ?

Non, c'était pour que tu
laisses ma femme tranquille.

Votre quoi ?

Ma soeur Doris a dû te duper,
mais tu as choisi ma femme.

- J'ai failli te casser la tête.
- Il sera nécessaire de répéter la sortie.

C'est la même chose que Peggy.

- Que fais-tu ici ?
- Dans une arnaque d'assurance.

High Indeminty Company, ils ont déjà
un demi-million. Les connaissez-vous ?

- Non.
- L'affaire était quatre.

Nous les avons attrapés, mais pas
le patron, un certain Humbert.

- Une idée ?
- Je parie qu'il est ce mec.

Comment l'avez-vous trouvé ?

Merci aux avancées scientifiques
de la nouvelle recherche.

Et un petit oiseau moucheté
nous a dit où il était.

Pourquoi ne l'avez-vous pas attrapé avant ?

Je ne pouvais pas le trouver. J'ai appris
récemment qu'il s'appelait Castro.

Quand je t'ai entendu le mentionner sur les
quais, je savais que tu m'amènerais à lui.

- Que sais-tu à propos de Blackie Clegg ?
- Je ne peux pas t'aider.

J'ai entendu parler de lui, rien de plus.

- Voulez-vous toujours travailler ici ?
- Non, j'ai déjà mon homme.

Je vais le livrer et ensuite je vais consacrer
un mois pour prendre soin de mon mariage.

Je vous préviens de venir le chercher.

Tu ferais mieux de le descendre et
de sauver ce travail au groupe.

- Avez-vous des idées ?
- Ne dis rien et donne moi autant de temps que possible.

- Et comment je le fais sortir d'ici ?
- Utilisez la voiture derrière vous.

Tu devrais accepter mon offre, Castro.

Viens

- Tu as besoin d'aide ?
- Si oui, je vais devoir changer de profession.

- Sparkle, pour voir si vous obtenez des informations.
- Ils ne me prendront rien.

Nous ferons ce que nous pouvons. Et je vais
donner à votre patron ce qu'il obtient.

- Ne bois pas de boissons fortes.
- Donne un câlin à ta femme.

Flynn, Smoothie veut te voir.

- Pour que ?
- Je sais. Vous voudrez inviter.

Et toi, que fais-tu ici ?

- A 8 heures je termine mon tour.
- Je te félicite.

- Un homme veut te parler.
- C'est facile, je suis habituellement là.

C'est trop important, il veut
que je te prenne pour lui.

- Et si je ne veux pas y aller ?
- Allez, Flynn.

- Si je vous prends, je gagne 20 dollars.
- Tu pourrais m'offrir la moitié.

- Vous gagnez dix mille dollars.
- Un seul whisky, Smoothie.

- Et qui est-ce ?
- Il te le dira.

- Où sommes-nous ?
- Ici, ma voiture est devant, à la station d'essence.

Je vais dormir un moment.

Si je ne suis pas descendu à 19 h,
dites à Russell de battre à ma porte

- Es-tu sûr qu'ils ne t'ont pas suivi ?
- S'il vous plait.

- Qu'est-ce qui est si important ?
- Je vais rencontrer l'un des gros coups.

- Qui ?
- Peut-être que c'est Blackie.

- Où le verrez-vous ?
- Le barman de l'hôtel m'y conduira.

- Que sais-tu du barman ?
- Il dit qu'il est un intermédiaire pour 20 dollars.

- Je n'en doute pas.
- Peut-on voir ta voiture ?

C'est à la station d'essence
en face de l'hôtel.

- Combien de temps avons-nous ?
- Deux heures.

- Nous allons mettre un émetteur dans votre voiture.
- Pour que ?

Au cas où quelque chose lui échapperait.
Pouvez-vous penser à quelque chose,

nous voulons savoir ce qui se passe.
Nous vous suivrons de près.

- Si tu réalises, nous serons comme au début.
- Facile.

- Nous allons utiliser un liquide fluorescent.
- Ne me suis pas trop.

- Nous allons vous donner dix minutes.
- J'ai le sentiment que ça va bien tourner.

- Fait attention.
- Je vais prendre de vraies balles dans mon arme.

Smoothie, vous avez un pneu crevé
sur la roue arrière droite.

- Ce matin allait bien.
- Il doit y avoir une fuite d'air lente.

Puis-je le réparer ?

Je dois l'utiliser dans 40 minutes.
Mettez la roue de secours.

Si la pièce tombe dans la tasse,
vous gagnerez une tasse gratuite.

Smoothie, deux bières !

- Vous avez seulement 40 minutes.
- Je pense que nous pouvons le faire.

Changez cette roue au cas où
vous décideriez de la vérifier.

Placez la boîte sous le pare-chocs
arrière et attachez-la au contact.

Nous transporterons dans l'émetteur.

Il ira sous le plancher de la voiture.
Et le microphone sous la boîte à gants.

Donne-moi la lumière ultraviolette.

Viens !

Nous attendons ici.

- Avez-vous terminé ?
- Oui

- Tournez le commutateur pour
voir si cela fonctionne. Prêt.

Éteignez-le, tout va bien.

- Dépêche-toi.
- C'est bien.

Je peux déjà contacter les unités.

- Unité mobile deux, unité deux.
- Ici Mobile Unit Two.

Continuez à patrouiller, mais
soyez prêt à intervenir.

- C'est bien.
- Toi aussi, Unité trois.

C'est bon, Lieutenant.

Réglez l'antenne.

Antenne accordée.
Vous devez nous recevoir.

- Le lieutenant doit nous recevoir.
- Ils l'ont réalisé.

Ils arrivent.

- Tout est OK. Je vais le télécharger sur votre compte.
- C'est bon, Tom.

Fixe

Nous attendons dix minutes.

- Vous connaissez des gens importants.
- Beaucoup de gens sont connus dans cette profession.

Vous avez mentionné dix
mille dollars, parlons-en.

Quelqu'un a un travail pour toi,
il aime ta façon de travailler.

- Que sais-tu de moi ?
- Il a vu votre fichier de la Nouvelle-Orléans.

Et qu'est-ce que tu aimes chez moi ?

La façon de se débarrasser
de Gunner après son piège.

- Qui a dit que je l'ai éliminé ?
- Ce n'est pas comme ça ?

- Smoothie, ne me dis pas que tu es un flic ?
- Non, je ne le suis pas.

- Je n'ai tué personne.
- Comme tu veux.

Je sais seulement que ça a disparu.

Bientôt, viens.
Allumez la lumière ultraviolette.

C'est ici.

- Parlez-moi de cet homme.
- Il veut te voir.

- Est-il quelqu'un d'important ?
- Le plus important.

- Qu'est-ce que vous voulez que je fasse ?
- Vous tuez un flic.

- Un flic ?
- C'est pourquoi il paie bien.

- C'est un flic ?
- Nous avons pensé à un.

- "Nous avons"?
- Comme tu l'as dit

Dans le bar, vous rencontrez
les bonnes personnes.

Faites le tour en cercle.

Continuez tout droit, rapidement.

Ce sera possible...
pour à côté du trottoir ..

Unités mobiles deux et
trois, communiquent.

Unité mobile deux, entre
63e et Downing Street.

Unité mobile trois,
Scamore et Langle.

Reste où tu es. Nous utiliserons
votre situation comme base.

Nous allons faire un triangle d'ici.

Dès qu'ils s'arrêtent, donnez-moi leurs
coordonnées depuis votre position.

N'avez-vous pas plus à dire ?

Vous saurez tout ce dont vous
avez besoin dès votre arrivée.

- Le recevez-vous bien ?
- Parfaitement.

- Et là ?
- Très bien, tracez la ligne de base.

- Nous sommes arrivés.
- Ne pourrions-nous pas aller à un endroit avec plus de lumière ?

C'est l'arrière de la maison,
nous irons à l'appartement.

Dis-moi une chose, Smoothie.
C'est ce gars Blackie Clegg ?

- Qui t'a parlé de lui ?
- Sur les quais.

Les garçons disent ce patron.

Ils ont raison, mais ils ne devraient
pas parler beaucoup. Viens

Unités mobiles deux et trois,

Ils sont arrivés à destination.
Communiquez vos positions.

Ici, Unit Two Mobile, la
nôtre est de 74 degrés.

Voici Mobile Unit Three...

- Je suppose que vous vous connaissez déjà.
- Je crois que oui.

- Comment ça va, Flynn ?
- Je n'ai pas envie d'exercer mes doigts.

Ce n'est pas drôle.

Je suis content que tu sois avec nous.

- Je ne le comprends pas. Est-ce Blackie ?
- Tu plaisantes ?

Bennion est le dernier singe.
Asseyez vous

- Alors, où est Clegg ?
- Il viendra tout de suite.

- Mais d'abord je dois vous remplir.
- De quoi ?

Ce qu'il veut de toi
C'est, si vous êtes intéressé.

Cela dépend. Tuer la police
est un passe-temps risqué.

- Ils meurent comme tout homme.
- Mais ça dérange plus de gens.

Dix mille dollars n'est pas
exactement une misère.

Non, ils achètent beaucoup de bonheur.

Cela ne va pas être compliqué.
C'est notre homme.

- Ça ne semble pas impossible.
- Alors j'ai fini ?

- Je veux d'abord parler à Clegg.
- Vous pouvez nous entendre.

- Je veux que ce soit réciproque.
- Je peux parler pour lui.

Avec moi non. Traiter avec le grand
patron ou avec n'importe qui.

- Prends un verre, je l'appellerai.
- Merci.

Ils sont dans le voisinage
de 68e et Charleston.

Unités mobiles, ici
le lieutenant Banks.

Ils sont entre 68 et Charleston.

Nous allons surveiller tout ce domaine.
Soins de voiture

C'est une Ford Coupe 46, numéro
d'immatriculation 7X8576.

Flynn, viens, viens
rencontrer Blackie Clegg.

Je dois être terne,
j'aurais dû l'imaginer.

Pourquoi le feriez-vous ?

Jusqu'à présent, personne
n'avait remarqué.

C'est un peu banal, mais ça fonctionne.

- Avez-vous d'autres astuces ?
- Certains.

- Je n'ai pas encore dit que j'étais d'accord.
- Pas besoin.

- Tu es à l'intérieur, que tu le veuilles ou non.
- Je comprends.

Tu voulais parler à Blackie Clegg.
Eh bien, vous le faites déjà.

Mais cela vous met automatiquement
sur ma liste de paie.

- Pour moi, tout va bien.
- Vous avez cinq mille dollars.

- Le reste quand le flic est froid.
- Parlez-moi de ce policier.

C'est caché. Mais ce
soir, nous saurons où.

- Comment ?
- Viens voir.

- Jolie, non ?
- Et têtu.

- Qu'est-ce qu'il a dit ?
- Que tu ne l'as pas vu depuis deux semaines.

Qui c'est celle la ?

- La petite amie du policier.
- Comme tu le sais ?

- Parce que ?
- Je pense que je l'ai déjà vue quelque part.

- Où ?
- Laisse-moi m'assurer que c'est elle.

- Il semble te connaître.
- Bien sûr, hier soir nous étions à une fête.

- Une fête ?
- Oui, avec Clancy, celui qui va toujours au bar.

- Oui - Nous sommes allés à
une fête et elle était là.

Clancy ? Cela ne ressemble
pas à la photo de journal.

Mais si cette photo est
fausse, Clancy sera Damico.

- Que dites-vous maintenant, ma chérie ?
- Je ne sais pas de quoi ils parlent.

Que ce soit clair.
Trouvons ton petit ami.

S'il est caché sous le nom de Clancy,
dites-le nous ou il finira à l'hôpital.

Je ne connais rien à Clancy.
C'est un mensonge

Tu parles à Blackie Clegg, tu ferais
mieux de lui dire ce que tu sais.

- Peut-être qu'il a oublié.
- Je peux vous rafraîchir la mémoire.

Nous allons boire un verre Lorsque
vous enlevez quelque chose, notifiez.

- Laisse-moi lui parler.
- Je ne pouvais pas te comprendre aussi bien que lui.

- Il a beaucoup d'expérience dans ce domaine.
- Je pense que tu vas ébouriffer un peu plus.

- Flynn, es-tu devenu fou ?
- N'essaye rien, ils m'ont suivi ici.

- Êtes-vous un flic, Flynn ?
- Avec beaucoup de fierté.

- Tu dois être mon ami Damico.
- Vous avez une boule de cristal.

- Vous avez été stupide portant cette lumière.
- Vous verrez comment pas.

Je l'ai déjà, j'ai la fille !
Je vais aller à la porte !

- Si tu me fusilles, tu l'attraperas.
- Ça ne te fera pas du bien.

- Mon peuple entoure la pomme.
- Rappelez-vous qui vous pouvez donner !

Viens !

Johnny !
L'allée est gardée.

- Ils vont vous attraper. Combien y en a-t-il d'autres à l'intérieur ?
- Deux. Mary est debout.

- Qui ? Attendre
Mary.

Le sergent Bennion est allé
me chercher à l'hôpital.

Il m'a dit que Johnny était
blessé et qu'il voulait me voir.

Je ne me doutais de rien,
il m'a montré son badge.

Bientôt
Vous devez aller à l'hôpital.

McCullough, amenez-la dans
la voiture à l'hôpital.

Assurez-vous de le laisser
entre de bonnes mains.

Lieutenant, il y avait un mec dans
la voiture. Voulez-vous le voir ?

- Apportez-le.
- Oui monsieur.

J'irai dès que nous aurons fini ici.

- Il a un whisky exceptionnel.
- Tu dois d'abord tuer Blackie.

- Il est là, lieutenant.
- Ce n'est pas celui-là !

- C'est l'homme qui était dans la voiture.
- Où est-il, Bennion ?

Je ne sais pas. J'ai entendu des coups
de feu et j'ai essayé de m'enfuir.

- Johnny !
- Tu m'as promis de le laisser dix minutes !

Notre peuple va porter les morts
à cause de votre avidité.

- J'aimerais faire un travail sur tes doigts.
- Le coffre-fort au bureau.

Les districts avérés 10 et
12, aucun signe de Blackie.

Vous ne pouvez pas quitter la ville, nous
avons toutes les sorties surveillées.

- Peut-être qu'il ne veut pas partir.
- Alors nous l'attraperons.

Il n'est pas une recrue,
des spectacles sûrs.

- Êtes-vous sûr de lui faire du mal ?
- Il y avait du sang sur le sol, non ?

Nous allons le prendre. Vous devrez
trouver quelqu'un pour vous aider.

Peut-être, mais rappelez-vous qu'il apparaîtra
comme blond ou roux, tout ce qu'il veut.

Le rapport de Washington des
traces recueillies dans le bureau.

"Il n'est pas signé."

Va dormir, mais pas
dans ton appartement.

- Et Mary ?
- Mes hommes regardent l'hôpital.

- Je vais la voir et je viendrai dormir ici.
- Prends une voiture.

- Comment ça va, Joe ?
- Le temps passe vite.

Et je dois chercher un gars
chauve qui ne va pas se montrer.

Si vous le connaissiez comme si
j'avais votre pistolet prêt.

Infirmière, dans quelle
chambre est Mary Kiernan ?

- Numéro 306.
- Merci

Entre.

Infirmière

Ne dérange pas le patient de la
309, il est entré pour un examen.

Oui, docteur.

Le patient du 309 ne
devrait pas être dérangé.

- Il avait raison, il est juste venu
- Et l'ambulance ?

Au fond de.

- Je prends beaucoup de risques.
- Je te paie beaucoup d'argent.

Je n'avais aucune idée du travail
que tu as fait pour vivre.

La nuit dernière était la plus tranquille.
Parfois, ça devient excitant.

- Eh bien, si vous ne vous présentez pas...
- Mais je l'ai fait.

Je n'aurai pas besoin de
te dire d'être tranquille.

Pas de bruit ou je vais tirer dessus.
Soulever

Tourne toi.

Déchargez-vous

Prenez votre arme et mettez-la
sur le dessus du lit.

N'essayez rien Ne sonnent pas la
cloche ni ne lancent quelque chose.

Fais ce qu'il dit.

Fille prête

Ferme le store.

Retournez au lit.

- Je ne t'ai pas fait mal hier soir ?
- Seulement une égratignure.

L'hôpital est plein de policiers.

Ils regardent pour qu'ils n'essaient
pas d'entrer ou de partir

Pas un faux mouvement, Damico.
Dites-moi ce qui se passe.

Entre.

Cela ne prend qu'une minute.

Voyons voir comment c'est.

Il a besoin de sédatifs. Je vais pour
eux, et puis les visites sont terminées.

Nous attendrons qu'il revienne
avant de continuer notre aventure.

- Que prétends-tu ?
- Je n'aime pas être pris pour un imbécile.

- Vous deux pourriez m'identifier.
- Comment vas-tu quitter l'hôpital ?

- Comment suis-je entré dans une ambulance ?
- Tu as toujours un atout dans ta manche.

C'est pourquoi je survive.

J'étais dans le coffre quand tu as dit de
l'emmener à l'hôpital et que tu viendrais.

Pourquoi attendre l'infirmière.

Donnez-moi un oreiller

Va et tiens-toi à côté d'elle.

Je savais qu'il y avait quelque
chose dès que l'infirmière entrait.

C'est une super flic, elle
ne t'a pas convaincu ?

Il a utilisé son pouce pour prendre mon pouls,
une infirmière ne le ferait jamais comme ça.

- Elle allait bien.
- Pensez-vous que je peux obtenir une promotion pour cela ?

- Non.
- Avec les frais supplémentaires de mon mariage...

Non !

- Heureusement, j'ai d'autres revenus.
- Où l'avez-vous eu ?

- D'une machine à sous.
- Clegg vous l'a donné.

Timmy !

J'aimerais voir comment
tu gères cette fois.